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Léo ou la Découverte

Chapitre 4

Compte jusqu'à Cinq - Deuxième Partie

Divers
Précédemment dans Léo ou la découverte : Léo connait de plus en plus de changements, et ce en un temps record. Lui-même ne comprend pas très bien ce qu’il lui arrive, mais il trouve un certain plaisir et une certaine forme d’équilibre dans ces changements qui ne cessent de s’opérer. Mak, quant à lui, en profite pour poursuivre l’initiation de son ami ; pour l’aider à atteindre cette fameuse ‘’vie normale’’ dont il saisit de plus en plus l’importance ; et le moins que l’on puisse dire c’est que pour le moment c’est une réussite. Dernière preuve en date : Léo a accepté de se mettre nu en sa présence…***
— Bienvenue, bienvenue ! Cher ami vous voilà dans mon humble demeure !
L’humble demeure en question se résumait à un petit appartement dans un des immeubles en périphérie du village. L’espace principal dans lequel on entrait en passant la porte se partageait entre un coin cuisine, une table collée contre un mur et deux grands canapés un peu défoncés installés en L autour d’une table basse croulant sous les canettes de soda vides et un grand écran plat. Sur le côté, un petit couloir donnait accès à trois portes ; probablement les chambres et la salle de bain.
— Donc tu vis ici avec ton frère, c’est ça ? Je demande en entrant dans l’appartement.— Ouais, même si pour être honnête je squatte plus qu’autre chose. Il est quasiment jamais là, alors j’ai fait mon nid et je fais le ménage un coup de temps en temps pour éviter qu’il me demande de payer un loyer. Tu veux une binouze ?
San attendre ma réponse, il sort deux canettes de bière du réfrigérateur et m’en tends une.
— Installe-toi, fais comme chez toi, je dois juste passer un coup de fil à ma mère. Je te passe les détails mais mon père s’est barré comme un lâche y’a des années et elle a jamais vraiment réussi à remonter la pente depuis, la pauvre. J’en ai pas pour longtemps.
Il m’indique les canapés et disparait dans une des chambres. Je me laisse tomber comme un sac sur le sofa et bois la moitié de ma canette d’une traite. Enfin deux secondes de répit…La demi-heure précédente a été éprouvante. Certes, j’ai réussi à me mettre nu devant quelqu’un. C’est une vraie grande victoire, je ne peux pas le nier. Mais entre le moment où j’ai baissé mon boxer et celui où je l’ai remis, j’étais dans un véritable état second. Je ne pouvais pas empêcher mes jambes de flageoler et je me suis savonné et rincé en quatrième vitesse avant de me cacher derrière ma serviette. Tout du long, j’ai gardé la tête baissée, de peur de croiser le regard de Mak. Il se serait ouvertement moqué de moi j’en étais certain. La douche était suffisamment grande pour nous accueillir tous les deux mais l’espace sous le jet d’eau n’était pas des plus grands, nous étions donc tous les deux très proches l’un de l’autre, il a donc eu tout le loisir de voir dans les détails mon corps de lâche et mon pénis ridicule comparé au sien. Dès l’instant où nous sommes sortis des vestiaires, Mak n’a pas refait allusion une seule fois à la scène. Il a dû voir à quel point j’étais mal à l’aise, et il s’est vite remis à parler de tout et de rien. En l’occurrence à la nouvelle paire de lunettes immondes de notre professeur de mécanique.Nouvelle gorgée de bière. Avec un peu de chance, le reste de la journée sera un peu plus calme. Je suis toujours partant pour tous ces changements, mais je pense avoir eu largement ma dose pour aujourd’hui.
— Promis je passe te voir ce soir, on fera ça ensemble. Bisou, m’man.
La porte de la chambre claque. Mak me rejoint sur le canapé d’à côté.
— Bon ! C’est bon, on est tranquille. Alors, bilan de ces derniers jours ?

Pour quelqu’un qui avait voulu me ménager quelques minutes avant, il rentrait cette fois dans le vif du sujet sans crier gare.
