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Léna sous emprise

Chapitre unique

Hétéro
Léna sous emprise.
Dans ce récit, mon nom est V. Je suis un "sénior", un homme qu’on dit aussi d’âge mûr, pas encore tout à fait vieux en quelque sorte. En tout cas, je suis tout à fait conscient que l’âge de la retraite s’approche, que je vais avoir beaucoup de temps libre, mais que j’aurai de moins en moins la faveur des femmes, c’est ainsi.
J’ai à peu près entretenu mon corps, pas aussi bien que mon esprit c’est vrai, mais si je me compare à mes collègues du même âge, je peux être assez fier de mon état. Je suis grand, je reste assez svelte, la peau de mon visage n’est pas encore trop marquée, mes cheveux bien blancs contribuent sans aucun doute à me donner du charme.
Cela fait plusieurs années que je suis membre d’un club très sélect qui propose à des jeunes femmes de rencontrer des hommes "riches". J’ai bien réussi ma vie professionnelle, je gagne un salaire confortable, j’habite un appartement de standing en plein Paris, pas très grand, mais avec beaucoup de charme, j’ai une belle maison de campagne en Normandie, mes enfants sont grands et je n’ai plus à m’occuper d’eux, ma femme est partie, ou je l’ai quittée, ou les deux, bref, c’est un détail, je suis un homme libre. Libre, riche, et qui aime passer du temps avec des jeunes femmes.
J’ai déjà eu plusieurs "amies" par le club, je les ai bien traitées, elles m’ont donné du plaisir, et une fois terminées leurs études, je les ai vues partir. Enfin, certaines j’ai dû les forcer un peu, je le reconnais, il n’avait jamais été question d’amour, même si je savais bien qu’elles pouvaient y penser, à 20 ans, c’est finalement assez normal, je pense, et d’ailleurs j’avoue que j’en ai certainement joué. Oui, j’en ai joué souvent, de leur romantisme et de leur naïveté.
Aujourd’hui, je suis libre. Je vais vous parler de Léna, 25 ans il me semble, une belle jeune femme blonde, vraiment belle, que j’ai suivie pendant deux ans environ, peut-être trois, ce ne sont que des détails sans importance.

J’ai donc connu Léna sur le site du club. Elle me plaisait bien physiquement, mais il ne faisait aucun doute aux discussions que nous avions eues qu’elle était un peu nunuche. Je n’ai pas eu de mal à me lier avec elle, c’est en fait tellement simple. Je l’ai invitée un soir à dîner dans un bon restaurant (de toute manière, elle ne savait pas vraiment ce qu’est un "bon" restaurant, comme toutes les autres, donc c’est une notion relative, pas besoin de faire des folies non plus), nous avons beaucoup bavardé (et j’ai dû faire quelques efforts pour déjà la supporter là), je me suis intéressé à ses études, à sa famille qui habitait bien loin de la capitale, si elle avait des amies, voire un petit ami, et enfin comment elle s’en sortait financièrement, la vie parisienne est si chère, n’est-ce pas belle enfant ?
J’ai donc abordé le sujet de notre rencontre.
— Léna, vous me plaisiez beaucoup, je me sens tellement bien avec vous, votre fraîcheur, votre sourire, vos yeux... Je crois bien que tout me plaît chez vous !
(A ces mots et ne se sentant plus de joie... vous connaissez la fable, je suis certain qu’elle aussi d’ailleurs, mais je vous assure que ça fonctionne tellement bien).
— Malheureusement, enfin je veux dire malheureusement pour moi (... une petite inquiétude dans son regard...), je ne suis pas un homme très disponible, même si vraiment vous me plaisez beaucoup.
Un petit silence, je la fixe dans les yeux, elle semble retenir son souffle.
— Alors voilà, je vais au but. Je pense que nous pourrons nous rencontrer tous les deux, comme ce soir, enfin peut-être un peu mieux que ce soir d’ailleurs, deux fois par mois. Si je pouvais vous garantir plus, je le ferais volontiers, mais je pense que deux fois par mois, c’est ce que je peux m’accorder pour être auprès de vous, pour que nous passions un agréable et tendre moment ensemble.
Pas de réponse, elle attend.
