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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Lèches amoureuses

Chapitre 1

Hétéro
C’était en vacances; un soir que je me promenais sur la plage tiède et déserte; Au bout d’un bon 1/4 d’heure, je rencontrai une femme d ’environ 26 ou 28 ans qui s’était assise sous la lune, dans une petite robe légère, et qui me regardait approcher depuis un moment. Je suis un peu sauvage et je n’aime pas me sentir observé, aussi, j’avais hâte de la dépasser pour continuer ma promenade nocturne;( non que je n’espérait pas secrètement une rencontre fortuite, mais je savais d’expérience que cela n’arrive jamais...) Or, ce soir là me fit mentir, car la femme’ me tendis rapidement une perche’ pour lui faire la conversation! Ce fut bien sur d’abord les banalités d’usage, mais bien vite, elle m’invita à s’asseoir à côté d’elle et je sentis son parfum qui m’envahi : En écoutant sa voix douce, j’eus soudain envie de la serrer dans mes bras. Elle sembla s’en apercevoir et me regarda un peu effrontément; je me dis tout d’abord que je devais me faire des idées, mais après tout, il est assez rare qu’une fille invite quelqu’un à s’asseoir à coté d’elle sans arrière pensées, et fort de cette prise de conscience, je lui pris la main, et m’approchai doucement pour l’embrasser: elle n’attendait apparemment que cela et nos deux langues se mêlèrent frénétiquement. Nous étions comme électrisés par notre audace reciproque. Sans préambule, elle ouvrit ma braguette et défit ma ceinture pour atteindre mon sexe où le sang battait avec force. Continuant à m’embrasser, elle me masturba un peu maladroitement d’abord, puis ses caresses devinrent plus subtiles. A u comble de l’exitation, j’espérais qu’elle se pencherait sur moi pour me faire une fellation, mais elle n’osait visiblement pas. Je me dis alors qu’elle pouvait avoir les mêmes attentes, et j’entrepris d’ôter sa culotte pour lécher sa vulve. A vrai dire je n’avais jamais fait une chose pareille, et je craignais un peu que l’expérience ne soit rebuttante: mais à ma grande surprise, ses lèvres roses et un peu dégoulinantes n’ étaient pas désagréables à léchotter, et leur discrète odeur âcre avaient même quelque chose d’enivrant qui m’encouragea à être plus fougueux dans mon étrange baisé... Je la léchais bientôt abondamment et tentais parfois de pénétrer son vagin avec ma langue; tantôt je tournais autour de son clitoris, tantôt j’avalai littéralement sa vulve et broutais son pubis Je ne me serais jamais cru si ardent et si comblé moi même par la pratique du cunnilingus... Tout essouflée, c’est elle qui m’arrêta bientôpouri se jetter à son tour sur mon sexe. Elle n’avait pas l’air très à l’aise, mais elle s’appliqua à enserrer mon gland avec ses lèvres rondes et un peu fraîches, et fit de délicates et lentes allées et venues. Je ne savais pas quelle attitude prendre, et je lui carressai les cheveux pendant qu’elle osait enfoncer de plus en plus profondément mon pénis dans sa bouche. On entendait des bruits de succion pas très esthétiques, mais assez exitants. Comme je l’avais fait, elle se montra de plus en plus fougueuse, et je dû bientôt l’arrêter pour ne pas éjaculer dans sa bouche... ’tu veux jouir, me dit-elle?’ -’je vais avoir du mal à me retenir encore longtemps...’ Elle me regarda et sembla réfléchir quelques instants, puis redescendit vers mon sexe bouillant en me disant ’laisse toi allez: tu peux éjaculer si tu veux...’ Je l’arrêtai encore:’ tu sais, je ne sais pas si le goût du sperme est bien agréable...’ Elle continua ce qu’elle avait commencé en me disant soudain: ’éjacule dans ma bouche! je veux que tu le fasses’... Au bout de nouvelles caresses au rythme maintenant effreîné, je sentis l’ orgasme m’envahir progressivement; je balbutiai que j’allais jouir pour lui laisser encore le choix d’éviter la décharge en pleine bouche: ses lèvres continuèrent à sucer mon sexe et je sentis les longs jets chauds se répandre à l’intérieur d’elle. je fus longtemps secoué par les spasmes de l’éjaculation, et comme elle avalait toujours mon gland, elle en eut littérallement plein la bouche; à tel point que je vis couler de ses lèvres un flot de sperme qu’elle ne pouvait contenir! Ma partenaire garda longtemps les yeux fermés tandis qu’elle déglutissait patiemment et sans dégoût mon épaisse semence et achevait sur mon pénis les dernières lèches de toilette. Le baiser quelle me donna ensuite me laissa un petit goût particulier... N’étant pas un surhomme, j’aurais été en mal de continuer à lui faire l’amour, car mon sexe était maintenant devenu lourd et flasque et toute nouvelle performance m’était provisoirement interdite... A dire vrai, je n’en éprouvais même plus l’envie sur le moment, tant mon orgasme fut intense et puissant; je ne me souvenais d’ailleurs pas avoir déjà éjaculé autant et si longtemps. Elle se rendit à l’évidence sans me faire de remarque désobligeante, et nous allâmes à pied chez elle pour prendre un verre ensemble. Après avoir discuté une partie de la soirée, nous nous étreignîment de nouveau et je pus enfin la pénétrer profondément et avec délectation. Nous fîmes l’amour lentement et longtemps,avec une étrange complicité, comme si nous nous étions toujours connus. Je n’aime pas prendre les filles par derrière. J’aime pouvoir les embrasser et les regarder dans les yeux pendant que je les pénètre: j’aime beaucoup quand elles montent sur moi et me donnent du fil à retordre... j’aime les tenir par les hanches pendant qu’elles font rouler leur bassin et soulèvent rythmiquement et lentement leurs fesses avant de s’empaler à nouveau profondément sur mon pénis... J’aime quand elles arrêtent leur danse sensuelle juste avant que mon sexe ne sorte de leurs lèvres chaudes et sonores, j’aime quand elles prolongent cet instant subtil avant de redescendre inexorablement jusqu’à ce que nos pubis se percutent un peu violemment. Ce soir là, cette femme m’offrit tout ce que j’aimais le plus; en retour, je l’ai fait jouir jusqu’à ce qu’elle soit presque tétanisée sous les puissantes vagues de son orgasme féminin, où son vagin enserra puissamment ma verge pendant près d’une minute tandis que sans un geste et le regard flou, je vacillais finalement comme étourdi par le brasier intérieur du plaisir, alors que je laissais couler de mon pénis les lourdes larmes blanchâtres et visqueuses qui affluaient du plus profond de mon ventre vaincu.
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