— Euh…ça change.— Mais tu le vis bien ? Je veux dire, les changements c’est pas forcément négatif, si ?— Honnêtement, je me suis jamais autant retrouvé dans des situations où je me demande ce que je fous là… Mais à chaque fois je finis par m’en sortir, je sais même pas comment, et j’en sors un peu plus normal qu’avant. Alors non, c’est pas négatif.— Je te ménage pas vraiment, j’en suis conscient, mais c’est parce que je sais que si je te laisse faire tu n’avanceras pas. Un petit cul de pied au cul fait pas de mal, des fois. Plus tu surmonteras tes peurs plus t’auras confiance en toi.— Pourquoi tu fais-tu ça ? je lui demande, ravi de trouver quelqu’un aussi impliqué pour m’aider mais curieux d’en savoir les raisons.— Je te l’ai dit la dernière fois, j’imagine que j’essaye de me racheter.
Il boit une gorgée de bière et s’affale sur le canapé en posant ses pieds sur la table basse.
— Je suis né en région parisienne, j’ai débarqué dans le coin quand j’avais cinq ou six ans. Forcément on était les seuls jaunes du coin, mon frère et moi, alors je te laisse imaginer les bêtes de foire qu’on a été à l’école. C’était un peu la même situation que toi… sauf que moi ça a fini par se tasser, j’ai échappé à la méchanceté des ados et je suis devenu un merdeux à mon tour. J’étais trop heureux d’être intégré, de m’être fait des copains… alors je suivais le mouvement. Quand tu m’as raconté ton histoire, ça m’a un peu mis une claque. On n’a pas conscience à ce moment-là qu’on est peut-être en train de bousiller un gars, qu’il aura besoin d’années pour s’en sortir.
Je le laisse parler. Il a l’air sincère, même je n’en doute plus depuis longtemps, maintenant.
— Et puis je me dis que ça peut pas être un hasard, quoi. Tu n’es pas à l’aise avec ton corps, et c’est à toi que je propose de m’accompagner à la salle de sport un jour où j’ai pas envie d’y aller seul. On tombe pile sur un couple en train de s’envoyer en l’air… Toi tu as de gros problèmes de confiance de ce côté-là et moi je suis littéralement un passionné de sexe… Et puis on s’est super bien entendu super vite. Regarde, on se parle depuis même pas deux semaines. Et honnêtement je te considère déjà comme un très bon pote.
J’ai l’envie un peu bête de verser une larme. Je suis touché et me rends soudain compte à quel point, pour une fois, la vie m’a souri. C’est vrai que les chances que les choses tournent ainsi étaient infimes.
— En amour on appelle ça les coups de foudre. Je sais pas trop comment ça s’appelle pour l’amitié, mais bon… Tu vois le principe !
Je hoche la tête. Je vois très bien le principe, et je n’aurais pas pu dire mieux. Je lève ma bière pour trinquer à ce ‘’coup de foudre’’ et je sais à cet instant précis que je lui ferai une confiance absolue, quoi qu’il arrive.
— Bon, stop avec la séquence émotion. On est peinards à deux dans un appart, alors on peut discuter autant qu’on veut sans être dérangés. Maintenant que t’as commencé le boulot, va falloir penser à la suite. — Et c’est quoi la suite ?— Ce que t’attends depuis des années, j’imagine. Tremper ta nouille ! Tirer ton coup, fourrer un trou… Baiser quoi.— Y’a encore vachement de boulot ! — T’inquiètes, ça peut aller très vite. Faut juste que tu arrives à avoir confiance en toi. C’est quoi qui te tente ?— C’est-à-dire ?— Bah t’es plutôt branché nana ou mec ?— Euh… je sais pas.
C’est vrai, je ne sais vraiment pas. Je ne me suis jamais posé la question. Puisque je me tiens en permanence à l’écart du reste du monde sans jamais m’y intéresser, comment je pourrais savoir ?
