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Léonard

Chapitre 11

Hétéro
La présentation Léonard m’allonge au milieu du lit, il se met à gauche, Garance à droite. Je reste les bras le long du corps et je ferme les yeux. Je sens quatre mains glisser sur toute la surface de mon corps, surtout sur le pubis et les seins, mais délicatement, c’est assez aérien. Des lèvres se posent sur les miennes, je reconnais celles de Garance, d’autre se posent sur mon ventre et remontent lentement vers mes seins. Une onde de plaisir se forme doucement au bas de mon ventre, je ne fais rien pour la faire grossir. Quand la bouche est sur mes seins, celle de Garance me quitte pour aller se poser sur mon pubis. Léonard pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un merveilleux baiser, mais une autre bouche se pose sur d’autres lèvres. Une langue se faufile entre elles pour venir lécher mon vagin et en extraire la crème qui s’en échappe. Elle remonte un peu pour venir titiller mon clitoris. Je suis au bord de l’orgasme, Garance commence à bien connaître mes réactions et sachant où j’en suis pose ses lèvres sur mon bouton d’amour et le masturbe en le faisant aller et venir entre elles. Je finis par exploser dans un orgasme démentiel, je ne suis plus Elodie, mais un ange volant au dessus du ciel dans la plus extrême béatitude. Je sombre dans un état végétatif sous les caresses de mes deux amants, je n’ai jamais ressenti un tel bonheur. Léonard vient s’allonger sur la gauche, Garance sur ma droite.  –Dors ma chérie, nous sommes là pour te protéger et t’aimer.–Oui, mais vous, vous ne voulez pas vous aimer ?–Bien sûr, mais il se fait tard, nous sommes tous fatigués et nous avons tout notre temps. Nous restons serrés les uns contre les autres, je m’endors en quelques minutes, mon corps repu. Je me réveille vers six heures du matin, encore des séquelles de mon incarcération, c’était le branle bas à six heures. Léonard et Garance dorment encore. Je vois qu’il bande fort, il est sur le dos, j’ai envie de monter sur lui et de m’empaler sur ce magnifique sexe bien dur. Je me retourne pour voir mon adorable Garance dormir elle aussi sur le dos, les jambes légèrement ouvertes. Je ne peux résister et viens me placer entre elles. Je pose ma bouche sur son sexe pour en extraire son divin jus. Sur le coup, elle ne réagit pas, mais au bout de quelques secondes je sens son bas ventre commencer à bouger. Elle finit par lever les fesses pour me faciliter la tâche, mais je ne veux pas la faire jouir. Je me redresse pour la faire monter sur Léonard qui bande toujours. Elle s’empale doucement sur son sexe. Léonard se réveille et l’enlace. –Viens chérie, viens me faire l’amour, je veux être réveillé comme ça tous les jours.–Là tu rêves mon chéri, nous aussi nous aimons être réveillées comme ça, ce sera chacun son tour.–Ok, à condition que ce ne soit pas toujours la même personne qui se réveille la première, j’espère que je perdrais vite cette manie de me réveiller à six heure. Garance commence à bouger sur le sexe de Léonard, je le vois entrer et sortir de son sexe liquéfié. Il lui caresse les fesses et le dos un instant pour finir par l’enlacer en la serrant contre son corps. Mon doigt s’active sur mon clitoris, voir les deux êtres que j’aime le plus au monde faire l’amour m’excite au plus haut point. Ils échangent un baiser jusqu’à ce que Garance jouisse d’un seul coup. Je n’ai rien vu venir, Léonard relâche son étreinte, Garance se laisse glisser sur le côté. Je vois que Léonard bande toujours, il n’a pas jouit. J’écarte un peu Garance pour m’allonger sur lui et m’empaler sur son sexe bien raide. –Vas-y ma chérie, fais le jouir, je n’ai pas pu le faire, j’avais trop envie de jouir, tu m’as trop excité.–Ne t’en fais pas, il va jouir. Je me déchaîne sur sa bite, le masturbant avec mon sexe qui monte et descend. Je sens qu’il se raidi lentement, heureusement car moi-même, je ne vais pas résister longtemps. C’est un violent jet de sperme sur mon col qui déclanche mon orgasme. Nous jouissons ensemble en nous serrant l’un contre l’autre. Nos bouches sont soudées par un tendre baiser. Il est encore très tôt, nous décidons de rester dans le lit. Garance et Léonard se rendorment, je reste à les regarder dormir en râlant de ne pouvoir faire la même chose. Je me lève vers sept heures trente en les laissant dormir, je vais faire les courses du petit déjeuner. Quand je rentre des courses, Garance est sous la douche, mais Léonard dort toujours. Je me déshabille pour aller la rejoindre et faire un câlin d’amour. Une fois calmées, nous allons préparer le petit déjeuner, c’est l’odeur du pain grillé qui réveille Léonard, il est déjà pratiquement neuf heures, ce n’est pas un lève tôt. Il entre dans la cuisine avec son sexe bien droit devant lui. 
