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Leçon d'humilité

Chapitre 4

Trop c'est trop

Divers
Le bureau ! En fait il s’agit d’une chambre presque normale. Un grand lit central, d’une forme circulaire. Oui ! Rond et d’une singularité qui me surprend. Il tourne lentement sur lui-même. Le plafond aussi est spécial, entièrement réalisé en miroirs. Monsieur et moi ne sommes pas dans la pièce, mais dans une sorte de réduit, un placard, derrière une vitre.
— Nous les voyons, eux non ! Tu vois Sophie, à quoi travaille ta patronne ! Elle a également un joli cul, et il est bien servi, qu’en dis-tu ?— …— Tu as le droit de répondre ici ! Il n’y a pas de punition lors des conversations mondaines. Celle-ci en fait partie. Avance ! Vois un peu comment elle aime ça, dame Yolande.
Il s’efface pour me faire passer devant lui. C’est un drôle de spectacle qui s’offre là en pleine lumière à mes yeux incrédules. Marc est couché sur le lit. Sur lui Yolande. Et quand je dis sur lui ça sous-entend qu’elle est emmanchée par le sexe du gaillard. L’autre type, José et lui comme les deux autres, nus comme des vers. Je devine plus que je ne la vois que sa queue est elle aussi plongée dans un orifice de ma boss. La scène qui tourne lentement ne me permet pas d’apprécier avec exactitude si les deux bites forent le même puits ou si elles occupent chacune une mine différente.
Monsieur est assez proche pour que je sente son souffle sur mon dos et ma nuque. Le spectacle est époustouflant et je dois reconnaitre qu’il me met l’au à la bouche… la mouille au bord des lèvres. Rien ne perturbe le trio et je réalise également que le son ne nous parvient pas. Monsieur se frotte à mon fessier et je ne tente pas de le repousser, trop prise par ce qui se passe de l’autre côté de la vitre.
— Ils ne nous voient pas ?— Non ! La glace est sans tain. Le désavantage de cette installation, c’est l’absence de son. Dommage ! Tu apprécies ?— … et dire que je pensais vraiment qu’elle était venue pour travailler. — Je la sais plus ou moins amoureuse de José, mais lui a déjà une adorable idiote comme femme. Et il ne la quittera jamais, même pas pour ta cochonne d’amie. Elle vient ici régulièrement pour ce genre de jeux de mains, de jeux de vilains aussi.— Je n’aurais jamais cru ça d’elle. Elle cache bien son jeu.— Ça ne te laisse pas indifférente, on dirait. Je m’en suis lassé depuis longtemps. Je préfère que ce soit… plus « vache ».— …
Il a une main qui me fouille ; la seconde m’appuyant sur la nuque pour me faire me courber un peu. Bien qu’il prétende s’être lassé de ce genre de manœuvre, une partie de lui dément formellement cette assertion. Il bande correctement, puisque je sens contre mes fesses son cierge enfiévré. Il ne cherche pas l’intromission à laquelle j’aspire devant ce bouquet changeant, ce ramonage de, ou des cheminées de Yolande. J’imagine qu’elle doit râler d’être ainsi limée. Et par extension j’ai l’impression que toutes les sensations qu’elle peut avoir, mon corps me les fait ressentir. Je ne suis plus qu’un grand brasier, une énorme envie.
Monsieur me chuchote à l’oreille quelque chose qui me fait frémir, me donne une chair de poule incommensurable.
— Tu vas devoir compter… tu te souviens ? Une claque pour chacune de tes erreurs. Tu saurais dire à combien tu es condamnée ?— Non… Monsieur.— En tout cas, tu apprends très vite, et ça… ça ma fille ça me plait. Serre les dents !

À peine sa phrase est-elle dite que je reçois une formidable tape sur la fesse gauche. Heureusement qu’il vient de m’avertir, sinon j’aurais vraiment beuglé. Je pince mes lèvres et rentre ma tête dans mon cou. Je murmure.
