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Léa - Mon esclave

Chapitre 6

Son premier Gang Bang

SM / Fétichisme
Quel soulagement nous pouvions tous voir sur le visage de Maxence ! Léa, après avoir repris son souffle, ne tarda pas à reprendre Maxence en bouche qui n’avait pas bougé d’un pouce. Elle tendit sa langue afin d’atteindre son gland, puis le prit en bouche complètement ; un effet plus qu’agréable pour le propriétaire de ce dernier, qui laissa tomber sa tête en arrière dans un râle de plaisir.Surpris de la scène, Eddy et Maxence en avaient oublié qu’ils devaient être plus que spectateurs. Je décidai alors qu’une petite pause ferait du bien à tous.
— Bon les gars, je vois que les cachets font toujours effet, mais je ne vous vois pas trop vous en servir !— Euhh ... Il faut aussi qu’on reprenne notre souffle, tu sais ! On n’est pas des machines, me répondit Eddy.— Dans ce cas, je vais aller promener la chienne, elle doit aller faire ses besoins.

À ces mots, Léa arrêta net sa fellation, fit un surprenant baiser sur le bout du membre de Maxence, et se releva. Ses yeux cherchaient à savoir si j’étais fier d’elle ou non. Elle souriait, heureuse de voir que je lui retournais le même.
Elle s’avança dans le couloir, et avant qu’elle ne se réfugie dans les toilettes, il me vint une idée. Toujours plus imaginatif, l’association des mots que je venais de prononcer fit peindre à mon esprit une scène d’humiliation que je pourrais mettre à profit.
— Faire faire ses besoins à ma chienne...
Où ? « Dans le jardin ? » Elle risque d’être sale après sa promenade à quatre pattes ... « Nettoyage au jet d’eau » elle pissera en levant la patte ? « Evidemment ».
Ma créativité était en roue libre, et mon esprit s’amusant à se faire des questions/réponses tout seul.Pourrais-je le faire maintenant ? « Oui, mais il fait noir, un peu froid, et elle est déjà sur les toilettes ».Hum ... Chez son père alors ? On fait faire une promenade à notre petite pute dans son jardin, nue, à la vue des voisins, et on l’humilie comme elle le mérite. « On ? Qui ça On ? » J’étais devenu fou.
Je resservis mes convives en victuailles, ce qui les fit respirer 5 min.Olivier qui était parti faire le tour de la baraque revint avec un vibromasseur (magicwand) et probablement une idée derrière la tête.
— J’ai peur que tu me dises où tu as trouvé ça.— Bah ... dans ta chambre en bas.
— Elle est à cet étage ma chambre, mec ...
Tous commencèrent à rire sans pouvoir se contenir. Après plus d’explications, nous comprîmes qu’il appartenait à l’une de mes sœurs.Lorsque je pris conscience que Léa n’était pas revenue, je me dirigeai vers ma chambre. Cette petite pute était en train de se caresser sur le lit, cherchant probablement à atteindre une nouvelle fois l’orgasme.
— T’ai-je autorisé à te toucher ? la grondai-je.
Léa, complètement paniquée, tira la couverture à elle comme une enfant prise la main dans le sac.
— Tu veux jouir ? Bah on va te faire jouir alors ! Ramène tes fesses dans le salon, et prends la corde à bondage.— Oui, maître ! Pardon maître !

...
— La salope était en train de se caresser sur mon lit, je l’ai chopée la main entre les cuisses.— La vache, c’est vraiment une nympho ta copine, 3 heures de baise et elle se masturbe encore ?— Ne t’inquiète pas, on va s’occuper de son cas. On va lui couper l’envie de se toucher sans autorisation, tu vas voir.

