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La lectrice du métro

Chapitre unique

Erotique
Encore un putain de mercredi matin pluvieux à devoir aller bosser, je suis sur le quai du métro tandis que la foule s’agglutine autour de moi. Parkas trempés. Parapluies dégoulinants. Frigorifiés. Lunettes constellées de fines gouttes de pluie. Les gens qui m’entourent partagent tous mon enthousiasme, il y a des jours où on regrette les mercredis d’avant, quand on était enfant et que c’était la journée où on sortait, où on allait au sport, où on faisait des jeux, où on profitait. Mais on n’est plus enfants, donc on taffe. 35 heures par semaine, un peu ou beaucoup plus pour certains, vous me direz, ça va, c’est pas trop, et puis tu travailles, t’as la belle vie, te plains pas, y en a qui ont moins. Ben me cassez pas les couilles les gilets jaunes, je veux me plaindre, je me plains.

Bref, pas envie de taffer, la gueule encore enfarinée de sommeil, temps de merde, et en plus ça pousse, ça presse autour de moi, je ne supporte pas cette promiscuité imposée par le métro, tu partages ton espace vital avec des gens que t’as jamais vus, qui accessoirement peuvent puer ou te tousser à la gueule, et en plus t’es serré, compressé et mal à l’aise. Voilà mon sentiment au moment où la rame de métro arrive sur ce quai de la ligne 13 et ouvre ses portes aux voyageurs. Laissez sortir avant de monter, on connaît la chanson et on se fait copieusement marcher sur les pieds par ceux qui descendent en se plaignant que les gens ne sont pas civilisés et ne les laissent pas passer. Mais pauvre connard, je veux bien te laisser passer moi, et mes collègues à côté aussi, mais tu connais le principe d’une foule ?
Ça pousse à droite et à gauche donc pour t’esquiver au moment où tu sors de ton wagon avec toute la nervosité qui t’accompagne, ce n’est pas gagné. Bref, va te faire foutre ailleurs et je vais prendre ta place. Pour ceux qui ne connaissent pas la ligne 13 du métro parisien... je vous envie. Pour ceux qui penseront "ben t’avais qu’à pas habiter à Paris si tu voulais du confort"... vous avez raison, mais parfois la vie fait que. Et puis il y a aussi des aspects agréables à habiter ici, mais ce n’est pas l’objet de ce texte. Depuis tout à l’heure, vous devez vous demander pourquoi je vous parle de métro, vous n’êtes pas là pour ça. On est bien d’accord, mais patentiez-vous un peu aussi, toujours trop pressés là. Déjà pour une fois, je tente d’écrire vite et vous me foutez la pression. Non j’m’énerve pas, mais le métro, ça a tendance à me faire monter en gamme.
Bref, je rentre dans la rame, je me mange un coup d’épaule dans le menton de la part d’un retardataire qui n’avait pas compris que son terminus était arrivé et qui se dépêche de sortir. Même pas la place de me retourner pour lui lâcher une insulte bien sentie, et puis à quoi ça sert, le gars est déjà loin sur le quai, n’a même pas dû remarquer qu’il m’a bousculé. Quelques mots sur les gens qui bousculent et leurs mères sortent mezzo voce de ma bouche, il ne me vient pas à l’idée de mettre ça sur le dos de la foule, comme quoi le point de vue change selon ce qui nous arrange. Je me retrouve rapidement submergé par une masse de corps indistincts, fatras de bras, de jambes de têtes nues, casquettées ou chapeautées, de sac à dos, de mallettes, de sacs à main, d’escarpins, de tennis, de chaussures de ville au vernis souillé par la boue. Dans cette cohue, je trouve in extremis un point d’amarrage en attrapant du bout des doigts la barre métallique qui trône au milieu de l’espace central.
Elle est encore chaude des mains qui l’empoignèrent avant la mienne, poisseuse et moite des différentes sueurs que les gens ont étalées dessus à force de la serrer pour ne pas tomber sur leurs voisins. Cette idée même devrait me dégoûter, mais je n’y pense plus, on s’habitue, on ne fait plus gaffe à ce qui nous répugnait au début. Au moins, je ne tomberai pas sur mes voisins. Parlons en de ces voisins d’ailleurs, bloqué comme je suis, je ne peux sortir le bouquin que je trimballe partout avec moi ni mon portable, donc ma seule occupation restante est d’analyser mes covoyageurs.