— Un !
Quand va-t-elle arriver la suivante ? Pas de bien longue attente. Tout au plus quelques secondes s’écoulent avant que la patte largement ouverte vienne s’aplatir sur l’autre partie de mon cul.
— Deux !
Puis les chiffres s’égrènent au rythme de la fessée qu’il me distille avec une régularité de métronome.
— Cinq !
Une autre baffe avant qu’un long espace ne me surprenne. J’en ai donc subi six ! Je sens que c’est chaud. Pas vraiment le temps d’apprécier, que la main vengeresse, vient à la rencontre de mon sexe.
— Tu me fais bougrement bander. Branle moi ! Je vais te prendre aussi, c’est ma manière de te remercier pour ce moment particulièrement délicieux. Ensuite, tu iras présenter ta chatte remplie de mon foutre à la bouche gourmande de ton amie.— … Monsieur…
Impossible d’articuler un mot supplémentaire. Il vient de plonger sa queue en moi et me maintient par les hanches. De plus, sidérée par ce qu’il vient de m’assener, je ne réagis pas du tout. Je ne peux pas faire ça ! Et cependant, je le laisse me baiser avec une sorte de rage aux tripes. Il m’emporte dans un orgasme sans nom. Un ouragan déclenché autant par son labourage que par ses paroles. Ça ne dure évidemment pas une plombe. Lui est motivé sans doute par l’image qu’il se projette dans sa tête. Et il éjacule vraiment au fond de mon vagin en me tapotant sur le cul.
— Ah ! Salope ! Tu es… trop bonne. Maintenant, viens, viens vite.
Il me tire rapidement par le bras et au fond du poste d’observation que nous occupons, il se trouve un accès direct sur la pièce où le trio est en chantier. Je suis propulsée dans la piaule alors que personne ne semble s’en étonner. Pas même Yolande, mais la position qu’elle occupe ne lui offre que peu de latitude pour bouger. Elle a changé de posture. José est sous elle, à proximité du lit tournant, je peux tout à loisir voir qu’elle est sodomisée par celui-ci. Marc quant à lui la ramone par le passage « normal ». Ça permet l’accessibilité à… sa bouche.
Derrière moi Monsieur persiste dans son idée.
— Monte et offre mon don à ton amie !— …
Une hésitation, à peine une fraction de seconde et me voici à croupi au-dessus des deux visages. Ma chatte descend sur la figure d’une Yolande totalement incapable de dire un mot. Le contact est soudain et par reflexe, elle me lèche, comme si tout devenait la norme. J’entends dans le flou qui m’entoure encore la voix de Monsieur. Est-ce qu’il vient de me parler ? Je n’en sais rien. Mais je sens également les mains de l’enculeur qui écartent les ailes de ma chatte. Je saisis d’un coup ! José sait ! Il doit voir la colle blanche qui suinte de mon vagin. Ouvrir mon sexe, c’est aider la coulée à dégouliner dans le bec de celle à qui elle est destinée.
Ce qui suit demeure confus dans mon esprit. La seule chose dont je suis bien certaine, c’est que nous nous gougnottons sous les regards des trois messieurs. Ai-je fait l’amour avec tous les trois hommes ? Ensemble non ! Séparément peut-être. Tous, nous sommes surexcités. La situation vire à l’orgie. Mon cerveau a une mémoire sélective ou bien me préserve-t-il en omettant de me faire remonter toutes les scènes de cette fin de soirée ? Nous sommes rentrées chez Yolande, bougrement fatiguées, émues également. J’ai donc fini la matinée sur son canapé, malgré son insistance à me prêter la moitié de sa couche.
