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Leila , moi et notre mentor

Chapitre 3

révélations

Avec plusieurs hommes
Nous sommes sortis discrètement de l’appartement, puis du hall, et Leila me proposa d’aller marcher un peu avant de rentrer chacun chez soi. Aucun de nous deux n’osait aborder le sujet de notre récente séance chez Bachir. Je me taisais, mais n’en pensais pas moins. Cette nouvelle expérience m’avait vraiment plu, et dans ma tête défilaient les images de ma chérie offerte, nue, les fesses écartées à la vue d’un autre homme, mais aussi, l’image de ce sexe lourd et large, astiqué sous mes yeux, et giclant puissamment devant moi et sur le bras de Leila. Je regrettais presque de ne pas l’avoir touché...... soupesé et même branlé. Nous avancions machinalement vers notre petit bois tranquille quand Leila brisa le silence.
— Tu as aimé ce qu’on a fait mon amour ? — Oui ! Vach’ment !! et j’aimerais bien recommencer mercredi prochain. Et toi ? Ça t’a plu de t’exhiber devant Bachir ? demandai-je à mon tour.
Oui Steve, j’ai adoré, tu as vu comment j’ai joui ? Je dois t’avouer que son gros zob m’a donné envie de donner mon cul à un autre que toi. Tu serais jaloux si je le laissais m’enculer avant toi ? Elle prit ma main, s’arrêta, et me fixa pour essayer de lire la réponse dans mon regard.
— Euh....... Je ne sais pas trop. Mais, te voir prendre du plaisir m’en donne à moi aussi, alors je suis d’accord.
Elle sourit et répondit :
— Et puis ça nous permettrait de patienter avant le mariage tout en ayant un vrai plaisir sexuel. Moi j’ai très envie de le faire, mais à condition d’être dans tes bras ou contre toi quand il le fera. T’as vu ? il a dit que les mecs aussi, ils se faisaient enculer avant le mariage. Tu serais cap ?— Je ne suis pas homo chérie, dis-je en me visualisant à quatre pattes, cuisses écartées et sodomisé par le gros sexe de notre "éducateur".— Et puis ça doit faire mal ! ajoutai-je. — Oui sûrement !! Au début, mais si autant de gens aiment ça, c’est que ça doit être hyper-bon !! non ? demanda-t-elle d’un air faussement innocent.— C’est vrai, mais quand même !! Embrasse-moi ! (pour couper court à cette conversation embarrassante)
Elle se serra contre moi, m’embrassa fougueusement en me caressant l’entrejambe, et me glissa au creux de l’oreille :
— j’aimerais aussi qu’on le suce ensemble mon amour........ça fait pas mal ça !!
Elle se révélait beaucoup plus entreprenante et imaginative que l’image qu’elle donnait habituellement. Oui !! je le sucerai avec elle, je bandais fort à cette évocation, et puisque c’était son désir à elle aussi, je pourrais assouvir le mien sous prétexte de son plaisir !! Elle m’entraîna dans notre habituel "petit coin", elle s’agenouilla devant moi, me dégrafa, et tomba mon pantalon aux chevilles avant de prendre mon sexe tendu dans sa bouche. J’étais aux anges !! Elle se frotta le visage avec mon gland suintant le plaisir, me lécha la hampe en me fixant, et dit :
— Tu vas jouir dans ma bouche ! je veux que là, tu sois le premier mon amour.
Elle recommença son experte fellation, ajoutant des "hum" de plaisir, et glissa sa main libre sous sa robe pour caresser sa petite chatte.Je pris sa tête dans mes mains pour imposer le rythme propice à mon explosion, et après plusieurs puissants va-et-vient dans sa gorge, je me bloquai et inondai son palais dans un râle digne d’un ours en rut.Elle garda mon sexe en bouche le temps de jouir à son tour dans un long cri étouffé par ma queue, puis se releva et vint me donner mon premier baiser au goût de sperme.
— Ton sperme a un goût fort, mais pas dégueu mon chéri, tu trouves pas ?— mouais...... décidément, elle me surprenait !
Je la raccompagnais jusque devant son hall, sans lui donner la main pour ne pas être remarqués, et avant de se quitter, elle me dit :
— Au lieu d’attendre mercredi prochain pour retourner chez Bachir, on pourrait y aller demain après les cours ? Je finis à quinze heures, et toi t’as pas cours. Bisous mon amour.
Ce soir là, je restais dans ma chambre, nu sur mon lit, et me masturbai en imaginant tous les scénarios possibles à nous trois, et pour la première fois, j’explorai mon petit trou de mes doigts. Je jouis encore comme un fou, arrosant mon torse de plusieurs giclées de sperme, que je m’empressai de recueillir sur le bout de mon index pour les déposer sur ma langue.Elle avait raison: fort, mais pas dégueu !!
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