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Léonard

Chapitre 5

Lesbienne
Et de trois –Tu as envie de quelles lèvres.–Ça dépend de celles que tu veux bien me donner.–Tu peux disposer de toutes mes lèvres.–Mais je n’ai pas envie que de tes lèvres.–Moi aussi, j’ai envie de tes lèvres et aussi du reste.–Viens, je t’attends. Elle fait passer sa robe par-dessus sa tête, elle est intégralement nue devant moi, je peux voir ses seins hauts et bien ronds, ils rempliraient bien mes mains et un ventre assez plat. Je vois un peu mieux qu’hier son pubis lisse, bien rebondi et bronzé lui aussi et que son clitoris est déjà un peu gonflé, il veut sortir de son capuchon. Elle vient vers moi en ondulant des hanches. Quand elle est pratiquement sur moi elle m’enlace et se glisse sous la cascade d’eau en posant ses lèvres sur les miennes. Je fais glisser mes mains sur sa peau en insistant sur ses fesses. Sa langue s’amuse avec la mienne, je répond avec plaisir à ce baiser intense. Mais j’ai envie de plus, je veux ses autres lèvres, je me dégage un peu pour descendre le long de son corps et arriver sur son pubis. Ma langue se glisse sous son capuchon pour aller titiller son clitoris. Je sens qu’elle se laisse aller au plaisir de sentir une langue sur son bouton d’amour. Elle plaque ma tête contre elle en ouvrant un peu plus ses cuisses. –Oui, vas-y, j’ai envie de jouir avec ta langue, j’ai envie de toi depuis que je t’ai vu, tu m’as excité en me montrant ton sexe hier. Fais moi jouir chérie, fais moi jouir avec ta langue. Décidément, j’ai fais disjoncter tout le monde ici, elles me veulent toutes, c’est de bonne augure, j’aime plaire et j’aime m’occuper de ces magnifiques corps de femmes. J’aspire son clitoris en le titillant avec ma langue, je le fais aller et venir entre mes lèvres, je le masturbe littéralement. Elle ne résiste pas longtemps, je sens son corps se tendre, elle se maintient en posant ses mains sur les mur de la douche. Son corps tremble un long moment, elle finit par se détendre et me faire remonter le long de son corps. Une fois debout, nos lèvres se soudent pour une salsa effrénée de nos langues. Ses mains explorent mon corps, les miennes en font autant, nous nous découvrons. Je me libère et sort de la douche, je lui tends une serviette pour qu’elle s’essuie. Une fois sèches, je la prend par la main et l’amène dans ma chambre pour l’allonger sur mon lit. Je me couche sur elle, je veux que nos corps communient, qu’ils fassent connaissance, qu’ils s’apprécient. Ses mains glissent sur mon dos et mes fesses, j’adore. Nos bouches se soudent une nouvelle fois, je me laisse aller à ce baiser plein de tendresse. Je finis par descendre le long de son corps pour poser mes lèvres sur son sexe quand je sens deux mains sur mes fesses. –Je le savais, je savais qu’Alexandra allait profiter de mon absence pour venir te voir, je savais qu’elle te kiffait, elle te bouffait des yeux, c’est pour ça que je suis sortie seule. Je sens ses mains glisser sur mes fesses, je ne lâche pas Alexandra, ma langue la fouille dans tous les recoins de son sexe si souple et liquéfié. Je me goinfre de son jus d’amour jusqu’à ce que je sente un doigt gras se glisser entre mes fesses et s’enfoncer dans mon anus. Oh la vache, elle me sodomise avec son doigt, et j’aime ça, je donne un petit coup de rein en arrière, son doigt s’enfonce encore un peu plus. –Oui, vas-y ma chérie, enfonce le moi au plus profond.–J’ai mieux si tu aimes. Je sens Alexandra jouir sous ma langue, je ne réponds pas je veux aller jusqu’au bout avec cette splendide fille. Quand je la sens se décontracter, je remonte le long de son corps pour venir poser mes lèvres sur les siennes. Nous sommes seins à seins, ventre à ventre pubis contre pubis, nous échangeons un long baiser. Garance se couche sur moi, sa bouche se pose sur mon cou tandis que son doigt me défonce toujours le cul. Quand nos tête se séparent, Garance me libère et me fait mettre sur le dos. Elle se jette sur mon sexe pendant qu’Alexandra s’occupe de mes seins. Je jouis assez rapidement, je suis super excitée. Une fois tout le monde calmé, Garance se lève. –Attendez moi ici les filles, j’ai quelque chose pour vous.