–Bonjour les filles, déjà au taf ? Garance se précipite pour s’agenouiller devant lui et lui gober la bite. Il s’immobilise et se laisse faire en affichant bien sa satisfaction. Il se raidi assez vite et se vide dans sa bouche. Elle se lève pour venir m’embrasser et partager ce qui lui reste de sperme. Il en profite pour aller dans la salle de bain, cinq minutes plus tard, nous sommes assis autour de la table à déjeuner joyeusement. Je me lève pour débarrasser quand la sonnette retentie. Je mets deux secondes à réaliser que ça doit être Naomi, nous n’avons rien dit à Léonard, nous voulons voir sa réaction quand il la verra. On ne peut pas ouvrir le portail de l’appartement, il faut descendre. J’enfile une jupe et un tee-shirt et me précipite dans l’escalier. Quand j’ouvre le portail, je tombe sur une Naomi resplendissante, elle est coiffée, maquillée, et porte une jupe très courte sur un corsage jusque boutonné à la taille. Ses magnifiques seins ont tendance à vouloir en sortir. Elle entre pour m’enlacer et échanger un long baiser.  –Tu m’excuse, il est encore tôt, mais je ne pouvais plus attendre, j’attends ce moment depuis qu’on s’est quitté hier, j’ai trop envie de vous deux.–Et peut être de lui.–Peut être. Je la laisse passer devant dans l’escalier, je me délecte de ses magnifiques fesses qui dansent sous mes yeux. Entre le premier et le second, je ne peux m’empêcher de la saisir par les hanches et de lui embrasser. Elles sont toujours aussi douces, je les caresse deux secondes. –Je suis sure qu’il va adorer tes fesses.–Et le reste j’espère, j’aimerais tant perdre mon pucelage.–Aujourd’hui ?–Pourquoi pas s’il me plait et que je lui plait.–Pourquoi pas en effet. Quand nous entrons dans l’appartement, c’est pour voir Garance et Léonard dans l’entrée, ils ne se sont pas habillés. Naomi a un petit mouvement de recul, elle me regarde. –Qu’il est beau !! Elle se reprend et fait valser son corsage et sa jupe en deux secondes. –J’adore cette tenue, en plus, elle est plus adaptée aux circonstances. Garance vient vers elle pour l’enlacer et l’embrasser pendant que j’imite Naomi. Quand elles se détachent, nous prenons Naomi chacune d’une main et regardons Léonard. –Que penses tu de notre nouvelle copine ?–Elle est magnifique, mais j’aimerai connaître son nom.–Naomi, elle est là car elle aimerait s’amuser un peu avec nous.–Nous tous ?–Oui si tu le veux bien.–Comment refuser devant un tel corps. Il vient vers elle, tend les bras pour poser ses mains sur ses épaules. Elle descendent lentement le long de ses bras pour remonter immédiatement et prendre le chemin de ses seins. Elles s’attardent sur eux en les caressant, les soupesant, les enveloppant. Naomi se laisse faire les yeux fermés. Les mains descendent sur son ventre mais s’arrêtent et passent derrière pour la plaquer contre le corps de Léonard. Elle se colle à lui, ouvre les yeux et lève un peu la tête, il pose délicatement sa bouche sur la sienne. Il l’enlace en l’embrassant, elle ne bouge toujours pas. Les mains de Léonard descendent sur les fesses de Naomi, elles les caressent en remontant légèrement sur son dos. Je vois que Naomi se donne complètement à cet homme qu’elle découvre, mais qui semble lui plaire énormément. Elle colle son pubis contre le sexe de Léonard qui commence à réagir. Quand ils se séparent, il est presque à l’horizontal. Naomi me regarde, je lui fait oui de la tête. Elle tend la main pour s’emparer de cette magnifique bite qui se redresse lentement. Elle la caresse avec amour, je vois bien qu’elle n’est pas une experte du sexe hétéro mais le sexe de Léonard est maintenant bien raide dans sa main. Elle recule en entraînant Léonard avec elle. Elle se plaque contre le mur et soulève une jambe. –Là, prend moi là, j’ai envie de ton sexe maintenant et à cet endroit. Je la regarde étonné. –Mais tu es toujours vierge Naomi, tu ne vas pas te faire dépuceler contre un mur de couloir. Léonard se tourne vers moi. –Elle est vierge ?–Oui, c’est en partie pour perdre sa virginité qu’elle est là, mais j’aimerais bien que ça se passe un peu plus tendrement, avec plus de douceur.–Non, j’ai envie là, maintenant à la seconde, tu as déjà vu une fille se faire dépuceler contre le mur d’un couloir deux minutes après avoir rencontré un homme ?–Non, jamais.–Et bien, tu ne pourras plus le dire, et ne t’en fais pas, mon sexe est devenu une vraie fontaine à cyprine, ça coule le long de mes cuisses. Effectivement, je remarque que le haut de ses cuisses brillent, elle est dans un état extrême d’excitation. Garance vient vers elle pour la soutenir. –Tu as raison chérie, fais toi dépuceler comme tu en as envie. Léonard se colle à elle, je vois son sexe approcher de la vulve de Naomi. Elle avance un peu son bas ventre, le gland de Léonard écarte un peu ses lèvres, il commence à s’enfoncer dans son vagin. –Vas-y, défonce moi le con, j’ai envie de sentir mon hymen exploser d’un seul coup, vas-y, enfonce le moi d’un seul coup.–C’est ce que tu veux.–Oui, défonce moi la couenne, fais moi mal. Léonard donne un violent coup de rein, son sexe disparaît en une fraction de seconde. Elle a un violent sursaut et hurle de douleur. –AAAAAAAHHHHHHH Mais elle donne des coups de reins pour accentuer la pénétration. Ça dure quelques secondes, jusqu’à ce que Léonard jouisse, elle se serre contre lui. –J’ai senti ton sperme me remplir, merci Léonard, merci, je suis une femme.–Tu n’as pas joui.–Non, mais ce sera pour une autre fois si tu le veux bien.–Bien sûr que je le veux bien, et je suis sûr que mes amours le veulent bien aussi.–Bien sûr que nous le voulons bien, mais d’abord une petite douche s’impose, suis nous Naomi.
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