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Léa, notre chambre, nos histoires

Chapitre 1

Raphaël

Hétéro
Léa, c’est la fille avec qui je partage ma chambre en cité universitaire. Elle est en deuxième année de la licence que je commence. On s’est trouvés colocataires par le hasard des listes d’attente, mais je dois dire que le hasard administratif a bien fait les choses. C’est une fille très fine, aux formes athlétiques. Petite, elle attire quand même beaucoup l’attention, et, j’imagine, le désir des hommes. D’ailleurs, elle ne se cache pas d’aimer le sexe. Une fois, elle m’avait demandé la faveur de lui laisser la chambre pour une heure ou deux, que j’ai passées dans la chambre voisine. Je peux vous dire qu’elle apprécie ce qu’on lui fait, à en juger par les cris de jouissance que les maigres parois ne pouvaient pas cacher. Nous en avions discuté plus tard, elle ne semblait pas gênée que l’étage ait pu avoir le bénéfice de ses vocalises orgasmiques.
Mes premiers partiels approchaient, et je passais du temps, sur mon lit, avec l’ordinateur sur les genoux, à regarder des cours en vidéo ou à relire mes notes. C’est ce que je faisais ce jour-là, quand elle entra dans notre chambre. Elle était accompagnée de Raphaël, un vague copain de première année. J’étais surprise qu’elle le connaisse, et encore plus qu’elle lui fasse visiter notre chambre.
Il vint me faire la bise, puis, pour préserver notre intimité à tous, je mettais mes écouteurs et me plongeais dans une vidéo d’un de nos profs sur l’économie vénézuélienne. Bien isolé des perturbations extérieures, mon esprit s’envolait en Amérique du Sud.
Alors que nous commencions à aborder le chavisme, je levais les yeux. La situation de leur côté avait bien évolué. Raphaël était debout, face à Léa, et elle, assise sur le lit, faisait des mouvements de la tête qui ne prêtaient pas à confusion. D’ailleurs, Raphaël penchait la tête en arrière, et avait ses mains dans les cheveux de Léa. Toute surprise de ce spectacle, j’étais partagée entre le désir de profiter de cette fellation, et la gêne de les regarder.
Je tentais un court instant de m’intéresser à la super-inflation qui ravagea le Vénézuéla, mais les mouvements de fesses de Raphaël, que son jean magnifiait à merveille, me convainquit de remettre à plus tard mon instruction économique. Je gardais les écouteurs, mais coupait le son, histoire d’être discrète.
Raphaël défit son jean, et laissa pour mon plaisir apparaître ses fesses. C’était un garçon que je savais timide, il était d’une constitution aussi frêle que Léa. Pas le plus attirant des garçons, un visage encore trop adolescent, mais un corps ferme, maigre et pourtant musclé, sans graisse, et peu de pilosité. Je prenais le temps d’admirer, et espérais que la suite des événements me permettrait de tout observer.
Puis subitement, Léa arrêta de le sucer, se redressa et le poussa sur le lit. Je fis immédiatement mine d’être absorbée par mes cours. Raphaël se redressa pour enlever son tee-shirt, pendant que Léa, consciencieusement, défit la ceinture de son jean, le baissa, enleva son crop top, puis s’affaira à retirer son soutien-gorge, puis, lentement, en attirant l’attention de Raphaël, baissa son string en dentelle. Elle était vraiment très belle. Ses seins bien ronds et fermes semblaient tenir Raphaël dans une érection sans fin.
Elle enjamba Raphaël, ses jambes écartées surplombant le sexe tendu. Elle prit entre ses doigts cette bite bien décalottée, aux veines gonflées. Elle s’assit sur le ventre de Raphaël, face à moi, et plaqua le pénis contre son sexe parfaitement épilé. Lorsque dans un moment d’inattention, mon regard se leva vers elle, je compris que mon stratagème était éventé. Elle me fixait du regard, souriait de façon complice. J’avais manifestement le droit de regarder, j’enlevais les écouteurs et jetai au loin l’ordinateur.
Après avoir prodigué un long massage au pénis de Raphaël, tout en se faisant mouiller en le faisant glisser entre ses grandes lèvres, elle se releva légèrement et guida la bite dans son sexe. Les lèvres s’écartèrent un peu, mais pas assez et elle dut frotter le gland contre sa vulve. Tout d’un coup, celui-ci disparut dans sa chatte. Un long mouvement de va-et-vient commença, régulier, déterminé, magnifique à regarder. Ils n’étaient même pas à deux mètres de moi, je sentais leur plaisir m’envahir.
Les mains de Raphaël accompagnaient les hanches de Léa, et, souvent, lui caressaient le sexe. Il semblait aimer sentir, par tous les moyens possibles, le coulissement de son pénis. J’aurais bien touché aussi...
