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Leila , moi et notre mentor

Chapitre 8

L'aveu

Gay
Il ouvrit la porte de sa chambre et alluma la lumière, puis sa grosse main posée sur mes fesses me poussa dans la pièce. Et là, ce fut le choc !! Son lit était exactement le même que celui dans lequel je dormais avec ma mère quand j’étais enfant. Un grand lit deux places encadré d’une tête de lit arrondie et assez haute, en bois vernis, et d’un pied identique en plus bas. Exactement le même !! Je n’en croyais pas mes yeux. Etait-ce un rêve ?
— Bachir...— Oui mon chéri ?— Tu as le même lit que ma mère. Il éclata de rire et toujours en se tordant, répondit :— C’est normal, c’est elle qui me l’a donné, et tu étais présent le jour ou je l’ai emmené. — Ah bon ? C’était il y a longtemps, parce que je ne me souvenais plus que c’était toi. — Oui, elle voulait s’en débarrasser, et vu qu’à cette époque, nous étions très amis, elle me l’a donné quand elle a changé le mobilier de sa chambre. — Vous n’êtes plus amis ? Je me souviens vaguement t’avoir vu quelques fois, mais je ne me souciais pas des fréquentations de ma mère. — Nous étions intimes et pour être franc, c’est aussi ta mère qui a laissé la poire à lavement chez moi. Je ne connaissais pas cette chose avant.— Quoi ???? Bachir venait de me suggérer qu’il avait enculé ma mère ????
De honte, je me jetai à plat vente sur le lit et enfouis mon visage sous mes bras.Bachir s’allongea près de moi, et me caressant de sa main bouillante le creux des reins, il me chuchota :
— Ça te choque ? Nous étions amants.Et tout en me caressant délicatement les fesses, il commença le récit de leur liaison. Il me parla de leur rencontre, quand il était arrivé du Maroc et avait pris le job de gardien d’immeuble, me raconta leurs premiers échanges courtois dans la cage d’escalier, puis les coups de main qu’il lui avait donné pour repeindre la cuisine... Mais je me foutais de tout ça. Je pensais seulement au fait que comme moi, elle s’était trouvée là, nue, et avait sûrement sucé comme moi ce gros mandrin marocain, et qu’elle l’avait pris dans son gros cul. Je bandais si fort de l’imaginer couinant, à quatre pattes, en train de se faire défoncer. Elle si froide et pudique, venant se faire baiser par cet étalon, aussi baraqué que vicieux.
Sa main passait et repassait dans la raie de mes fesses, et son majeur appuyant sur ma rondelle à chaque passage me faisait relever le cul pour accentuer la pression sur mon trou. Il embrassait mon dos, tandis que je le sentis glisser vers le bas. Il ne parlait plus, embrassait et léchait le creux de mes reins, puis je sentis ses deux mains écarter mes fesses et son visage plonger contre mon cul. J’avais les jambes serrées et le cul écarté. Il me léchait l’anus, sa langue tantôt plate appuyant, tantôt pointue s’enfonçant me fit gémir et réclamer son chibre.
— Tu m’excites trop Bachir, prends-moi !!!! Baise-moi comme ma mère !
Sans un mot, il glissa hors du lit, se mit debout, et me tira violemment par les hanches. Je me retrouvai à quatre pattes, les cuisses collées contre les siennes, sa queue entre mes fesses humides de sa salive. J’eus un flash, voyant Leila dans la même position, mais très vite, c’est l’image de ma mère qui reprit le dessus. Sa barre glissait dans ma raie, de bas en haut, une main caressant mon dos de façon appuyée, comme pour me creuser les reins et me soumettre à sa prise.
— Tu es prête ma chérie ? Je vais entrer doucement pour que tu t’habitues. Il avait utilisé le féminin, je répondis de la même façon.— Oui, prends-moi mon amour, comme aurait pu dire ma mère.
Je sentis le gland sur mon trou, l’élargir, puis rentrer d’un coup. Ce qui me procura une douleur aiguë et me fit avancer un peu. Il ne bougea pas et caressa mes fesses de façon circulaire, ses pouces autour de mon anus, écartant encore, puis commença à rentrer doucement.
— Aaarrrrhhhhh ! J’empoignai les draps, et collai ma tête sur le lit. J’avais le cul encore plus écarté et plus relevé. Toujours avec ses grosses mains empoignant mes miches blanches et imberbes, il commença à aller et venir. Un frisson partit de mon coccyx et remonta jusqu’à ma nuque, c’était énorme comme sensation. Je me sentais ouvert et embroché comme un goret.
Quel délice d’être enculé par ce mâle qui me besognait méthodiquement ! J’avais envie qu’il accélère, qu’il m’encule !!Je gémissais de plus en plus fort, ajoutant des "oh oui, oh oui", pour l’encourager et lui faire comprendre que j’aimais ça. Chaque mouvement créait une nouvelle sensation. A chaque fois qu’il tapait au fond, nous poussions un "han !! " de concert. J’aimais trop ça. Je voulais être à lui, qu’il me baise toute la nuit. Il me retourna sur le dos, et toujours debout, il mit mes jambes dans le creux de ses bras, et joignit ses mains dans mon dos, me souleva comme une plume, et tandis que je l’attrapais par le cou, il m’empala. Je le fixais du regard, pendant qu’il me faisait monter et descendre, c’était encore meilleur !
— Oh oui !! Vas-y, baise-moi, baise-moi, oh oui, c’est trop bon, n’arrête pas !!! Je devenais hystérique ! Sa queue me rendait hystérique !! Il me lima quelques minutes, et me sentant jouir du cul, un truc improbable se produisit : je me mis à pisser. Un jet saccadé qui fusait dès qu’il poussait et s’estompait dès qu’il ressortait. Je hurlai ma jouissance anale en lui arrosant le ventre. Cela le fit accélérer et m’envoyer des coups encore plus forts, limite violents, mais j’encaissai comme si j’avais l’habitude, avec des "shlok, shlok" sonores, témoins de la dilatation et l’humidité de cet anus, devenu ce soir un trou à bite. C’est dans un hurlement rauque et animal qu’il se répandit dans mon cul, en me serrant contre lui à me briser les côtes. Il s’empara de ma bouche et m’embrassa langoureusement, comme Leila le faisait.
Il me déposa assis sur le bord du lit, le visage en face de sa bite en berne. Elle était luisante de sécrétions, mais pas sale. J’avais confiance en son lavement, alors je la pris dans ma main et me penchai pour téter ce gland qui venait de donner un élan merveilleux à ma vie sexuelle naissante.Je levai les yeux vers les siens et dis :
— Tu me raconteras comment tu enculais ma mère ?
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