Il est 8h30, heure de pointe, la plupart des gens se rendent au boulot avec le même enthousiasme que le mien, haut les cœurs camarades, après cette journée dans deux jours, c’est le week-end. Je suis entouré de la faune variée de la vie parisienne, des blancs (on est chez eux quand même), des Arabes, des noirs, quelques Pakistanais et un mec de l’est qui ne peut écarter les bras pour faire sonner son accordéon. Bizarrement, seuls des hommes m’entourent, enfin seuls des hommes, plus la petite meuf dont je ne vois que l’arrière de la tête et qui a réussi à se faufiler entre la barre de fer et moi, me forçant à tendre le bras au maximum pour ne pas la lâcher. Ma3lich c’est de bonne guerre et de toute façon, tu es comme nous tous ici, tu te mets où tu peux. Avec ton petit format, c’est quand même plus simple pour toi de trouver un coin où te caser. Je dis petit format, mais tu n’es pas une gamine non plus, environ 22/23 ans je dirais.
Vu que je n’ai rien à faire et que je préfère regarder une femme que plein d’hommes, mon attention se focalise vite sur toi, je détaille ce que je peux voir de toi et le temps de quelques pensées, m’imagine la raison de ta présence. Tu n’es pas grande comme je le disais, peut-être 1m55, et tu sembles donc toute menue au regard des grands échalas qui t’entourent. Mais tu rayonnes aussi parmi eux, ils sont tous, et moi également, vêtus de grands manteaux noirs ou marrons, avec des jeans bleu sombre, rien de bien très joyeux donc. Tandis que toi... toi tu as les cheveux blonds déjà, resplendissants tel un soleil au milieu de la nuit noire (quoi ? Quand il y a du soleil, il ne fait pas nuit ? Ne venez pas me niquer ma métaphore s’il vous plaît), tel un phare attirant à lui les regards dans l’obscurité. Ta veste courte et blanche tranche avec le sombre de nos tenues, elle surplombe un fessier généreux, emplissant bien le pantalon moulant dans lequel il s’est glissé.
Tu portes à la main une sacoche que je jurerais pleine de cours et de stylos, tu es probablement en route pour la fac ou ton école, en tout cas tu es certainement encore étudiante. De l’autre main, tu tiens ton téléphone devant tes yeux, je le devine plus que je ne le vois, car il est en partie dissimulé par ta chevelure sous mon angle de vue. En tout cas, tu es obnubilée par ton écran et n’accordes aucune importance à la cacophonie physique qui t’entoure. Pas un regard de perdu hors de ton écran.

Quant à moi, je me régale du balancement de tes fesses à quelques centimètres de mes hanches. Il me suffirait d’un mouvement pour me coller à toi et sentir leur rondeur s’écraser contre ma virilité. Mouvement que je ne ferais bien entendu pas, je serais prêt à tant de choses pour le plaisir de caresser cette boule, mais certainement pas à le faire sans ton consentement. Je ne suis pas particulièrement féministe, mais les agressions sexuelles, ce n’est pas mon truc, et ça ne devrait être le truc de personne d’ailleurs. Alors je reste là, absorbé par mes pensées, finalement réconcilié avec mon trajet en métro par le simple fait qu’il m’offre ce fessier savoureux à détailler pendant quelques minutes, la journée ne commence pas si mal, il suffit juste de savoir apprécier les menus cadeaux que la vie nous fait au quotidien.
Au détour d’une secousse, tu changes légèrement de position et d’un gracieux mouvement de tête digne d’une pub pour du shampoing (je fais ce que je veux avec mes cheveux, dédicace à mes calvitistes, on est ensemble) tu ramènes ta crinière couleur blé en arrière sur tes épaules, m’offrant ainsi une vue dégagée sur l’objet de ton attention, un joli Samsung dernier cri que tu tiens entre tes doigts laqués de rose pâle. Mais ce n’est pas l’objet en lui même qui m’attire, mais l’écran. En effet apparaît dessus un W stylisé de couleur orange qui m’est familier depuis quelques semaines. Tu es en train de lire une histoire sur Wattpad, c’est drôle, tu es la première personne que je croise à connaître cette application. J’ai moi-même créé un compte il y a peu de temps dessus pour publier une histoire de cul appelée l’invitée, j’en suis à ma deuxième partie, encore peu de vues, mais les retours sont plutôt positifs.