— Arf, ouais, faut d’abord écrire pour savoir si on est droitier ou gaucher.— T’es quoi, toi ?— Moi je suis hétéro.— Et tu l’as su comment ?— J’sais pas, je me suis tout de suite intéressé aux filles, depuis très jeune. Tu m’as dit que tu regardais des pornos ?— Ouais.— Et c’est quoi ce que tu regardes le plus dans le porno ? Qu’est-ce qui te fait bander, la meuf en train de se faire pilonner ou le mec qui se sers de sa queue ?— Eum… en fait c’est de les voir baiser. Les voir faire ce que moi je peux pas faire…— Ouais, je vois… Et tout à l’heure sous la douche alors ?— Quoi sous la douche ?
Ça me gêne un peu de reparler de ça. C’est encore trop frais dans ma tête.
— T’étais sous une douche à poil avec un autre mec, tout prêt de lui. T’as vu mon cul, ma bite, mes couilles… Ça t’a fait quelque chose ?
Je repense à cette bite que j’étais heureux de pouvoir voir.
— Bah euh…— Tu peux être honnête hein, je le prendrais pas mal si tu dis que oui, y’a pas de souci.
D’accord, alors être entièrement honnête sur toute la ligne.
— J’ai beaucoup regardé ta bite, ouais. Mais c’était pour…— Ah me dit rien, c’était pour comparer.— Ouai…— C’est le réflexe de tous les mecs, rassure-toi. Moi aussi j’ai jeté un œil à la tienne.— T’as du tout de suite comprendre pourquoi j’étais encore puceau alors…— Euh…pourquoi ?
Je le regarde, surpris. Est-ce qu’il est en train de se payer ma tête ?
— T’as bien vu que j’étais pas gâté par la nature à ce niveau-là. Rien que comparée à la tienne…— Je sais pas trop comment tu fais, mais j’ai l’impression que tu as une image complètement déformée de toi. Perso j’ai pas trouvé qu’elle était petite. Et si ça peut te rassurer la mienne est loin d’être hors norme.— Mouais, si tu le dis…
Je n’essaye pas de me défendre plus, je sais qu’il continuera de nier, ne serait-ce que pour ne pas me froisser.
— Tu vois, c’est de ça que je parle quand je te dis qu’il faut que tu prennes confiance en toi. Le seul qui te descend c’est toi, c’est plus les autres. On t’a tellement répété que tu étais inférieur que c’est devenu une vérité pour toi. Mais c’est pas la réalité ! Si tu continues à penser comme ça, c’est sûr que tu vas continuer à te branler encore pendant longtemps…— Si tu savais, même ça c’est la galère… Je lâche avec un rire jaune.— Pourquoi tu dis ça ?
La conversation devient de plus en plus intime, ma résolution d’être entièrement honnête est de plus en plus mise à mal.
— Avant que tu débarques pour tout changer, je me branlais toujours de la même façon. Je me collais devant un porno et je me concentrais sur le film. Je faisais ça le plus vite possible. La plupart du temps je ne sortais même pas ma bite.— Mais quand tu te branles tu es tout seul, personne te voit. C’est que ton plaisir à toi, personne n’est là pour te juger.— Si, y’a moi…— C’est bien ce que je dis, c’est encore toi et toi seul qui te mets des barrières. T’as encore plus de trucs à rattraper que ce que j’imaginais…
Je finis ma bière. Il ne m’apprend rien…
— Vas-y sors ta bite, lâche Mak en posant la canette sur la table pour se lever.— Hein ?
Pour toute réponse, il déboutonne son jean et sort son sexe de son boxer.
— Lève-toi et sors ta bite. On va les mettre côte à côte tu verras que tu te fais des films.
Je me bloque, une fois de plus. Je ne me cache plus pour regarder ce pénis à moins d’un mètre de moi.
— C’est bon, je l’ai vu tout à l’heure, si je te demande de faire ça c’est que je sais que j’ai raison. Tu vas tout de suite t’en rendre compte.
