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Lèche vitrine ; et lèche chatte ; avec ma mère.

Chapitre 1

Inceste
Ce jour là ma mère, Marie Anne, m’avait proposé de l’accompagner en ville pour une après midi de lèche vitrine. En général les fringues ce n’est pas trop mon truc, ni les magasins. Moi c’est plutôt les jeux vidéos, jeu de rôle etc... A 19 ans, je suis un gars très timide. Trop timide dit tout le temps ma mère. Pas un pro de la séduction, ça c’est sûr, et un authentique puceau même.Ma mère insista donc pour que je l’accompagne. Sans doute voulait elle me changer un peu les idées. Et moi je ne savais rien lui refuser. Elle avait une influence terrible sur moi, avec son caractère dominant. Moi qui suis très introverti, en général je n’osais jamais lui dire non.
Nous nous sommes donc rendus dans la principale rue commerçante de notre petite ville, là où ma mère adorait se promener. Il y avait là quelques magasins où elle se rendait régulièrement. A tout juste 50 ans, elle était encore très coquette ma chère maman ! Un peu ronde, certes, mais des belles formes qu’elle savait parfaitement mettre en valeur.
La première boutique dans laquelle nous sommes rentrés était une marque célèbre de prêt à porter . Inutile de dire à quel point ma mère était excitée, car elle adorait les marques de luxe. Elle était comme une folle à l’intérieur, allant de rayon en rayon, inspectant chaque vêtement. Elle se fit une petite pile de robes et chemisettes à essayer.
— Tu restes avec moi pour les essayages ? me demanda t-elle.— Ha bon ?— Oui oui, j’aimerais bien avoir ton avis.— Bon OK, pas de soucis maman.
Nous nous rendîmes donc dans les cabines, et ma mère commença à se déshabiller. J’allais sortir pour la laisser se changer tranquillement, mais elle me retint par le bras.
— Tu peux rester, pas de chichis entre nous, mon chéri !— Heu, comme tu veux maman.— Bien, c’est plus simple.
Comme d’habitude je n’avais donc rien à dire, juste à obéir, et la regarder se déshabiller. Elle se retrouva ainsi en soutien gorge et petite culotte. Je remarquai avec une certaine surprise qu’elle portait ce jour là un soutien gorge trop petit, duquel dépassait son opulente poitrine. Sa culotte, un peu ringarde, était par contre trop grande. Lorsqu’elle se déshabillait, la culotte avait ainsi tendance à se baisser, et ma mère devait la remonter pour ne pas se retrouver toute nue, laissant quand même voir au passage la naissance de son pubis, quelques poils châtain foncés.
Malgré ça, ma mère était parfaitement détendue. Elle enfila sa première robe, et se contempla devant le miroir.
— Cette robe me va vraiment bien. Qu’en penses tu ?— Oui, oui... .— Ça ne me fait pas de trop grosses fesses ?
— Non, ça va.— Bon. Et celle là ? Je vais l’essayer.
Et elle se déshabilla à nouveau.
Nous sommes rentrés ainsi dans plusieurs boutiques, et à chaque fois elle essayait devant moi. Et à chaque fois je pouvais deviner un peu plus de son intimité. Je ne savais pas pourquoi elle faisait ça, mais je n’osais rien dire. Et je regardais.
Puis vint le moment de la journée où nous arrivâmes face au magasin "Angelo Locarno", une marque de lingerie que ma mère semblait adorer...— On va voir ? proposa ma mère gaiement.— Heu, un magasin de lingerie ? Tu es sûre ? répondis je, de plus en plus gêné.— Mais oui, allez, tu n’es pas bien avec moi ?— Heu oui.— Bon, alors un peu d’entrain, que diable !
Nous rentrâmes dans le magasin. Il y avait toutes les grandes marques de luxe, des dentelles et soieries à n’en plus finir. C’était comme une sorte de paradis pour un jeune puceau comme moi, un temple de la féminité, de l’érotisme. Et un enfer aussi, tellement j’étais frustré.Une vendeuse apparut, superbe, vêtue d’une mini jupe, plantée de de hauts talons. Je ne pus m’empêcher d’imaginer quelle petite culotte en dentelle elle portait à ce moment précis, quelle forme, quelle couleur. Et son sexe par dessous.
