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Léonard

Chapitre 10

Lesbienne
L’installation –Tu crois qu’elle plairait à Léonard ?–Tu veux qu’elle partage notre vie ?–J’avoue que j’aimerais bien profiter d’elle encore un bon bout de temps, elle est magnifique et elle semble déjà être accro à nous.–Commençons par faire un essai, mais pas ce soir, Léonard rentrera juste de Montauban et j’aimerais quand même qu’on en profite seules toutes les deux.–Ok, invitons la demain à passer à l’appartement, on pourra tester la réaction de Léonard.–D’accord. Nous venons vers Naomi qui semble sortir de sa torpeur. –Naomi, nous avons quelque chose à te dire. Elle se tourne vers moi, elle semble encore dans son trip, ses yeux s’ouvrent à peine, elle nous sourit. –Que dirais tu de venir passer la journée avec nous demain, maintenant, il faut qu’on y aille, nous sommes attendues.–Ok, donnez moi votre adresse, j’ai trop envie de vous revoir, je commence à devenir accro. –Tu as déjà fait l’amour avec un homme ?–Non, je suis toujours vierge, mais je dois dire que ça commence à me peser, j’aimerais bien connaître ça, je ne suis pas exclusivement lesbienne bien que j’adore l’amour saphique. –Tu préfère les femmes.–Je ne peux pas dire, je ne connais pas l’amour hétéro, je te donnerais ma réponse quand je ne serais plus vierge et que j’aurai pratiqué un peu.–Ok, à demain, on doit y aller.  Nous sommes à peine rue St Rome que mon téléphone sonne, c’est Léonard qui me dit être chez lui dans une demi-heure, ça nous laisse juste le temps de récupérer nos affaire chez Alexandra et être chez lui en même temps. Nous accélérons le pas, Alexandra est dans son bureau, elle a une tête de déterrée, il va lui falloir une bonne nuit de sommeil pour récupérer complètement. Nous récupérons nos sacs et après un dernier baiser allons rejoindre Léonard.  
–A bientôt les filles, n’oubliez pas que je suis là et qu’une visite de temps en temps me ferait énormément de plaisir.–Et te ferait énormément jouir, c’est ça ?–Tu as tout compris.–A bientôt, ne t’en fais pas, on ne t’oubliera pas.  Nous arrivons devant le portail de Léonard trente secondes avant lui. Nous nous précipitons sur lui pour l’embrasser, c’est moi qui gagne. Après un long baiser, il regarde Garance, l’enlace et l’embrasse fougueusement. Nous sommes dans la rue, tout le monde nous regarde et particulièrement Léonard qui doit passer pour un sacré veinard. Nous sommes à peine entrés dans l’appartement que Garance pose ses deux sacs et commence à enlever sa jupe et son corsage. Léonard va poser deux sacs dans la cuisine. –Je présume que c’est comme avant, toujours à poil.–Oui, comme avant. Je fais valser mes fringues, Léonard nous imite. Nous allons poser nos sacs dans une chambre, Léonard nous suit, il semble ne pas comprendre ce qui se passe. –Quelque chose ne va pas ?–Vous pensez vous installer ici ?–Pourquoi cette question ?–Simplement parce que je suis étonné que vous ne vous installiez pas dans ma chambre, si nous vivons ensemble, ce n’est pas pour avoir chacun sa chambre. Mon lit est assez accueillant pour trois, voire plus. Je ne compte pas vous laisser faire l’amour et dormir tranquillement dans une autre chambre que la mienne. Si je vis avec deux femmes, c’est pour les aimer et les avoir tout le temps dans mon lit.–Ok, montre nous où on doit mettre nos affaires. Il nous amène dans sa chambre, j’avais oublié qu’il y avait deux énormes et magnifiques armoires normandes. Il l’ouvre l’une d’elle, elle est vide. –J’espère qu’il y a assez de place dans cette armoire, sinon, il y en a d’autres ne vous en faite pas.–Ça devrait aller, je n’ai pas la garde robe de Paris Hilton.–D’ailleurs, je te préfère sans robe.–Moi aussi. Une fois les affaires rangées dans l’armoire, nous prenons Léonard pour l’amener dans le salon. Nous l’allongeons sur le divan, je m’occupe de sa bouche, Garance de son sexe. Quand sa bite est bien droite, elle me positionne dessus pour que je puisse m’empaler sur ce merveilleux vit qui me perfore. Garance s’écarte pour me laisser poser ma bouche sur celle de Léonard, elle en profite pour faire glisser ses mains sur mon dos et mes fesses. Je fais monter et descendre mon sexe sur lui jusqu’à ce que je le sente se crisper. Une bouche se pose sur mes fesses, une langue se glisse entre elle pour venir titiller mon anus. Quand je sens un liquide fouetter mon col, je laisse mon corps aller jusqu’à l’explosion finale qui me transporte au nirvana. Je l’enlace à l’étouffer, je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie. Je viens de partager un moment d’amour avec l’homme que j’aime caressée par la femme que j’aime. Je reviens à moi lentement, je ne veux pas accélérer le mouvement, mon corps me transmet des ondes de plaisir que je veux savourer le plus longtemps possible. Quand je suis en état de me retourner, je glisse sur le côté de Léonard, la bouche de Garance se pose sur la mienne pour un long baiser. Une main de léonard