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Léa et son père

Chapitre 7

Lundi

Inceste
Chapitre 7 : Lundi

***

Ce lundi Léa se réveille à 7h30. Son premier cours en Visio est prévu à 9h00. Elle sent son antre endolori par l’écartèlement subi la veille. Elle perçoit une douleur sourde intérieure qui lui remonte jusqu’au nombril. Elle est fatiguée, ses rêves ont été agités.
Hier soir avant de s’endormir elle a tenté de se caresser mais elle avait dû s’interrompre en raison d’une douleur bien plus vive que celle ressentie ce matin. Son subconscient lui, avait continué à travailler. Durant ses rêves elle se faisait prendre dans toutes les positions qu’elle connaissait par ce pieu disproportionné.
Elle se dirige vers la douche, se met nue, elle porte toujours le bijou. Il est lundi, elle est autorisée à ne pas le porter. Elle le peut, mais elle ne le veut pas. Elle veut aller plus loin. Elle veut tester ses limites.
Après une douche rapide elle s’habille d’un jean slim, d’un T-Shirt blanc décolleté et de basket assorties. Un dernier coup d’oeuil au miroir, lui permet de vérifier qu’elle est bien apprêtée mais surtout que la chaînette qu’elle a choisi de conserver à sa cheville est bien mise en évidence. Léa est un peu déçue lorsqu’elle arrive dans la cuisine. Son petit déjeuner est préparé sur la table, accompagné d’un petit mot.
— De retour vers 10h.
Ce petit déjeuner solitaire n’a pas la saveur attendue. Elle avale distraitement ses céréales en regardant les informations. Elle consulte les dernières actualités des réseaux sociaux sur son téléphone portable. 8h55, il est l’heure pour elle de se connecter sur sa première visioconférence de la journée : un cours magistral d’une heure trente sur la biologie moléculaire.
Ainsi qu’elle s’en doutait, le cours ne la passionne pas. Elle tente de le suivre mais ses pensées sont ailleurs. C’est alors qu’elle se souvient du lien vidéo laissé en attente. Le moment semble idéal pour en prendre connaissance. Elle vérifie que le micro et la caméra sont coupées sur le logiciel de visioconférence et lance la vidéo de ses exploits.
Léa se voit entrer dans la chambre de son père, la démarche hésitante liée au manque d’habitude d’être perchée sur de tels talons. Elle monte sur le lit. Elle voit le premier contact timide avec le corps de son père, avec son pieu énorme qui lui remplit la main puis la bouche, elle se voit sucer son père. Elle se voit jouir sous ses caresses, elle s’entend jouir pour la première fois. Elle est excitée. Ses doigts ouvrent rapidement son pantalon et se glissent dans sa culotte, malgré la douleur toujours présente, elle se masturbe. Trois de ses doigts s’enfoncent dans sa chatte ruisselante avec une facilité déconcertante. Elle est plus large que lors de sa dernière séance de masturbation. Elle accélère le mouvement, s’imagine pénétrée du pieu paternel. Elle jouit bruyamment en quelques instants.
Le cours se termine, elle n’en a pas d’autre de prévu avant l’après-midi. Elle se sent mieux mais elle n’est pas encore rassasiée. Elle en veut plus. Elle se décide à se risquer dans la chambre parentale.
Lorsqu’elle entre dans la pièce elle entend le bruit de la douche. Son père a certainement terminé une séance de sport. Elle entre discrètement dans la salle de bains. Laurent est dans l’immense douche italienne totalement vitrée. Il lui tourne le dos. Elle regarde avec insistance son dos et ses fesses musclées. Elle veut le toucher. Elle se déshabille et le rejoint sans un bruit.
Laurent n’a pas la moindre réaction de surprise lorsque les mains de Léa se posent sur ses pectoraux et ses abdos saillants. Elle l’enserre par l’arrière, elle lui masse le torse de haut en bas. A chacun de ses mouvements elle se rapproche de la verge tant désirée. Lorsque sa main entre en contact avec le membre, elle est ravie de constater qu’il est presque totalement en érection.
Encouragée par l’effet qu’elle produit sur son père, Léa s’enhardit. Elle se saisit du sexe encore couvert de savon. Elle le branle lentement tout en poursuivant de son autre main la caresse du torse et des abdos. L’érection est désormais totale. Le pieu est dur, épais, elle sent ses veines gonflées au passage de ses doigts. Elle n’en revient toujours pas d’être parvenue à faire enter un tel morceau en elle. Se souvenant des conseils de la veille, elle délaisse le torse pour poser sa main sous ses couilles. La manœuvre produit un effet immédiat, la respiration de son père s’accélère, il grogne de plaisir. Léa accélère sa masturbation, elle lui caresse les testicules. Les grognements s’amplifient, elle sent le corps se tendre, l’orgasme venir. Elle s’approche de son oreille pour lui dire :
— Pourriez-vous me remplir la bouche de votre sperme, Monsieur ?