Ce serait marrant que tu sois toi même en train de lire mon histoire, marrant, et un peu excitant d’ailleurs. Mais je me fais peu d’illusions là-dessus, de telles coïncidences, ça n’arrive que dans les films ou dans les chroniques Wattpad justement. Intrigué, je me concentre sur ce que tu es en train de lire, oui je sais c’est très malpoli de lire par-dessus l’épaule de quelqu’un, mais bon là, j’ai quelques circonstances atténuantes non ? Au début, c’est un peu compliqué de voir de quoi il retourne, je suis obligé de m’approcher un peu de toi, sans pour autant te toucher, et d’incliner ma tête légèrement de côté. Finalement, je parviens à partager ta lecture. Je suis surpris. Stupéfait. Excité.

Toute seule au milieu de cette marée humaine, dans l’inconfort de la ligne 13 du métro, tu es en train de lire une histoire érotique. Et pas n’importe laquelle en plus, une que je connais très bien, pas la mienne bien sûr, mais celle de quelqu’un qui a su jouer avec mes fantasmes de lecteurs et ceux de milliers de lectrices. Tu es en train de lire un chapitre de "Kehba un peu spécial" de Samkehba. L’histoire de Samira que, je pense, beaucoup de ceux qui me lisent connaissent et regrettent (attention fantasmeur du ghetto, bientôt la pétition pour la republication :) ) est l’une des plus excitantes qu’il m’ait été donné de lire sur cette plateforme, surtout qu’à l’époque, je pensais encore que l’auteur était une autrice. Je reste donc médusé en constatant que mon petit rayon de soleil matinal est en fait une sacrée coquine qui lit de la pornographie de bon matin dans un lieu public, sans en avoir l’air.
Je me plonge un peu dans le chapitre et constate que tu es en plein milieu d’une scène de cul intense et particulièrement érotique, l’ayant moi-même lue précédemment, je sais dans quel état j’étais à ce moment-là et je ne doute pas que ta culotte de soie actuellement inondée de ta chaude mouille.
Immédiatement, mon esprit pervers prend le dessus sur tout le reste, le sang devant irriguer mon cerveau se trouvant irrémédiablement redirigé vers mon sexe qui se tend d’un coup dans mon boxer. Putain, je suis placé juste derrière une femme inconnue qui est en train de fantasmer sur une histoire de cul que je sais excitante, cette situation est inédite, mais tellement pleine de possibilités. Je suis sûr que debout comme tu es, tes mains doivent être avides de se plonger sous ta culotte pour te caresser et délivrer ton plaisir. Je t’avoue même que j’ai du mal à comprendre pourquoi tu lis ce genre de récits en public, ça doit être tellement frustrant de sentir monter l’excitation en toi sans pouvoir rien faire pour l’assouvir. Et si moi, je t’aidais à te faire du bien ? Cette pensée me traverse rapidement l’esprit, tu es déjà chaude et les mains d’un homme sur ton corps t’amèneraient rapidement aux portes de la jouissance.
Vous vous rappelez de toute ma réflexion sur le consentement quelques lignes plus haut ? Eh bien toutes ces belles paroles s’envolent rapidement dans la situation dans laquelle je me trouve. Je n’ai qu’une envie, c’est te caresser là, telle que tu es, debout au milieu de cette foule, dans ce métro bondé, bruyant et puant, faire monter ton plaisir sous mes doigts. Le consentement ? Tu es en train de lire une histoire de cul, ça joindrait juste la réalité à la théorie.

Oui je sais, le raisonnement est bancal, mais dans une telle situation, il me paraît parfaitement logique. Je suis tellement excité par toi, ton côté salope, et tu ne t’en doutes pas, tu es absorbée par tes lignes, ton fantasme, la chaleur qui grandit en toi au fur et à mesure que tu progresses dans l’histoire. Doucement, imperceptiblement, ma main se rapproche de ton fessier. J’hésite encore, vais-je franchir le cap, passer du côté des frotteurs de métro, ce n’est vraiment pas ce qui m’attire, mais là les circonstances sont différentes. En tout cas, c’est ce dont je me persuade. Délicatement, ma main frôle l’arrière de ton pantalon, une fois, deux fois, dans l’attente d’une réaction de ta part, me montrant ta réprobation. Mais rien ne vient, tu restes stoïque, concentrée sur ta lecture. Je m’enhardis alors et pose directement ma paume ouverte sur tes fesses. Toujours rien. Je reste immobile, dans l’attente d’une réaction, mais elle ne vient pas.