Léa entra dans la pièce, les yeux rivés au sol, honteuse. Ses longs cheveux bruns couvrant ses seins, mais laissant ses tétons bien durcis par l’excitation se dévoiler sous nos yeux. Son corps était vraiment magnifique : un visage d’ange aux cheveux longs, des seins bien gros et bien fermes (bonnet E pour rappel ...), un fessier à faire bander un mort et des petits pieds en adéquation avec sa petite taille. Elle s’agenouilla devant moi, et m’offrit la corde de ses deux mains.
— Pour vous maître.— Va t’allonger sur la table du salon, sur le dos.
Je lui pris les mains, et les attacha derrière sa tête. Je passai la corde sous la table, et lui saisis une cheville que je verrouillai à un pied de la table. Je fis de même pour la seconde. Elle se retrouva donc avec les jambes bien écartées, la tête dans le vide, avec les bras complètement immobilisés. Je terminai par lui enfiler à nouveau le bandeau, la privant de sa vue, lui permettant de mieux se concentrer sur les sensations que son corps reçoit.
Je fis comprendre discrètement à mes convives qu’il n’était point question de la faire jouir rapidement, et que, bien au contraire, nous allions essayer de la laisser le plus longtemps possible au bord de l’orgasme.
Nous entamions donc notre petit jeu, Maxence et Eddy se partageant ses seins, léchant et mordillant ses très sensibles tétons. Olivier jouant très lentement avec un godemichet plutôt large dans son minou. Et moi, ayant la responsabilité de devoir jouer avec son clitoris, le plus possible, mais devant faire attention à ne pas lui autoriser l’orgasme.
Deux minutes à peine après le commencement de cette torture, elle manqua de jouir. Je lui fis rougir la chatte, lui assenant de petites claques à l’aide d’un paddle afin de la garder excitée, mais tout en la faisant revenir sur terre. Puis nous reprîmes notre petit jeu, la faisant se tordre de plaisir, mais encore et toujours sans orgasme.
Cela dura presque une heure, pendant laquelle nous échangeâmes nos rôles, où nous fîmes la sourde oreille lorsqu’elle nous supplia de jouir, encore et encore, hurlant de rage à chaque fois qu’elle sentit sa délivrance lui échapper. Elle devenait folle.
Son bouton était en feu, plus gros que je ne l’avais jamais vu ; son vagin complètement trempé, dégoulinant de cyprine et ses tétons meurtris.Lorsque nous décidâmes que la torture avait suffisamment duré, nous la libérâmes et l’attachâmes à quatre pattes, tête contre la table, pieds et poings liés, jambes repliées et écartées (toujours). Je lui attachai le vibro sur son clitoris, bien collé à ce dernier, afin qu’elle ne puisse pas s’en défaire aisément.
— À qui appartiens-tu ?— À vous maître, s’il vous plaît, faites-moi jouir !— Qu’est-ce que tu es ?— Une chienne, maître, je suis une chienne, la vôtre !— Tu sais que tu n’as pas le droit de jouir sans permission, n’est-ce pas ? — ...— N’est-ce pas ? répétais-je en lui assénant une belle fessée.— OUI MAÎTRE !— Donc à partir de maintenant, je t’interdis de jouir sans que tu sois prise par le cul ! Tu devras toujours te faire enculer ou te faire goder le cul pendant que tu jouis !— ... Bien ... bien maître ! Enculez-moi, je vous en supplie !— Tu sembles tellement innocente au lycée, et quand je vois que tu supplies de te faire enculer ! Je n’aurais jamais cru ça de toi Léa ! T’es vraiment une belle salope ! lança Eddy.
Elle remercia Maxence et me remercia également d’avoir fait d’elle une « belle salope ». Je fus surpris qu’elle me remercie, et je me rendis compte que j’avais vraiment bien entraîné Léa. Il ne manquait plus que quelques détails, mais c’est une vraie esclave sexuelle désormais. J’étais fier.Je me positionnai derrière elle, en levrette. Deux petits allers-retours dans sa fente trempée la firent gémir et haleter. Elle tendait ses fesses vers moi pour que je continue de la prendre ici. Cela suffit à lubrifier mon engin bien comme il fallut, je décidai donc qu’il était temps qu’elle jouisse. Je positionnai mon gland à l’entrée de son anus, et poussai mon gland sous un râle ambivalent entre la douleur, le plaisir et la déception.
— C’est bien ! Bonne chienne ! Allez !... Jusqu’aux couilles et après on allume le vibro.— Hannnn ... Mon cuuuul !!!
