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Léa me partage avec sa maman…

Chapitre 1

Rencontre 1

Avec plusieurs femmes
— Jeune homme, jurez-moi.— Quoi Madame Béatrice ?— De mettre ces préservatifs ce soir.— Il n’y aura pas de pénétration ce soir.— De les mettre le moment voulu...
Elle me tend une grosse boîte de préservatifs. Madame Béatrice est une dame BCBG, 1,68 m, 72 kilos, 95B, un visage rond, et une coupe carré. Elle parait stricte et tranchante, mais au fond avide de mordre la vie.En résumé : A 47 ans, elle parait 40 au maximum.Que les lecteurs soient certains, contrairement à la première pensée... Ces préservatifs ne concernent pas une relation avec elle, mais plutôt ma relation avec sa fille Léa.
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Léa est une fille à part, réellement unique. Bien potelée, en tout cas plus que sa mère. Un visage enfantin, cheveux très courts, et une tenue négligée. Nous étudions dans la même université. Elle est partante pour tout combat, et pour toute cause. Féministe dans l’âme. Lesbienne convaincue. Elle affiche une chaîne d’or au pied gauche, et ne se gêne nullement de draguer, en tout cas mieux que certains garçons, toute belle fille, qui passe dans son entourage.
J’ai un rapport très spécial avec elle. Elle sait que je suis collectionneur de femmes, et je sais qu’elle est lesbienne. On se respecte. Lorsque des étudiants d’un autre bord politique l’ont traitée de « sale gouine », j’ai pris sa défense. J’étais le seul.
Mieux encore, je l’ai trouvée saoule une nuit, essayant sans parvenir à ouvrir sa voiture. Je l’ai portée chez moi. Elle a dormi dans mon lit. Seule, il va de soi. Le lendemain, en se réveillant, elle a commencé par un scandale. J’ai trouvé tout le mal du monde à lui expliquer que je ne l’ai pas « touchée »... Elle a eu tout le mal du monde à croire en l’existence d’un homme capable d’héberger une femme sans « la baiser ». Une très forte amitié est née. Il faut signaler que Léa ne fait pas la bise au sexe masculin. Elle ne fait pas de bises au sexe masculin.
Avec elle, quelques cafés ensemble, et échanges de livres... Pas plus...De retour des vacances d’été, je la vois en entrant dans notre café habituel, je tends ma main pour la saluer, elle la prend, mais « saute », le mot n’est pas exagéré, pour me faire trois bises, assez proche de ma bouche, avec une accolade assez serrée. Etonné par cette chaleur, plus qu’amicale.
— Tu m’as atrocement manqué.
Je suis resté sans paroles... Elle m’a tenu par la main :
— Prends un café...— .....— Je t’invite...
Devant mon regard interrogatif, elle me dit :
— Tu te demandes quant aux raisons de mon... «changement» ?— Oui...
Elle me tient la main, me regarde dans les yeux, et me dit, comme elle cherche ses mots :
— J’ai rencontré deux de tes conquêtes...
Mon regard reste toujours interrogatif.
— Enfin... J’ai gouiné avec deux de tes copines...
Devant mon silence, elle semble troublée, mais ajoute :
— Elles m’ont tellement parlé de ta tendresse...
Elle rougit et ajoute :
— Surtout ta manière d’offrir le cunni... Enfin, ta façon de respecter la femme... Comment tu ne présentes jamais ton sexe en premier... Tu ne cherches pas à forcer ta partenaire.— .....— ... J’ai une folle envie de toi...
Mon silence la dérange :
— Tu te dis comment une lesbienne radicale comme moi peut devenir hétéro ?— Oui...— Moi-même, je ne peux l’expliquer... Tout ce que je peux te jurer, que depuis la rencontre avec tes deux partenaires, je n’ai désiré aucune fille...
Elle me tient la main :
— J’ai pensé uniquement à toi...
Je reste sans paroles, elle ajoute :
— Je m’offre à toi... Uniquement à toi... Tu peux prendre autant de femmes que tu veux... Je ne serai jamais jalouse... Je peux me contenter du peu de temps que tu veux me consacres ?
Elle rougit encore :
— Tu dis quoi ?
Je reste pensif. Je suis encore plus que certains que ces quelques secondes ont le poids de quelques années-lumière.
— Quel homme peut rater une telle merveille ?
Elle me saute au cou, et m’embrasse avec pression sur la bouche. J’ai dû la calmer :
— On monte chez toi ?
L’attente paraît une éternité :
— Je m’offre à toi, sans contrepartie... Je suis vierge...
Je reste pensif :
— Je n’ai plus de chez-moi.— Comment ?— Le propriétaire, qui a repris les clés, pour louer l’appart aux touristes, refuse de me les restituer.— Et tes affaires ?— Deux valises, déposées chez la concierge de l’immeuble...— Allons prendre tes affaires, pour t’installer chez nous.— Comment chez vous ?— Je vis seule avec maman, dans une très grande villa... Elle sera heureuse de me voir heureuse...