— Aussi, Léna, je vous propose de vous offrir 1 000 € par mois pour ces deux rencontres, ce sera un peu plus si je parviens à me libérer, et même si un mois, je ne vous vois qu’une fois, vous garderez les 1 000 €, ce n’est pas le problème pour moi, vous savez, mais je pense que je tiens beaucoup à votre compagnie, vous êtes belle, raffinée, je me sens très fier de vous avoir à mes côtés.— 1 000 € ? Pour deux rencontres par mois ? Euh, mais oui, oui, évidemment V, cela me fait énormément plaisir, vous êtes tellement... Ben je sais pas moi, vous êtes super gentil et tout quoi, donc oui, j’accepte, bien sûr...
J’ai même vu un peu d’humidité dans son regard. Il y a sans doute eu un petit branle-bas dans ses neurones, elle devait calculer aussi vite qu’elle pouvait que 1 000 € par mois, ça représentait plus que son loyer, que ça faisait dans les 500 € par nuit passée avec moi, que bon sang c’était un super coup pour elle, qu’elle n’en revenait pas et que c’était super génial.
— Ooooh Léna, vous êtes vraiment adorable, mais s’il vous plaît, réfléchissez, je ne veux pas que votre décision soit impulsive, vous devez bien évaluer les choses, alors s’il vous plaît, vous me donnerez votre réponse demain ou dans quelques jours, mais ne vous précipitez pas, réfléchissez, ne me répondez pas sous le coup de l’émotion si dans quelques jours, la raison vous amenait à refuser, vous comprenez ?— Oh V, vous êtes vraiment un... euh...— Un gentleman peut-être ?— C’est ça ! Vous êtes vraiment trop chou, je vous adore moi aussi, cela m’a fait tellement plaisir cette soirée avec vous que j’aimerais que ce soit... euh... souvent comme ça quoi.— Et vous êtes adorable Léna. Tenez, dans cette enveloppe, il y a de quoi vous remercier pour cette première soirée formidable, et je suis certain qu’il y en aura d’autres, et même encore plus belles que ce soir. Je me sens comme un adolescent avec vous.
C’est ainsi que j’ai rencontré Léna. Bien sûr, elle a accepté le marché, que j’ai scrupuleusement respecté pendant trois mois.Léna recevait 1 000 € en début de mois, nous calions nos rendez-vous pour le mois, nous les avons tous tenus, sauf un que j’ai dû décommander, sans remettre en question des 1 000 € mensuels. Lors de nos ébats, je restais toujours dans un état, je vais dire, modeste et sans trop d’ambition, la jeune Léna y trouvait du plaisir sans doute, mais je prenais soin qu’elle ne soit pas forcément "comblée".
Ah, et ne pensez pas que je me contentais de deux plans cul dans le mois, car des Léna, il y en avait bien sûr au moins deux autres dans cette période-là.
Un soir, j’ai invité Léna à m’accompagner à un dîner avec un couple d’amis, Pierre et Jocelyne, dans les mêmes âges que moi. Léna était censée me mettre en valeur, flatter mon ego, se montrer cajoleuse et très amoureuse devant mes amis, et elle a parfaitement tenu son rôle. Jocelyne surtout n’a pas été avare de compliments sur les beaux cheveux de Léna, sur sa silhouette parfaite, ses yeux éclatants... enfin bref, tout ce qui était nécessaire, vous le savez, pour que la belle Léna ne se sentant plus de joie ouvre... Bref !
Ce soir-là, Léna est restée passer la nuit avec moi, et contrairement à l’habitude, j’ai fait rugir le moteur. Une petite dose de pilule bleue au bon moment et Léna en a eu pour son compte. J’ai déployé tout mon art pour la faire grimper aux rideaux, comme on dit, et pas qu’une fois dans la nuit. Le matin, c’est une Léna comblée, ravie, et sûrement très amoureuse qui se serrait contre moi.
— Oh V, mon chéri, tu as été super cette nuit, ouaouh, tu m’as défoncée comme j’avais jamais été !
Eh oui, je sais.
Après le petit-déjeuner, avant qu’elle ne quitte mon appartement pour retourner dans sa vie étriquée d’étudiante :
— Merci Léna, tu as été parfaite hier soir au dîner, alors tiens, je t’offre un petit bonus, accepte-le s’il te plaît, tu le mérites largement.— Oooh V, tu es un chou, vraiment, tu es un mec supergénial, merci mon amour, merci.