En plus d’être très belle, la fille était très avenante. Elle proposa à ma mère plusieurs pièces de lingerie très sexy, des petites culottes, des soutien gorge de formes et matières variées.
— C’est joli tout ça ! s’enthousiasmait ma mère. Je vais essayer. Tu me donnera ton avis mon chéri ?— Moi ? Heu oui...
Ma mère me prit par le bras pour se rendre dans les cabines d’essayage. Elle enleva sa jupe, sa chemise, puis lorsque je réalisai qu’elle était en train de dégrafer son soutien gorge pour se déshabiller entièrement, je décidai de sortir.
— Maman, tu m’appelles quand tu es prête ?— Mais non allez reste avec moi. Je suis ta mère, tu ne vas pas me faire croire que tu as honte ?— Non, non, bien sûr.
Devant moi, comme si c’était completement naturel, elle retira alors son soutien gorge, puis fit glisser sa petite culotte le long de ses jambes, l’enleva entièrement et la posa sur la banquette à côté d’elle. Je la regardais avec des yeux ronds, stupéfait. Jamais elle ne m’avait fait ce coup là. Je ne l’avais jamais vue nue. Pourquoi faisait elle ça ? Elle agissait en toute décontraction, exhibant sa nudité, me laissant voir ses seins et ses fesses sans la moindre gêne. Je n’osais pas trop regarder son sexe, mais d’un coup d’oeil furtif je remarquai que sous un triangle de poils châtains, sa vulve était bien lisse, sans doute épilée de près.
Elle enfila alors un petit ensemble en dentelle noire.— Tu aimes ? demanda ma mère en s’exhibant dans le petit ensemble qui au final ne cachait pas grand chose de ses charmes (sa fente était visible sous le triangle en dentelle de la culotte).— Oui c’est très joli.
Elle tourna plusieurs fois sur elle même, se regardant dans le miroir.— Tu préférerais pas cet ensemble rouge, là ?
Elle me montra une petite culotte assez jolie, en soie.— Je ne sais pas, maman.— Il n’y pas trop de froufrous, là, sur les cotés ?— Non...Ca va...— Je vais l’essayer. Après tout on est là pour ça.
Et la voilà qui se déshabille à nouveau. Plusieurs fois elle me fit le coup. Je n’en pouvais plus de la voir à poil, ça jouait sur mes nerfs. D’autant plus que la vendeuse était là, et ma mère se baladait sans problème toute nue devant elle, dans le couloir du salon d’essayage. J’avais honte, mais la vendeuse, elle, n’avait pas l’air gênée... Plusieurs fois elle se permit même des compliments que je trouvais un peu familiers.
— Vous avez de beaux seins, madame. Vos fesses aussi sont superbes.— Merci mademoiselle, répondit ma mère en souriant.
Je supposai que ça se passait toujours de cette façon, dans les salons d’essayage des magasins de lingerie, que les femmes se baladaient toujours à poil, ce qui excita un peu mes fantasmes... D’autant plus que la vendeuse était elle aussi bien sexy. Je l’imaginais facilement faire elle même quelques essayages, histoire de mieux nous montrer quelles jolies pièces elle avait dans son magasin.
Ma mère essaya alors une petite culotte en soie blanche.
— Un peu petite ! dit-elle à la vendeuse. Vous avez pas la taille au dessus ?— Je ne l’ai pas ici, mais je peux aller voir en réserve. Vous n’êtes pas pressée ? C’est dans le magasin d’à côté.— Non pas de soucis, tenez prenez celle là, vous pouvez la ranger.
Ma mère enleva la petite culotte blanche, la tendit à la vendeuse, et s’assit sur la banquette de la cabine d’essayage. La vendeuse tourna les talons et nous l’entendîmes sortir du magasin, nous laissant seuls, ma mère et moi.
