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Leila , moi et notre mentor

Chapitre 4

passage à l'acte

Avec plusieurs hommes
Le lendemain, je ne savais pas encore quel sentiment prendrait le dessus. J’étais tiraillé entre honte et excitation. J’avais envie d’aller plus loin avec Bachir, tout comme Leila, mais j’avais peur d’aimer ça.
Je quittai la FAC à midi et rentrai déjeuner avec ma mère. J’aurais aimé lui demander conseil, mais jamais nous n’avions parlé de sexualité sérieusement, on peut dire que le sujet était tabou, et depuis la mort de mon père, lorsque j’avais 7 ans, jamais je n’ai entendu ma mère évoquer une quelconque relation sentimentale. J’allais ensuite me doucher, et pour la première fois, insistai plus particulièrement sur ma, partie culière. J’enfonçai même un doigt savonneux entre mes fesses, machinalement, comme s’il était inévitable qu’aujourd’hui je perde ma fleur anale. Religieusement honteux, et diablement excité vous dis-je.
Leila sortit à quinze heures de la FAC, et me rejoignit directement devant l’allée où habitait Bachir, mais attendit que nous soyons entrés dans le hall pour m’embrasser.
— Alors ? On lui dit quoi ? Et s’il est pas là? Demanda-t-elle, comme impatiente et excitée elle aussi. Elle serra ma main pour presser ma réponse.— On lui dit qu’on vient fumer et boire un thé, et s’il est pas là, on va se promener tous les deux. Tu dois rentrer à quelle heure ? — Dix-huit heures ! J’ai dit que j’allais chez Mounia préparer mon TD de droit fiscal. Elle avait les yeux pétillants.
Je frappai à la porte, et quelques secondes après, Bachir nous ouvrit. Il était en slip de coton bleu, et torse nu. Son gros ventre et ses beaux pectoraux couverts d’un débardeur naturel fait de poils noirs et frisottants. Il semblait si puissant et pourtant si gentil.
— Ah c’est vous mes chéris !! Entrez vite avant d’être vus.
Il referma la porte et nous prit dans ses bras.
— Ça va mes chéris ? Vous avez aimé alors hier, pour revenir aussi vite ! Coquins !!— Oui, on a aimé Bachir, mais jure que tu garderas notre secret, dit Leila d’un air déterminé. — Promis ma chérie ! Je te l’ai déjà dit. Ce qui se passe ici reste entre nous. Et puis tes frères voudraient ma peau s’ils savaient.
Cet argument sembla convaincre ma belle.
Elle se dégagea des grands bras et demanda :
— Je peux me doucher Bachir ? Je viens de finir mes cours et je ne suis pas passé chez moi.
— Vas-y bébé, et regarde dans le placard au-dessus du lavabo, il y a une poire pour faire les lavements. Par contre, tu te déshabilles devant nous, comme un strip-tease. Il devait avoir l’habitude de sodomiser ses conquêtes, si toutes utilisaient cette "poire", me dis-je en moi-même.
Leila, comme à son habitude, ne se dégonfla pas, et retira ses chaussures, puis fit tomber le long de ses jambes, sa jupe, et dans la foulée, enleva son chemisier. Elle resta un instant immobile, nous regardant. Ses petits seins arrogants étaient nus, tandis qu’un petit triangle de coton blanc cachait sa petite et délicieuse chatte. C’est là que je me rendis compte que j’étais toujours dans les bras de Bachir. Il avait son bras posé sur mes épaules, et j’avais le mien plaqué dans son dos, ma main sur sa grosse poignée d’amour.
Leila se retourna, fit tomber son string, et les jambes serrées, se pencha pour le ramasser !
— Wahou !! S’écria Bachir ! Quel beau cul tu as poupée !!
Il avait raison ! Penché outrageusement comme ça, il donnerait envie à n’importe qui !
Elle se redressa et partit vers la salle de bain !
— Viens, me dit Bachir. On va dans la chambre s’en rouler un petit.
Je le suivis. Il s’assit sur le lit et me proposa de me mettre à l’aise. Toujours debout, je me déshabillai devant lui, et lui tournai le dos, juste avant d’enlever mon caleçon. Instinctivement, je lui offris mes fesses plutôt que mon sexe. Et prenant exemple sur Leila, je me penchai pour le ramasser. J’étais à portée de main, il ne résista pas et tout en restant assis, il prit mes fesses dans ses mains, et me tira vers lui, il caressa et embrassa mes fesses, puis me repoussa un peu pour se relever. Je me redressai subitement, mais il me colla à lui, et c’était bien son sexe que je sentis dans mon dos durant quelques secondes. Il était si large.
