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Léa et son père

Chapitre 4

Le goût de sa queue

Inceste
Chapitre 4 : Le goût de sa queue

***

L’abandonnant dans cette position, son père quitte la pièce sans un mot. Léa se redresse et prend un moment de réflexion. A-t-elle fait le bon choix ? Ne va-t-elle pas le regretter ? Elle savait avant de le faire qu’aucun retour en arrière n’était possible. Elle est désormais le jouet sexuel de son père, sa chose.
Léa se ressaisit et se remémore les consignes reçues quelques instants auparavant. Son bas-ventre fourmille. Que va-t-il faire d’elle ? Perchée sur ses talons aiguille, elle se dirige d’un pas mal assuré vers sa salle de bain, sa nuisette toujours relevée sur ses hanches, laissant apparaître son string et son fessier majestueux. Une fois sur place, elle constate l’étendue des dégâts. Ses fesses sont rougies par les fessées et la couleur de son string est bien plus foncée à son entrejambe. Lorsque ses doigts entrent en contact avec la zone, elle se rend compte que sa mouille a coulé à l’intérieur de ses cuisses. Elle s’enduit les fesses de crème hydratante qu’elle masse lentement. Elle perçoit encore la chaleur de la main de son père tandis qu’elle fait pénétrer la crème. Quelques minutes sont nécessaires pour apaiser l’épiderme. Il est temps de se préparer. Pour la première fois, elle va sucer un homme. Et cet homme sera son père.
Elle réajuste sa nuisette, s’attache les cheveux en hauteur à l’aide d’une pince japonaise. Elle prend également quelques instants pour se maquiller les cils et parer ses lèvres pulpeuses d’un rouge à lèvres discret et légèrement brillant. Elle jette un dernier regard à son reflet avant de quitter la pièce pour rejoindre son père. Elle se sent belle, elle se sent chienne.
Lorsqu’elle entre dans la chambre de Laurent, il est allongé sur le lit vêtu d’un simple boxer, il consulte sa tablette. Elle ne peut s’empêcher de faire le rapprochement avec la vidéo découverte plus tôt. Elle comprend immédiatement que cette mise en scène est volontaire. Elle se sent un peu rassurée par cette situation. Pour la première fois de la soirée, elle sait ce qui l’attend.
Elle s’approche lentement de son lit. Elle détaille le physique de Laurent. Ses bras et ses pectoraux puissants, ses abdominaux détaillés, ses cuisses musclées. Elle monte sur le lit et sans un mot, pose la main à l’intérieur de la cuisse de son père. Elle caresse lentement la zone comprise entre le genou et le sous-vêtement. La déformation sous le tissu s’accentue peu à peu. Elle a envie d’y glisser sa main, mais elle a un doute. Peut-elle se le permettre ? Elle se risque à poser une question :
— Je peux poursuivre sous le tissu, Monsieur ? — Tu sais ce que tu dois faire, tu en as pris connaissance plus tôt dans la journée en consultant mes archives personnelles.

