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Lecture

Chapitre unique

Divers
— Tu fais quoi ?— Tu vois bien, je lis !— Pff ! Encore un de tes putains de romans d’amour... et pourquoi as-tu ta main dans ta culotte ?— C’est assez brûlant comme moment. Mais laisse-moi lire tranquille !
Tu peux pas me foutre la paix... mon héros est en train de faire des choses très coquines à l’héroïne, jeune demoiselle innocence séduite par un libertin notoire.
— C’est si chaud que ça ? J’te crois pas ! Lis-le-moi pour voir !
Je te regarde, agacée. Mais piquée par une envie perverse, je me mets à reprendre quelques pages en arrière.
— OK, OK ! On y va...
« Jonathan prit la main de la jeune fille... »
— Waouh c’est super torride, me coupes-tu, ironique.— Sois pas idiot ! Bon je reprends...
« Jonathan prit la main de la jeune fille et la porta vers son entrejambe.
— Voyez ma mie dans quel état vous me mettez, je ne pense qu’à vous depuis le bal de lady Winters, dit-il dans un souffle.
Comment osait-il ? Ils étaient sur le balcon, n’importe qui pouvait les surprendre. Virginia retira sa main précipitamment.
— Je ne suis pas une de vos courtisanes, monsieur le duc. Et je devrais partir avant que ma réputation ne soit compromise.

La jeune fille resta pourtant immobile. Murrayfield en profita pour la pousser derrière un grand pot de buis. Il vint poser ses lèvres sur sa bouche gourmande. Il taquina sa lèvre inférieure de ses dents, elle avait la couleur d’une fraise mûre et le goût du pêcher.
— Vous êtes divine ma douce, laissez-moi vous montrer comment cela pourrait être passionné entre nous.
Jonathan ne se reconnaissait pas, lui qui s’était juré de fuir comme la peste les débutantes, il s’apprêtait à en corrompre une. Il porta sa main à la poitrine généreuse qui s’offrait à lui dans sa dentelle virginale, caressant la courbe veloutée d’un sein crémeux.
— Vous me rendez fou Ginny, laissez-moi entrer !
Dans un assaut désespéré, il força de sa langue les lèvres purpurines de la jeune femme. Sa main s’égarant toujours dans son décolleté, il trouva un passage dans le corset serré de celui-ci.
— Quel dommage d’emprisonner de si beaux joyaux. Je voudrais les voir... »

Des baisers dans mon cou, ta main qui vagabonde et malaxe mon sein droit. Je respire un peu fort, tu taquines mon téton.
— Continue de lire !
«... Je voudrais les voir libres entre mes mains, je voudrais les soupeser, les embrasser, leur rendre hommage. Ginny vous êtes divine.
Virginia ne pouvait plus contenir les doux gémissements qui lui échappaient, brisant ainsi le silence de la nuit. Le duc en profita pour soulever ses jupons et venir caresser ses cuisses tout en remontant vers sa toison pour jouer avec les boucles brunes. La jeune fille retenait son souffle, ne comprenant pas pourquoi elle laissait cet homme caresser son entrejambe. Un doigt s’insérait petit à petit dans ses parties intimes. Mais que se passait-il dans son corps, quelle était cette chaleur qui montait en elle ? Murreyfield dirigeait sa bouche gourmande vers le décolleté de la demoiselle, alors qu’il plaquait possessivement sa main sur le sexe de la jeune fille.
— Vous êtes à moi ! Je vous veux dans mon lit ce soir. Ne vous refusez pas à moi ma douce... »