— Toi aussi tu as un beau cul Steve, me dit-il, en me serrant encore plus fort contre lui.
J’étais rouge de honte et me retournai pour lui faire face. Il me colla contre son ventre. Ma tête dans les poils de son torse, sentant son odeur, je me mis à bander comme lui, tandis qu’il me caressait le dos, descendant même une main sur mes fesses, me serrant plus fort encore.
J’avais honte, mais je me sentais bien dans ses bras. Et ce sexe contre mon ventre, j’avais envie de le saisir, tellement envie.
Leila revint enveloppée dans une serviette et nous trouva, nus tous les deux, assis sur le lit et fumant le calumet d’l’amour !!
— Alors ma chérie ? C’était bon la douche ? Demanda Bachir ? Tu as fait le lavement de ton petit trou ? — Oui, répondit timidement Leila. Et vous, vous avez fait quoi ?
Je ne laissai pas le temps à Bachir de répondre...
— On a roulé et on discutait...— T’inquiète ! On a pas joui, on t’attendait, ajouta Bachir.
Elle fit tomber sa serviette et sauta sur le lit.
— Poussez-vous, laissez-moi une place entre vous.
Nous étions tous les trois nus, assis sur le lit, comme une image du film " les valseuses". Je vous laisse le soin d’imaginer lequel faisait Depardieu et qui jouerait Miou-Miou...
Bachir prit la main gauche de Leila et la posa sur son gros mandrin qui reposait le long de sa cuisse, comme un serpent attendant de pouvoir s’étirer, et d’elle-même, elle prit le mien déjà tout dur dans sa main droite. De notre côté, nous avions chacun empoigné un sein, et je me penchai pour téter le mien. Je regardais le colosse de Bachir grossir sous le mouvement de plus en plus rapide de Leila. Sa petite main n’en faisait pas le tour. Elle avait un peu délaissé la mienne et semblait hypnotisée par le gros sexe qu’elle secouait, sa main butant sous le gland encore plus large que la hampe, à chaque mouvement, déjà une goutte perlait au bout de la queue, et Leila, arrachant son sein de ma main, se pencha et mit le gland tout entier dans sa bouche. Bachir poussa un soupir d’aise, et vint de sa main droite, caresser la tête de ma chérie. J’étais devenu spectateur d’un ogre mettant un énorme gourdin dans la bouche de ma petite princesse.
Machinalement, je vins me placer face à la scène, et branlais mon sexe et regardant ma chérie sucer avec passion ce pieu qui déformait sa bouche. Cette image m’excitait au plus haut point. J’avais déjà envie de jouir.
— Mmmmm. Elle suce bien, j’adore ça !!! Commenta Bachir.
Maintenant à plat ventre, elle alternait succions et léchouilles sur la hampe droite et dure et sur ses grosses boules gonflées. Les miennes étaient vraiment petites par rapport aux siennes. Elle avait les yeux fermés, elle s’appliquait et semblait aimer ça. Je cherchais son regard, mais, imperturbable, elle s’attelait à la tâche.
Je m’allongeai en travers du lit, et attrapai ses fesses, pour les ramener vers mon visage. Elle se déplaça un peu, et écarta les jambes. La vue de son petit trou, et en dessous sa belle fente vierge, quel spectacle !! Je plongeai mon visage entre ses fesses, les écartant de mes mains, et vins coller ma bouche sur son anus déjà ouvert d’excitation ! Les bruits de succion de part et d’autre envahirent la pièce, Bachir avait une main sur sa tête, et une sur la mienne, tel un pacha s’offrant les plaisirs d’un harem bisexuel. J’aurais aimé, à cet instant, enfoncer mon sexe dans cet anus propre et offert, mais Bachir en avait décidé autrement ! Je devais rester vierge moi aussi jusqu’au mariage. Cette règle arrangeait bien notre mentor qui, de cette façon, s’offrait deux virginités anales pour le prix d’une. Bachir attrapa mon bras et posa ma main sur celle de Leila autour de son braquemart.
Je compris le message, et sans lâcher l’objet de mes désirs, je rampais pour rejoindre Leila. Elle arrêta de sucer, me regarda et m’embrassa passionnément. Son baiser avait le goût du sexe de notre hôte. Elle frotta le gland sur ma bouche et Bachir appuya sur ma tête.
— Vas-y !!! Suce-toi aussi !! Dit Bachir.
Mes lèvres se décollèrent, et le gland pénétra ma bouche. Je ne pus m’empêcher de soupirer de plaisir, tandis que Leila, sans lâcher le mandrin, me fixait d’un air sadique.— Oui mon chéri, suce cette bonne bite !!
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