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Leçons de conduite

Chapitre 2

Les bases de la conduite

Inceste
Le lendemain matin, après une nuit agitée par quelques rêves érotiques dont ma sœur était l’héroïne (et autant de branlettes salvatrices), je descendis prendre mon petit déjeuner avec l’air féroce de l’animal sauvage qu’il ne faut pas embêter avant qu’il ne prenne son café. Olivia était déjà là et me gratifia d’un regard plein d’amour en m’apportant mon mug. Si elle avait su le contenu de mes derniers rêves son attitude aurait sans doute été toute autre.
— Bonjour mon cher frère. Prêt pour la première leçon de conduite ?— Humm, oui on peut commencer aujourd’hui. Par contre, il faudra qu’on trouve un coin paumé en campagne parce que ce n’est pas très légal. Est-ce que tu as déjà passé ton code ?— Oui, je l’ai passé il y a trois semaines. Répondit-elle fièrement. J’ai deux ans pour passer l’examen pratique. Même pour une débutante comme moi, ça devrait le faire.— A mon avis tu l’auras du premier coup. Répondis-je avec un clin d’œil. Aucun examinateur ne peut résister à une fille aussi mignonne que toi. Même si tu fais une erreur, ton charme irrésistible fera la différence.— Oh vraiment ? Et si je tombe sur une examinatrice, espèce de petit macho ?
La phrase semblait agressive, mais l’immense sourire sur son visage racontait une autre histoire.
— ça n’est pas forcément un problème. En tout cas, rien que ne peut être solutionné par un peu de sexe lesbien sur la banquette arrière. Répondis-je sans me démonter.
Le torchon m’atteignit en pleine face sans que je ne puisse rien faire pour l’éviter. Nous partîmes tous les deux dans un énorme fou rire puis commençâmes à étudier nos options tout en prenant notre petit-déjeuner.
— Il y a une usine désaffectée au nord. C’est un excellent coin pour se familiariser avec les voitures avant d’oser prendre la route.— Ah oui, je connais cet endroit. C’est là où beaucoup de jeunes se rendent en voiture la nuit tombée pour s’embrasser. Répondit-elle en me prenant de court.— Oui, c’est bien ça. Enfin, c’est ce que j’ai entendu dire…— Si tu n’en est pas sûr, ça fait une bonne raison de plus d’aller faire du repérage. Pour une prochaine occasion bien sûr. Me répondit-t-elle en sirotant son café avec un sourire en coin.
Je rougis de nouveau tandis qu’elle me faisait un clin d’œil avant de m’annoncer :
— Bon, je vais me changer. Je ne veux pas nous mettre en retard. M’annonça-t-elle tout en se dirigeant à l’étage.
Quand elle redescendit vingt minutes plus tard, vêtue d’une robe blanche qu’elle avait acheté la veille, mon cœur s’accéléra d’un coup. Sa robe était très sexy, décolletée au niveau de la poitrine et s’arrêtant juste au-dessus des genoux. Ses longues jambes nues étaient rehaussées par des talons qui lui donnaient une silhouette galbée et très féminine. Elle descendit les marches comme au ralenti pour que je puisse profiter de chaque instant. Dans mon esprit pervers, une seule question tournait en boucle : portait-elle les sous-vêtements sexy qu’elle avait achetés hier ?
— Wow. Fut le seul mot que je fus capable d’articuler.
Visiblement flattée par l’effet qu’elle me faisait, Olivia joua les pin-up et commença à battre des cils tout en me fixant d’un air aguicheur.
— Bonjour monsieur l’instructeur, il faudra être très patient avec moi car je suis une débutante. Dit-elle avec une voix exagérément aiguë tout en prenant une pose lascive qui, j’en avais parfaitement conscience, faisait ressortir ses seins vers l’avant.— Je ne devrait pas vous dire ça mais, même si vous détruisez la voiture, je pense que je vous donnerai quand même le permis. Répondis-je sur le ton du jeu mais avec une franchise totale dans le fond.
J’allais ensuite préparer la voiture. A vrai dire, je cherchais n’importe qu’elle excuse pour m’éloigner de ma sœur. Pour me distraire de mes pensées perverses qui me ramenaient toujours à son corps. Quels sous-vêtement avait-elle choisi ? En portait-elle seulement ? Oh mon dieu ! Comment allais-je survivre à ces prochaines heures en tête à tête ?
Le début du voyage jusqu’à l’usine désaffectée fût tranquille même si j’avais beaucoup de mal à garder les yeux sur la route et non pas sur ma passagère. Puis, sans prévenir, Olivia plaça sa main sur la mienne tandis que je passais les vitesses, comme nous l’avions fait la veille. La fin du trajet fut beaucoup plus erratique mais nous arrivâmes quand même à bon port.
