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Léo ou la Découverte

Chapitre 2

Amours, déchéance et mousse à raser

Divers
Précédemment dans ‘’Léo ou la Découverte’’ : Contre toute attente, Léo a vu naitre les débuts d’un lien social dans sa vie : Makara, le ‘’beau gosse populaire’’ de la classe, lui a proposé une sortie à la salle de sport. Dépassant ses craintes et ses inquiétudes, il a découvert avec ce nouvel – seul – ami une activité agréable, qui lui donne la sensation de pouvoir dépasser ses limites, un pas après l’autre. Mais les choses ont mal tourné lorsque les deux jeunes hommes sont allés se détendre dans un hammam. Un couple qui n’avait pas remarqué leur présence s’est lancé dans des ébats torrides, sous les yeux tétanisés de Léo qui n’a pas supporté la situation…***
-Maman ! Mon Kinder est resté coincé ! Mamaaaaaan !
Je regarde sans la voir la fillette glisser une main dans la trappe du distributeur de sucreries à la conquête de son goûter. Sa mère, pendue à son téléphone, ne la remarque pas. Je sors le mien pour m’occuper les mains et l’esprit.Makara ne m’a toujours pas rejoint dans le hall, mais je ne m’inquiète pas. Je me suis séché et changé tellement vite qu’il doit encore être dans les vestiaires. S’il est sorti du hammam en même temps que moi… En était-il sorti, au moins ?
-Hé, ça va, vieux ?
Il est à côté de moi, visiblement rhabillé à la hâte, ses longs cheveux noirs encore humides en vrac sur son crâne.
-Ouais je… désolé, j’étais vraiment pas à l’aise, je bredouille en rangeant mon téléphone. Tu dois me prendre pour un fou furieux… Tu peux me ramener chez moi ?-De une je te prends pas pour un fou furieux. C’est pas comme si c’était quelque chose d’habituel de tomber nez à nez avec un couple en chaleur. C’était peut-être un peu… exagéré mais eh ! Je juge pas. Et de deux ; tu veux pas qu’on aille se boire une pinte, plutôt ? Ce serait con de finir la journée sur une mauvaise note, t’avais l’air plutôt à l’aise jusque-là.
J’accepte d’un signe de tête, trop épuisé mentalement pour protester ou trouver une excuse. Et je dois bien m’avouer que de toute façon je n’ai pas très envie de me retrouver seul dans ma chambre.Le trajet en voiture jusqu’au bar le plus proche signe le retour des banalités : quelles musiques j’écoute, la série que je regarde en ce moment… Mak fait comme si rien de particulier ne s’était passé et je retrouve peu à peu mes esprits. Je vois toujours cette femme avaler le sexe de son mec quand je cligne des yeux, mais le choc de la situation a presque entièrement disparu. Je commence même à sentir, tout au fond de moi, une sorte d’excitation. C’était comme un film porno en direct… Ces images que je regardais le soir, seul enfermé dans ma chambre, ces scènes qui rendaient très vite mon boxer trop petit, je venais de les vivre pour de vrai, là, juste devant moi. Ces seins ronds et ferme qui faisaient des va et viens sur cette verge dure comme la pierre, cette façon de lécher le…
-Celui-là, ça te va ?
Je sors de ma rêverie. Mak vient de se garer devant un petit bar de village à la façade un peu défraichie.
-C’est pas le plus agréable mais comme je viens jamais ici au moins je ne connais personne. On sera tranquille.

J’acquiesce et le suit dans le bar. On s’installe, il commande un demi pêche. Je prends la même chose. Mon excursion dans la vie normale continue…
-Hey dis, je sais qu’on ne se connait pas trop et tout mais… Tu veux en parler ?— Parler de quoi ? Je réponds en trouvant aussitôt ma question inutile. Bien sûr que je sais de quoi il parle… Mais moi qui ne suis pas habitué à discuter avec les autres, je me sens encore plus mal à l’aise d’aborder des sujets délicats. Laisse tomber, je lâche finalement. C’est compliqué…-ça tombe bien, j’adore les trucs compliqués !
L’envie de tout lui raconter me revient. Vider mon sac, me libérer un peu de ce poids que je n’arrive plus à supporter. Mais j’hésite encore. Je regarde autour de moi pour voir si personne ne peut nous entendre. Mak le remarque, se redresse sur sa chaise et s’éclaircit la gorge.
