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Le lendemain de l'anniversaire de ma fille adoptive

Chapitre 1

Hétéro
Le lendemain de l’anniversaire de ma fille adoptiveTout a commencé il y a plusieurs années. J’ai fait la connaissance de ma compagne en utilisant Internet sur un site de rencontre de femmes africaines. Après des mois de discussions, de démarches administratives, de courriers officiels aux ambassades, Anissa arrive en France avec sa fille Mina.
Anissa est âgée de 36 ans. Belle femme africaine avec un visage fin toujours souriant et des lèvres pulpeuses. Son corps appelle aux caresses avec de gros seins en formes de pastèques aux fines aréoles, des hanches fines, des fesses larges et rondes. Son caractère fort et autoritaire est un atout pour son poste de directrice. Ma relation avec Anissa fut tout de suite câline, aimante. Mais j’ai vite compris qu’elle ne voulait pas de ce genre de relation douce et calme, elle voulait quelque chose de plus intense, sauvage. On a passé des nuits et parfois des journées entières à baiser. Elle accepte tout, cunnilingus, levrette, fellation, sodomie.
Sa fille Mina, maintenant ma fille adoptive a le même caractère que sa mère et les discussions entre les deux femmes sont parfois difficiles, voire impossibles. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai essayé de réconcilier les deux femmes, de trouver un terrain d’entente. Anissa lui répétait sans cesse "Tu feras ce que tu voudras quand tu auras 21 ans".
Agée dans quelques jours de 21 ans, Mina a décidé d’organiser une fête pour son anniversaire avec des amies. Tout est prêt. On a décidé avec Anissa de lui laisser la maison pour la journée, mais lorsque nous rentrerons, tout devra être rangé et nettoyé.
— Oui c’est d’accord, répond Mina assise sur un tabouret. Elle est aussi belle que sa mère. Son visage tout aussi fin sans les lèvres pulpeuses lui donne un air coquin. Son physique est un appel aux caresses avec sa grosse poitrine serrée dans un body blanc et son petit cul couvert par une jupe courte. Je dois avouer qu’elle est excitante. Tout en discutant avec sa mère qui lui donne les dernières recommandations, elle me regarde de travers avec un petit sourire, posant un doigt sur ses lèvres, ouvrant et fermant les cuisses légèrement dans un mouvement discret. — Joyeux anniversaire ma fille ! lui dit sa mère après l’avoir embrassée. — Joyeux anniversaire, dis-je à mon tour alors que Mina se jette à mon cou.— Meric merci ! répond-elle en me serrant dans ses bras. Je sens sa poitrine s’écraser contre moi, son bas-ventre se frotter contre mon pubis. Puis elle s’écarte de moi en jetant un dernier regard vers ma braguette.
Il est dix-huit heures lorsque nous arrivons devant la maison. Tout est calme. Avant de rentrer, Anissa marche le long de la haie pour faire le tour de la maison. Elle écarte un peu les feuilles pour regarder et voir ce qui s’y passe. Je la vois écarquiller les yeux et faire un "Oh" de surprise en silence. Elle me fait signe d’approcher. Je regarde à mon tour et je reste aussi surpris qu’elle. Il y a un jeune homme assis sur une chaise avec une jeune femme blonde à genoux entre ses cuisses en train de le sucer. Sous la véranda, Mina est allongée sur une chaise longue, le body remonté sur sa poitrine avec une jeune femme brune en train de lécher et sucer ses tétons. Toutes les deux ont une main glissée entre les cuisses de l’autre. Anissa me pousse avec son épaule pour voir à nouveau. Je la vois passer alors la langue sur ses lèvres pulpeuses.
— La coquine, dit-elle alors " C’est bien ma fille... aussi chaude que sa mère " ajoute-t-elle en posant une main sur son sein dont elle pince la pointe à travers son tee-shirt.
Je m’approche d’elle, me plaçant dans son dos. Elle tourne la tête en souriant. Elle passe une main dans son dos pour déboutonner mon pantalon, je sors ma bite qu’elle s’empresse de caresser, de branler pour me faire durcir. De mon côté, j’ai soulevé son tee-shirt pour libérer ses gros seins, je pince, tire sur les tétons qui ne tardent pas à durcir. Anissa gémit doucement. Elle continue de regarder les jeunes qui n’ont pas bougé de place et continuent à se donner du plaisir. Anissa me fait face et s’agenouille pour me sucer, lécher mes couilles. Elle passe sa langue sur le gland, enfonce ma bite maintenant dure à moitié dans sa bouche. Je vois qu’elle ouvre sa mâchoire au maximum pour enfoncer ma queue le plus loin possible. Elle salive beaucoup. J’écarte les feuilles pour voir où en sont les jeunes. La blonde suce toujours son ami alors que la brune s’est glissée entre les cuisses de Mina lui relevant sa jupe en plaquant sa bouche sur la chatte rasée.