Sans prononcer un mot il lui donne son accord d’un hochement de tête. Léa accélère encore sa masturbation, tout en malaxant les couilles de son père. Elle colle ses seins sur son dos, elle le sent vibrer.
C’est à ce moment qu’il se retourne, Léa s’agenouille immédiatement, elle voit son père se branler à quelques centimètres de sa bouche qu’elle tient grande ouverte. La première giclée part, un trait se pose sur ses cheveux et son visage. Son père dirige son membre dans l’orifice mis à disposition. Il l’enfourne et décharge le reste de son foutre dans la bouche de Léa.
Lorsqu’elle sent enfin la source se tarir, elle a la bouche pleine. Elle se redresse et fait constater avec son père le remplissage de sa cavité avant de fermer la bouche pour avaler son jus salé. La sensation lui plait. Elle s’applique ensuite pour récupérer de ses doigts la semence projetée sur son visage pour la replacer dans sa bouche en se léchant goulument les doigts.
Son père la fixe de son regard profond. Il la positionne sous le jet de la douche pour qu’elle puisse se rincer. C’est alors qu’il lui dit :
— Nous sommes lundi, pourquoi portes tu ce bijou ? — Vous m’avez dit que je n’étais pas obligée de le porter mais je le veux Monsieur. — Tu n’as pas cours ? — Ma première Visio est terminée et la suivante ne débute qu’à 14h30 ? — Dans ce cas je te laisse cinq minutes pour te laver et te sécher. Tu iras ensuite te positionner sur mon lit à quatre pattes comme une bonne petite salope.

Le ton employé provoque un frisson dans le dos de Léa. Elle se savonne rapidement, se sèche et prend, nue, la position prescrite. Elle cambre les hanches pour lui signifier sa totale disponibilité.
Il s’approche d’elle. La rejoint sur le lit et prend place derrière elle. Il pose ses mains sur son petit fessier parfaitement rebondi. Il masse les globes de gestes circulaires avec fermeté. Léa remue la croupe. Elle se sent à nouveau totalement inondée.
Son père pose sa langue sur sa chatte, il la fait remonter et glisser le long de sa raie. Elle soupire. Après plusieurs répétitions de cette exquise caresse, elle le sent écarter ses fesses, exposant son petit trou serré. C’est alors qu’il pose sa bouche sur sa rondelle et commence à la lécher. Léa ressent pour la première fois cette sensation, elle prend son pied, sa respiration s’accélère, elle l’accompagne de gémissements sonores. Ses fesses se pressent contre la bouche de son père. Elle veut qu’il lui bouffe le cul. C’est à ce moment qu’il introduit, sans préparation, deux doigts dans son antre humide. Elle se redresse sous l’effet de la surprise. Elle sent la pression sur son point G tandis que son cul est gobé, aspiré, sucé, léché. En quelques minutes elle subit les assauts de l’orgasme tant désiré qui la fait s’effondrer
Allongée sur le lit, elle se sent bien, légère, elle veut profiter de ces moments de plénitude mais Laurent en a décidé autrement. Elle sent sa queue à l’entrée de sa chatte, il la pénètre légèrement et la fait ressortir lentement à plusieurs reprises avant de la présenter à l’entrée de son anus. Léa se raidit, comment pourrait-il faire entrer un tel engin dans son petit cul. La pression se fait plus forte sur son oeuillet, elle le sent se tendre. Léa est contractée. Elle est effrayée. A ce moment son père se redresse et lui demande de se tourner vers lui.
Il s’exprime avec le ton posé qui le caractérise :
— Je me doutais qu’il en serait ainsi. Il a fallu plusieurs mois à ta mère pour vaincre sa peur et me recevoir en sodomie. La première fois que je l’ai faite jouir par cet orifice, elle a connu l’orgasme le plus puissant de sa vie. Veux-tu vivre cette expérience ? — J’ai peur, Monsieur, comment une telle bite pourrait entrer dans mon petit trou si serré? — Ta mère aussi avait peur mais une fois qu’elle a gouté ce plaisir elle n’a eu de cesse de me réclamer de l’enculer.

Ces paroles crues font frémir Lea, partagée entre sa crainte et l’envie de poursuivre la découverte de son corps elle se lance :
— Je suis votre Monsieur, faites de moi ce que bon vous semble, poursuivez mon initiation. — Je vais te chercher de quoi t’habiller. Pendant que tu te prépares je m’occuperai du repas. Je t’expliquerai la suite en déjeunant.
***

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