— Ca fait tellement longtemps que je me suis pas vidé les couilles qu’on pourrait jouer au basket avec ! Lâche-t-il alors d’une voix forte. Peut-être même au bowling, si on attend un jour ou deux !
Je me tasse aussitôt sur ma chaise en rougissant. Mak lui, éclate de rire et boit une gorgée de bière. Autour de nous, personne ne semble avoir fait attention, chacun concentré dans leur conversation ou leurs courses de chevaux.
-Tu vois ! Personne n’en a rien à secouer de ce que le voisin peut bien raconter. Tout le monde fait sa vie…
J’éclate de rire à mon tour. Ce mec n’est pas comme les autres. Il a quelque chose de ‘’particulier’’. Je peux me confier…Je bois une grande gorgée et prends une profonde inspiration. Cela n’a l’air de rien, mais c’est comme si je m’apprêtais à révéler le plus grand des secrets.
— Quand j’étais au collège j’étais… J’étais pas franchement à mon avantage. Obèse, un appareil dentaire, des lunettes de travers, aucune fringue de marques vu que c’était pas la joie à la maison…
Je scrute l’expression de Mak, mais celui-ci ne fait rien d’autre que m’écouter attentivement. Je sens une boule se former dans ma gorge, mais je continue dans ma lancée.
-Du coup… J’étais pas des plus populaires. En 6e, je suis vite devenu le gamin à part qu’on aimait bien charrier. J’avais quelques amis, mais ils se sont éloignés au fur et à mesure. Et puis en vieillissant, c’est devenu de moins en moins…agréable.
Je reprends une gorgée de bière. C’est un sentiment étrange que de m’entendre parler de ça à voix haute. Ça me fait revivre ce cauchemar en même temps que ça l’exorcise.
-En 4e, je suis tombé dans la même classe que deux gars, Lionel et Maxime. C’était un peu les terreurs du collège, et ils ont décrété de faire de moi leur cible favorite. Ils ont commencé à me faire tourner en bourrique devant les autres, histoire de faire le show ; à me bloquer dans un coin discret pour déchirer mes fringues. A me cracher dessus quand je…
Je laisse échapper un sanglot. Je ne peux pas aller plus loin, c’est trop douloureux. Je me cache derrière mon verre que je finis d’une traite.
-Ouais, je vois le genre… soupire finalement Mak au bout d’un moment. Les deux bouffons de base qui t’ont fait vivre un enfer pour se sentir tout puissant.
J’acquiesce en silence. Mak soupire à nouveau.
-Et tu étais obèse ?-Ouais, j’ai perdu 20 kilos en fin de 3e. J’ai fait une dépression, avec option séjour à l’hosto alors ça aide.
Je reprends un peu de ma contenance. Le poids dans mon estomac s’allège petit à petit.
-Mais c’est fini tout ça maintenant, non ? Je veux dire tu restes toujours à l’écart au bahut, mais personne t’emmerde, si ?-Non, j’ai débarqué dans un lycée où quasiment personne de mon collège ne m’a suivi, du coup je suis tranquille. Faut croire que tout le monde trouve d’autres centres d’intérêts que de faire chier les autres passé un certain âge.-Mais y’a un truc que je comprends pas, poursuit Mak en croisant les bras. Si tout ça est derrière toi, pourquoi tu continues à rester à l’écart ?
Il me faut quelques secondes pour trouver quoi répondre. Je ne suis pas sûr qu’il puisse comprendre.
-Passer autant de temps comme ça… ça te confronte de force à la solitude. Elle est réconfortante, elle te protège. Mais ce dont tu ne te rends pas compte sur le coup, c’est qu’elle te coupe complètement du monde extérieur. Elle t’empêche de poursuivre ta vie en même temps que les autres. Elle te prive de tout un tas de choses qui sont censé te construire… Et quand tout ça s’arrête, tu comprends que tu n’es pas comme les autres. Que tu n’as pas suivi le chemin que tu aurais dû suivre et que tu ne peux plus prétendre à une vie normale. Tu n’as pas droit aux amis, aux histoires d’amours…-T’as jamais eu de copines ?-Jamais.-Ou de copains ?-Non plus.-Je crois qu’une autre bière nous fera pas de mal.