Il a l’air convaincu. Je me lève face à lui, et dans ce qui ressemble de plus en plus à un réflexe, je compte mentalement jusqu’à cinq. J’ouvre ma braguette et en extirpe ma verge. Mak se rapproche un peu. Nos bites sont l’une en face de l’autre, à quelques centimètres seulement.
— Tu vois une différence ?
Il prend la sienne dans sa main et la tient à l’horizontale, de sorte que je sens presque son prépuce contre ma peau. Il me demande de faire la même chose ?
— Alors ?
Je baisse les yeux. Nos sexes sont tous proches, et j’ai du mal à me rendre compte de ce que je vois.Elles sont toutes les deux quasi identiques, hormis la couleur caramel de la sienne qui détonne avec la blancheur de la mienne. Mon prépuce touche presque son pubis de la même façon que la sienne touche le mien. Leurs épaisseurs se valent. Dans d’autres circonstances, j’aurai sauté de joie. Je n’arrête pas de me répéter la même phrase dans ma tête, comme une litanie, un cri de victoire.J’ai une bite normale… J’ai une bite normale ! Mak remarque la joie qui doit se lire sur mon visage, parce qu’il affiche un grand sourire pendant qu’il range son sexe et reboutonne son pantalon.
— Tu vois… Tu as tellement l’habitude de te dénigrer que tu déformes carrément la réalité.
Je me rassois sans me départir de mon sourire. J’ai tout à coup envie de me masturber. De me servir de cette queue que j’ai détestée pendant tellement longtemps, convaincu qu’elle était aussi minable que moi. Mak va chercher d’autres bières.
— La branle c’est la vie, mon gars. T’imagines pas à côté de quoi t’as pu passer…
Visiblement, il n’a pas envie de changer de sujet. Ça me va très bien.
— Tu te masturbes souvent ?— Franchement ouai, j’adore ça. Beaucoup considèrent ça comme un moyen de se vider les couilles quand ils peuvent pas faire autrement, mais pour moi c’est un vrai acte sexuel, aussi kiffant que de s’envoyer en l’air. T’es le seul aux commandes, tu peux te faire absolument tout ce que tu as envie de te faire. Y’a que ton plaisir qui compte.— Te faire tout ce que tu veux… Ça reste quand même toujours pareil, non ? Tu te tires sur la bite jusqu’à ce que tu éjacules, quoi…— Mais t’es fou, y’a plein de possibilités ! Pleins d’endroits, pleins de techniques, pleins de positions, avec des accessoires même si tu veux… Tu peux te branler comme un fou pour cracher super vite ou faire durer le plaisir et te pignoler pendant des heures pour gicler comme un dingue…
J’ai des fourmillements dans le bas ventre. J’ai l’impression qu’un monde tout entier de plaisirs est en train d’ouvrir ses portes sous mes yeux. Un monde que je n’ai pas honte de vouloir explorer.
— Même une meuf qui se touche, c’est super bandant…— Ca je sais pas, j’ai jamais vu. Enfin jamais ailleurs que dans les films quoi.— T’as jamais fait de plans cam ?— Non, j’ai jamais osé. Et j’imagine que ce genre de trucs ça va dans les deux sens. Faut forcément que tu finisses par en montrer si tu veux voir.— Ouais, c’est pas faux, moi le premier j’ai du mal à me montrer si je vois rien en échange.— T’en fais souvent ?— Régulièrement, ouai. C’est kiffant de se faire plaisir tout seul… à deux.
Je pense à mon pc qui m’attend bien sagement sur mon lit, avec sa webcam intégrée. Est-ce que j’aurai le courage de m’exhiber à une parfaite inconnue ? Probablement pas, mais l’idée est alléchante.
— On peut essayer d’en trouver une, si tu veux.
Je ne comprends pas tout de suite de quoi Mak veut parler.
— Y’a pas grand monde sur les t’chat l’après-midi mais avec un peu de chance on pourrait en trouver une pas trop farouche.— Ouais mais comme tu dis, elle va vouloir voir… Je veux bien relever des défis, mais m’exhiber comme ça là maintenant, c’est impossible. Et puis on est deux… Jamais je me branlerais à côté d’un gars.