A notre arrivé, il n’y avait que deux voitures éparpillées sur le site, chacune laissant gentiment beaucoup de place aux autres. Les deux autres conducteurs semblaient aussi débutants que ma sœur à en juger aux freinages violents et aux trajectoires incertaines que j’observais depuis mon habitacle.
— Trouvons nous un coin tranquille.— Bonne idée.
Nous trouvâmes rapidement l’endroit parfait. A l’une des extrémités du site, sur une longue langue de béton pas trop amochée et près des herbes hautes qui envahissaient le reste du paysage. Olivia se pencha alors pour remplacer ses talons par des ballerines, confirmant qu’elle ne portait pas de soutien-gorge…
Nous sortîmes tous les deux de la voiture pour en faire le tour et changer de place. Lorsque je croisais Olivia au niveau du coffre elle m’attrapa par les épaules et posa un baiser sur ma joue. C’était très chaste mais assez inhabituel. Devant mon regard étonné elle me dit :
— Je veux juste que tu saches que je suis très reconnaissante de ce que tu fais pour moi.
Je rejoignis la place passager un sourire béat aux lèvres, gardant en mémoire le délicieux contact de ses lèvres sur ma joue et de ses seins contre ma poitrine.
Les premières tentatives furent compliquées. Olivia avait beaucoup de mal à trouver le bon dosage entre l’embrayage et l’accélération. Ma pauvre Clio avançait par petit sauts de grenouille, calant très régulièrement et mettant nos nuques à rude épreuve. Après une dizaine d’essais infructueux, Olivia commença à perdre patience.
— Grrrr ! Je n’y arriverai jamais ! Se lamenta-t-elle, la tête appuyée sur le volant.— Mais si. On passe tous par là. C’est juste une question d’habitude. Attends, j’ai une idée.
Nous sortîmes tous les deux de l’habitacle et je fis une nouvelle fois le tour de la voiture jusqu’à la place conducteur. Je reculais au maximum le siège puis je m’installais et tapotais l’espace libre entre mes jambes en disant :
— OK, on va faire un essai pour te donner de la confiance. Allez vient t’assoir.— Comment ça ? Demanda-t-elle avec un regard dubitatif.— Tu vas simplement t’occuper du volant et de l’accélérateur et moi je vais gérer l’embrayage.
Sans un mot, elle se retourna et, resserrant sa robe autour de ses cuisses, elle entra les fesses les premières dans la voiture. En plein jour, c’était comme si sa robe blanche et fine n’existait pas. J’aperçus son tanga par transparence que je reconnus aussitôt. C’était un des deux qu’elle avait acheté la veille. En dentelle blanche et très échancré, il s’insérait entre les deux lobes de ses fesses d’une manière très érotique. Comme au ralenti, elle s’assit sur mes cuisses dans un contact grisant, puis, elle fit coulisser ses jambes au-dessus des miennes pour venir se positionner face au volant dans un frottement stimulant.
Je regrettais immédiatement de ne porter qu’un petit short en coton qui ne pouvait pas cacher grand-chose de mes réactions. Et réaction il y eu lorsqu’elle dandina des fesses pour s’installer plus confortablement. Ma bite, déjà à moitié réveillée, se retrouva coincée entre les fesses d’Olivia. Mon dieu, qu’elle était chaude en bas ! Si je pouvais sentir sa chaleur avec autant de facilité, elle devait forcément percevoir les pulsations qui agitaient mon sexe. Si c’est le cas, elle n’en fit aucune mention, entièrement concentrée sur le volant.
Ma main gauche, qui n’avait rien à faire, se posa délicatement sur sa taille. Mes doigts reposaient sur le tissu délicat de sa robe tandis que mon pouce était accroché comme une pince à sa peau nue, là où sa robe était échancrée dans le dos. J’appuyais alors mon menton sur son épaule, soit disant pour mieux voir la route, mais ce qui m’intéressait en réalité était le prodigieux décolleté qui s’offrait ainsi à mon regard avide. Mon sexe grossit encore d’un cran à la vue de ses deux magnifiques lobes de chair en contrebas.
— Bon, je vais commencer à embrayer. Accélère tout doucement, comme pour accompagner mon mouvement dans le sens inverse… Doucement. Oui, c’est ça.
Je levais doucement le pied et nous nous mimes doucement en mouvement. Quand nous primes un peu de vitesse, nous renouvelâmes l’opération pour passer la seconde en douceur. Dans cette configuration, Olivia avait plus confiance en elle et apprenait vite. Nous passâmes même la troisième puis ralentir afin de repasser les vitesses dans le sens inverse avant de nous arrêter. Ma sœur était aux anges. Elle repoussa sa tête en arrière, s’appuyant sur mon épaule, et m’embrassa une nouvelle fois
— Tu es le meilleur professeur de tous les temps. Tu mérites une récompense.
