Quand Bachir revint, nous étions tous les deux nus, assis sur le bord du lit, main dans la main, comme deux étudiants attendant la visite médicale. Bachir déposa deux verres de thé sur le chevet, ainsi qu’un cendrier contenant une longue cigarette roulée et un briquet. Il repartit et revint avec une chaise en bois pliante qu’il déposa à côté du lit, et dit:— Ça va les jeunes ? vous voulez quelque chose d’autre ? Allongez-vous et faites comme d’habitude, si vous avez envie de vous faire plaisir. Leila lâcha ma main, se leva, et fit le tour du lit, en passant tout près de Bachir, pour aller prendre la cigarette dans le cendrier. Enfin, je la voyais totalement nue et déambulant devant moi. Bachir aussi ne la quitta pas des yeux. Du haut de son un mètre soixante pour cinquante kilos, elle dégageait un certain érotisme à rester là debout, fumant, le regard au plafond. Ses jambes serrées ne laissaient deviner qu’un petit triangle de poils noirs sous un ventre blanc et plat, surplombé de deux petits seins ronds, aux aréoles brunes et aux tétons marron aussi gros que mon petit doigt. Bachir, assis, les jambes écartées, se frottait tranquillement l’entrecuisse, tandis que moi, je contemplais, fasciné, ma chérie s’exhibant naturellement devant nous. Je ne me souviens plus combien de temps dura le silence immobile de cet instant, mais il me parut une éternité.Leila me tendit la clope et s’allongea sur le lit, du côté du chevet et de Bachir. Celui-ci reprit la parole :— Tu es très belle Leila, mais je n’ai pas eu le temps de voir tes fesses quand tu es passée devant moi. Tu peux te relever et me les montrer ? Leila me regarda et........ sans rien dire, se releva. Elle se retourna, et se pencha même légèrement vers l’avant pour mieux lui montrer son cul. C’est moi qui rougis à cet instant. Comment osait-elle ? Elle qui, vingt minutes avant avait peur d’être violée ? Elle semblait désinhibée... voire même excitée par la situation. — Magnifique !! s’exclama Bachir en fixant ce cul offert à sa vue. — Tu es vraiment très belle Leila !!! Mets-toi à quatre pattes sur le lit et embrasse Steve ma chérie ! Je m’allongeai pour me rapprocher, tandis qu’elle obéissait docilement au Monsieur. Leila la rebelle, se laissant diriger...... faudra qu’elle m’explique, me dis-je. Elle était à quatre pattes sur le lit, creusant les reins, le cul en l’air et écarté, juste en face de la chaise, ses seins reposant sur mon flanc, et son visage collé au mien. Elle me dévorait la bouche comme jamais auparavant, elle poussait de légers gémissements en suçant ma langue. Jamais je ne l’avais connue aussi affamée. Elle descendit une main sur mon sexe dressé et commença un doux va-et-vient, toujours sa bouche sur la mienne et son autre main sur mon visage. On ne se souciait plus de Bachir, ce long baiser me l’avait fait oublier...... jusqu’à ce que Leila déplace sa tête sur mon torse, pour que je vois en face de moi, Bachir nu !!! toujours assis sur sa chaise, jambes écartées. Mon regard croisa le sien, il me fit un clin d’il et un sourire, puis je descendis vers ses larges épaules et son torse velu, des pectoraux gonflés sous les poils noirs, et plus bas, sous son gros ventre aussi poilu, je vis sa main aller et venir sur un gros membre, aussi long que le mien, mais au moins deux à trois fois plus large. Le gland était plus gros, plus large que la hampe. Un flash, où Leila prenait ce membre dans sa bouche, traversa mon esprit. Quel sexe !!Une fois de plus, Bachir rompit le silence :— Vous êtes beaux mes chéris. Viens Steve, mets-toi à genoux derrière elle et lèche son petit trou. Il s’était levé, immense devant le lit, le membre fier et droit sous nos yeux. Leila sembla hypnotisée par le mandrin. Il resta debout sur le côté du lit, tandis que de mes mains, j’écartai les fesses de ma chérie, pour coller ma bouche sur son petit illet brun. Elle avait la tête posée sur son avant-bras, tournée vers Bachir, ou plutôt vers son membre qu’il recommençait à branler lentement. Je léchais ce trou de toute ma passion, regardant tantôt le visage de ma chérie, tantôt la main de Bachir sur sa grosse queue, qu’il agitait de plus en plus vite. Il avança le bras, posa sa main sur ma tête et appuya fortement en disant:— Branlez-vous mes chéris !! branle ta chatte Leila, et toi branle ton zob !!!Il appuya encore plus fort sur ma tête pour écraser mon visage entre les fesses de ma chérie, tout en se branlant énergiquement, tandis que Leila avait passé une main entre ses cuisses pour se caresser la chatte et par la même occasion, toucher mon menton du bout de ses doigts, comme pour me coller encore plus fort contre son cul. Je jouis le premier, sur le couvre-lit, mais gardais la tête appuyée sur les fesses, puis ma chérie se mit à trembler et à crier un orgasme venu d’ailleurs, avant de s’écrouler à plat ventre sur le lit. Je m’affalais aussi entre ses jambes, la tête sur son dos, pendant que Bachir, toujours debout, astiquait son membre en nous regardant. Nous fixions cette queue, attendant avec lui, l’explosion. Leila sursauta quand dans un hurlement animal, le sperme jaillit dans notre direction pour atterrir en partie sur le bras droit de ma chérie. Il y en avait une belle quantité. C’est la première fois que je voyais un sexe, autre que le mien, éjaculer. Tous les trois groggy, nous restâmes quelques minutes assis sur le lit, à boire le thé froid et à tirer sur la clope, dans un silence de cathédrale.Bachir nous demanda si nous avions aimé cette expérience, et nous promit de plus belles jouissances encore, si nous décidions de revenir mercredi prochain...... ou avant si on avait le temps. Il nous expliqua que même en restant vierges jusqu’au mariage, nous pourrions jouir de mille autres façons. Je protestai quand même au sujet de ma virginité. C’est Leila qui avait fait ce vu, pas moi. Bachir entra alors dans une explication de sa théorie:— Les femmes peuvent pratiquer la sodomie en attendant le mariage, mais ce n’est pas leur futur époux qui s’en charge, car lui aussi doit rester vierge. Et souvent, dans certaines civilisations, les futurs mariés se faisaient aussi sodomiser par leurs initiateurs.— Quoi ? s’exclama Leila !! elle pouffa de rire et ajouta:— Au moins, les futurs époux sont à égalité.Ils rirent tous les deux...... moi un peu moins. Attendre le mariage en regardant Bachir sodomiser ma chérie qui me regarderait sodomisée par Bachir ? Pour rester vierges ? — Allez ! rhabillez-vous mes chéris ! dit Bachir.Nous nous levâmes et, toujours nus, Bachir, dans un élan de tendresse, nous prit tous les deux dans ses bras et nous serra contre lui. Je sentis battre contre mon flan le tube de chair, et j’en eus un frisson.
