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Léo le cambrioleur

Chapitre 2

Hétéro
Léo avance et découvre une chambre assez petite, mais coquette, plutôt bien décorée. Au centre, un lit deux places.
— “Couche-toi sur le lit”
Léo obéit, il vaut mieux attendre le bon moment pour tenter une sortie. Même nu, ça vaudra toujours mieux que la prison ! Léa ouvre un tiroir de sa main gauche, tout en pointant son arme sur Léo de la main droite. Elle en ressort deux paires de menottes qui ne ressemblent en aucun cas à des jouets. Elle jette la première paire sur le lit au pied de Léo :
— “Attache ça à ton poignet et au barreau du lit” ordonne-t-elle.
Léo écarquille ses grands yeux verts. Elle ne va quand même pas oser l’attacher en attendant la police ? Si c’est le cas, il est foutu. La chance a tourné cette fois-ci et il est tombé sur une psychopathe.
— “N’appelez pas la police s’il vous plaît" supplie Léo, tout en attachant la menotte à son poignet gauche et l’autre au barreau du lit. Mieux vaut coopérer... pour le moment.— “Il va falloir être très gentil avec moi pour ça...” En disant cela, elle accroche la deuxième menotte au poignet droit de Léo et à un autre barreau du lit.— “Je... je ferais tout ce que vous voulez”— “ça, c’est un bon début”.
Tout en souriant, après s’être assuré que sa victime était bien attachée, Léa se lève, dépose son arme sur la petite commode, et se déplace pour faire face à son voleur au bout du lit. Soudain elle enlève son t-shirt et laisse découvrir une superbe poitrine entourée d’un soutien-gorge noir en dentelle. Puis ses gestes se font félins, érotiques. Doucement elle retire son string, visiblement elle se délecte de la situation : elle prend son temps. Sensuellement, elle rejoint Léo sur le lit et dépose des baisers sur ses abdos tout en lui caressant le sexe. Ses caresses sont précises et excitantes : tendrement elle malaxe les parties intimes de Léo, soudain elle retire ce boxer qui la gêne dans son entreprise. Elle délivre alors la verge de 18 centimètres de son cambrioleur, dure et gonflée par ces stimulations.
Visiblement Léa est agréablement surprise par la taille et la réaction qu’elle a su susciter. Elle ne peut s’empêcher d’observer ce beau membre gonflé de longues secondes tout en mordant sa lèvre inférieure. Elle croise alors le regard fier de Léo qui lui sourit timidement. Cela la sort de sa contemplation, elle lui retourne son sourire, puis tout en continuant de regarder son bandit dans les yeux, elle se met à le branler doucement avec sa main droite. Elle continue son mouvement, augmente la vitesse rapidement, s’arrête, change de rythme et recommence. Léo ne sait plus où il en est, il n’arrive plus à réfléchir, partagé par la peur et le plaisir. C’est une psychopathe c’est sûr, mais qu’est-ce que c’est bon ! Il est au bord de l’extase, ses yeux se ferment pour profiter au mieux des caresses de sa tortionnaire. Il va jouir...
Et soudain tout s’arrête. Il rouvre les yeux et se retrouve face à un pistolet pointé sur lui. Au bout, la jeune femme le regarde d’un air grave. L’espace d’un instant, la peur le submerge, elle semble vouloir tirer.
— “Maintenant, suce-moi !”
A peine ces paroles prononcées, elle pose violemment son vagin sur les lèvres de Léo. Ce dernier est tellement soulagé de s’en tirer à si bon compte qu’une poussée d’adrénaline parcourt tout son corps et son excitation monte en flèche. Sans plus attendre, il décide d’obéir à cet ordre qui lui convient tout à fait. Avec ardeur il lèche, suce, aspire l’intimité de la jeune femme. Celle-ci se cambre, mouille abondamment, et ne peut empêcher des petits cris de plaisir de sortir sous les assauts de la langue de son voleur.Durant encore plusieurs minutes, Léo joue avec son clitoris, parcourt ses lèvres avec sa langue. Les effets de ce traitement sont visibles sur le visage de Léa : ses yeux sont fermés, son visage est rougi par l’excitation.

— “Hmm c’est trop bon... tu suces mieux que tu voles dis donc” s’exclame Léa dans un râle de plaisir.