Tu ne peux pourtant ignorer mon attouchement, ton pantalon n’est pas épais et ma prise sur ton arrière-train est ferme. Nous demeurons ainsi quelques secondes immobiles. Le métro file dans son tunnel obscur, et au hasard des secousses, ma main se fait plus entreprenante sur ton cul. Ce qui n’était d’abord qu’un léger attouchement se transforme bien vite en palpation en bonne et due forme. Ma caresse se transforme en massage appuyé, ma paume roule contre ton pantalon sans que tu ne sembles le remarquer. Sur ton écran, tu continues à faire défiler l’histoire, Samira est en train de bien se faire défoncer comme d’habitude, tout en refusant de se faire traiter de beurette, c’est un principe. Toi je ne sais pas de quelle origine tu es, européenne c’est sûr en tout cas. Est-ce un sursaut du métro ou est-ce que tu viens de bouger tes hanches en cadence avec la pression que j’exerce contre toi ?
Tu roules ton cul contre ma main une deuxième fois, pas de doute, tu prends plaisir à te faire toucher au milieu de cette foule.
Ta réaction a pour effet immédiat de faire gonfler mon sexe, ce qui dans un pantalon à pince comme j’en porte aujourd’hui est terriblement délicat, car très visible. Je devine la bosse qui se forme à l’avant de mon pantalon. Qui aurait pu croire que ce matin en prenant le métro, je tomberais sur une lectrice Wattpad en train de se chauffer juste à portée de main. Je continue mes caresses et descends doucement vers ton entrejambe en frottant l’espace de ton sillon, ton léger pantalon me permet d’enfoncer mon majeur entre tes deux fesses tandis que ma main descend pour prendre possession de la fourche que forme la jonction de tes jambes. A chaque virage, je suis bousculé par mes voisins et je me cramponne donc fermement à la barre ainsi qu’à ton corps. Ton bassin bouge de plus en plus et soudain tu écartes légèrement les cuisses pour faciliter la progression de mon inquisition. On dirait bien que l’ingénue lectrice se transforme peu à peu en salope gourmande sous la pression de mes doigts.
Je fais jouer mon majeur contre l’endroit où se trouve ta chatte, je ne doute pas que, déjà bien chauffée par ta lecture, l’endroit a dû devenir brûlant depuis que je le caresse.

Je frotte contre le tissu avec insistance, appuyant mon doigt comme s’il allait le percer et pénétrer directement entre tes lèvres par en trouant ton pantalon. Le frottement de ton vêtement contre mon doigt me chauffe de plus en plus la peau et la question de ton consentement ne se pose plus depuis un moment, tu accompagnes franchement ma caresse en faisant glisser ta chatte contre mon doigt, en serrant et desserrant tes cuisses pas intermittence pour emprisonner ma main et la broyer dans ton intimité. Tes cuisses sont musclées, mes doigts peuvent en témoigner, et j’imagine que quand tu vas faire des squats à la salle, les hommes ne se gênent pas pour regarder ton postérieur moulé dans du lycra monter et descendre au rythme de tes efforts. Étant donné ton comportement sans doute le sais-tu, sans doute même accentues-tu tes mouvements pour les allumer encore plus.
Je n’y tiens plus et pendant que ma seconde main lâche la barre de fer et empoigne fermement ta hanche pour te maintenir sous ma poigne, j’arrête de te caresser avec un seul doigt et je referme vigoureusement ma main sur ton entrejambe, moins subtil, mais beaucoup plus puissant. La sensation te plaît espèce de chienne, je sens ton corps se tendre sous mes doigts et ta main tenant le téléphone se crispe brusquement sur celui-ci pendant que ton visage se penche vers le sol. Mes doigts se fixent sur ta peau et impriment leur pression sur l’ensemble de ton entrejambe, je les ouvre, les ferme, les ouvre, les ferme. Tu écartes encore plus les jambes que tout à l’heure pour que ma main puisse s’épanouir à son aise contre ta chatte excitée. Je sens la chaleur de ton entrejambe contre ma paume, je presse de plus en plus fort, je presse à t’en faire mal, mais ça ne semble pas refréner tes ardeurs, bien au contraire.