Elle est partie, j’ai fermé la porte de l’appartement, poussé un grand soupir, ça y est, la petite Léna était mûre pour la phase suivante.

Quelques semaines plus tard, Pierre et Jocelyne nous invitaient à dîner dans leur beau pavillon de la banlieue ouest, à environ 1 heure de Paris intramuros. Pour l’occasion, j’ai choisi avec soin la tenue de Léna, des dessous affriolants "Pour mon plaisir mon cœur, pour mon plaisir de les savoir là, sur ta peau, juste à portée de ma main pendant toute la soirée", une robe légère qui lui seyait parfaitement, je lui ai suggéré un maquillage affirmé, elle était comme une enfant de 10 ans jouant les grandes filles.
La soirée chez Pierre et Jocelyne était parfaitement organisée, musique douce, lumières douces, paroles douces, une cuisine par contre plutôt épicée... Léna était placée au centre de nos discussions, Pierre et sa femme, surtout Jocelyne d’ailleurs, lui posaient toutes sortes de questions, parfois banales, parfois intimes, tout en s’assurant qu’elle ne manquait jamais de vin dans son verre.
Vers 22h30, mon téléphone vibre. Je me lève de table, m’excuse, me rends dans le couloir. Quelques minutes plus tard, je fais un signe à Jocelyne à travers la porte, qui me rejoint dans le couloir.
— Alors Joce, c’est bon, on fait comme convenu ?— C’est parfait V, je suis toute émoustillée... Tu veux toucher ?— Joce ! Tu es insatiable. Traitez-la bien, d’accord ?— Promis V, sois tranquille.
Nous retournons dans le salon :
— Les amis, j’ai un problème au bureau, je vais devoir m’y rendre d’urgence, je suis vraiment désolé pour notre soirée. Léna, ce n’est pas du tout en direction de Paris, alors j’ai demandé à Jocelyne si tu pourrais rester ici pour la nuit, je repasserai demain matin et je te ramènerai chez toi. Tu es d’accord ?
Tout le monde a été d’accord, et tellement désolé.
Léna est donc restée la nuit avec Pierre et Jocelyne qui se sont vraiment très bien occupés d’elle, elle a bu, elle a dansé, elle s’est effeuillée, elle s’est fait baiser et elle a joui, et enfin s’est réveillée dans le lit conjugal de mes amis, entre Pierre et Jocelyne, avec une gueule de bois et l’intimité toute mouillée.
Je suis passé la prendre en milieu de matinée, j’ai salué mes amis en les remerciant d’avoir accepté de dépanner Léna (dépanner, est-ce bien le bon mot ?), et nous sommes partis en direction de Paris. Jocelyne avait "remercié" Léna par une petite enveloppe qui contenait 1 000 €. Pendant tout le trajet, nous avons peu parlé, Léna semblait absorbée dans des pensées tumultueuses : que s’était-il passé ? M’avait-elle trompée ? En fait nous ne sommes pas mariés non plus, alors ? Est-ce que je dois lui dire ? Est-ce que je dois aussi lui dire qu’ils m’ont donné 1 000 €, et que Jocelyne m’a demandé mon numéro de téléphone ? Et que je le lui ai donné sans même me poser de question ?
J’ai déposé Léna chez elle, suis monté avec elle juste le temps de l’embrasser et lui dire à quel point j’étais désolé pour la soirée, que j’espérais qu’elle ne s’était pas ennuyée avec un couple de mon âge qu’elle connaissait à peine, elle n’a rien lâché, a gardé pour elle le déroulement de la nuit et la récompense qu’elle a "gagnée".
Je suis parti satisfait, Léna était entrée dans le grand jeu.

J’ai bien sûr continué de revoir Léna comme convenu, deux fois par mois, avec de temps en temps une annulation de ma part. Je savais qu’elle avait revu Pierre et Jocelyne, qu’elle avait maintenant dans les 2 000 à 2 500 € minimums tous les mois, ce qui est beaucoup a priori pour une jeune étudiante, mais qui devient tellement peu lorsqu’on prend l’habitude de dépenser en vêtements de marque, en maquillage, en coiffeur et manucure, voire même en taxi, puisqu’on en a les moyens, autant échapper aux miasmes du métro.
