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Lendemain de soirée

Chapitre 1

Erotique
10h00, je suis dans la cuisine en train de prendre mon petit-déjeuner.Tout le monde dort dans la maison. Quelques heures plus tôt, de notre chambre sortait un concert de gémissements, de mots crus, de bruits humides mais là, seuls vos respirations apaisées viennent troubler le silence de ce matin calme.Dans le salon, la cheminée fait entendre ses bruits et craquements alors que dehors un timide soleil hivernal éclaire le jardin brillant de givre. La nuit a été aussi froide à l’extérieur qu’elle était chaude à l’intérieur.Je m’installe devant la cheminée et ferme les yeux pour revoir toutes les images que mon esprit a pu enregistrer durant ces dernières heures. Je revois Agnès dans sa tenue de soumise, François dont l’excitation montante était visible en train de défaire quelques boutons de chemise et toi, excitante dans ta guêpière et tes bas.Je te revois, à genou devant le canapé, en train de libérer François de son carcan de tissu puis, le prenant en mains et en bouche, tu l’emportes vers l’extase.Image suivante : tu partages le plaisir de ton amant avec sa femme dans un long et tendre baiser.Machinalement ma main droite est passée sous mon boxer et commence des aller-retour sur ma pine tendue.Je revois maintenant ton visage encadré par les cuisses d’Agnès, tes yeux qui semblent me dire « mais qu’attends tu pour la prendre ? » pendant que ta langue était en pleine action sur son clito puis mon gland qui se presse sur son exquise rosette. J’ai l’impression de ressentir à nouveau le plaisir de la pénétration de ce fourreau chaud, humide et si habile à m’emmener vers le plaisir.Je suis en train de me remémorer ta dernière jouissance, empalée sur François et avec mes doigts dans ton petit trou lorsque je sens une présence derrière moi. Je n’ai pas besoin d’ouvrir les yeux pour reconnaitre cette démarche, ce parfum.— Approche ma belle et viens t’occuper de moiSans un mot, en douceur, Agnès s’agenouille entre mes jambes et commence à me caresser les bourses, le sexe. J’ouvre alors les yeux pour l’admirer à l’instant où elle me prend en bouche pour m’administrer une des fellations torrides dont elle a le secret. Je ne connais qu’une seule autre femme capable de me procurer autant de plaisir avec sa bouche : notre amie Vanessa qui n’a malheureusement pas pu se libérer ce week-end.La douce Agnès, ma belle docile, la poupée que je rêvais de trouver et avec laquelle je peux jouer pour notre plaisir à tous. Je voulais une soumise, une poupée que je pourrais façonner à mon gré et j’ai trouvé ma docile Agnès. Pas soumise, pas esclave, pas rebelle, non, docile. Dès lors que nous entrons dans le jeu, tu deviens ma poupée. J’ai appris à te connaitre, à deviner tes désirs et tes limites, je sais quand et comment te les faire franchir. Rappelle-toi notre première rencontre et regarde aujourd’hui ce que tu es devenue. Tu étais une jolie jeune femme tel qu’il y en a des millions et te voilà aujourd’hui un fantasme vivant. Combien d’hommes rêvent de posséder, ne serait-ce qu’une fois, une femme telle que toi ? Combien de femmes rêvent de devenir un jour comme toi ?La complicité qui règne entre nos deux couples, la complicité de ton mari et de ma femme ainsi que la confiance dont tu m’honores au quotidien sont bien évidemment le ciment de notre relation.— Arrête ma douce, viens sur moiToujours sans un mot, tu remontes lentement en embrassant mon ventre, mes pectoraux, mon cou et, à l’instant où tu poses tes lèvres sur les miennes, tu guide mon pénis dans tes douceurs exquises.Seul un doux gémissement filtre entre tes lèvres. Avec une lenteur qui confine à la torture, tu t’empales sur mon pieu dressé vers le ciel. Combien de fois t’ai-je prise ? Combien de fois t’ai-je défoncée, baisée, enculée, souillée ? Peu importe le nombre, c’est toujours un ravissement.Entends-tu à l’étage les gémissements, les râles et les soupirs que poussent nos conjoints ? Oui car tu me souris et tes yeux pétillent de malice.Je n’aurais pu imaginer de meilleurs complices pour notre couple que vous. Nous étions vraiment faits pour nous entendre.Ton regard se voile, le plaisir n’est pas loin… un regard suffit pour que tu comprennes et change d’orifice. Mes mains se posent sur tes seins, ton petit cul descend doucement sur mon pieu, mes doigts prennent en étau tes petits tétons si sensibles. Des frémissements commencent à agiter tes longues jambes, signe que ton plaisir est imminent. Je vois dans tes yeux que tu n’attends plus que mon accord pour jouir mais je ne t’y autorise pas encore, je préfère mordiller tes tétons, jouer avec tes seins…— Jouis ma douce— Huuuummmm, merci, me susurres tu— Lèves toi— Mais tu n’as pas joui…— Pas encore ma douce, pas encore….
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