Tu te fais plus pressante toi aussi, tes cuisses s’ouvrent et se ferment de manière quasi frénétique pour bien profiter de ma main indiscrète. Tu ne gémis pas, bien entendu, pour ne pas que nos voisins repèrent notre petit manège, mais dans le brouhaha du métro, j’entends quand même ta respiration devenir de plus en plus appuyée, tu rejettes l’air par le nez par saccades rapprochées, probablement au rythme de ton plaisir. Ton attitude m’encourage et commence à faire disparaître les quelques craintes que le fait d’être en public crée chez moi.
D’un coup puissant, j’attire ton bassin contre le mien, tes fesses viennent s’écraser contre la protubérance qui déforme la fine toile de mon pantalon. Ma queue gonflée est comprimée contre tes fesses et je commence à faire bouger mes hanches au rythme des tressautements du métro. Putain, quel kif, je serre de plus en plus fort mon emprise sur ton corps, et tu réponds en faisant rouler ton cul contre ma bite. Tu tends et détends les muscles de tes fesses, ça me fait bander encore plus. Aux yeux de tous, tu es juste une étudiante qui va en cours le nez vissé à l’écran de son smartphone alors qu’en réalité tu es une femme, une chienne qui prend du plaisir à se faire frotter par un inconnu pendant qu’elle lit une histoire érotique. Car tu lis toujours, mes attouchements ne t’ont pas empêchée de poursuivre ton activité, même si j’ai l’impression que la cadence à laquelle ton pouce fait défiler les lignes vers le bas est bien moins importante que tout à l’heure.
Je pose chacune de mes mains sur chacune de tes fesses et les écarte du mieux que je le peux en calant précisément ma bite contre ta raie, la sensation te plaît, tu tends tes fesses en arrière pour bien profiter de ce membre dressé en hommage à ta sensualité.

Mon sexe me fait mal tellement il est tendu, ce genre de situation est habituellement inenvisageable et n’en est donc que plus excitante. Une fois bien positionné entre tes fesses, je pose mes mains en haut de tes cuisses et les tire vers l’arrière, fortement, sans m’interrompre, pour bien te faire sentir la vigueur qui anime ma queue pleine de sperme. Je te serre contre moi ainsi pendant une dizaine de secondes puis entame des va-et-vient contre ton cul, je ne te frotte plus à présent, je donne des coups de reins de plus en plus marqués. C’est comme si je te baisais à travers les tissus de nos vêtements. Je compte sur les mouvements du train pour cacher mon activité à mes voisins directs, mais au pire tant pis, qu’ils se rendent compte que je suis en train de profiter d’une bonne salope dans mon métro du matin, le jeu en vaut la chandelle.
Et tu y prends toi aussi beaucoup de plaisir apparemment, les mouvements de mes reins et ceux de tes hanches se calent vite sur un rythme de croisière, nous nous emboîtons ainsi pendant quelque temps, jusqu’à ce que tu te décides à éteindre ton téléphone et le ranger dans ta poche. Et voilà, c’était trop beau pour durer, à peine quelques stations et tu vas sans doute descendre prendre ta correspondance, c’est pour ça que tu arrêtes de lire. Je commence alors à accélérer, autant finir en beauté vu qu’on ne se recroisera plus. Mais non, au moment où la porte de la rame s’ouvre pour laisser trois personnes en descendre et 6 ou 7 y monter, tu ne fais pas mine de te diriger vers la sortie. Au contraire, ta main nouvellement disponible se glisse entre ma bite et ton pantalon et après avoir tâtonné quelques instants, je sens ta poigne se refermer sur ma queue.

