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Leila , moi et notre mentor

Chapitre 7

préparatifs

Gay
J’étais seul, nu, face au miroir, dans la salle de bain de cet homme qui avait envie de mes petites fesses. Il avait eu le cul de Leila, maintenant, il voulait le mien.
J’avais peur, mon corps frissonnait, mais j’avais envie de lui faire plaisir, de lui appartenir.
Malgré ça, j’étais rassuré par sa douceur et par la présence protectrice que m’inspiraient son âge et son imposante stature. Je commençais à prendre goût à son odeur, et je raffolais déjà de sa grosse sucette.
Son entrée dans la salle de bain me sortit de ma torpeur. Il apparut nu, derrière moi dans le reflet du miroir, une longue cigarette roulée au coin des lèvres. Il se colla dans mon dos et me mit la clope dans la bouche. La chaleur de son corps contre moi, mes fesses collées à ses grosses cuisses poilues, ses mains sur moi, partout sur ma peau, caressant mes tetons, mon ventre et son sexe encore mou dans le creux de mon dos finirent de me faire fondre. Il m’embrassait dans le cou, il était si doux.
Il se recula et s’agenouilla derrière moi. J’avais toujours la cigarette dans une main et l’autre posée sur le bord du lavabo. Instinctivement et pour lui plaire, allez, disons-le : pour l’allumer un peu, je me cambrai pour mieux lui exposer l’objet de son désir.
Il enveloppa mes fesses de ses grandes mains et, doucement, les écarta.
— On voit que ton petit cul est vierge mon chéri, il est bien serré, dit-il en passant un doigt dessus. Mais il est un peu poilu. Tu veux que je te rase ? Ce sera plus agréable, tu verras.
Qui ne dit mot consent. J’étais rouge comme une tomate de ce diagnostic sur mon anus, alors, je baissai les yeux pour fuir mon regard dans le miroir, et tirai une énorme bouffée sur le pétard pour ajouter au brouillard.
— Viens ! mets-toi à quatre pattes dans la baignoire et relève les fesses. Je vais te faire tout beau !!
Je pris la position, en écartant au maximum les jambes malgré l’étroitesse de la cuvette. Il prit le rasoir et.......... la poire dans le placard, et fit couler de l’eau chaude sur mes fesses, puis savonna celles-ci, les caressant des deux mains, sans oublier mon petit trou, du bout de ses doigts. C’était très agréable, même si la position était inconfortable et un peu avilissante. Je bandais comme jamais !!!!!
Consciencieusement, il me rasa les fesses, l’anus, puis me fit asseoir sur le rebord et me rasa les couilles.
Tu aimes ça petit cochon, dit-il en voyant mon sexe collé à mon ventre. Il passa ses doigts dans les poils de mon pubis et ajouta.
— Là aussi, je vais raser, ce sera plus doux et plus joli.
—........ Euh...... mais que va dire Leila quand elle va voir ça ?— On lui dira que c’est moi qui t’ai demandé. Que c’est pour me faire plaisir. T’inquiète, ça va l’exciter ta choupette. T’as vu comment elle aime te voir sucer mon zob ? T’as de la chance, c’est une chaude et avec elle tu pourras faire plein de sexe.
Ses arguments étant sans appel, je le laissai faire.
— Tiens ton zob pendant que je rase, branle-toi doucement ça me plaît de te voir mon chéri.
Il me fit mettre debout, me rinça, m’essuya en frottant bien entre mes fesses et me sortit de la baignoire en me soulevant comme une poupée de chiffon en me tenant sous les aisselles. Surpris, je tendis les bras et m’accrochai à son cou. Je restai suspendu. Il en profita pour m’embrasser sur la bouche en enfonçant sa langue. Je la suçotai quelques secondes avant qu’il ne me dépose sur le tapis.
— Maintenant on va te faire le lavement mon chéri.
Il prit la poire, la remplit d’eau tiède et me demanda de me pencher sur le rebord de la baignoire. Il caressa doucement mon petit trou, et de la pulpe de son doigt, appuya légèrement avant d’introduire la canule.
— Je vais vider l’eau et tu serres les fesses jusqu’aux toilettes, OK ?— Oui, dis-je au moment où le liquide jaillit dans mon fondement.
Je courus aux toilettes et il répéta deux fois l’opération. Je me sentis tout de suite plus "ouvert" après ces ablutions intestinales. Mon cul était désormais "opérationnel" pour mon premier rapport sexuel accompli, même si ce n’était pas celui qui était prévu au départ. Pour avoir Leila, il fallait passer par là. Et puis, toute expérience vaut la peine, tant qu’elle est sans contrainte, pensai-je, assis sur le trône, me vidant pour la troisième fois. Après un ultime rinçage et un peu d’huile d’olive pour adoucir, mon hôte m’invita à passer au salon.
— On va boire un coup !! dit-il enjoué.
Sur la table basse, il avait disposé une bouteille de scotch et une de Coca. Des olives dans un bol, un cendrier et tout l’attirail pour rouler des pétards. J’étais déjà bien "cassé", je me dis que le whisky me donnerait un coup de fouet. Deux épais matelas une place recouverts de coussins étaient disposés dans un angle, sur un tapis, et entre les deux, la table ronde où trônaient les réjouissances. Bachir tira le meuble télé au plus près et mit une cassette vidéo. C’était un film avec des transsexuelles sud-américaines à mon avis. Il était gai, voire surexcité. Il nous servit un verre et me fit trinquer à notre santé. Je ne sais pas s’il fêtait tous ses dépucelages de cette façon, mais ce soir, il était en lice pour un doublé........ Un couple de puceaux !!