Mak éclate de rire.
— Jamais dire jamais ! Moi aussi j’ai dit ça à une époque.
Je ne vois pas bien de quoi il parle, mais je ne relève pas.
— J’ai une idée, bouge pas.
Tandis qu’il disparait dans le couloir, je m’étonne encore de cette façon qu’il a de toujours trouver réponse à tout, une solution à chaque problème. Il revient rapidement avec un ordinateur portable couvert de stickers et un câble noir.
— Voilà le plan, m’explique-t-il en s’affairant autour de son ordinateur. Je vais garder l’ordi face à moi mais je vais le brancher en HDMI sur la télé, comme ça tu verras la même chose que moi mais si jamais il faut mettre la cam, elle ne me verra que moi.
J’approuve d’un signe de tête enthousiaste. Quand je dis qu’il a toujours les bonnes idées au bon moment…Il allume la télévision qui affiche rapidement la même image que son ordinateur et prend place sur le canapé. En deux temps trois mouvements, il se connecte à un chat dont il a clairement l’habitude vue la facilité avec laquelle il surfe entre les pages. En quelques secondes, on se retrouve face à une page de tchat où défilent des centaines de messages à la minute.
— L’erreur à pas faire, c’est de déposer un message et d’attendre que ça tombe, m’explique-t-il en véritable expert. Y’a tellement des centaines de pervers qui proposent de montrer leurs queues que les meufs n’y font même plus attention. Il faut surveiller les messages qui passent et en repérer un qui pourrait être sympa.
Je jette un œil à l’écran de la télé. En effet, la quasi-totalité des messages qui défilent viennent d’homme. Ça ne va pas être simple de trouver ce qui nous intéresse… Pourtant, Mak ouvre plusieurs conversations en quelques secondes.
— Celle là n’a pas de cam, celle-là non plus…murmure-t-il en fermant les conversations au fur et à mesure. — PourquoiPasAprèsTout… intéressant comme pseudo tu trouves pas ? On va essayer avec elle.
Il prend son ordinateur sur ses genoux et pianote sur le clavier.
— Bjr madmoiselle :)
Il ne faut pas attendre plus de quelques secondes pour avoir une réponse.Coucou :) cava ?Super merci ! et toi ?Oui cava.Moi c’est Mak. G 18 ans.
Lily. 20 ansEnchanté :)Pareil ! Ça fait du bien de pas tomber sur un malade qui m’envoie une photo de sa bite avant même de dire bonjour^^Ah ca… les cinglés en rut C pas ce ki manque ici^^
— Le deuxième tuyau, continue de m’apprendre Mak sans lâcher son écran des yeux, c’est de se démarquer des autres. Si elle n’aime pas les pervers, flingue-les. Si elle n’aime pas les gnans gnans, joue tout de suite le mec chaud.
Je note ces conseils dans un coin de ma tête tandis que l’inconnue répond.Tu cherches quoi ici ?Bah on va pas se mentir, on est sur un salon Hot donc… je cherche du hot^^T’as raison, on va pas se mentir lol. Tu as une photo de toi ? :)
— Règle numéro trois, si elle demande une photo fais-le sans hésiter. Prend de préférence une photo ou tu es en valeur, mais rien de porno.
Il clique sur l’icône ‘’envoyer un fichier’’ et choisis une photo qu’il a prise devant un miroir, torse nu. Question mise en valeur, on ne peut pas faire mieux.Mignon ^^Merci :) et toi miss tu en a une pour moi ?Elle envoie une photo à son tour et Mak émet un sifflement de satisfaction. La jeune femme est brune aux cheveux longs, aux yeux noisette. L’angle de la photo laisse deviner deux seins fermes et généreux sous son débardeur.