Mon pantalon est fin, ce qui te permet d’attraper mon sexe et de l’entourer de tes doigts, ce qui n’aurait pas été possible avec un jean. Putaaaaain j’adore cette prise d’initiative, ta main commence à monter et descendre doucement le long de ma hampe, en serrant d’autant plus fort chaque fois que tu arrives au niveau du gland. Sale pute, salope, grosse kehba kiffeuse de bite. J’aime ce que tu me fais, j’adore la sensation de ta main encore inconnue il y a quelques minutes qui me branle sans ménagement et avec l’application d’une professionnelle. Je me mords l’intérieur des lèvres pour ne pas grogner tellement la sensation est délicieuse. Se faire masturber en public par une inconnue, c’est un des trop rares plaisirs de la vie dont il faut savoir profiter au maximum. Par degrés, tu accélères le rythme de ta caresse, je sens ma bite tendue comme elle l’a rarement été.
Le frottement du tissu sur la chair de mon gland commence à m’irriter, à devenir douloureux, mais le plaisir l’emporte sur ce léger inconfort, même si je me doute que les prochains jours, j’aurai le sexe sensible à cause de ça. Ma3lich, ça fait un peu de mal, mais ça fait beaucoup de bien.
Mais je ne suis pas un égoïste et je vais te le prouver petite chienne. D’une main, j’enserre plus fortement ta taille tandis que l’autre glisse sur ton ventre, au niveau de ton nombril, pour venir buter contre la ceinture de ton pantalon. Mes doigts se glissent en dessous, ainsi que sous ta culotte sans que tu ne fasses le moindre geste pour m’en dissuader. Au contraire, au moment où mon majeur finit par s’insinuer entre tes lèvres pour pénétrer l’intérieur de ta chatte, tu resserres d’un coup ta main sur mon gland. J’adore ça. Serre plus chienne, profite de cette bite qui s’offre à toi, sois une bonne pute bien vicieuse. Je constate vite que tu n’es pas mouillée petite cochonne, tu es inondée, mon doigt qui tressaute entre tes lèvres est maculé de ta mouille. Ta mouille chaude, gluante, qui semble couler à flots de ton vagin. Je ne suis vraiment pas le seul que cette situation excite au-delà du possible, toi aussi tu es en train de vivre un véritable fantasme éveillé.
Mon index rejoint vite mon majeur dans la moiteur de ta schnek et les deux te pénètrent aussi profondément que l’angle compliqué que forme ma main le permet. Je te doigte avec sauvagerie, je n’essaie pas de caresser ton clitoris ou d’être sensuel, non je te travaille la chatte avec brutalité, comme un mort de faim. Mes doigts s’enfoncent violemment à l’intérieur de toi et ressortent de la même manière, on n’est pas là pour faire des chichis.

Tu sembles d’accord avec cette façon de voir les choses, car la manière dont tu me branles est similaire, tu ne me caresses pas, tu tires sur ma queue comme une enragée, tu la palpes, tu la broies entre tes doigts. Putain ce que c’est bon. Nous nous branlons mutuellement avec hargne, avec violence même, seuls à notre plaisir au milieu de cette foule de moutons. Je sens ton corps vibrer contre le mien, tes muscles se tétanisent de plus en plus, j’imagine que le plaisir monte pour toi, en tout cas, c’est le cas de mon côté. Bien sûr, je n’ai pas réfléchi au fait de me trouver avec un pantalon maculé de sperme fraichement éjaculé si tu vas jusqu’au bout, je me dis qu’il faut que je tienne, que je ne crache pas avant de t’avoir fait jouir et qu’à ce moment-là, nous arrêterons notre manège, que je n’aurais plus qu’à aller me finir aux toilettes du bureau. C’est dommage, mais c’est mieux que se promener avec une tache de sperme sur le pantalon au milieu de Paris.
Mais on dirait que tu n’es pas d’accord avec cette idée, car tu ne jouis toujours pas et que la cadence de ta main sur ma queue ne me laisse aucun répit, c’est sûr que tu veux me traire, que tu veux me faire juter de tes doigts. Et tu es en train d’y arriver petite chienne, je sens la pression monter à l’intérieur de ma bite, et si je sais que c’est une mauvaise idée, je n’ai aucune envie que tu t’arrêtes, tu as dépassé le point de non-retour, maintenant il va falloir que je crache. Du côté de ta chatte, je continue de m’activer et on dirait bien que tu es aussi proche de la jouissance que je le suis, mes doigts sont littéralement noyés par ta cyprine et je me suis mis à tirer, à pincer ta chair, quelques gémissements étouffés t’échappent sous la dureté de ce traitement.