Tremblante, elle retire son étreinte et pose son arme sur la table de chevet.
— “Pitié, détachez-moi et laissez-moi partir”, supplie Léo, en forçant sur les menottes. Mais celles-ci restent bien accrochées au barreau du lit.
La jeune femme, pour toute réponse, ouvre le tiroir de sa table de chevet en sort un élastique et attache ses cheveux en chignon. Cela lui donne un aspect autoritaire très sexy qui impressionne tout de suite un peu Léo. Elle semble reprendre son souffle. Elle lui sourit. Le jeune homme ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire en retour. C’est vraiment une très belle femme, pense-t-il. Du genre qu’on se retourne dans la rue qu’on juge d’un coup d’œil sur le physique sans pouvoir savoir si elles ne sont pas un peu folles.
Absorbé par ses pensées, Léo ne voit pas la main de la jeune femme plonger dans le tiroir de sa table de chevet et en sortir un préservatif. Quand il l’aperçoit enfin, elle est déjà en train de déchirer le papier d’emballage d’un geste vif et expérimenté.
— “Mais qu’est-ce que vous faites, vous êtes folle !” s’exclame Léo.
Léa affiche alors une moue boudeuse de petite fille.
— “Je ne te plais pas ?”— “Non enfin si si, mais ce n’est pas la question”— “Si on le fait... Je te relâche après”.
Le cambrioleur n’en croit pas ses oreilles. Son cerveau réfléchit à mille à l’heure. Il va peut-être s’en sortir finalement... Sauf si elle ment ? Mais en posant le pour et le contre ce qu’elle lui propose n’est pas désagréable du tout, bien au contraire. S’il accepte et qu’elle dit la vérité, il passe un bon moment et en plus il s’échappe. Si elle se joue de lui, il passe un bon moment et il passe par la case prison. Mais s’ il refuse là maintenant c’est sûr c’est la case prison tout de suite.
— “Promis vous me relâchez ?” propose soudainement Léo à la suite de sa réflexion.— "Promis !” sourit Léa.— “Alors d’accord... Mais vous pouvez me détacher maintenant, promis je ne vais pas m’échapper.”
Léa lui sourit alors doucement, se mordille la lèvre inférieure et chuchote presque :
— “Je préfère ne pas prendre ce risque. Tu m’excuseras de ne pas faire confiance à un cambrioleur.”— “Mais comment voulez-vous que...”
Léo ne finit pas sa phrase. La cause : Léa vient de placer le préservatif sur ses lèvres et se dirige en direction du sexe de son malfaiteur. Délicatement, la jeune femme dépose la capote sur la verge en érection, puis, avec agilité, elle déroule le préservatif sur le membre gonflé avec ses lèvres. Malgré le fait que la protection soit maintenant entièrement mise en place, Léa continue de jouer avec sa bouche et ce membre élargi et plastifié. Elle passe la langue de bas en haut, l’avale entièrement, l’aspire avec ses lèvres. Elle semble se régaler. Léo est en extase, il se concentre pour ne pas jouir tout en observant la scène avec ébahissement.
— “Hmmm J’adore la fraise”, s’explique Léa pour répondre aux yeux ronds d’étonnement de Léo.
Celui-ci remarque enfin que son sexe est, en effet, entouré d’un plastique rose. La jeune femme s’arrête alors de sourire et regarde Léo sévèrement. Ses changements d’humeur brusque et soudain déstabilisent Léo depuis le début : soit elle joue à lui faire peur, soit elle est vraiment folle. Léa, tout en continuant de le fixer avec son regard grave, monte sur Léo pour se retrouver à califourchon sur lui. Son sexe touche presque le sexe de son voleur. Puis, très sévèrement elle lance :
— “T’as essayé de me voler, je vais te violer”.

En prononçant ces mots, elle introduit le sexe du jeune homme en elle. Léo ne proteste pas : il a trop peur qu’elle s’arrête. Lui aussi en a envie et peut-être même plus qu’elle. Les deux mains sur son torse, elle le chevauche, les mouvements de son bassin sont lents, sensuels, et parfaitement exécutés. Elle profite de chaque centimètre du sexe en érection et, à chaque impulsion, elle pousse un gémissement de plaisir. Le “supplice” de Léo dure de longues minutes, il est au bord de l’explosion. Alors pour mieux pénétrer sa tortionnaire, il s’agrippe soudainement aux barreaux du lit. Cette dernière interprète cette réaction comme un signal : elle accélère considérablement ses mouvements de bassins, ses va-et-vient se font de plus en plus vite et de plus en plus violents, ses gémissements deviennent des cris puis des hurlements. Les deux amants improvisés jouissent alors à l’unisson, leurs gémissements remplissant les murs de la petite chambre.
Léa s’extirpe du sexe du jeune homme qui est toujours solidement attaché et haletant. Il peine à reprendre son souffle, il semble exténué, mais comblé à voir son sourire sur son visage. Son amante, tout en récupérant son souffle également, enlève le préservatif et d’un geste aguerri effectue un nœud solide pour enfermer la semence de son voleur.
— “Pour les preuves ADN” lance-t-elle à Léo avec un sourire provocant.
Sans dire un mot de plus, elle tourne le dos au cambrioleur et quitte la chambre avec la pièce à conviction. Léo n’en croit pas ses yeux... Elle va appeler les flics c’est sûr ! Mais elle ne va quand même pas leur donner la capote comme preuve ! Cette fille en est capable... Elle est folle ! Magnifique, mais folle ! Il s’est bien fait avoir ! Furieux, il crie :
— “Vous m’aviez promis de me libérer !”. Aucune réponse.— “Oh !! Vous m’entendez !!”. Toujours rien.
De longues minutes passent... Il imagine déjà la scène : il est nu, toujours attaché à ce lit et devant lui des policiers hilares qui n’ont plus qu’à l’arrêter. “Pas besoin de lui mettre des menottes il en a déjà”. Quelle honte ! Ca ne peut pas finir comme ça ! Mais il a beau essayer de se détacher, les menottes sont solidement attachées à son poignet et au barreau du lit. Qui plus est ces derniers sont résistants, impossible de les casser ou de les déboîter ! Soudain des voix dans la pièce d’à côté. Léo tend l’oreille. Des cris, un silence, un chuchotement... des rires ! Il y a sûrement plusieurs personnes, mais d’ici impossible d’écouter le moindre mot ! Brusquement plus rien... Plus un son. Le temps passe... 10 minutes, peut-être 20 minutes Léo ne bouge plus la peur l’immobilise totalement. Soudainement la porte s’ouvre.
— “J’espère qu’on t’a pas trop fait attendre ?”
Son cauchemar prend vie, en face de lui : deux policiers en uniforme. Ou plutôt deux policières et celle qui vient de prononcer cette phrase, ce petit air provocateur : c’est Léa bien sûr. C’est une flic ! Ca explique beaucoup de choses ! Les menottes, les provocations, sa témérité avec lui... Et à côté d’elle, en uniforme également, une jolie petite blonde avec quelques formes. Elle semble intimidée et... Léo n’a pas le temps de finir sa contemplation.— “Je te présente Julie, on a discuté toutes les deux et on a décidé de te garder encore un petit peu...”
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