Mak file au bar passer commande. J’ai du mal à savoir ce qu’il pense de tout ça. Moi-même je ne sais pas trop quoi en penser d’ailleurs. Je suis en train de me livrer complètement à un quasi-inconnu. Je dévoile ma vie, mes blessures, mes faiblesses… ça me fait un bien fou autant que ça m’effraie.
-On a tous connu un souffre-douleur quand on était gamins, lâche-t-il sans autre préambule en revenant avec deux autres verres de bière. Je vais pas te mentir, moi aussi je me suis déjà amusé à charrier le petit gros… Qu’est-ce que tu veux, on est cons quand on est jeunes. Ça me fait drôle de t’entendre dire tout ça. De passer ‘’de l’autre côté du miroir’’. Je sais pas trop quoi te dire. Je suis désolé que tu aies dû vivre tout ça.
Il a l’air sincère, et j’ai soudain envie de pleurer. Pas de tristesse, ni de chagrin, simplement pour évacuer ce fouillis d’émotions qui m’encombrent la tête. J’ai tant de fois espérer entendre ce genre de phrases…
-J’imagine toutes les traces que ça a pu laisser, continue-t-il, mais est-ce que tu te rends compte que le seul qui t’empêche de vivre au jour d’aujourd’hui, c’est toi ?
Il ne dit pas ça méchamment. Je ne le prends absolument pas comme un reproche. C’est simplement franc et honnête. Il ne cherche pas à ne pas me froisser puisque ce n’est tout simplement pas son intention. Mais le nœud dans mon estomac se resserre quand même.
-Tu dis que t’es pas comme les autres, que t’as pas droit aux mêmes choses, mais ça c’est toi qui te l’impose. Les seules barrières qui t’en empêchent, c’est toi qui les dresse. Regarde, tout à l’heure par exemple, dans le hammam, pourquoi tu es parti ?-J’étais super gêné ! Ils étaient en train de…-De baiser, ouais ! Mais c’est eux qui étaient en train de le faire, pas toi. Toi tu n’étais responsable de rien, tu t’es juste retrouvé à cet endroit-là à ce moment-là.-Ouais mais…
Je ne sais pas quoi répondre. Tout à l’heure, la situation était insupportable. Maintenant que Mak me l’expose comme ça, je n’arrive pas à me trouver d’excuse valable.
-La plupart des mecs auraient kiffé être à ta place. Je te cache pas que moi ça me faisait kiffer de voir ça ! Tu me dis que tu n’as jamais eu de copines, donc j’imagine que tu es encore puceau. Mais le sexe, tu aimes ça, non ? Tu mate du porno, tu te branles, et tout ça ?
Je rougis jusqu’aux oreilles. Je ne discute jamais de rien avec personne. Alors le sexe, n’en parlons pas… Je hoche timidement la tête.
-C’est pas une honte, tu sais. Tout le monde aime ça. Et tout le monde se touche. Celui qui dit le contraire raconte des conneries… Donc tu vois, tu n’es pas différent des autres…
J’entame mon deuxième verre de bière. Ma tête commence à me tourner, je suis vidé. Il s’en passe bien plus en une seule journée qu’il ne s’en est passé ces trois dernières années. Mak jette un œil à son téléphone.
-Merde, j’ai pas vu le temps passer. Va falloir qu’on bouge, j’ai promis à ma daronne de l’aider pour un truc.
Il me regarde en se mordant la lèvre avant de reprendre :
-Ecoute, je te remercie d’avoir été aussi honnête et de t’être confié à moi comme ça. On se connait pas beaucoup, j’imagine que ça a pas dû être évident pour toi. Et si tu veux, j’aimerai bien que ça continue.-C’est-à-dire ?-Je pourrais pas réparer tout ce que les enculés de ton collège t’ont fait, mais je peux quand même te donner un coup de main. Tu penses que tu es à part et incapable de plein de trucs, je peux te montrer que c’est pas vrai. A deux, on peut peut-être enlever tes barrières une par une.
J’ai envie de lui sauter dans les bras. Quelqu’un me propose son aide. Il veut faire quelque chose pour moi ! Je n’en reviens même pas.
-Marché conclu ? Me demande-t-il en tendant son verre.
Je prends le mien et trinque avec lui.