Ils sont bien heureusement perdus pour tout le monde sauf pour moi à cause du bruit du métro. Enfin pour tout le monde, ce n’est pas sûr, l’homme qui te fait face de l’autre côté de la barre de fer te regarde d’un air ahuri depuis quelques dizaines de secondes. Mais je n’en ai plus rien à foutre, et toi non plus apparemment, seul notre plaisir mutuel compte.

Et parlant de plaisir, je n’arrive plus à me retenir, je sens mon sexe se tendre par saccades et commencer à lâcher son jus blanc contre le tissu de mon boxer à quatre ou cinq reprises, j’ai envie de crier, je me réfrène et toute la pression que je ne mets pas à exprimer mon plaisir, je la fais passer à ta chatte par le bout de mes doigts. Je te branle de manière frénétique pendant que je crache ma semence, et au moment où tu sens ma queue palpiter contre ta paume et éjaculer sous l’effet de ta masturbation, je peux me réjouir de voir que ton corps se tend, tous tes muscles se raidissent et tu emprisonnes mes doigts dans le fourreau de ta chatte durant de longues secondes de jouissance silencieuse. On a pris notre plaisir ensemble, cachés au milieu de la foule.
Ton voisin de devant me regarde à travers les verres de ses lunettes sans avoir l’air d’en revenir, pas grave, ça lui fera de la matière à se branler ce soir dans son lit, il s’en voudra probablement d’avoir été si près d’une chienne de compétition et de n’avoir pas été celui qui en profite, mais juste le témoin impuissant.
On reste collés l’un à l’autre pendant encore deux stations, sans parler, sans échanger rien d’autre que la pression de notre corps sur celui de l’autre, ma main toujours glissée à l’intérieur de ta culotte et la tienne toujours fermée sur ma queue. Ça me laisse le temps de réfléchir à ma situation. J’ai un manteau trois quarts que je pourrais refermer pour que personne que je croise ne puisse se douter de l’énorme tache de foutre qui orne mon pantalon. Par contre au bureau, ce subterfuge ne fonctionnera pas. Tant pis, je vais envoyer un message à mon chef en lui disant que j’aurai du retard aujourd’hui, ensuite, je n’aurai qu’à attendre que les magasins ouvrent à dix heures (deux heures au moins à me balader avec mon boxer poisseux et collant), pour aller acheter un nouveau pantalon et un nouveau caleçon, ça fait cher la branlette, mais ça en valait la peine. Ensuite direction les toilettes du McDo pour me changer. Un plan simple et sans accroc.
De ton côté, toi ma lectrice tu n’as probablement pas le même souci, même si tu as mouillé ton pantalon, la tache n’est pas située au même endroit, tu n’auras qu’à garder les jambes serrées jusqu’à ce que ça sèche pour ne pas te faire remarquer, en espérant que ton odeur ne te trahisse pas. Bon de toute façon, chacun ses problèmes, je suis convaincu que tu t’en sortiras très bien.
A l’approche de ta station, ma lectrice perverse se décolle de moi et j’extrais immédiatement mes doigts de ton pantalon. Je ramène prestement les rabats de mon manteau devant moi pour ne pas m’exposer au regard des autres. Au moment où tu t’avances vers la sortie, je te glisse à l’oreille :
— Moi aussi j’écris sur Wattpad, je m’appelle Kamalstory, viens me lire.
Sans me répondre ni te retourner, tu reprends son chemin vers la porte au moment où la sonnerie de fermeture retentit. Tu accélères pour sortir et au moment où les portes se referment, je te vois reprendre ta marche en sortant ton portable de ta poche. Je n’ai pas vu ton visage, tu n’as pas vu le mien. Je monte rapidement mes doigts encore humides de ton plaisir à mon nez pour les humer longuement en jetant un regard amusé à notre voyeur involontaire. Encore aujourd’hui, je me rappelle de ton odeur, forte, musquée, entêtante, toutes les femmes ont leur odeur et la tienne était délicieuse. Par contre, jamais tu ne m’as donné de nouvelles sur Wattpad, donc aujourd’hui, je publie ton histoire en espérant que tu la liras et que tu prendras autant de plaisir à te la remémorer que tu en as eu à la vivre.
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