Reste la gêne, le malaise au lever. Oui ! Ce qui est arrivé ne peut plus être effacé. Laquelle de nous deux parait la plus ennuyée ? Elle ? Moi ? Cette question nous turlupine autant l’une que l’autre. J’ai honte ! Ça ne tue pas puisque nous respirons un air similaire. Pas un mot lors du trajet de chez elle à mon domicile. Seules les bribes de ce qui est arrivé s’accrochent en lambeaux du voile déchiré de notre amitié compromise. Les histoires de cul ne font pas bon ménage avec les bonnes relations. Il n’en demeure pas moins vrai que Monsieur me manque. Chez moi, dans la solitude de ma maison, c’est plus flagrant.
Les jours au travail sont difficiles. Juste le temps que nous nous coordonnions pour nous croiser le moins souvent possible, Yolande et moi. Je me sens si coupable et pourtant, je n’ai nul regret. Pas non plus de remords. C’est ainsi que Monsieur refait surface dans mon existence. Il passe carrément au bureau où je suis seule. Rendez-vous est pris pour qu’il me visite chez moi, hors de ce contexte professionnel. Pas question de nous laisser entrainer sur notre lieu de travail à une liaison complexe. Depuis donc ce soir-là… je suis son élève.
Oui ! J’apprends toutes les ficelles d’une soumission loyale envers lui. Ce qu’il m’enseigne, est-ce que c’est particulier et en fonction de ses envies personnelles ? Ou des généralités ? L’interdiction de croiser les jambes, je l’ai lue sur la toile. Pour d’autres détails, c’est moins évident. Est-ce que ça me plait vraiment d’être sous son influence ? Parfois non, mais la plupart du temps c’est un fait acquis. Et je sens parfaitement que mon petit cœur bat pour ce type. Le « Monsieur » est quasi normal dans ma bouche. Baisser les yeux aussi tout comme m’assoir le dos bien droit, sans plus jamais m’adosser au dossier des sièges.
Le retrait de tous mes sous-vêtements est une norme et je n’ai nulle intention de revenir sur ce point. J’ose même imaginer que si Monsieur me quitte, je ne reviendrai pas sur ce détail. Il me reste beaucoup à apprendre bien sûr. Je me prête à ce qui depuis des jours et des nuits n’est plus vraiment un jeu ! Non ! Un art de vivre qui me convient. Un jour… peut-être que si je suis bien sage, obéissante, Monsieur me gardera-t-il près de lui pour une vie commune ? Il n’en parle pas. Ce n’est pas mon rôle de lui demander, mais je veux y croire. Est-ce que c’est cela que les autres appellent « l’amour » ?
Il est là, ce soir avec ses exigences. La leçon nouvelle ne m’offusque pas plus que toutes les précédentes. Le collier, la « dominante » sont toujours en place et ornent ma main et mon cou de leur éclat si particulier. Notre sortie, celle qu’il a prévu doit me faire faire mes premières armes en matière d’exhibition. Mot bien abstrait encore pour ma cervelle d’oiseau. Il a apporté, bien plié dans un sac, les accessoires indispensables à cette virée qu’il veut nocturne. Une jupe si courte que mon pubis n’est que partiellement voilé. Un corsage résolument transparent, une paire de hauts talons vertigineuse.
Les fringues ne sont pas d’une couleur trop violente. Seule la longueur va attirer les quinquets, je ne peux en douter. Absolument pas dérangée par cette idée d’être la cible de regards impudiques, je me sens même plutôt excitée. La première surprise, le mode d’agrafage de la jupe, du velcro qui permet une ouverture ou un retrait ultra simple du tissu. Puis un autre accessoire au fond du sachet. Une fine lanière de cuir qui irait bien à un animal, une longue laisse terminée par un mousqueton. Je percute immédiatement, pas besoin d’être devin pour connaitre l’endroit où se fixe ce lien. Autres babioles extraites avec le reste, une paire de menottes et un loup !