Quelle meilleure récompense aurais-je pu espérer que d’avoir une charmante jeune femme entre les bras ? De sentir la chaleur de son corps contre le mien et de respirer son parfum enivrant ? De plus en plus grisé, je l’embrassais à mon tour juste au-dessous de l’oreille.
— Je n’ai pas de mérite, tu es la meilleure élève.
Nous restâmes un petit moment l’un contre l’autre en train de rigoler bêtement. Aucun de nous deux ne voulait l’admettre mais nous avions juste besoin de profiter de ce contact si plaisant. Voyant l’heure défiler, je finis par reprendre un peu de sérieux :
— Tu veux essayer toute seule cette fois-ci ?— Euh, je préfèrerais refaire un essai tous les deux, si ça ne te dérange pas. Répondit-elle en se tortillant à nouveau sur le siège, faisant virevolter ma bite de plus en plus dure de droite à gauche.
Évidemment je n’avais aucune objection. Nous redémarrâmes rapidement et reprîmes les exercices. Olivia s’en tirait déjà beaucoup mieux qu’au premier essais. Nous passâmes donc rapidement à l’exercice suivant : la marche arrière. Pour se faire, ma sœur devait regarder en arrière par-dessus son épaule, ce qui me donna amplement le temps d’observer la façon dont ses seins tentaient de s’échapper de sa robe quand elle balançait son corps sur le côté.
Cette vision me motiva encore plus. Ma main gauche aventureuse, sous prétexte des cahots de la route, glissait petit à petit par l’ouverture sur le côté de sa robe. Au bout de quelques minutes, ma paume reposait entièrement sur son ventre, coincée entre la chaleur de sa peau et la douceur de sa robe. Olivia ne fit aucune remarque. Seule la conduite semblait l’obnubiler, mais je sentais bien que la montée et la descente de son ventre sous ma main se faisaient de plus en plus saccadées. Prenant son absence de réaction pour une permission, je m’aventurais toujours plus loin, jusqu’à ce qu’un de mes doigts pénètre dans la cavité de son nombril.
— ça chatouille.
Voilà qui annonçait la fin de la récréation. Ma sœur n’était pas entièrement focalisée sur la route finalement. Je fis glisser ma main vers la sortie mais, à ma grande surprise, elle me maintint fermement en place de son bras libre.
— Ça ne me dérange pas.
J’avais donc sa permission de continuer ? Ça semblait trop beau pour être vrai. Tandis qu’elle replaçait ses mains sur le volant, la mienne resta immobile. La voiture repartit vers l’avant avec toujours plus d’assurance, et mon doigt pénétra à nouveau dans la dépression de son nombril que j’explorais cette fois dans un lent mouvement circulaire. Olivia se tortilla en rigolant, frottant dangereusement ses fesses contre mon sexe et repoussant ma paume vers le bas de son ventre. Enhardi par les derniers évènements, ma main s’aventurait toujours plus bas, sous les encouragements tacites de ma sœur qui repoussait de plus en plus son bassin contre mes hanches. Nous étions pris dans une sorte de frénésie de caresses, jusqu’à ce que mon auriculaire rentre en contact avec la douce dentelle de son tanga et ne mette fin au charme. La voiture s’arrêta de manière brusque.
— Peut-être qu’il est temps que je me lance en solo.
C’était une affirmation, pas une question. Le ton n’était pas agressif, mais pour autant très net. Avais-je franchi le cap ? J’extirpais rapidement ma main de sa robe tandis qu’elle ouvrait tranquillement la porte et s’extirpait de la voiture. Je sortis à mon tour du véhicule pour la rejoindre à l’extérieur, constatant avec gêne que je bandais comme un âne. Mon short, tendu comme une toile de tente, ne cachait rien de mon état embarrassant. Olivia jeta un rapide coup d’œil au renflement évident de mon entrejambe et, loin de s’en offusquer, me dit en souriant de toutes ses dents :
— Je vois que toi aussi tu as passé un bon moment. Il faut vraiment que tu te trouves une petite copine…
Je restais sans voix devant sa réaction détendue face à cette situation si embarrassante. Ma petite sœur était beaucoup moins coincée que ce que j’imaginais ; peut-être plus perverse aussi. J’étais toujours perdu dans mes pensées quand elle se pencha vers moi et m’embrassa, sur la bouche cette fois. C’était toujours un baiser chaste, bouche fermée, mais beaucoup trop intime pour un frère et une sœur classiques.
Elle rompit finalement notre étreinte et se jeta dans le siège conducteur, riant à gorge déployée de ma gène visible, et de mon érection toujours présente. Je fis le tour du véhicule pour prendre la place du passager, ma bite ouvrant la voie (heureusement que nous étions assez isolés). Lorsque je m’installais, Olivia posa un énième regard amusé sur mon entrejambe avant de se concentrer à nouveau sur la route.