Ma mère me regarda en souriant, les jambes écartées. Moi je restais planté là, sans oser bouger. Qu’avait elle en tête ? Pourquoi cette séance d’essayage ? Pourquoi ces jambes écartées ? Ne se rendait elle pas compte que c’était son sexe qu’elle exhibait sous mes yeux ? Ça ne se fait pas, en général, ce genre de choses ! Surtout pas entre une mère et son fils !
— Hé bien, mon chéri, ça va ?— Heu oui...— Viens, ne reste pas debout.
Elle me tira par le bras, me forçant à m’asseoir à côté d’elle.
— Tu as l’air tout bizarre. Ça te gêne de me voir toute nue, au moins ?— Heu non...— Tu es sûr ? Tu peux me dire si tu veux, si ça te fait des choses.— Hein ? Mais non, ça va. Qu’est ce que ça pourrait me faire ?— Je sais pas. Tu es un homme, ça pourrait t’exciter un peu. Ça te plaît pas de voir une femme toute nue ? Je sais que je ne suis que ta mère, mais je te plais un peu quand même, non ?— Oui ... Heu non... Enfin oui, c’est pas ce que je veux dire.— Ha ha ! Allez, ne sois pas gêné ! Il n’y a pas de honte à trouver ça joli !
Elle écarta encore un peu les jambes, pour bien me laisser admirer l’objet de la discussion.
— Dis moi mon chéri, si j’étais pas ta mère, tu aimerais pas me toucher un peu, là, me caresser ?— Hein ? Mais...je sais pas...— Ça te dirait dessayer ?— Que j’essaye ? Mais comment ça ?— Allez, détends toi. C’est qu’une chatte. Viens, tu as le temps avant que la vendeuse ne revienne. Viens me caresser un peu... Fais voir ta main !
Elle attrapa ma main à nouveau, fermement, et la tira vers elle, la posant entre ses jambes.
— Mais maman, tu fais quoi là ?— Hé bien tu vois, J’ai posé ta main sur ma foufoune. C’est pas agréable ? T’aimes pas ça ?— Mais.... Maman, tu es ma mère !— Allez, arrête un peu avec tes tes principes et ta timidité ! Ce que tu peux être coincé quand même !Laisse toi aller ! C’est justement parce que je suis ta mère que tu peux te permettre certaines choses. Il faut te décontracter !
J’étais littéralement scotché, tellement stupéfait que je n’osai retirer ma main. Comme hypnotisé, je regardai ma mère déplacer ma main sur sa vulve, effectuant une légère pression, laissant mes doigts pénétrer entre les lèvres. Je remarquai avec étonnement que c’était chaud et déjà un peu humide... Elle y prenait visiblement du plaisir.
— Hmmm... Alors c’est pas agréable ? Ca te dirait de venir me lécher un peu ?— Te... quoi?— Me lécher ! Lécher ma chatte idiot !— Maman, Tu es folle ?— Folle pourquoi ? Parce que je suis gentille avec toi ? Tu ne te rends pas compte de la chance que tu as ! Tu connais beaucoup de mamans qui proposeraient ça à leurs enfants ?— Mais maman, ça me gêne.— Pourquoi ? Tu ne l’as jamais fait ?— Ben non.— Alors ne fais pas d’histoire, il faut que tu essaye. Mets toi par terre et viens t’occuper de moi.— Mais, et la vendeuse ? Elle va revenir dans pas longtemps.— Hé bien justement il ne faut pas perdre de temps. Dépêche toi, allez !
Agacée par tant de palabres, elle posa la main sur ma tête et me poussa doucement vers le bas, m’incitant à m’agenouiller devant elle. Là, elle prit ma tête à deux mains et la rapprocha de son sexe. Trop impressionné pour résister, je me laissai faire. Je me retrouvai ainsi le visage collé à sa chatte, le nez dans les poils. Elle maintenait fermement mon visage au contact de sa vulve, et elle ne relâcha la pression que lorsqu’elle sentit que j’avais sorti ma langue.

