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Léa et son père

Chapitre 5

Un réveil inattendu

Inceste
Chapitre 5 : Un réveil inattendu

***

Il est presque midi lorsque Léa émerge de sa nuit ce dimanche. Elle est nue au milieu du lit King size de son père. Elle a l’impression d’avoir dormi un jour entier. Elle se sent bien, légère. Elle profite de ces instants de plénitude, s’étire longuement. Les effluves de sexe, l’odeur de sperme encore présente dans les draps, ce goût dans sa bouche, la chaînette⁠⁠ en or accrochée à la cheville la ramènent à la réalité : Elle n’a pas rêvé ce qui s’est passé la veille.
Léa est affamée. Elle retourne dans sa chambre et enfile rapidement l’une de ses tenues de nuit habituelle composée d’un minishort et d’un petit haut assorti en satin. Elle descend d’un pas léger, pieds nus, et retrouve son père dans la cuisine.
A son arrivée, il la détaille d’un regard perçant et insistant qui la replonge immédiatement dans une profonde incertitude. Comment doit-elle se comporter désormais ? Elle s’approche lentement de son père, se serre dans ses bras sans dire un mot.
Ses premiers mots sont prononcés sur un ton posé d’une fermeté à laquelle elle n’est pas encore habituée :
— Bonjour Léa, as-tu bien dormi ?— Oui..., Monsieur, — Je note que tu n’as pas oublié la totalité des consignes données hier.

Léa se raidit. Elle attend l’explication qui ne tarde pas à venir.
— Tu sens le sexe, tu ne t’es pas lavée avant de me rejoindre.— Non, Monsieur, je suis désolée de cet oubli.— Et qui t’a autorisée à porter ces vêtements ?

Léa rougit, elle ne sait quoi dire. Son père n’attend pas sa réponse pour poursuivre.

— Mets-toi nue immédiatement.

Léa s’exécute rapidement.
— Contrairement à ce que je t’ai demandé, ta chatte n’est pas épilée et tes ongles de main et de pied sont dans un état lamentable. — Pardon Monsieur, je pensais...

Laurent lui coupe la parole avec calme et autorité :
— Je n’ai aucune envie d’entendre tes excuses. Je t’ai édicté les règles hier et tu sais que je déteste me répéter. — Oui, Monsieur, — Mets-toi en position pour recevoir ta punition.

Léa positionne ses bras sur le temps de travail de la cuisine et tend ses fesses vers son père. En quelques instants, elle a quitté la légèreté de son réveil pour un état de stress mêlé d’excitation. Elle sent le regard de son père sur son corps nu, offert. La situation, à elle seule, suffit à la faire mouiller.
Son père se positionne derrière elle, fait lentement glisser ses mains sur ses hanches, le haut de ses cuisses, son fessier. Il effleure de ses doigts la fente déjà détrempée de sa fille et son petit trou serré. Laurent écarte ensuite les fesses de Léa, il souffle sur la rondelle et la vulve de Léa. Elle frissonne. C’est à ce moment qu’il reprend parole.
— Tu as fauté cinq fois. — Oui, Monsieur, — Reconnais-tu tes fautes ? — Oui, Monsieur, — Enumère ces fautes.

Léa égrène lentement les griefs :
— Je ne suis pas lavée, je ne suis pas épilée, mes ongles ne sont pas entretenus, je portais des vêtements que vous ne m’avez pas autorisée à porter et je vous ai fait répéter les consignes, Monsieur. — Ça commence à rentrer. Je vais te punir à cinquante reprises. Tu vas compter chacune d’elles à haute voix. Ensuite tu prendras congé pour te mettre en règle avec mes consignes. Je déposerai une tenue sur ton lit et t’attendrai à 13H30 sur la terrasse pour déjeuner.— Oui, Monsieur.