— Allez, c’est l’instant de vérité…
Ca te dit qu’on s’amuse un peu toi et moi ?^^C a dire ?Bah j’ai vu ke tu avais une cam. Ptetre que tu pourrai la mettre.Pourquoi pas après tout… si tu met la tienne ;)Mak repose l’ordinateur sur la table basse et se tourne vers moi.
— Si a un moment c’est trop pour toi, dis-le on arrête tout.
J’acquiesce en jouant avec mes mains. La situation a tendance à m’exciter, mais je ne suis pas très à l’aise pour longtemps.
— Tu n’a qu’à regarder la télé et profiter du spectacle.
Puis, après un silence.
— Et si tu veux me regarder moi, y’a pas de problème non plus.
Il règle l’écran de l’ordinateur de sorte que son visage n’apparaisse pas à l’écran et invite l’inconnue pour une conversation vidéo. Les deux webcams s’affichent en même temps. La jeune femme a réglé la sienne de la même façon, et on ne voit pour l’instant rien d’autre que sa poitrine généreuse sous un tee-shirt mauve.Jolie vue^^ commente MakJ’aimerais bien dire la même chose mais il y a un peu trop de vêtements à mon gout^^Sans se faire prier, Mak retire son tee shirt et son sweat pour être torse nu. Je remarque du coin de l’œil qu’il contracte ses muscles et se caresse le torse d’un geste désinvolte.C déjà mieux^^
Tu fais la même chose ? :pLa jeune femme retire son haut à son tour, révélant un soutien-gorge en dentelle noir et rouge plutôt très décolleté.C pas juste, moi G tout enlevé ! La taquine Mak.Ahah tu veux que j’enlève tout le haut ?Bah ce que je vois la me donne très envie que tu enlèves oui^^Ça se mérite, tu sais :p
Mak déboutonne rapidement son pantalon qui se retrouve sur ses chevilles. Il s’affale un peu plus sur le canapé et prend soin d’écarter subrepticement les jambes pour que la jeune femme ait une vue plongeante sur son boxer.Et la je le mérite ?Pour toute réponse, Lily retire son soutien-gorge et libère deux seins ronds que je trouve magnifiques. D’un blanc laiteux, avec deux tétons déjà dressés par l’excitation.Hummm… beaux seins miss. J’adore.Merci :p ce que je vois est pas mal non plusEnvie d’aller plus loin ?
Pour l’encourager, Mak commence à caresser son boxer. L’inconnue ne peut pas le voir, mais l’expression de visage vient de changer. J’interprète ça comme le signe qu’il commence à éprouver du plaisir. Pour être honnête, c’est aussi mon cas.Tu caches quoi là-dessous ? Demande naïvement Lily en se malaxant les seins de son côté.A ton avis ?Une bonne grosse queue ? :pLa jeune fille aussi a changé de comportement. Elle est clairement plus franche et directe. On vient de rentrer dans le vif du sujet.Si tu veux le savoir ca va être a ton tour de le mériter…
Il se débarrasse de son jean pour pouvoir bien écarter les jambes. Les caresses sur son boxer se font plus appuyées et on devine une forme qui grossit à vue d’œil.Dis moi commentDescend ta cam bbLily s’execute. Elle n’a déjà plus de pantalon et on a une vue magnifique sur des cuisses dorées et un string assorti au soutien-gorge. Mak passe une main dans son boxer pour empoigner son chibre qui laisse deviner une taille qui m’impressionne déjà.Hum tu me fais banderToi aussi tu mexcite bogoss. J’ai envie de me toucher…
Te gene surtout pas :pElle écarte les jambes à son tour. Son string moule la forme de ses lèvres qu’elle caresse d’un doigt à travers le tissu.G envie de ta bite…Mak bande totalement. Il redresse sa bite le plus qu’il le peut à travers son boxer qui se déforme d’une bosse énorme. Le tissu est tendu au maximum.Ah ouai tu la veux ?Ouiiiiii bb :P
— Ça va toujours ?
Je mets quelques secondes à comprendre que c’est à moi que Mak s’adresse, perdu que je suis dans la contemplation de ce spectacle.