Anissa se relève et plaque ses fesses contre ma bite dressée et couverte de salive. Après avoir passé plusieurs fois le gland dans sa raie profonde, elle le plaque sur son anus qui cède facilement.
— Hhummm, gémit-elle en plaquant sa main sur sa bouche. ’ Vas-y " dit-elle doucement " baise-moi ".
Je l’attrape par les hanches et m’enfonce entre ses fesses qu’elle écarte. Je commence de lents va-et-vient. Anissa avance et recule son bassin pour aller à l’encontre de ma bite.

— Vas-y plus fort !.
Je claque alors plus fort mon pubis contre ses fesses, ses seins rebondissent à chaque coup de reins. Elle glisse une main entre ses cuisses pour se caresser le clito et aussi mes couilles. Après quelques minutes de cette baise rapide et intense, elle jouit en se mordant l’avant-bras pour étouffer ses gémissements. Je pousse une dernière fois pour éjaculer dans son cul. Après avoir refermé la porte derrière nous, Mina entre dans la maison, accompagnée par ses amis. On constate que la maison est rangée, propre, deux sacs poubelles dans la cuisine.
— Comment ça s’est passé ? demande Anissa s’asseyant dans un fauteuil.— Bien... très bien, répond Mina en tirant sur sa jupe.— Je suis contente de voir que pour une fois tu m’as obéi, dit Anissa en regardant les adolescents. Les amis de Mina s’en vont.
Je suis sous la douche. Anissa est partie à son travail. Mina est encore dans sa chambre. Enfin... c’est ce que je croyais. A travers la porte vitrée de la douche, je peux voir le reflet de la porte de la salle de bain dans le miroir au-dessus du lavabo. Et dans le reflet du miroir, je vois Mina dans l’encadrement de la porte. Je suis d’abord surpris de la voir là puis je sens une petite excitation de me faire mater ainsi. En continuant de me laver, je jette parfois un rapide coup d’œil dans le miroir. Mina est vêtue seulement d’une culotte debout derrière la porte, une main entre les cuisses et l’autre agrippée sur un sein dont elle tire la pointe. Je coupe l’eau et sors de la douche. Mina disparaît un court instant avant de pencher la tête dans l’entrebâillement de la porte. C’est à cet instant que j’ouvre la porte, lui prends le poignet et la tire vers moi dans la salle de bain.
— Ooh noon ! dit-elle " désolée... je suis désolée... je ne voulais pas...".*
Elle tente de se cacher derrière ses bras. Elle bute sur le lavabo et retombe assise sur la cuvette des toilettes. Je suis nu debout devant elle. J’essaye de prendre un air sérieux, mais je n’y arrive pas et je commence à rire. Mina me regarde sans savoir quoi penser de la situation.
— Pourquoi ris-tu ? me demande-t-elle.
Je m’approche et prends appui sur le lavabo. Assise sur les toilettes, son visage n’est qu’à trente centimètres de mon sexe.
— Eh bien... tu es désolée d’être prise en train de mater un homme sous la douche... nos regards se croisent " par contre tu t’exhibes volontiers sous la véranda avec ton amie entre tes cuisses ".
Je vois dans son regard un moment de panique. Elle cligne rapidement des yeux, elle se passe une main derrière la nuque.
— Et ouiii, dis-je en croisant les mains devant ma bite. " On a tout vu avec ta mère hier avant de rentrer ".
Elle me regarde en ouvrant la bouche, étonnée par cette révélation.
— Tu veux dire que maman est au courant... et merde ! finit-elle par dire en prenant sa tête dans les mains et posant ses coudes sur ses genoux.— On a trouvé ça excitant d’ailleurs.
Mina a la tête à moins de dix centimètres de ma bite que je caresse du bout des doigts.Et j’ajoute : " On a baisé rapide, mais intense en te matant avant de rentrer ". Mina se redresse. Elle sourit. Son regard passe de mon visage à ma bite cachée dans mes mains, puis revient sur ma figure.
— Ah oui, dit-elle en se passant une main sur la cuisse, posant l’autre sur un sein qu’elle masse, serre entre ses doigts. Elle ferme les yeux, passe sa langue sur ses lèvres. " Et bien si tu veux tout savoir, je vous ai matés plusieurs fois, maman et toi. J’adore vous voir baiser et je me caresse, me masturbe en même temps ".
Avec cet aveu, je commence à bander. Mina le remarque. Elle écarte un peu plus les cuisses.