-Marché conclu.-Ahah c’est top. Fais-moi confiance, la vie a plein de bonnes choses à offrir. Il suffit de les accepter. Tiens, prend mon numéro. On verra pour se faire une soirée tranquille ou un truc comme ça pour pouvoir continuer à en parler mais en attendant, tu peux me poser toutes les questions que tu veux. Je veux pas que tu te retiennes ! Je veux pas que tu aies honte de quoi que ce soit. Tu veux savoir quelque chose, tu me demandes.
Je note le numéro et finit ma bière d’une seule traite pour suivre Mak qui part régler les consommations. Je suis sur un petit nuage. Je prends conscience que quelque chose vient de changer. Je ne suis plus seul. Je viens de faire le premier pas vers ma nouvelle vie.***Il est 21 heures et je suis seul chez moi. Mes parents sont partis dîner chez une tante un peu sénile et j’ai prétexté un devoir à rendre pour m’éviter ça. Je n’ai pas fait grand-chose de ma soirée hormis zappé sur la télévision et avaler une pizza congelée. Rien de transcendant donc, mais je me sens bien pour la première fois depuis longtemps. La journée a été complètement folle, mais je retiens surtout qu’elle m’a apporté un ami. C’est tout ce dont j’avais besoin.L’alcool aide peut-être un peu aussi à mon état d’euphorie. Galvanisé par la discussion du bar, j’ai bu trois autres bières depuis que je suis rentré. Pour moi qui ne bois quasiment jamais d’alcool, ça commence à faire beaucoup. Je sens que je ne suis pas tout à fait dans mon état normal.Je zappe encore pour trouver un film intéressant. Je tombe sur une série pour ado ou les héroïnes se racontent leurs derniers potins dans un hammam, serviette autour du corps. Instantanément, je repense à la scène de l’après-midi. C’est vrai que j’aurai dû rester un peu plus. Si je n’avais pas paniqué comme ça j’aurais pu profiter du spectacle. Ça ne doit pas arriver tous les jours…
Je revois la scène aussi distinctement que si j’y étais encore. Je réentends leurs gémissements de plaisir, les ordres de l’homme, que la femme exécutait avec gourmandise. Je revois leurs corps se frotter, se mélanger. Les fesses fermes et rebondies de la femme. Le corps sec et tracé de l’homme. Ses abdos parés d’un filet de poil qui se dirigeaient tout droit vers sa verge imberbe.Quelque chose retient mon attention. Je repense aux films porno que j’ai déjà vu et je passe une main sous mon boxer pour passer mes doigts dans la touffe de poil qui surplombe mon sexe. Sans trop réfléchir j’attrape mon téléphone. Si vraiment je pouvais poser toutes les questions que je voulais à Mak, c’était le moment de le vérifier.
-Salut. J’ai déjà une question. Tous les mecs se rasent la bite ?
Je n’ai pas besoin d’attendre bien longtemps pour avoir une réponse.
-Mdr tkt t’as raison. C’est cool que tu le fasses :-) Et pour te répondre oué, y’en a bcp qui le font. Soit ils rasent tout soit ils arrange 1 peu koi. T pas rasé du tout toi ?-Non -Moi je rase tout C mieux. Ta l’impression que ta queue est plus grande et les meufs préfère pour te pomper.
Je remets la main dans mon boxer. Une verge plus grande ? Ça m’intéresse.
-Si tu le fais prend bien ton temps pour les couilles. Ca pisse le sang quand tu te coupes.
Ni une ni deux, je fonce dans la salle de bain. Autant profiter du courage que me donne l’alcool pour commencer le changement. Je me déshabille entièrement et me scrute dans le miroir. Ce n’est pas chose aisée. Je ne me regarde jamais plus que nécessaire, le plus souvent simplement pour me coiffer.J’ai perdu beaucoup de poids mais je me vois toujours tel que j’étais quelques années avant. Je suis incapable de me rendre compte du changement. Je ne supporte pas ce corps qui m’a causé tant d’ennuis.Je m’attarde sur mon sexe. Je caresse sa toison touffue, tente de l’aplatir pour m’imaginer à quoi cela ressemblerait si je rasais. Je prends mon sexe dans la main droite. Le soulève pour regarder mes testicules aussi poilus que le reste. Ça non plus je n’ai pas l’habitude. Je n’aime pas plus ma verge que le reste et ne le manipule ni le regarde plus que ça. Même quand je me masturbe, je me contente de le sortir et de faire des vas et viens sans le regarder, concentré sur le film que je suis en train de regarder, bien plus excitant. Parfois même, je le laisse dans mon boxer et le masturbe au travers, en le caressant et en l’empoignant.C’est donc une sorte de sensation nouvelle que je ressens. Sensation pas si désagréable que ça d’ailleurs, puisque mon membre prend un peu d’ampleur.
