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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Lecture interrompue

Chapitre 1

Hétéro
Je me promenais au bord de la rivière, et après avoir trouvé un coin où le soleil filtrait le feuillage des arbres - dispensant ainsi une chaleur tiédie ; je me résolus à m’asseoir sur la souche d’un arbre afin de poursuivre la lecture d’un roman commencé la veille. Après quelques minutes silencieuses, ma quiétude fut rompue par la venue d’une jeune maman qui promenait son enfant dans une poussette. L’endroit était idéal pour qui veut faire une halte, de nombreuses pierres plates permettaient aux visiteurs de s’asseoir écouter le murmure de la rivière. Elle s’arrêta à quelques mètres de moi, calla son enfant sous l’ombre bienfaisante d’un arbre. Elle était brune, ses cheveux courts étaient coiffés d’un tissu brodé de motifs. Un débardeur bleu marine moulait son bassin et épousait ostensiblement ses seins sillonnés d’une rainure profonde. Elle portait un short, bleu marine également, qui valorisait avec goût ses fesses rondes. Elle devait avoir à peine plus de trente ans, son visage mêlait épanouissement et fraîcheur. En un mot, c’était une belle femme. Après s’être assuré que son enfant dormait, elle ôta son tee-shirt et laissa alors apparaître un haut de maillot de bain qui ne trahissait pas l’impression de générosité suggéré par son débardeur. Sa poitrine était ronde, grosse mais ferme. La couleur blanche de son haut de maillot valorisait son bronzage estival. Enfin, elle retira son short et laissa apparaître un magnifique string blanc.
Je la considérais avec admiration, moi qui crains l’eau froide ; elle nageait semblant insensible à la température de l’eau, seuls ses mamelons durcis et le duvet dressé sur ses bras témoignaient de la fraîcheur des courants. Elle me regarda, les yeux plongés dans mon bouquin et m’interpella sur un ton qui me semble encore familier.
Vous n’avez vraiment rien de mieux à faire que lire ? Venez vous baigner Je quittais les yeux de mon livre et lui souris en lui rétorquant que lire au bord de l’eau ce n’est pas tout à fait lire, et puis pour couper court à la conversation je lui répondis que de toute manière, je n’avais pas de maillot. Elle me répliqua qu’elle pouvait me dépanner ; en effet son mari devant la rejoindre, elle avait pris son maillot mais il s’était finalement désisté à cause d’imprévus. Elle était disposée à me le prêter en soulignant qu’il me serait plus utile qu’à lui. L’attention et l’argument étaient en effet imparables, aussi j’acquiesçai à son offre. Elle sortit de l’eau, la fraîcheur avait raffermi son corps, ses seins superbes pointaient en ma direction, l’eau rendait légèrement transparent son bas de maillot.
Elle me tendit alors le maillot, je lui demandais alors une serviette pour me changer ; elle rit joyeusement en me répondant que préférant sécher au soleil, elle n’utilisait pas de serviette, et que de toute manière ma pudeur était ridicule. Décidément, elle avait réponse à tout. Ce n’était pas tant le fait d’apparaître nu devant elle qui me gênait mais plutôt de révéler l’état dans lequel j’étais. Pensant que la gêne changerait rapidement de côté, je décidais de me changer en lui faisant face, sans prendre la peine de me retourner. Mon short et mon caleçon à mes pieds ; mon sexe en érection se dressait outrageusement..
Elle me demanda ce qui me mettait dans cet état là ; je lui répondis que la vue de son corps sublime conjuguée à une abstinence oppressante avait raison de mon impassibilité. Elle fut visiblement charmée par le compliment et changea radicalement de ton ; elle se mit à me tutoyer comme si la communion invisible qui nous liait lui permettait d’user de familiarité. Alors comme ça, je t’excite ? Il ne t’en faut pas beaucoup. Et qu’est-ce qui t’excite le plus ? Je lui répondis : Vos seins mouillés. Elle dégrafa son haut de maillot ; et me dit : et comme ça ils t’excitent plus ? Abasourdi pas tant d’audace, j’acquiesçai en lui disant que je ne les imaginais pas aussi beaux. Elle s’approcha de moi, saisit mon sexe dans la vallée de ses seins et commença un jeu de va et vient langoureux qu’elle ponctuait de temps à autre d’un coup de langue salvateur. Je ne tardais pas à éjaculer, sa bouche, sa gorge, ses seins suintaient de mon sperme. Je commençais alors à lui caresser la poitrine, la pris par la main puis la releva. Debout, ma main se dirigea alors entre ses cuisses. Elle interrompit ma course d’un geste sûr, elle m’embrassa sur l’oreille et me chuchota avec tendresse qu’elle ne pouvait m’offrir plus.
Je l’avoue, j’étais frustré mais ne lui tenant pas rigueur j’acceptais son invitation à la baignade. Nous prîmes plaisirs à nager et à chahuter dans l’eau glacée de la rivière.
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