Bien ! Je suis harnachée selon les vœux de Monsieur, la nuit est tombée sans bruit sur le paysage. Assise à côté du chauffeur, nous allons je ne sais où. Je ne sors plus de mes pensées. Cet homme, il est tout pour moi. Je ne peux plus m’en passer et quoi qu’il veuille, je lui donne. Alors ? Il va me promener telle une petite chienne ? Ça lui fait plaisir ? Soit, j’en suis heureuse. Ce que j’attends comme récompense de tout ceci. Comme on donne un bonbon à son animal, je n’espère moi qu’un baiser. Un vrai. Nous ne nous sommes lui et moi, jamais embrassés. Nous avons baisé, enfin il m’a baisé des dizaines de fois, pas toutes tendrement. Mais nos bouches ne se connaissent pas.
C’est mon Graal ! Un baiser, une pelle, une galoche de Monsieur. Je me dis que c’est ce à quoi j’aspire le plus au monde. D’un autre côté, il m’arrive aussi de songer qu’une embrassade de ce genre sera peut-être la fin de cette période de bien-être. Comment dire ? J’ai la conviction que si ça arrive, que si nous nous embrassons amoureusement sur la bouche, deux options vont s’ouvrir à nous. Nous aimer passionnément est l’une d’elles. La suivante me fait pencher pour le risque de faire voler en mille morceaux notre entente charnelle. Mon besoin d’une sexualité inédite se nourrit de ce manque d’un baiser vrai, réel, immensément profond.
Mon imagination débordante est d’un coup stoppée nette par l’arrêt du véhicule. Où sommes-nous ? Mes rêveries ne m’ont pas permis de suivre le chemin. Un parking en terre battue, un sentier qui s’enfonce dans la verdure sombre à cette heure de la soirée, un lieu sinistre en fait.
— Viens !
Il sort de l’habitacle et m’ouvre la portière. Sa main agrippe la mienne, me communiquant une certaine chaleur. Il ne fait pas froid, c’est seulement mon cerveau avec son histoire de baiser qui réagit mal. Debout dans cette nuit qui nous entoure, un geste simple et me voici arrimée à ce filin dont il tient l’extrémité.
— Tends-moi tes poignets !— …
Mes deux bras montent à l’horizontale, face à lui. Les mâchoires des menottes se referment sur mes avant-bras.
— Pour le bandeau, il sera temps tout à l’heure de te le poser. Le chemin n’est pas très… égal. Mieux vaut que tu sois en capacité d’éviter les dangers.— …
Rien d’autre que la traction sur la lanière de cuir et je marche derrière Monsieur, séparée par l’exacte distance de ce qui relie mon cou à sa main. C’est vrai que la voie n’est guère praticable, et plus encore les pieds équipés d’échasses imposantes. Une grande trouée sans arbre, vraisemblablement tune clairière ou un feu brule. De loin tout autour des flammes, des silhouettes, et mes oreilles perçoivent des notes de musique. C’est donc là le lieu de notre rendez-vous nocturne ?
— Attends ! Le loup… et ne crains rien ! Je gère tout, d’accord ?— Oui, Monsieur !— Ceux qui vont te monter auront tous un préservatif, sauf pour les fellations ! Tu as bien compris ?— Oui… Monsieur.— Pas d’objection à les servir, quel qu’en soit le nombre ?—… non, non, Monsieur.— Bien alors la fête va commencer. Tu dois faire l’amour comme s’il s’agissait de moi. Tu ne sauras ni le nombre ni qui ils sont. Compris ?— Oui… Monsieur.
Et la légère secousse sur la laisse me demande donc de reprendre la marche. Les bruits sont plus proches et je sens aussi l’odeur de fumée, la chaleur de ce feu de camp. Me voilà au pied du mur. La farandole me happe et je suis entrainée dans une sorte de danse de saint gui. Ça tourne de partout, des mains me frôlent, s’aventurent sur mon corps, partent pour laisser la place à d’autres, toutes aussi attirées que les précédentes. Combien sont-elles à flirter avec les seins, à toucher mes fesses, à s’insinuer dans la raie de mon cul ? Impossible de le dire. Je suis emportée par une nuée de doigts qui me tripotent tous les endroits accessibles.