— Ouai, ouai t’inquiète, réponds-je sans quitter la télé des yeux.— OK alors on va lui donner ce qu’elle veut.
Quand je l’entends dire ça, j’ai le réflexe de tourner la tête. Je le regarde juste au moment où il retire son boxer, libérant une queue raide et puissante. Collée contre ses abdos quand il se penche en avant, elle se dresse fièrement quand il reprend place sur le canapé. Elle est bien épaisse et les veines qui la parcourent sont encore plus visibles que quand je l’ai vu au repos. Son gland rougi est entièrement sorti, ses couilles pendantes sont resserrées et forment deux boules imposantes à la base de son manche.Humm belle bite bb.A ouai elle te plait ? Fais-moi voir ta petite chatte.Lily se débarrasse de son string en un clin d’œil. Elle a une chatte rose et lisse, surmontée de quelques poils bruns clairsemés. Je peux voir sur l’écran qu’elle mouille, ses lèvres sont humides. Elle envoie son doigt titiller son clito gonflé.Tu me fais mouiller…branle-toi pour moi.
Mak n’a pas attendu cet ordre pour se masturber. Dans des gestes lents, il rentre son gland dans son fourreau et le ressort. Son autre main caresse ses couilles.Tu lui ferais quoi à ma queue ?Humm je la branlerai en te léchant les boules… Et je remonterai le long de ta bite pour jouer avec ma langue autour de ton gland… :PMak adapte sa branle aux commentaires de la jeune fille. Il laisse s’échapper un filet de salive de sa bouche qui coule au sommet de son gland qu’il caresse doucement du bout du doigt. Je le vois pencher la tête en arrière. Il a l’air d’adorer ça.La jeune fille elle, vient de rentrer un doigt dans son vagin de plus en plus humide.Humm ouai doigte-toi la chatte. Imagine que c’est mon manche qui vient te fourrer.
Je ne vois pas le visage de Lily, mais elle aussi y prend clairement du plaisir au vu de ses mouvements saccadés et de son bassin qui gigote au rythme de ses doigts qui rentrent dans son intimité.Je finis par tourner la tête en permanence. Tantôt sur l’écran où la jeune femme se masturbe allègrement tantôt sur Mak qui en fait autant. Je pourrais le regarder lui aussi sur la télévision, mais le voir en vrai, tout entier, me plait beaucoup plus. Je peux voir en action sa façon de ‘’varier les plaisirs’’ comme il le dit si bien. Il alterne les vitesses, change de main, malaxe ses couilles ou joue avec son gland… Ses muscles se contractent au rythme des vagues de plaisir qui le submerge. De là où je suis, je peux entendre son souffle rauque et de plus en plus saccadé. Après un petit quart d’heure, son corps tout entier se contracte, de sa tête jusqu’aux orteils, et je l’entends carrément gémir. Il s’arrête brutalement et reprend son souffle pour pianoter sur le clavier.Faut que je ralentisse un peu bb, sinon je vais cracher.Humm tant mieux, je veux que tu jouisses.Et moi je veux profiter encore un peu de ta belle chatte. Mets-toi à quatre pattes, fais-moi voir ton petit trou.Lily s’exécute et nous offre une vue imprenable sur son anus rose et sa chatte qu’elle continue de maltraiter sans relâche.
— Fais gaffe, tu baves !
Je me retourne. Mak a arrêté de se masturber mais continue de se toucher l’entrejambe pour ne pas débander. Il me parle comme si tout était normal et l’espace d’une seconde je songe à la bizarrerie absolument démente de ma situation.
— Tu te rends compte du progrès, en à peine une semaine ?
Je ne vois pas ce qu’il veut dire par là.
— La dernière fois tu as pris tes jambes à ton cou en voyant un couple baiser, et là t’es juste à côté d’un mec en train de se branler, en train de mater une meuf se doigter comme une folle.
Je souris. Il a raison, la différence est assez spectaculaire. Il baisse les yeux vers mon pantalon.