Les études de Léna ont finalement mal tourné, j’ai même compris qu’elle n’avait pas pu finir son cursus. Pierre et Jocelyne l’ont entraînée dans d’autres rencontres, j’ai mis un terme à notre contrat, cela ne l’a pas gênée, elle avait maintenant d’autres "souteneurs", elle était bien lancée. Je l’ai croisée par hasard quelques années plus tard, en participant à une "grande fête" parisienne. Elle avait vieilli, mais restait toujours belle, elle ne m’a pas reconnu apparemment, il faut dire qu’à ce moment-là, elle était vraiment... très occupée. J’ai appris à l’occasion qu’elle avait eu de petits rôles dans des séries télévisées grâce à une de ses relations, et aussi qu’elle avait tenu un plus grand rôle dans quelques productions pour adultes.
Moi aussi j’ai vieilli. Je suis toujours inscrit dans ce club et j’ai toujours au moins une petite amie à entretenir, ce n’est pas ce qui manque par les temps qui courent. Certes, elles ne finissent pas toutes comme Léna, certaines ont l’intelligence de dire non au bon moment et de revenir à un style de vie plus pérenne, mais croyez-moi, il n’y a pas pénurie de matière première pour nos réseaux.
A chaque fois qu’une de ces jeunes femmes entre dans la danse, que je la présente à des amis, j’ai une petite rétribution, cela forme une espèce de chaîne qui apporte aux plus actifs des membres du club une belle rente, même si chaque fille finit par rapporter de moins en moins au cours du temps, jusqu’à ce qu’elle soit tellement "éloignée" de sa source que l’on perde la mémoire de celui qui l’a introduite dans le circuit. Le principe est simple : j’investis environ 5 000 € sur une fille (donc 4 à 5 mois en comptant les bonus occasionnels), et lorsque je la mets en d’autres mains pour une première fois, je reçois 10 000 €. C’est ce que j’ai reçu de Pierre et Jocelyne, j’aurais pu présenter Léna à d’autres personnes encore, mais je m’en suis tenu à un seul contact avec elle. Lorsqu’ils ont présenté Léna à un autre membre, ils ont reçu à leur tour 10 000 €, en ont gardé 5 000 et m’ont donné la part qui me revenait, 5 000 €.
Après cela, je suis toujours rétribué pour toutes les fois où c’est Pierre et Jocelyne qui la présentent à un nouveau membre, mais je ne reçois rien si c’est un membre qui a reçu la fille de Pierre et Jocelyne qui la présente à un autre membre. Alors seuls Pierre et Jocelyne reçoivent 5 000 €. Simple, assez sûr, car nous ne remettons une fille qu’à une connaissance avec qui on est en confiance.
Je ne vais pas dire que je sois fier de moi, non, assurément, je suis plutôt cynique et sans scrupule, mais je n’ai jamais fait de mal à une fille, ni ne l’ai jamais obligée à entrer dans ce circuit. Celles qui l’ont fait l’ont toujours fait de leur plein gré, elles ont toujours eu le moyen de sortir du réseau, un certain nombre d’entre elles ont su le faire, à la fin de leurs études par exemple, en trouvant un premier emploi, et c’est tant mieux pour elles. Celles qui restent le font soit par goût, soit par stupidité, et sincèrement bien plus souvent par stupidité que par goût. J’ignore où elles "finissent", j’ignore si elles plongent dans la prostitution de réseau ou dans la drogue ou dans la maladie, je sais simplement que moi, V, de la façon dont j’agis, je ne suis que celui qui ouvre la porte d’une possibilité pour ces jeunes femmes. Après, c’est leur destin qu’elles engagent.
Si Léna n’avait pas fait le choix de se taire après la nuit avec Pierre et Jocelyne, si elle s’était confessée, voire si elle m’avait demandé conseil, je lui aurais expliqué ce qu’elle risquait et ce qu’elle pouvait y gagner, et elle aurait peut-être fait un autre choix, plus responsable. En choisissant de dissimuler les choses, elle a fait le choix de continuer.
Ah, j’ai rendez-vous ce soir avec... comment s’appelle-t-elle déjà ? Bon sang, ma tête me trahit, il faut que je prenne des notes maintenant... Voyons... Ah, c’est ça, j’ai rendez-vous avec Marianne. Bonne soirée à vous aussi.
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