Assis chacun sur notre matelas, je le regardai plus que le film, son sexe reposait sur le matelas entre ses cuisses et me faisait envie. Je bus mon verre en deux fois, rapidement, pour me griser un peu. Il me resservit un second verre.
— Tu aimes le film ? J’aime les femmes sans chatte qui se font enculer, et toi ? — C’est la première fois que j’en vois qui baisent, et c’est vrai que c’est excitant, homme et femme en même temps. Tu préfères les hommes ou les femmes ? osai-je demander.— Les deux, mais mon premier amour, c’est un jeune minet français comme toi, il y a longtemps à Tanger.
Il aimait beaucoup se faire enculer par des gros zob marocains. Un frisson me parcourut à cette évocation. Le deuxième verre me débrida et sans gène, voulant être aimé comme son minet français, je lui demandai:
— Je peux te sucer encore pendant que tu regardes le film ?— HMMMM !!!!!! Viens mon coquin, fais-toi plaisir, il est tout pour toi ce gros zob mon chéri.
Je me levai, contournai la table basse et tombai littéralement à genoux entre ses cuisses écartées. Toute pudeur noyée dans l’alcool, je pris le sceptre à deux mains, le tenant devant ma bouche encore fermée, pour frotter son gros gland sur mes lèvres. Quel délice ! Cette énorme prune frottant ma bouche, je le gobai, voulant le sentir gonfler et durcir dans ma bouche. Bachir tenait ma tête dans ses mains., caressant mes cheveux du bout de ses doigts.
— Hmmm ! c’est bon mon petit chéri ! suce le bien, oui, suce le gros zob à tonton Bachir !! Tu aimes ça, je le sais, et tu vas adorer que je t’encule ! je vais te faire l’amour à toi, je vais pas te baiser mon chéri.
Ses mots m’excitaient et me donnaient encore plus d’ardeur. Je suçais, tétais, léchais ce sexe comme si ma vie en dépendait et j’aimais vraiment ça. J’avais relevé mon cul et mis mes bras sur ses cuisses, j’entendais les transes jouir sur l’écran, Bachir qui me parlait gentiment de mes trous et de son zob, et moi je suçais, frottais le gland sur mes joues, léchais ses grosses boules velues, et tentais de faire entrer plus que son gland dans ma bouche. J’ai failli vomir et dus m’interrompre quelques secondes. Ma salive coulait abondamment sur son gland, sur mes mains accrochées à la barre dure et tendue. Je ne sais pas si j’étais amoureux de Bachir, mais de son sexe, j’en étais sûr. Je suçais et je poussais ! Je poussais pour ouvrir mon anus. Je poussais pour l’écarter, l’ouvrir, le préparer à recevoir un chibre hors norme. Leila l’avait pris sans trop souffrir, cela atténuait ma crainte.
Bachir lâcha ma tête et passa sa main sur mon dos, le caressa, puis descendit sur mes fesses. Il se pencha, couvrant ma tête de son ventre, et de ses deux mains, caressa mes fesses plus fermement, les écartant, et passant la tranche de sa main dans ma raie. Il me tenait ! ma tête enfouie sous son ventre, bien au chaud, serré entre ses cuisses, je me sentais minuscule. J’avais le gland dans la bouche, les mains sur le manche et je tétais sans relâche, accompagnant de "slurp" gourmands ma succion et en poussant des hmm hmmm hmmmmm de plaisir, sentant un doigt forcer l’entrée. Ça y est !! Il m’enculait !! d’un doigt seulement, mais il m’enculait ! Et puis, il faut dire que la circonférence de son majeur dépassait sûrement celle de certaines queues. Son doigt faisait de légers mouvements, juste à l’entrée, j’en tremblais de plaisir et mes hmm étaient de plus en plus appuyés.
Il tournait ou faisait des aller-retour, tandis que je poussais encore plus fort pour lui faire sentir mon plaisir de lui appartenir.
— Retourne-toi, dit Bachir en se redressant. Viens me montrer ton cul et regarde un peu le film. Je me plaçai à quatre pattes entre ses jambes, exposant mes fesses qu’il écarta à nouveau. Et il commença à passer sa langue sur mon petit trou. Il me léchait l’anus !! — Oh oui....... oui, c’est bon........ oui...... oui, clamai-je au tourmenteur de mes sens.
Il poussait sa langue à l’entrée, et moi je poussais pour bien m’ouvrir à sa caresse. Je bandais et sentais mon sexe mouiller de désir. Mon anus aussi était mouillé de plaisir tellement j’adorais cette intrusion. A cet instant, mon cul était le centre de l’univers. Il stoppa net, et cracha sur le trou, puis commença à promener son gros mandrin dans ma raie trempée de salive et d’excitation. L’appréhension disparaissait au fur à mesure de ses frottements entre les deux globes.
— J’adore ton petit cul bébé ! dit-il en continuant de promener son gland sur mon trou.
Il tapota assez fort juste sur le trou, appuya même un peu. J’étais au comble de l’excitation, j’avais envie de jouir de la bite et du cul.
— C’est bon Bachir, prends-moi si tu veux, lâchai-je comme une supplication.— Tu aimes ça, je le savais que tu aimerais. Quand je vous observais dans le bois, je me branlais en regardant ton cul. Je le voulais. Lève-toi et viens faire un câlin.
Je me levai et vins m’asseoir sur ses cuisses, face à lui, son chibre dans mon dos. Il m’embrassa avec fougue, me serra contre lui, tandis que je me dandinais pour sentir sa bite frotter contre mes fesses. Son odeur m’enivrait. J’avais encore envie de le sucer, de l’embrasser et qu’il m’encule, qu’il me baise et me défonce le cul. — Viens, on va dans ma chambre, je vais te faire l’amour dans mon lit mon chéri.
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