Vanille était assise aux pieds de son maître. Il était occupé à lire, et ne prêta pas attention à Vanille. Elle avait très envie qu’il s’occupe d’elle. Elle gesticulait autour de lui pour lui montrer son envie et attirait son attention. Il continuait sa lecture, sans même adresser un regard à Vanille.Vanille trémoussait ses fesses d’excitation, cette ignorance l’excitait encore plus. Au bout de longues minutes, il regarda Vanille : — Oui ? — Maître, je suis désolée de vous déranger mais j’ai très envie de vous... Je ne tiens plus.— Tu m’ennuies, Vanille, je suis occupé, tu vois bien.— Pardonnez-moi, Maître. Il reprit sa lecture.Vanille dégoulinait, elle ne tenait pas en place et remuait sans cesse. Cela énerva son Maître. — Vanille, calme-toi, tu es insupportable aujourd’hui. Il se leva ; Vanille se figea. Elle ne savait pas ce qui l’attendait : elle savait que son maître pouvait être très sévère quand il était énervé.Il revint, menottes à la main. — Je ne vais pas te fesser, tu en serais trop heureuse. Tu es un vide-couilles, Vanille, donc tu auras mon sexe quand j’aurai envie de me vider les couilles, et pas avant. Il menotta le poignet de Vanille à un pied de la table basse, et la cheville de Vanille à l’autre pied de la table. Elle était ainsi immobilisée, allongée sous la table. Son maître reprit son livre, s’installa dans son fauteuil et posa ses pieds sur le buste de Vanille. Ah, j’oubliais : il sortit un plug et l’inséra dans la chatte de Vanille, de façon puissante et brutale afin de le lubrifier. Vanille gémissait de plaisir, elle était tellement excitée qu’une seule pénétration lui faisait vivre mille sensations, et la faisait décoller mentalement. Il ressortit le plug et l’enfonça dans le cul de Vanille. Il avait choisi un gode de 12 cm de long et dont la dernière boule faisait 5 cm de diamètre. — Je compte bien t’enculer à la fin de mon chapitre et déverser mon foutre dans tes entrailles, petite pute. Le plug dans le cul de Vanille décuplait ses sensations et son excitation.
Elle se sentait vraiment salope. Elle visualisait la scène dans sa tête, allongée, menottée, pluguée. Elle avait honte d’aimer autant être soumise, mais la mouille qui coulait le long de sa cuisse trahissait son plaisir. Totalement pervertie par son maître ! Il lui avait permis de révéler sa vraie nature : Vanille était faite pour sucer, pour avaler du foutre, pour se faire baiser la bouche, la chatte, le cul. De se savoir autant chienne en face de lui, nue, trempée, et de le voir lire si tranquillement la rendait folle et la faisait se sentir insignifiante. Vanille ne tenait plus ; l’excitation était si forte que c’en était presque douloureux. Elle remuait son bassin et frottait son sexe contre le sol. Elle désirait tellement son Maître… L’attente était interminable, même si elle était nécessaire pour l’éducation de Vanille.Elle gémissait au contact du sol contre son clitoris. — Ta gueule, Vanille ! Son maître se releva, excédé. Vanille ne savait jamais s’il était vraiment énervé contre elle ou s’il jouait avec elle. Il revint cette fois-ci avec un bâillon boule. Le regard de Vanille révéla sa peur : en effet, c’était la première fois que son maître sortait cet objet. Il l’installa sur la bouche de Vanille et serra le bâillon. Vanille se sentait humiliée.Son maître regarda son chef-d’œuvre, fier, et sourit : — Tu es bandante… Son maître détacha la cheville et le poignet de Vanille de la table, lui menotta les mains dans le dos, puis il déboutonna son pantalon et ouvrit sa braguette. Il avait un très beau sexe, dur, droit, bien large et d’une taille assez conséquente. Il glissa sa main dans la fente de Vanille. Le sexe de Vanille était chaud, gonflé et luisant. C’était une vraie fontaine tellement elle était trempée. Le contact de la main de son maître était divin, mais le plaisir fut de courte durée : il récupéra de la mouille et l’étala sur son sexe. Il sortit le plug de Vanille et le remplaça par son sexe. Vanille se concentra pour accueillir son maître. Elle arrêta de respirer, faisant son possible pour se détendre. À chaque centimètre supplémentaire, le plaisir grandissait pour elle comme pour lui. L’attente avait était longue pour lui aussi ; le plaisir n’en était que plus grand maintenant. Le sexe bien enfoncé au fond de Vanille, son maître lui laissa quelques secondes pour qu’elle s’habitue. Vanille se sentait écartelée. Elle ne pouvait plus bouger. Le sexe anal était pour elle comme un don de soi. Il attrapa le sexe de Vanille, appuyant sur son clitoris, et de l’autre main agrippa la fesse de Vanille. Vanille était en transe. Le cul rempli, les sensations de son cul irradiaient jusqu’à son sexe. Il ressortit son sexe entièrement. Il aimait la re-déflorer à chaque pénétration pour que le cul de Vanille s’habitue à être pris. Il l’enculait avec puissance et lenteur. Il enfonçait son membre à chaque fois au fond des entrailles de Vanille puis le ressortait entièrement. Chaque nouvelle pénétration donnait à Vanille des sueurs. Il accéléra enfin le rythme, de plus en plus fort de plus en plus vite. Le plaisir état intense ; Vanille gémissait à travers son bâillon. La respiration de son maître était forte également, et dans une dernière pénétration, le cul de Vanille se contracta autour du membre de son maître et ils jouirent ensemble. Il déversa son sperme dans Vanille. Il sortit son sexe, remit le plug dans le cul de Vanille, puis il s’effondra sur sa soumise. — Tu es calmée, petite pute ? Il lui retira le bâillon. — Merci, Maître. C’est bon d’être votre sac à foutre.— Comme tu ne sais apparemment pas rester silencieuse si ta bouche n’est pas remplie, tu vas apprendre une nouvelle leçon. S’asseyant et reprenant son livre, le sexe et les couilles luisants du jus de sa soumise, il ordonna sèchement : — Suce-moi. Humiliée mais heureuse de recevoir de l’attention, elle se précipita à quatre pattes pour obéir à son maître. Il reprit sa lecture pendant qu’elle léchait scrupuleusement son entrejambe.