glisse sur mon sein gauche, l’autre sur le sein droit de Garance, elle frissonne de plaisir. Mais je ne veux pas rester ici, nous ne sommes pas très bien pour nous aimer. Je fais lever tout le monde et nous allons dans la chambre. Je m’allonge sur le dos, Garance à côté de moi. Léonard fait glisser ses mains sur nos seins. –Tu as de plus petits seins qu’Elodie, mais je les adore aussi, ils sont très sensibles, j’aime leurs tétons érigés. –Et moi, j’aime que tu les fasses ériger. Elle pose ta tête sur mon épaule, ma main se pose sur une de ses fesses, je la caresse tendrement. –Je suis si bien avec vous, je veux être votre jouet d’amour, vous rendre heureux comme vous me rendez heureuse. Léonard s’allonge entre nous deux, plus personne ne bouge, nous restons tous les trois enlacés, calmes, sereins. Au bout d’une demi-heure de tendre câlins, je m’empare du sexe de Léonard. Je le gobe jusqu’à ce qu’il devienne dur comme un bâton de bois. Léonard titille le sexe de Garance avec son doigt, quand il le porte à sa bouche, je vois qu’il ruisselle de cyprine, je le libère pour qu’il s’allonge sur elle. Je me saisi de sa bite pour l’amener dans le sexe de ma chérie, je veux que se soit moi qui lui introduise ce magnifique braquemard bien raide. Je le vois entrer lentement dans son vagin, j’en suis étrangement excitée. Léonard commence à lui faire l’amour, c’est la première fois depuis qu’ils se sont séparés. Mais je ne peux pas rester sans rien faire, je saisie la main de Garance pour la poser sur mon sexe. –Masturbe moi ma chérie, je veux jouir en même temps que toi et grâce à toi. Son majeur s’enfonce dans mon vagin inondé pour aller titiller mon clitoris. Il va de temps en temps dans mon vagin, glisse sur mon périnée, titille mon anus mais retourne systématiquement sur mon bouton d’amour. Je sens le plaisir monter en moi, je la regarde, elle a fermé les yeux et se concentre sur son propre plaisir tout en me masturbant. Je vois le visage de Léonard se crisper un peu, le sien aussi, je me laisse aller sachant qu’ils ne vont pas tarder à jouir. C’est Léonard qui craque le premier, je le suis immédiatement juste quelques secondes avant Garance. Notre jouissance simultanée augmente encore les sensations de plaisir qui circulent dans mon corps. Nous restons un long moment enlacés à somnoler, nous sommes bien ensemble, je me dit que ça ne pouvait pas mieux commencer. Au bout d’une bonne demi-heure, Léonard se lève et va vers la cuisine. Je me rapproche de Garance et monte sur elle, elle m’enlace instantanément en me serrant très fort. –Oui ma chérie, viens sur moi, j’ai envie de te fondre dans mon corps. Elle me sert très fort, je suis à la limite d’étouffer, mais je me laisse faire, j’aime beaucoup la sentir contre moi. Nous restons ainsi sans bouger, une odeur agréable arrive de la cuisine, nous n’y prêtons que peu d’intérêt. Au bout d’une bonne heure, Léonard entre dans la chambre. –Debout les amours, il est temps de se sustenter, je vous ai préparé une surprise.  Nous nous levons, la table est mise, nous n’avons qu’à nous installer. Nous venons chacune notre tour lui faire un petit câlin. –Merci amour, mais attention, nous allons nous habituer.–C’est exceptionnel, mais sachez que j’adore faire la cuisine et que ça arrivera de temps en temps.  Nous nous installons, Léonard fait le service, il nous amène des verrines remplies d’une mousse bicolor. –Verrines d’asperges vertes au crevettes. Nous nous jetons sur les verrines, c’est délicieux, je vois que Garance semble un peu étonnée, je présume qu’elle découvre. –Tu aimes ?–J’adore, mais je n’ai pas l’habitude de manger ce genre de mets, je viens d’une famille modeste, j’ai plus mangé de pâtes que de crevettes. Mas je suis sure que je vais m’y faire très vite. Au fait, je ne sais même pas d’où tu viens.–De Rodez où mon père est avocat.–Moi, de Toulouse où mon père est gardien d’immeuble, ce n’est pas la même milieu.–Oui, mais je constate que ça ne l’empêche pas de faire des canons.–Merci ma chérie. Léonard finit très vite sa verrine et retourne dans la cuisine, nous entendons une forte de friture et une odeur de poisson entre dans la salle à manger. Il reviens avec deux assiettes qu’il dépose devant nous. –Escalope de saumon à l’oseille des frères Troisgros, une de mes spécialités.–Il y en a d’autre ?–Oui, homard à l’américaine, couscous, terrine de foie gras, gigue de chevreuil sauce grand veneur et quelques autres, je ne peux toutes les citer maintenant.–Il va falloir qu’on les teste toutes.–Nous avons le temps. Il va chercher son assiette et partage avec nous ce moment agréable. C’est délicieux, il nous apprend que c’est une recette relativement récente, elle a été créée par Pierre et Jean Troisgros en mille neuf cent soixante deux, même pas cinquante ans.  Après le repas, nous allons nous doucher et nous coucher pour une première nuit d’amour ensemble, je suis au comble du bonheur.
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