Léa se retira et se releva, pour se mettre à quatre pattes sur le lit. Raphaël eut un temps de retard. En se levant, il remarqua enfin que je le regardais. Il était nu face à moi, avec une érection mémorable, et je sentis sa gêne de se retrouver ainsi. Moi je trouvais qu’il était plutôt à son avantage. Passé ce moment, il retournait à cette chatte qui l’appelait de toute sa beauté. Une fente bien nette, dont dépassaient timidement les petites lèvres, malgré tout le désir et les longues minutes de pénétration qu’elles venaient d’endurer avec plaisir.
Raphaël se mit en position, tenant son sexe pour le guider, il pénétra Léa. Puis, lui agrippant les hanches, il se mit à la sauter frénétiquement. Léa ne gémissait plus, elle criait. Et moi, je mouillais, je sentais mon sexe partir dans une chaleur difficilement soutenable.
La frénésie des mouvements de hanches de Raphaël atteint son paroxysme, avant de subitement s’arrêter dans un soupir... « Oh putain »... je vis son sexe, bien planté dans le vagin de Léa, se gonfler par saccade. Raphaël tremblait, ses mollets convulsaient. Il était en train d’éjaculer.
Au bout de son plaisir, il revint à lui, se retira et s’allongea sur le lit. Léa, elle, se redressa et vint à ses côtés. Posée comme une impératrice romaine, ses jambes légèrement écartées laissaient sa vulve à ma vue, dont une goutte de sperme s’échappa et finit en tache ronde sur le dessus-de-lit. Le sexe de Raphaël était luisant de son propre sperme.
Léa me regarda.
— Tu nous nettoies ?
J’attrapai un paquet de mouchoirs en papier et lui lançai, mais elle esquiva et se mit à rire. J’étais un peu empruntée devant la consigne dont je ne savais pas comment m’échapper, ni d’ailleurs si j’avais vraiment envie d’esquiver. Mais elle ne me laissa pas le temps de tergiverser.Elle traversa le court espace qui séparait nos lits, et me poussant, vint à califourchon sur mes genoux. En quelques mouvements, je me retrouvais avec son sexe plaqué sur ma bouche. Par un réflexe inconnu jusqu’ici, je commençais à lécher sa fente. Du sperme s’en écoulait. Je le léchais, le goûtais, le buvais. Il y en avait tellement... Je profitais des restes du festin !
— Fais-moi goûter, me lança-t-elle.
Elle relâcha l’étreinte et m’offrit un long baiser langoureux, nous partagions ainsi le goût subtil du sperme frais. Ses mains se baladèrent sous mon sweat shirt, me triturant un sein, puis descendant jusqu’à mon jean qu’elle déboutonna. Sa main empoigna ma chatte. Je me retrouvai vite aussi nue qu’elle... devant Raphaël, qui n’en perdait pas une miette, et qui n’avait certainement pas espéré une après-midi révision aussi salée. Il bandait à nouveau, aussi fort qu’au début.
Les caresses de Léa avaient fait leur office, mon sexe était glissant et accueillant. Elle me poussa à côté de Raphaël, puis se mit à la place que j’avais lorsque je profitais de leur spectacle. Nous étions, Raphaël et moi, nus, allongés, nos deux sexes gorgés d’envie. Je tournais la tête vers lui, il me sourit. Puis il vint sur moi, me couvrir, et me pénétra comme si ça avait été la chose la plus naturelle du monde. Son sexe rentra dans le mien sans même avoir besoin d’être guidé. Il se tint au-dessus de moi, j’écartais les jambes, et le laissais faire. Il me baisa longuement, en missionnaire.
Ses mouvements étaient plus doux que lorsqu’il prenait Léa en levrette, mais pas moins efficaces. Je ne tardais pas à jouir, bruyamment, étant rassurée de savoir que l’étage suspecterait Léa plutôt que moi d’être la diva sonore.
Puis Raphaël atteignit son orgasme aussi. Son sexe fit de rapides et puissantes convulsions, coincé dans mon vagin. Sa semence coulait dans mon corps. Je vis Léa se lever, et, sans me laisser le temps de réagir, poussa Raphaël et me rendit la politesse en nettoyant mon vagin. Elle suçait frénétiquement ma vulve, dans l’espoir de récolter toute l’éjaculation. Puis quand elle en eût assez plein la bouche, elle vint s’asseoir entre Raphaël et moi. Par une caresse délicate derrière le cou, elle m’enjoignit de venir l’embrasser. Je m’exécutais. Nos langues se caressaient, encore une fois, nous partagions le sperme.
Raphaël nous regardait. Léa l’empoigna, et l’embrassa. D’abord surpris et dégoûté, il vint finalement partager un baiser à trois, goûtant son sperme avec nous.Tout ça se termina à la fenêtre, nous trois, nus, dégoulinant de plaisir, le goût du sperme dans la bouche, à fumer une cigarette. Il faudrait que je révise encore l’économie vénézuélienne, les partiels approchent...
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