Ta main fait valser mon livre par terre. L’autre empoigne mon sein fermement. Ta bouche sur mon cou, me mordille, me lèche.
— A mon tour de jouer au Marquis !— C’est pas un marquis, idiot, c’est un duc ! dis-je en riant.
Tu me gifles doucement le mamelon.
— Je vais devoir vous punir pour votre insolence mademoiselle.— Et que vas-tu donc pouvoir me faire de si terrible mon amour ?— Je vais te prendre comme un hussard, violemment, et je ne te laisserai pas jouir tant que je ne serai pas repu de toi !
Un frisson me parcourt, j’écarte mes cuisses d’anticipation. Ta main vient se glisser entre elles pour vérifier l’état de mon excitation. Je suis déjà totalement mouillée.
— Sors ma queue !
Tu te redresses pour que je déboutonne ton pantalon afin de sortir ton sexe dur du boxer, je le caresse amoureusement. Tes mains se posent sur ma tête pour la diriger vers ta protubérance. Je suis face à ton monstre de chair, je m’en lèche les lèvres de gourmandise.
— Tu vas être une bonne petite ingénue et prendre dans ta bouche mon ducal appendice.— Oui votre Grâce. Comme vous le désirez votre Grâce !
Je me penche sur toi et avale ton vit petit à petit. Tu aimes que je joue avec ton gland, que je le dégaine de ton prépuce à coup de langue. Que ma main accompagne de lents va-et-vient ce suçotement divin. Je ne m’occupe que de ton champignon, tu apprécies, mais réclames déjà plus. Ta main dans mes cheveux se fait plus insistante, tu te veux plus loin. Tu exiges une profondeur que je suis à même de te fournir. J’ouvre plus grande ma gueule et engouffre profondément ta queue. A présent, ce ne sont plus de timides allers-retours que je te procure, tu en profites pour prendre le pouvoir et imposes ton rythme à coup de reins puissants. Mes mandibules se rappellent à moi, ma salive coule le long de ma mâchoire. J’ai fini à genoux devant toi, sans savoir comment, à te vénérer comme une servante docile. Je suis à présent à moitié nue, corsage ouvert, seins sortis de leur prison de dentelle. Tu tires ma tête en arrière, l’obligeant ainsi à libérer, dans un pop vulgaire, ta verge.
— Tu aimes être ma petite chose obéissante, hein vilaine !— Oui votre Grâce ! — Bonne fille ! Je voudrais l’enfoncer en toi encore plus profondément, connaître la chaleur humide de ton antre d’amour, mais ce ne serait pas raisonnable. Il te faut rester pure jusqu’au mariage.
Je glousse, toi comme moi savons pertinemment qu’il n’y plus rien à préserver depuis longtemps.
— Que faire votre Grâce ? Mon père me renierait si je revenais grosse à la maison.— Il y a bien un moyen sans danger, ma douce. Passer par la petite porte de ton arrière-train.
J’éclate de rire, bien sûr que tu allais me la faire à l’envers.
— Mon chéri, ce n’est pas vraiment dans le style de l’histoire ce genre de demande.
Tu me redresses fermement et me penches vers l’avant avant de me claquer les fesses fortement.
— Reste concentrée ! Pour toi, c’est votre Grâce et tu me vouvoies vilaine !
Je baisse la tête et te réponds comme demandé. Tu vas chercher le livre tombé plus loin et viens l’installer sous mon nez.
— Et reprends la lecture ma chérie, je veux entendre la suite pendant que je t’encule.— Oui votre Grâce.
Je me remets à lire alors que tu t’installes derrière moi et que tu fais couler le liquide poisseux qui te permettra de glisser dans mon orifice avec douceur. Tes doigts s’insèrent en moi, un puis deux, ils jouent à m’élargir, écartant mes chairs pour me préparer à te recevoir. Nous ne sommes pas étrangers à l’exercice et cela ne prend guère de temps pour que je sois prête. Toi, prêt, tu l’es évidemment, dur, excité et déjà à l’entrée de la grotte sombre. Tu pousses et m’envahis inexorablement.
— « Le duc avait la tête entre ses jambes, il suçotait avec délice le bouton charnu dépassant de ses chairs humides ..." HO ouiii ! Votre Grâce ouiii !
Tu assènes une claque sur mes fesses.
— Reprends ta lecture !
Tu me défonces copieusement alors que j’essaie vainement de lire ce putain de livre entre deux gémissements. Ton bassin percute mon cul de façon régulière. Tu me perfores et me transperces avec bonheur, ta respiration se fait rauque, ton rythme devient chaotique. Tu ne cherches même plus d’excuses pour me fesser. Et moi je ne suis plus capable d’aligner deux mots correctement. Tes mains finissent par s’agripper à mes seins que tu malaxes pour notre plus grand plaisir.
— « Ils étaient... » hoooo ! « Indécemment... » Ouiiiii ! « enlacés après... » j’en peux plus ! Hannn ! Ouiii ! Hannn !— Ta lecture !— Rien à foutre du bouquin, hannn ! Continue ! Mhhhhh ! Ouiiii ! Plus foooort !
Tu comprends que le temps de la concrétisation est arrivé, tu redoubles d’efforts, certains de tes doigts quittent mes tétons pour venir taquiner mon clitoris gonflé et impatient. Les cercles que tu lui prodigues trouvent un écho dans ta folle cavalcade et je me retrouve vite dans les affres d’une incontrôlable jouissance. Tu profites de mon abandon pour, toi aussi, décharger ton plaisir en moi. Nous finissons dans les bras l’un de l’autre, haletants, moites, mais comblés de nos ébats littéraires.
— Alors mes livres sont-ils si niais que ça ? — J’avoue qu’ils peuvent être émoustillants. Il n’empêche ma chère que tu as oublié les consignes. Il faudra que tu payes tes manquements, vilaine.— Oui votre Grâce !
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