Dix minutes pour ramasser mes deux valises, et me voilà, à côté de Léa, dans sa voiture en direction de ce « chez-nous ». Elle tient ma main, et l’embrasse par moments.
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Arrivés devant une très belle villa, elle veut descendre pour ouvrir un portail en fer forgé. Je me propose de le faire. Une dame (qui est sa mère) est venue en courant pour me bloquer. Un regard vers Léa, et elle klaxonne, en demandant l’ouverture du portail.A l’intérieur, Léa nous présente l’un à l’autre, et m’invite à entrer. Arrivés au salon :
— Maman... Maman... J’ai envie de te dire quelque chose d’important.
Sa mère est derrière nous. Mille questions sur son visage.
— Ecoute maman, je suis devenue hétérosexuelle.
Une question s’ajoute sur le visage de la mère.
— Je suis claire, non ???— .....— Il est mon homme, et il va vivre avec moi...— .....— A partir de ce moment...
A la stupeur sur le visage de la maman, s’ajoute une colère qu’elle maîtrise mal.
— Tu débarques brusquement avec un mec... Et tu te dis hétérosexuelle...
La mère a du mal à continuer, ou à trouver la parole. Léa se lève et dit d’une voix haute :
— Tu ne peux ni me juger ou encore refuser... Je possède autant que toi dans cette villa...
Sa mère reste immobile et silencieuse.
— Si on sort, ça sera pour entamer la procédure de vente de la maison.
La mère éclate en sanglots, et part se cacher dans sa chambre. Léa se dirige vers moi, en tendant la main :
— Chéri, allons dans ma chambre.— Je ne peux rester si ta mère est en colère contre toi. — On peut vivre ailleurs...— Ni ici ni ailleurs... je ne peux bâtir une relation avec toi, sur les décombres de ta relation avec ta mère.— .......— Va demander pardon à ta mère.
La rage apparaît sur le visage de Léa. Mon regard a fini par la convaincre.
— Maman... Maman... Ouvre s’il te plaît...
La mère n’ouvre pas... Même, on entend des sanglots.
— Madame s’il te plaît... s’il te plaît... Je ne peux accepter cette situation... On ne fera rien sans votre accord...
La porte s’ouvre et apparaît la maman en sanglots.
— Madame... Je peux partir si vous voulez... — Non, reste...
Elle a jeté un regard à sa fille...
— Je ne pensais pas que cette garce pouvait être si cruelle...
Elle continue à pleurer, et se jette dans mes bras :
— Au moins toi... Tu es poli...
Une minute après, la maman s’est calmée. Elle se détache doucement :
— Tu peux rester... Même ça me fait plaisir...— Allons dans ma chambre.
Léa a prononcé la phrase, en me tirant avec insistance :
— Je suis là pour intégrer une famille... Non pour passer directement dans ta chambre.
La maman me regarde, et vient me faire une bise sur ma joue, en disant :
— Bienvenue.
Puis s’adresse à sa fille :
— Heureusement que ton homme est meilleur que toi.
Pour dégager la situation tendue, je m’adresse à la mère :
— Vous avez une très belle maison...— Fais un tour avec ton homme dans la maison.— J’aime voir le jardin surtout...
Devant une piscine de dix mètres au moins :
— Waw...
Léa se colle contre moi, et me dit :
— Tu veux qu’on prenne un bain...— Avec plaisir... Mais je n’ai pas de maillot...— On se baigne à poil.
Je la regarde de travers :
— Tu penses que je peux me baigner nu ?— Je ne sais pas... Pourquoi pas.
Léa passe de la question à la solution. Me prend par la main, et dit :
— Viens...
Presque en courant, elle me traîne derrière elle...
— Maman... Maman...— Oui, Léa...— On va prendre un bain...— Allez-y...— On sera à poil...— Prenez votre liberté...
Léa me jette un regard malicieux. Et commence à se déshabiller, et me dit :
— Tu attends quoi ?— Ta maman ?— Elle est dans sa cuisine...
En quelques secondes, nous sommes à poil. Chacun est ébloui par le corps de l’autre. Je dois avouer que ma compagne est de loin plus sexy, nue qu’habillée. Un corps plein, mais bien proportionné. Des cuisses musclées, un ventre tendu, mais des kilos en excès aux fesses. Avec une poitrine assez grande. En résumé, tout dans l’harmonie.Elle me regarde comme l’homme primaire peut admirer une divinité. Mon sexe est en érection. Elle avance, met sa main dessus. Il durcit encore.
— Waw... Je vais prendre tout ça...— La baignade en premier...
( à suivre)
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