 Elle va dans sa chambre pour en revenir deux minutes plus tard avec un gode ceinture autour de la taille. Un énorme sexe la précède, elle tient une boîte dans sa main droite. –Elodie ma chérie, allonge toi sur le lit à plat ventre. Je m’exécute en me doutant de ce qu’elle veut faire. Je sens des doigts me badigeonner de graisse entre les fesses, elle veut me sodomiser avec son énorme gode, mais j’ai l’habitude avec Jérôme, il aimait me faire l’amour dans tous les trous. Et vu le calibre de son sexe, mon cul est parfaitement formaté. Je sens le gland du gode se glisser entre mes fesses, il arrive vite sur ma rondelle pour l’ouvrir comme une fleur. Mais ça fait plus d’un an et demi que ce passage n’a pas été emprunté, j’ai un peu de mal à supporter l’introduction. –Doucement chérie, ça fait longtemps que je ne me suis pas fait enculer, je crois que mon cul a un peu perdu la mémoire.–Ok ma chérie. Elle s’arrête un petit instant et recommence lentement sa progression. Je sens le cuir de sa ceinture sur mes fesses, le gode est complètement enfoncé, mon téléphone sonne. –Un instant, je décroche. Alexandra me tend mon téléphone.  –Allo, ……, ok Léonard, je t’attends dans un quart d’heure, juste le temps de prendre une douche, mais je suis avec Garance et Alexandra, je ne serais pas seule, ………, ok, à tout à l’heure, ……, ce que je fais en ce moment, tu veux vraiment le savoir ? …………, et bien je suis sur le ventre sur mon lit et Garance m’enfonce un super gode dans le cul, et je dois dire que j’adore, ………, ok, dans un quart d’heure.–Je te la prépare, elle sera souple, ne t’en fais pas. Je raccroche, Garance est morte de rire. –Putain, tu as un gode dans le cul et tu lui cause comme si tu te prélassais dans ton lit.–Fini moi au lieu de dire des bêtises. Elle se déchaîne dans mon cul, je suis complètement envahi par ce gode démoniaque que me laboure le fondement. Alexandra s’assoie sur le lit devant ma tête, elle ouvre grand ses jambes et avance vers mon visage. Je n’ai qu’à lever la tête pour qu’elle puisse positionner son sexe sous ma bouche. Je la lèche et la bois avec plaisir surtout que je sens le plaisir monter en elle. En plus, de savoir que Léonard doit imaginer la scène dans sa tête m’excite encore plus, je ne mets que deux minutes à jouir très vite suivie par Alexandra et Garance, ce qui m’étonne. Garance se dégage, elle enlève sa ceinture et je comprend tout, elle avait deux autres godes à l’intérieur qui lui remplissaient le sexe et l’anus. Nous allons toutes les trois prendre une douche évidement crapuleuse. Alexandra s’en va, elle ne veut pas avoir de relations avec un homme, Garance me prête une jupe très courte et un corsage pas très sage qui laisse bien deviner ma poitrine nue. Elle est encore plus extrême, elle porte une jupe plissée raz la chatte avec un corsage pratiquement transparent, on distingue encore mieux ses mignons petits seins, heureusement qu’il n’y a pas de vent. Nous apercevons Léonard dans la rue, nous lui signalons que nous descendons le rejoindre, il ouvre de grands yeux en nous voyant. –Et bien les filles, va falloir que je sorte la kalachnikov pour vous protéger de tous ceux qui vont vouloir vous violer.–Nous te faisons confiance. Nous prenons chacune un bras et nous dirigeons vers la place du Capitole. –Les filles, je vous invite à déjeuner, que voulez vous manger ce midi.–Au risque de paraître un peu bizarre, j’aimerais bien manger un cassoulet, même par cette chaleur, je n’en ai pas mangé depuis plus de dix huit mois, c’est un comble pour une toulousaine. J’allais souvent à la Cave au Cassoulet.