— Et en plus ça a l’air de te faire un sacré effet !
Je baisse les yeux à mon tour. J’étais tellement concentré sur la scène qui se déroulait sous mes yeux que je n’ai pas fait attention à mon propre état. J’ai une érection de folie, mon jean est déformé entre mes jambes. Ma bite est tellement serrée sous les épaisseurs de vêtement que ça en ai presque douloureux.
— Si tu veux te mettre à l’aise y’a pas de souci hein.— Euh, je sais pas… C’est chaud quand même.— Comme tu veux. Mais je vais pas tarder à cracher, et généralement je me déconnecte juste après. Si tu veux en profiter c’est le moment ou jamais.
J’ai très envie de me masturber, moi aussi. Je n’ai jamais vécu une situation aussi excitante et je veux la vivre pleinement. Mais sortir ma bite à côté de Mak me met encore trop mal à l’aise.
— Tiens !
Je lève les bras juste à temps pour attraper le coussin qu’il me lance.
— Cache toi derrière ça si c’est l’idée que je te vois faire qui te gêne. Et je lâcherai pas l’écran des yeux de toute façon.
N’ayant plus de messages de son interlocuteur, Lily s’impatiente et arrête de jouer avec son vagin.Ouhouh t’es là ?Ouai bb dsl, jsuis tout à toi. Tu veux me voir jouir C ca ?Ouiiii je veux ton sperme.Hummm va falloir que tu donne tout ce que t’a.
Sitôt dit, la jeune femme remonte sa cam pour montrer le bas de son visage. Dans un geste plein de gourmandise, elle rentre deux de ses doigts dans sa bouche et les lèche goulument. Puis elle redescend la cam et enfonce sans retenue ses doigts profondément entre ses lèvres. Mak se cambre un peu plus en avant et reprend sa masturbation de plus belle.J’ai l’impression qu’il se lâche complètement. Bien que la jeune femme ne puisse pas l’entendre, il est encore plus expressif.
— Oh putain c’est trop bon…
Lily tapote cette fois son clito et je l’imagine elle aussi lâcher des cris de plaisir. Je n’y tiens plus.Je prends bien soin de positionner le coussin de sorte de boucher complètement la vue de Mak et libère mon chibre dur comme la pierre. Je l’empoigne de la main gauche et me branle frénétiquement.
— Je vais cracher, salope ! Lâche Mak dans un râle.
Il dresse encore un peu plus sa bite en avant et accélère ses va-et-vient le long de sa queue tandis qu’elle expulse violemment quatre jets de sperme qui s’écrase sur le sol et ses cuisses.
— Hummmmmm…oh ! Oh ouais, la vache !
Avant je n’ai le temps de retenir quoi que ce soir, je sens ma bite se contracter et j’éjacule à mon tour. Le premier jet est si puissant qu’il passe par-dessus ma tête et tombe sur mes cheveux.
— Bordel, t’es un putain de gros juteur toi !
Mak est en train de me regarder, mais je ne suis pas en état de faire quoi que ce soit contre. Mon sperme continue de sortir pour couler le long de ma bite. Il éclate de rire et pianote rapidement un ‘’merci CT trop bon’’ à l’intention de la jeune femme qui avait déjà éteint les webcams avant de fermer son PC.L’excitation redescend presque instantanément et j’ai honte de me retrouver ainsi, les mains poisseuses de sperme, à deux mètres de mon pote.
— Bouge pas je vais te chercher une serviette.
Tandis que Mak se dirige vers la salle de bain, je soupire de contentement. Ce que je viens de vivre était incroyable. Je suis épuisé, et j’essaye de le lui signifier.
— Je suis vidé…
Mak se retourne avec un rire joyeux.
— Comme tu dis !
***Fin de ce double chapitre, qui devrait être le dernier à être plutôt ‘’soft’’. Les aventures de Léo vont commencer à gagner en piquant ! D’ici là un petit avis constructif me ferait bien plaisir ;)
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