-Aller, au boulot, je murmure pour moi-même en attrapant ma tondeuse à barbe.
Je me mets dans la douche et commence à défraichir la toison avant de recouvrir ce qu’il reste de mousse à raser. Avec des gestes lents et précautionneux, je débarrasse petit à petit les poils en prenant soin de ne pas me couper.L’opération me prend du temps. Ce n’est qu’au bout de vingt bonnes minutes que je suis satisfait du résultat. Je me rince et retourne devant le miroir pour admirer le résultat. Mak n’avait pas menti, j’ai vraiment l’impression d’avoir gagné quelques centimètres. C’est seulement une illusion d’optique, bien sûr, mais c’est vraiment plaisant.Je repense au sexe imberbe de l’homme du hammam, que sa copine avalait goulument. Ma verge réagit à nouveau. Mais je n’ai pas le temps de m’égarer, je dois encore m’occuper des couilles.Je reprends la bombe de mousse à raser, en verse une quantité généreuse sur la paume de ma main et pose mes testicules dessus. Je me surprends à lâcher un soupir. La sensation de frais est super agréable ! J’étale la mousse dans ce qui ressemble de plus en plus à un massage, bien plus longtemps que nécessaire. Je ne suis pas en érection, mais je ne suis clairement plus au repos non plus. Je caresse du bout des doigts le dessus de ma verge. Ainsi débarrassée de ses poils, la peau est douce. Mon rythme cardiaque s’accélère.Pris d’une pulsion, je remets une couche généreuse de mousse à raser dans la paume de ma main et y enfonce le bout de ma verge. A nouveau cette sensation de fraicheur. Bordel ce que c’est bon… J’étale la mousse sur toute la longueur de ma bite. Elle grossit encore. Mon gland pointe en dehors de son prépuce. Je me décalotte entièrement d’un geste du doigt et le masse lui aussi à grands renforts de mousse.
Cette fois je bande à fond. Je ne me souviens même pas avoir déjà bandé aussi raide. Je me regarde dans le miroir. Ma queue me semble énorme ! Elle se dresse fièrement, pointant légèrement vers le haut, quelques veines la parcourent de tout son long sous la couche de mousse. Je me touche à peine mais je vois une goutte de liquide pré-éjaculatoire sortir de mon gland violacé, gonflé à bloc.Je m’appuie contre le mur, face au miroir, et me cambre en avant. J’envoie ma main gauche me malaxer les couilles tandis que la droite fait de lents va et viens sur ma bite. La mousse à raser fait office de lubrifiant, ma main glisse avec délice jusqu’à caresser mon gland devenu ultra-sensible. Je gémis malgré moi. Je repense au couple du hammam. Je m’imagine à la place de l’homme. Ma main devient la bouche de sa copine. Je deviens dans mon fantasme cet homme dominateur à la queue puissante…
-Suce ma grosse queue, salope !
Tous les muscles de mon corps se tendent, je suis sur la pointe des pieds. Je sens une pression dans mon bas ventre. J’accélère les vas et viens, éclaboussant mon ventre de mousse à raser dans des bruits de succion. Je me cambre encore un peu plus et finit par jouir dans un râle de plaisir. Je crache trois longs jets de sperme chaud qui vont s’écraser sur le miroir. Le dernier, moins puissant, coule le long de mon gland et se mélange à la mousse à raser.Je me redresse, épuisé. Je suis en nage, aussi essoufflé que si je venais de courir le marathon. J’ai les mains et la moitié du corps couverts de mousse à raser, le miroir de la salle de bain familiale et couvert de mon sperme, et je n’ai pas fini de me raser.Je retourne sous la douche en souriant. Je viens de vivre l’expérience la plus excitante de ma vie.Enfin… pour l’instant.***
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