–Tu avais des excuses.–Je sais, mais j’aimerais bien combler ce manque.–Et c’est quoi tes excuses ?–Je te raconte. Je lui dit ce qui m’est arrivé, il semble compatir mais il garde tout de même le sourire, surtout que Garance ne se prive pas de souligner mes tendres rapports avec Gabrielle. –Ok, en attendant, installons nous au Florida pour prendre quelque chose de frai, il commence à faire très chaud.–On va encore crever de chaud dans ce four en brique qu’est Toulouse.–D’où sa couleur et son surnom. Nous nous installons, Louis vient vers moi pour m’embrasser. –Salut Elodie, je vois que tu es toujours aussi belle et sexy. Tu m’as vraiment manqué tu sais.–Surtout mes jambes et mes seins je pense.–J’aime bien regarder ce qui est beau, qu’est ce que je vous sers ? Garance ouvre un peu ses jambes, Louis s’en aperçois et lui sourit, ses yeux parcourent son corps, il a l’air de beaucoup aimer. Nous commandons trois pastis, ça aussi ça commençait à me manquer en taule. Léonard nous informe que son coloc et sa copine devrait s’en aller à la fin du mois, ça n’est pas pour lui déplaire car ils organisaient un peu trop souvent des fêtes comme celle d’hier dans l’appartement, les voisins commencent à râler. Je me dis que j’aimerais bien m’y installer, mais il faut que je m’entende bien avec Léonard, et pour moi, ça veut dire baiser ensemble. Ce mec me plait, j’ai flashé sur lui quand je l’ai vu, mais je ne le connais pas, Garance ne m’a fait que des compliments sur lui, mais je dois me faire ma propre idée. Il téléphone au restaurant la Cave au Cassoulet et réserve pour douze heures quinze. A l’heure dite, nous allons vers le restaurant accrochées à ses bras. A voir le regard des garçons, et même de certaines femmes, que l’on croise, il fait beaucoup de jaloux, surtout que la jupe de Garance a tendance à se soulever à chaque pas dévoilant le bas de ses fesses nues. Le repas se passe très bien, j’éprouve un immense plaisir à manger ce cassoulet délicieux, je retrouve des sensations perdues depuis quelques temps. A la fin du repas, Léonard nous invite à venir chez lui pour boire un café, ses colocs ont quitté l’appartement, hier, c’était la fête d’adieu. Il sont partis ce matin à Montpellier pour aménager leur nouvel appartement, il va falloir qu’il trouve quelqu’un, il ne pourra pas assure le loyer à lui tout seul. Je pense qu’il a une petite idée derrière la tête, mais nous acceptons avec joie. Je peux visiter l’appartement, il est immense, cinq pièces dont deux de plus de quarante mètres carrés, la chambre de Léonard avec un énorme lit design et le salon. Une grande cuisine, une superbe salle de bain avec une très grande baignoire et une douche à l’italienne. En plus, les trois autres chambres ont une douche individuelle dans un petit cabinet de toilette en angle. C’est un appartement de luxe si l’on excepte les murs un peu en vrac, l’un d’eux est percé et donne directement sur le puit de jour intérieur heureusement couvert d’un toit transparent. Garance vient vers lui. –C’est nouveau ton lit, il est immense, tu l’as depuis combien de temps ?–Un an, il fait deux mètres sur deux mètres, c’est un Julia fabriqué spécialement pour mon père que j’ai récupéré à son décès.–Ta mère n’a plus de lit ?–Ma chère Elodie, sache que mes parents ont divorcés il y a quinze ans.–Ok, mais c’est un grand lit pour une personne seule.–Oui, mais mon père était un peu mégalo, il s’est fait faire cet immense lit juste pour la frime et impressionner ses conquêtes.
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