Mon membre dur comme du bois ouvrait doucement ses chairs. Je sentais son anus résister. Je poussai alors encore un peu plus, faisant grimacer ma chienne.
— Je n’en suis qu’à la moitié, salope ! Laisse-moi t’enculer jusqu’aux couilles.
Lorsque j’atteignis les profondeurs de ses entrailles, non sans peine pour Léa, je fis signe à mes collègues d’allumer l’engin qui se situait sur son clito.Sa réaction fut immédiate, je sentais ses muscles se contracter au fur et à mesure que les vibrations s’intensifiaient. La sodomisant doucement, je pouvais la sentir mouiller sur mes couilles. J’accélérai alors le rythme. Encore et encore, jusqu’à lui pilonner l’anus.
— Ah ! ... Ah ... Ahhhhhhhh !!— Tu aimes la prendre dans le cul, hein ? lâcha Eddy.— Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouiiiiiiiir ! hurlait-elle.— Jouis par le cul sale pute, c’est bien, c’est uniquement comme ça que tu as le droit de jouir maintenant.
Son orgasme fut violent. Elle convulsait presque tellement il lui foudroya le corps. Ses orteils et ses poings étaient serrés tellement fort.Je lui claquai les fesses, tout en lui labourant son anatomie, car il n’était pas question de ralentir le rythme. Après quelques longs instants de coït, lorsque je me sentis venir, je fis de grands allers-retours, brutaux, m’extirpant complètement et m’enfonçant le plus profondément possible en elle, lui arrachant des hurlements.
Elle eut un second orgasme lorsqu’elle me sentit me vider les couilles au fond d’elle (ou était-ce le vibro toujours collé à son clito ?)Olivier prit ma place lorsque je me retirai pour aller me faire nettoyer par la bouche de Mademoiselle. Maxence avait trouvé que, frapper ses tétons avec le paddle faisait bien rebondir ses gros seins, et il semblait adorer lui torturer ses mamelles. Quant à Eddy, il se masturbait grâce aux orteils de notre salope de la soirée.
Olivier n’y alla pas de main morte, il entra dans son cul comme un ours ; arrachant au passage des cris à la pauvre esclave. Lorsque vint le tour de Max, elle nous supplia d’enlever le vibro. Elle n’arrivait plus à contenir ses hurlements et ses orgasmes, son clitoris avait trop de pression. Bien évidemment, nous refusâmes et augmentâmes même la vitesse de ce dernier à son maximum.
Léa était dépassée par les sensations qu’elle ressentait : ses yeux roulaient, sa langue bavait, et seules ses jouissances la faisaient se raidir. Elle fut foudroyée de plusieurs autres orgasmes, je ne saurais vous dire combien tellement il y en eut.Parfaitement à l’heure, lorsque tous eurent terminé de se faire nettoyer la queue, les pilules cessèrent leurs effets. Léa, complètement épuisée, tomba directement dans les bras de morphée, à peine avais-je défait ses liens.
Nous la retournâmes, lui fîmes sa toilette, nettoyant toutes les parties de son corps. Nous la mîmes au lit sans qu’elle s’en rende compte : elle s’était évanouie de fatigue.La soirée s’acheva ainsi.
Au petit matin, enfin, devrais-je dire, en début d’après-midi, Léa se réveilla d’un lourd sommeil. Je rigolai doucement en la voyant se lever : elle avait des courbatures dans tous les muscles.
— Alors ? C’était comment ?— ... Heu ... je ne sais pas.— Prends ton temps pour y repenser.— Je ne sais pas, c’était incroyable, terrifiant, douloureux, et en même temps tellement bon ! Je n’ai jamais eu d’orgasmes pareils ! C’était woaaaah. Très humiliant aussi ! Être exposée comme ça... touchée par pleins de mecs en même temps, devoir sucer quelqu’un pendant qu’un autre m’encule ... J’avais vraiment envie de pleurer de honte... je crois que j’ai vraiment pleuré de honte à un moment d’ailleurs ... Mais en même temps, c’était tellement excitant ! Je n’aurais pas joui aussi fort si ça avait été différent. Par contre, j’ai mal partout !!! Je ne peux ni ouvrir ni fermer les cuisses. Putain, même mes pieds me font mal ? Comment c’est possible ?— Alors ça ... j’ai une petite idée ... Disons qu’Eddy t’a baisé les pieds avec sa queue pendant un bon quart d’heure avant de venir se faire sucer puis de t’enculer pour le grand final.
Léa s’arrêta, un peu sous le choc, secoua la tête d’incompréhension, et s’en alla prendre une douche tonifiante.
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