Lequel à l’idée de pincer le tissu de ma jupe ? Celui-là offre aux autres ma semi-nudité en arrachant sans effort le lé minuscule qui me couvre. Mon corsage aussi subit rapidement un retrait avant que mes seins ne soient tâtés, léchés, suçotés et parfois mordillés. C’est de la folie. Coincée dans des bras inconnus, soulevée du sol, combien sont-ils à me maintenir ainsi, jambes écartées, alors que d’autres insistent sur ma poitrine. Mon sexe est visité, pas spécialement d’une manière bien douce. Lorsque mes jambes sont redressées, reposées sur des épaules dont je ne sais rien, c’est bien une bouche qui se décline dans un baiser vaginal puissant.
C’est le bonheur, c’est la joie, la liesse qui s’emparent de ma cour tout entière. Pour moi, la peur cède du terrain à ce qui gronde au tréfonds de mon ventre. Ces attouchements multiples, invisibles et si nombreux me portent aux nues. Je suis une femme qui réclame de la bite, une salope qui attend, la ou les saillies. La première queue qui s’appuie sur mes lèvres, je la gobe avec un certain plaisir. Elle me permet de sortir de mon corps, de ne plus penser à la situation. Je suis une folle prise par une, deux, dix, vingt bites, puis le chiffre n’est plus à compter. Ils se succèdent sur moi avec une frénésie qui n’a d’égale que mon inertie.
Pas facile de crier la bouche pleine, la chatte défoncée, les seins étirés, je ne tente pas de raisonner les participants de cette foire d’empoigne où je suis la cavalière solitaire. Il arrive tout de même un moment où l’un d’entre eux me crache dans la gorge. Après celui-là, le mot se passe-t-il que j’assure la finition ? Ils reviennent en masse pour me désaltérer de leur semence. Ça me coule sur le menton et les bras qui me gardent à la bonne hauteur se renouvellent. Je suis baisée, je suis repassée, une vraie pute qui s’offre pour le plaisir d’un seul, à des dizaines…
Le sablier laisse couler le temps. Allongée sur une couverture posée sur une herbe rase, les dernières braises fument encore. Monsieur me retire mon bandeau. Il est frais, les fringues bien mises, et me sourit.
— Tu as été… merveilleuse. Regarde !
Il me montre du doigt un récipient qui à quelques pas de l’endroit où je suis alitée déborde de trucs indéfinissables.
— Qu’est-ce que c’est que ça, Monsieur ?— La preuve que tu es bonne à baiser et que de mon côté, j’ai respecté mes engagements.— … ?— Vas voir… allons lève-toi ! Nous devons rentrer.
Ma remise à la verticale n’est pas chose aisée. Mes jambes ont bien du mal à me supporter. Je suis fatiguée. Mais il veut absolument que je voie ce qui m’intrigue tellement. Un seau… et des dizaines de capotes. Je lève les yeux vers lui, incrédule.
— Tu vois ! Tous ont suivi mes instructions. Pas une seule goutte de sperme ailleurs que dans ta bouche. Je suis satisfait de toi… tu as mérité ta récompense.
Il approche sa bouche de la mienne. Le BAISER… je sais, je viens de le décider, c’est le seul, l’unique que nous échangerons. Il n’y en aura plus d’autres entre lui et moi. Non…Je suis désormais libre de toute attache. Malgré ses menottes et ses ordres, je ne lui donnerai plus rien. La pelle à peine achevée, il sent, mais un peu tard que le ton n’est plus à l’amour.
— Ramenez-moi, chez moi ! Nos routes vont se séparer. Je suis maintenant en mesure de faire seule ce que vous venez de me faire faire. Ce baiser que nous venons d’échanger… c’est le prix de ma liberté… Merci de toutes ces découvertes, mais je suis désolée… je ne vous aime PLUS !
Fin !
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