Lentement, sa main se glisse sous le tissu. Pour la première fois, elle entre en contact avec la virilité paternelle. Elle est surprise de constater qu’il n’est pas encore complètement en érection alors que son boxer semble déjà sur le point de se déchirer. Sa main est compressée sous le tissu, elle parcourt de ses doigts fins cette hampe qui lui parait démesurée.
Après quelques instants de cette chaleureuse découverte, elle se fait plus entreprenante. Elle se décide à libérer le sexe de sa compression. Elle découvre alors le pieu de chair pour la première fois. Il est impressionnant. Alors qu’il ne semble pas totalement en érection, il dépasse déjà aisément les 20 centimètres, mais ce qui retient le plus l’attention de Léa, c’est l’épaisseur de l’engin qui se présente devant elle. Elle le prend en main. Il est lourd, large. Ses doigts ne peuvent en faire le tour. Alors qu’elle tient la queue en main, elle constate que deux bons centimètres seraient encore nécessaires pour permettre à son pouce et à son majeur de se toucher. Elle se souvient à ce moment du sexe de son premier et unique amant. Ses doigts en faisaient le tour.
Alors qu’elle commence lentement à le branler, le vit gagne encore en longueur et en épaisseur. Il est totalement raide désormais. Elle sent la chaleur de son père entre ses doigts. Elle meurt d’envie de le lécher, mais elle est prise d’inquiétude. Sera-t-elle à la hauteur de ses attentes ? Elle se positionne à quatre pattes à côté de son père, dans la même position que sa mère et dépose un timide baiser sur le gland, elle sort ensuite la langue pour le lécher. Elle se concentre sur l’extrémité de la queue avant de lécher lentement le mat sur sa longueur, descendant jusqu’aux couilles de Laurent. Elles sont grosses et totalement débarrassées de poils. Elle ne peut s’empêcher de les toucher tandis que sa bouche remonte vers le gland.
Elle ouvre la bouche et y fait pénétrer le gland. Elle doit écarter sa mâchoire à l’extrême pour y faire passer le mandrin, elle tente de l’enfoncer au plus profond de sa gorge, mais elle se rend compte qu’une quinzaine de centimètres lui échappent encore. Elle a déjà l’impression d’étouffer et elle n’en pas pris la moitié en bouche. Une abondante quantité de salive s’échappe de ses lèvres.
Léa décide de se concentrer sur le bout du gland. Elle alterne caresses de la langue et aspirations tout en branlant lentement le pieu dressé. C’est à ce moment qu’elle sent la main de Laurent passer sous son string. Dès le premier contact avec sa chatte, elle sent monter le plaisir. Un orgasme s’abat sur elle avec violence lorsqu’il effleure pour la première fois son clitoris. Elle doit interrompre quelques instants sa fellation pour se remettre de la vague de plaisir qui la submerge. Reconnaissante de cet orgasme, elle reprend son office, redoublant d’efforts pour faire plaisir à son père. Elle le suce avec passion en accélérant la vitesse de la masturbation.
C’est le moment que son père choisit pour insérer deux doigts dans son fourreau. Après quelques mouvements, Léa sent à nouveau le plaisir monter. Elle veut que son père jouisse à son tour. Elle se concentre sur sa tâche et tente de ne pas trop accorder attention à cette intrusion. Elle suce de toutes ses forces, mais son père la fouille rapidement, profondément. Elle ne peut résister. Cette fois, l’orgasme lui arrache un cri étouffé par la queue qui remplit sa cavité buccale.
Léa s’acharne, elle aspire le gland de toutes ses forces, pour la première fois, elle perçoit le plaisir de son père et prend conscience du bien qu’elle lui procure. Cela lui donne plus de courage. Elle se force, se fait mal à la mâchoire pour aller plus loin, aspirer plus fort. La respiration de Laurent s’accélère, elle sent sa queue se gonfler encore. Elle sent le pieu de son père vibrer dans sa main et dans sa bouche.
C’est alors qu’elle sent le doigt de son père presser l’entrée de son petit trou. Prise dans l’excitation du moment, elle avait oublié que son père avait également pénétré Rachel par le cul lors de la vidéo. Elle sent le doigt s’enfoncer lentement dans son œillet, elle retrouve le plaisir de cette sensation découverte plus tôt dans la journée. Son père accélère le mouvement. Elle aussi. Elle veut qu’il jouisse avant elle. Elle se concentre sur sa pipe. Elle le branle avec frénésie, elle le pompe comme si sa vie en dépendait. Elle voit les abdos de son père se contracter au rythme de sa respiration qui s’accélère, elle l’entend grogner de plaisir, de plus en plus fort tandis que le doigtage anal s’accélère. Léa sent qu’elle est sur le point de se laisser emporter par un nouvel orgasme lorsqu’une giclée de sperme chaud lui remplit la bouche. Elle esquisse un mouvement de recul, mais son père lui retient la tête. Elle ne peut se dégager.
De nombreuses rasades de sperme lui tapissent le fond de la gorge. Elle est obligée d’en avaler une partie. Le reste s’écoule le long du pieu tandis que son anus se contracte autour de la phalange de son père. Elle jouit pour la sixième fois de la journée.
Cet orgasme profond finit de l’achever. Léa pose la tête sur le torse de son père et sombre dans un profond sommeil.
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