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Leila , moi et notre mentor

Chapitre 6

Tête à tête

Gay
Leila était partie et je me retrouvais seul avec lui. J’avais peur. Assis sur le lit, je tremblais à l’idée de me faire sodomiser par son gros morceau. Mais après avoir vu Leila prendre autant de plaisir à se faire limer le cul, j’en avais envie moi aussi. J’en avais envie... et j’avais peur. Il revint dans la chambre, toujours nu, et plaça sa gigantesque silhouette devant moi. Son sexe massif pendait entre ses cuisses velues. Il était beau. Je ne pouvais détacher mes yeux de cette monstrueuse queue. Le gland, dépourvu de toute peau, luisait encore de nos précédents ébats avec Leila. Je le trouvais plus joli que mien qui n’était pas circoncis. J’avais envie de le prendre dans mes mains, de le cajoler, de le faire durcir, mais Bachir ne m’en laissa pas le temps. Il m’attrapa par la nuque et me colla la tête contre son bas-ventre. Il me serra fort. J’avais la tête dans ses poils, la joue collée juste au-dessus de la base du colosse de chair.
L’odeur m’enivrait, et je me détendis un peu. J’étais bien contre ce corps doux et puissant. Je ne laissai pas mes bras ballants, et l’entourai au niveau de la ceinture pour venir plaquer mes mains dans le creux de son dos. Moi aussi je le serrai fort un instant.
— Ça va ? Tu es bien ? Tu as aimé ce qu’on a fait avec Leila ? me demanda-t-il.
Oui ! C’était trop bon. C’était top de te voir dépuceler son petit trou, et la voir jouir aussi fort m’a vraiment fait plaisir. Tu es un étalon, répondis-je sans hésitation, et pour le flatter un peu.
— Hmm...... Merci mon chéri. Moi aussi j’ai adoré. Elle est vraiment bonne à enculer ta p’tite coquine. Elle le prend comme une salope mon zob ! Toi aussi tu pourras bientôt te régaler dans son petit cul. Je te regarderai l’enculer. Et tu as aimé goûter mon zob ou tu préfères sa petite chatte ?—..... Euh...... je crois que j’aime les deux. — Goûte-le encore alors. Suce-le mieux que tout à l’heure. Il est pour toi tout seul maintenant. Tiens, prends-le.
Ses paroles m’excitaient grave. Son corps, son odeur..... ce totem dédié au plaisir..... Tout m’excitait désormais, et tout autant que les petits seins, la petite chatte, et le petit cul de ma Leila.Les yeux clos, je pris le sceptre dans mes mains et approchai le gland de mes lèvres. La bouche fermée, je le frottai un instant sur mes lèvres, puis autour de ma bouche, sur mes joues et dans mon cou. Je le fis tapoter sur mon menton. Cette masse puissante et vibrante sur mon visage me rendait dingue de plaisir. Le membre était maintenant gonflé et bien dur. Je fis un ou deux aller-retour avec mes mains, en serrant fort la hampe, et je sentis perler une goutte de liquide sur ma joue. J’ouvris grand la bouche et engouffrai le gland brûlant pour goûter ce jus. A lui seul, le gland remplissait toute ma cavité buccale, j’entamai un long et doux va-et-vient de mes mains, faisant buter le gland contre mon palais, et essayant de passer ma langue en dessous. Je le tétais comme un petit veau sous sa mère et alternai branle et caresses sur ses grosses boules. Je me délectai d’un sexe masculin. Je n’avais plus honte de mes envies.
Je suçai en faisant un bruit de succion et en émettant des hmm... hmm... de plaisir avoué. Je suçais, léchais, et suçais encore. Je voulais le faire jouir de ma bouche, espérant secrètement qu’il renoncerait à m’enculer aujourd’hui. Je ne me sentais pas suffisamment "ouvert" et entraîné pour supporter l’entrée de ce monstre dans mon anus, et que dirait de ce plaisir.....(ou de cette douleur) pris sans elle ?
Bachir aussi semblait aimer ça. Il me caressait les cheveux et grognait, ou me complimentait gentiment. Il était doux et c’était rassurant.
— C’est bien mon bébé. Tu suces bien. Mieux qu’une fille. Continue, suce bien......
Il remuait doucement le bassin, essayant par moments de rentrer plus loin dans ma bouche. Je le retenais, car ça ne rentrait pas.Il prit son sexe en main et me tirant délicatement par les cheveux, il recula ma tête et sortit son gland de ma bouche. Il se mit à le frotter sur mon visage, tapota, lui aussi, mais plus fort que moi, sur mes joues, ma bouche, et même mon front. Le gland, gluant de salive, glissait sur mon visage, et je sortais la langue pour le lécher au passage. J’avais ouvert les yeux, et je voyais le regard sérieux et concentré sur son plaisir, de Bachir. Il se pencha et m’embrassa sur la bouche. Sa langue força mes lèvres et vint me fouiller. Je répondis à son baiser en aspirant sa langue et en la suçant comme un affamé. Je mis toute ma passion dans cet ardent baiser, et tout mon vice aussi. Je suçais cette langue comme si je suçais une bite. Mon sexe dur comme jamais suintait le plaisir en continu. Je "pré-jouissais" sans arrêt ! Si je touchais mon sexe, je risquais d’exploser instantanément.
Bachir interrompit ce long baiser, et toujours penché sur moi, me demanda :
— Tu as fait un lavement toi ?— Oui !..... Enfin... non, répondis-je. Je me suis juste savonné les fesses et mon petit trou, mais juste à l’entrée.
Il me prit la main et dit :
— Viens, lève-toi ! Va à la salle de bain, et attends-moi.
Lorsque je me levai, il vit que je bandais et me le fit remarquer.
— Ton zob est dur mon chéri, tu aimes ça hein ?
Oui. Répondis-je avant de diriger vers la salle d’eau. Il me caressa les fesses dès que j’eus le dos tourné. Un frisson me traversa.L’heure de s’occuper de ma virginité anale approchait. J’allais me faire enculer, sûrement me faire éclater le fondement par son énorme matraque, et tout ça sans y être obligé. Je priai les dieux du plaisir qu’il soit doux et me déflore sans me déchirer. Si vous m’aviez dit ça avant hier, je ne vous aurais pas cru !
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