Obéissant à ses injonctions je commençai à la lécher, laissant ma langue s’introduire entre les chaires chaudes et humides de son sexe. Et je dus avouer que c’était plutôt bon !La première chatte de ma vie était donc celle de ma propre mère !Je ne savais absolument pas comment m’y prendre pour lécher une chatte de femme, mais je laissai ma langue explorer l’entrée de la vulve, puis peu à peu s’immiscer à l’intérieur de son vagin, allant chercher au plus profond, comme s’il fallait aller le plus loin possible. C’était chaud et doux.
— Mmmh c’est bon ça, gémit elle. Tu aimes ça aussi ?— Mmmpf...slurp....oui...— Bien, lèche moi le clitoris aussi.
Le clitoris ? J’en avais pas mal entendu parler dans les vidéo porno et sur les forums. En théorie je savais où c’était, comment le stimuler. Mais en pratique c’était moins évident. Pour me faciliter la tâche ma mère écarta les lèvres de sa vulve, me laissant l’accès libre à son petit bouton. Toute cette chaire rosée, c’était très impressionnant. Je recommençai à lécher à l’endroit indiqué.
— Mmmh oui, c’est là. Non un peu plus haut. Oui, là... C’est bon ça ! Vas-y, lèche !
De plus en plus gourmand, je mis du cœur à l’ouvrage, me régalant du suc qui coulait de son sexe, une cyprine blanche au goût salé. Très appliqué, je ne tardais pas à arracher ses premiers gémissements de jouissance à ma mère.
— Haaaaa! oui ! merde, tu es doué mon chéri. C’est délicieux ! Continue !
Maintenant je sentais bien son clitoris sous ma langue, et je léchai de plus belle. J’étais comme affamé, léchant frénétiquement chaque centimètre de ce sexe chaud et moite, dégoulinant de saveurs maintenant sucrées salées. C’était incroyable, délicieux. Jamais je n’avais été aussi heureux qu’à cet endroit, la bouche collée au sexe de ma mère. Le paradis.Je serais resté des heures à cet endroit, à lécher, goûter, aspirer, avaler, ivre du sexe de ma mère, ivre plaisir, d’effluves odorantes.
Mais tout d’un coup une sonnerie se fit entendre. "dring"... C’était la porte du magasin. La vendeuse était de retour.
— Merde, quelle poisse ! Arrête toi ! gémit ma mère, visiblement déçue.
Elle referma les jambes, me forçant à interrompre mon divin festin.Je me redressai rapidement, et ma mère reprit une pose plus décente, jambes croisées. La vendeuse réapparut alors sur le pas de la porte de la cabine d’essayage. Elle avait une petite culotte blanche à la main.
— Voilà le modèle une taille au dessous. Je suis désolée, je n’ai pas été trop longue ? demanda t-elle.— Non pas de soucis, répondit ma mère avec un grand sourire.
La vendeuse nous regarda avec un petit sourire légèrement ironique. Se doutait elle de ce qui s’était passé ? Je devais avoir l’air assez perturbé. Bouleversé même. Ma mère essaya la petite culotte que lui tendit la vendeuse, et elle la trouva fort jolie.
— Bien, elle est charmante, cette petite culotte. Je la prends, lança t-elle d’une voie enjouée. Vous me mettrez aussi ce petit ensemble en dentelle noire, s’il vous plaît. Et ce soutien gorge.— Bien madame.
La vendeuse sortit de la cabine d’essayage avec le tas de sous-vêtements que ma mère venait d’essayer.
Avant de se rhabiller ma mère se pencha vers moi et me murmura à l’oreille :— Hé bien mon petit salop, tu ne perds rien pour attendre ! C’était délicieux ce que tu m’as fait. Tu es doué. Mais tu n’as pas fini ton travail. Attends qu’on rentre à la maison, tu verras ce qu’il en coûte de s’occuper aussi bien de sa maman !
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