Sans un mot, Laurent pose le plat de la main sur la chatte luisante de mouille de sa fille, il la masse de grands mouvements avant de lui fesser le sexe. La sensation est plus agréable que douloureuse. Léa commence à compter. Son père lui tapote à rythme lent et régulier la vulve. Elle remue les fesses de plaisir. A la fin de la première dizaine, elle est à point.
Une deuxième série débute, les fessées sont plus appuyées. Un bruit d’humidité résonne à chaque répétition. Léa sent monter le plaisir.
La troisième série est très rapide et plus forte encore, Léa ne peut retenir ses gémissements. Elle en veut encore. Elle est sur le point de jouir. Elle veut jouir. Elle attend avec impatience la quatrième série.
Elle est surprise lorsque Laurent insère deux de ses phalanges sans sommation dans son vagin. Il lui fesse le point G à dix reprises. Léa se raidit.
Elle sent qu’elle va venir lorsque son père débute la dernière série. Les coups sur son point G sont puissants et rapides, elle ne parvient plus à compter à voix haute, elle crie. Au milieu de la série, ses jambes sont prises de tremblements. Son vagin se contracte de manière désordonnée sur les doigts de son père qui poursuit malgré tout l’administration de la sanction.
Alors qu’il s’est retiré d’elle et a quitté la pièce, Léa reste pétrifiée. Elle est encore sous le choc de l’orgasme qui vient de la submerger. Elle se demande quand ses jambes la porteront de nouveau. La tête et les seins collés sur le marbre du plan de travail, elle voit l’heure défiler sur l’horloge du four. Il est 12H30. Elle doit s’activer. Elle veut, cette fois-ci, ne pas décevoir son père.
Lorsqu’elle arrive dans sa salle de bain, elle n’a qu’une envie, se plonger dans un bain chaud et profiter des endorphines qui saturent son corps, mais elle ne peut se le permettre, elle s’épile avec minutie la vulve avant une douche durant laquelle elle se savonne longuement. Elle entreprend ensuite de l’entretien de ses ongles. Choisit un vernis nacré assorti à sa couleur de peau et se brosse les dents avec plus de soin que jamais.
Lorsqu’elle quitte la salle de bain, une serviette serrée au niveau des seins, elle découvre la tenue sélectionnée par son père qui est composée d’un ensemble de sous-vêtements noir de grande marque en dentelle finement ouvragée et d’une petite robe noire également. Fluide et courte, elle est largement décolletée et laisse ses bras et son dos dénudé. Au pied du lit se trouve une magnifique paire de sandales minimaliste à talons aiguille.
Elle se met en tenue. Elle se sent belle. Il est presque 13h30. Après un dernier regard dans le miroir, elle quitte sa chambre pour rejoindre son père qui l’attend sur la terrasse.
La table est recouverte d’un brunch. Fruits et pain frais, viennoiseries, boissons chaudes, jus, fromage... Léa se croirait dans un grand hôtel. Elle se rappelle à cet instant qu’elle n’a presque rien avalé depuis presque 24 heures. Son père l’invite à s’installer et à se servir.
Malgré l’étrangeté de la situation, la conversation est fluide et naturelle. Laurent lui explique que cet après-midi, il doit se rendre dans son ancienne entreprise pour une rencontre avec les investisseurs américains qui l’ont rachetée. Il sera donc absent de la maison jusque 20 heures. Il indique à Léa qu’elle dispose d’un quartier libre jusque 18h, heure à laquelle elle recevra ses consignes par mail. Ils passent le reste du déjeuner à échanger sur des sujets variés jusqu’à ce que son père la quitte pour rejoindre sa réunion.
Il l’embrasse sur le front, comme un père, et part pour sa réunion. Léa met à profit ce temps libre pour prendre des nouvelles de ses amis, traîner sur les réseaux sociaux et lire son livre. Mais rien de tout cela ne parvient réellement à retenir son attention. Elle se demande ce qui l’attend. Le temps semble suspendu...
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