— J’aime vous entendre crier, gémir, ça m’excite encore plus, ajoute-t-elle en glissant une main dans sa culotte. Elle se caresse quelques secondes avant de porter ses doigts humides à sa bouche.
Je retire mes mains de devant ma bite. Le gland est à moitié décalotté. Mina enfonce deux doigts dans sa bouche et mime une fellation en regardant ma bite gonfler.
— Hhummm... c’est beau, dit-elle en suçant ses doigts.— Puisqu’on en est aux confidences, on sait, ta mère et moi, que tu nous mates.
Elle relève la tête comme paralysée en gardant les doigts enfoncés dans sa bouche.
— On t’a vue dans l’ouverture d’une porte ou à genoux derrière une table. Et même cachée dans un placard de la chambre où tu pensais être à l’abri, annonçais-je en tirant sur la peau pour découvrir entièrement le gland.
Mina se balance d’avant en arrière sur la cuvette des toilettes, se rapprochant un peu plus à chaque fois de ma bite maintenant dure. Je tends le bras pour lui caresser la joue, elle penche la tête. Ses doigts se referment plus fort sur son sein faisant jaillir le téton qu’elle pince de l’autre main. Je m’approche. Le bout de ma bite est sous son nez. Elle relève la tête pour me fixer. Elle pose timidement une main sur ma bite, referme ses doigts autour.
— OOuuaa ! dit-elle en souriant. Elle n’arrive pas à en faire le tour. Elle fait glisser sa main sur ma queue. Elle ouvre la bouche et sort sa langue qu’elle pose sur le gland. Puis ses lèvres se referment sur le bout de ma bite. Elle tète le gland, passe la langue dessus, autour, puis lèche ma queue sur toute la longueur. Je ferme les yeux pour apprécier la caresse.
Je la prends par les épaules et la relève face au lavabo. Chacun fixe le reflet de l’autre dans le miroir. Je glisse mes mains sur son ventre, remonte vers ses seins que j’empoigne, que je masse. Les tétons durs se dressent entre mes doigts, je tire dessus en les faisant tourner. Mina gémit doucement. Elle frotte ses fesses contre ma bite dressée. Puis je glisse une main entre ses cuisses. Sa culotte est toute mouillée. J’appuie dessus, frottant avec deux doigts son bouton encore caché sous le tissu.
— Oouuiii, lâche-t-elle en soufflant. Elle pose ses mains sur le bord du lavabo, écarte un peu les jambes et cambre les reins. Je baisse alors sa culotte et pose ma main sur sa fente humide et rasée. Elle ferme les yeux, se mord la lèvre inférieure lorsque j’enfonce deux doigts entre ses lèvres gonflées de sang. Je ne tarde pas à trouver son clito.— C’est booonn ! crie-t-elle en pliant les genoux.
Mes doigts s’enfoncent en elle rapidement. La paume de ma main vient écraser son bouton, lui procurant encore un peu plus de plaisir. Mes doigts sont couverts de mouille. Elle remue son bassin d’avant en arrière pour venir à l’encontre de mes doigts. Je lui embrasse les seins, suçant, aspirant ses tetons. Après avoir frotté ma bite entre ses fesses et frappé sur son petit cul, je les masse, je les claque. De cette façon elle projette son bassin en avant pour échapper à la fessée, mais de l’autre côté elle l’avance pour accentuer la pénétration de mes doigts.
— Je vais jouir, dit-elle en se cramponnant au lavabo. Je sens ma main qui se couvre de mouille, j’enfonce mes doigts plus vite et plus loin en elle. Son corps tremble, ses jambes ne la retiennent plus. Je passe un bras autour de sa taille pour la soutenir. Son visage se crispe, elle ouvre la bouche comme si elle manquait d’air, aucun son ne sort de sa gorge. Elle plie encore les genoux et referme avec force ses cuisses. Son sexe se contracte sur mes doigts, j’écrase la paume de ma main sur son clito que je sens dur. — C’est boooon ! crie-t-elle. Je suis obligé de la soutenir pour ne pas qu’elle tombe.
Je la dépose sur la cuvette des toilettes. Ses jambes tremblent encore un peu. Sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration courte et rapide.
— Merci, dit-elle après plusieurs minutes alors que j’enfile un caleçon.— De rien, répondis-je. " Bon anniversaire Mina ".— Comment s’est passée la journée ? nous demande Anissa quand on s’assoit pour prendre le repas du soir.— Bien, dis-je en servant le vin.— Très bien même, reprend Mina en souriant.
Anissa nous regarde tour à tour puis sourit à son tour.— Qu’est-ce que vous avez encore fait tous les deux ?.
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