J’étais encore en train d’attacher ma ceinture quand elle démarra en trombe. Elle passait les vitesses avec une facilité déconcertante : deuxième, troisième, quatrième, cinquième… Elle fonçait sur la longue bande de béton, riant aux éclats tandis que je m’agrippais de mon mieux, un air anxieux sur le visage. Puis, elle décéléra avec la même facilité, passant les vitesses dans le sens inverse comme je le lui avais appris et stabilisant la voiture au bout du tarmac dans un long crissement de pneu. Elle retira alors lentement ses mains du volant, les plaça poliment sur ses genoux et se tourna vers moi :
— Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ?— Wow, c’était… vraiment impressionnant. Tu as énormément progressé en peu de temps. Acquiesçais-je, un sourire tendu sur le visage.— Tout ça c’est grâce à toi. Tu m’as vraiment donné… confiance. Répondit-elle en fixant toujours mon short avec un regard curieux.— Bon, je vais reprendre le volant pour le retour. Ce serait bête que tu perdes ton permis avant même de l’avoir.
Elle sorti de la voiture en rigolant et j’en fit de même. Une fois de plus, nous nous croisâmes devant le capot lors du changement de place. Sans réfléchir, nous échangeâmes un nouveau baiser. Une fois encore sur la bouche, mais cette fois-ci nos lèvres s’entrouvrirent. Nos langues commencèrent à tourbillonner l’une avec l’autre tandis que je la plaquais sur la voiture, mon sexe complètement tendu et collé contre son corps. C’était tellement intense que j’aurais pu lui faire l’amour là, sur le capot, si elle ne s’était pas dégagée au bout de quelques secondes.
— Je ne pensais pas que les leçons de conduites étaient si sympas. Si j’avais su, j’aurais commencé plus tôt. Dit-elle en rigolant tout en reprenant son chemin vers la place passager.
Je ne débandais pas une seule fois sur tout le trajet du retour. Il faut dire qu’Olivia avait judicieusement posé sa main sur ma cuisse, très proche du bord de mon short. Il m’était très difficile de conduire car mon esprit était entièrement focalisé sur les doigts de ma sœur, rampant le long de ma cuisse en direction de mon boxer. Je réduisis donc mon allure, pour des raisons de sécurité mais aussi pour profiter au maximum des attouchements enivrants de ma petite sœur. Le temps que nous arrivions dans l’allée, un de ses doigts faisait des explorations hésitantes le long de la crête de mon sous-vêtement. J’éteignis le moteur et me tournais vers elle, compressant sa main contre ma bite. Elle palpa rapidement mon paquet puis retira sa main d’un geste souple en disant :
— Conduire m’a ouvert l’appétit. J’espère que maman aura préparer quelque chose de bon. Tu serais libre demain après les cours pour une nouvelle session ?— Bien sûr. Répondis-je avec un franc enthousiasme.— Parfait alors. Répondit-elle en fixant à nouveau mon short. Tu ferais mieux de monter dans ta chambre pour t’occuper de ça avant le déjeuner.
J’haussais un sourcil interrogateur mais elle se contenta de rire tout en me poussant hors du véhicule.
— Tu crois vraiment que je n’y connais rien aux hommes pas vrai ? Tu serais surpris…
Sur ces belles paroles, elle me précéda à l’intérieur de la maison dandinant exagérément des fesses pour ne rien arranger à ma situation. J’esquivais ma mère pour des raisons évidentes et courais m’enfermer dans la salle de bain où le miroir reçu son jet de sperme désormais habituel. J’étais tellement chauffé à blanc qu’il ne m’avait fallu que quelques aller-retour sur ma hampe en pensant à Olivia pour balancer la sauce. J’avais presque oublié ce qu’était la sérénité.
Le reste de la journée se passa dans la bonne humeur. Nous ne cherchions pas particulièrement le contact mais lorsque nous nous croisions, c’était des éclats de rire et de taquinerie. Au diner, ma mère nous dit qu’elle était très heureuse que notre relation soit si bonne en ce moment. Cela fit sourire Olivia qui me fit doucement du pied sous la table, me faisant rougir. Ma pauvre maman était loin d’imaginer ce qui se tramait dans son dos. Juste avant d’aller se coucher, Olivia vint me faire une bise sur le front et me dit :
— Bonne nuit Étienne. Je suis sûre que tu vas bien dormir après cette « dure » journée. N’oublie pas de passer me prendre demain après les cours pour la deuxième leçon.
Comment aurais-je pu oublier ? A vrai dire, je ne pensais qu’à ça. J’allais me coucher tôt moi aussi, mais le sommeil mit longtemps à m’emporter. Après deux nouvelles branlette pour être précis. Dieu, comme j’avais hâte d’être à demain !
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