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Léonard

Chapitre 12

Lesbienne
Le quatuor Nous allons dans la salle de bain, je fais couler l’eau, nous nous glissons dessous. Six mains glissent sur le corps de Naomi, elle semble aux anges.  –Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais quand je t’ai vu nu, j’ai eu envie que tu me baise tout de suite, je ne voulais pas me faire dépuceler comme si j’étais amoureuse de l’homme qui m’aurait pris ma virginité. Je voulais que ça soit sauvage, que ce soit juste un acte violent. J’ai eu très mal, j’ai encore mal, mais je sais que ça va passer et que je recommencerai de nombreuse fois et que je jouirai en le faisant, merci Léonard, merci.  Il la prend dans ses bras et l’embrasse, nous passons nos mains sur ce merveilleux corps à la peau si douce. Naomi se laisse caresser, elle s’écarte un peu de Léonard qui sort de la douche, s’essuie et sort. J’en profite pour m’accroupir et me glisser jusqu’à son sexe que je gobe avec plaisir. Ma langue se glisse entre ses lèvres qui ont un petit goût de sang, mais ça ne me dérange pas. J’écarte les mains de Garance qui sont sur ses fesses pour m’en saisir et la plaquer contre ma bouche. Je la titille, le suce, la mordille jusqu’à ce qu’elle se raidisse et jouisse en s’exprimant assez fort. –Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Quand je sens son corps se détendre, je me redresse pour l’enlacer et poser mes lèvres sur les siennes. Un long baiser nous uni collées l’une à l’autre en une parfaite union de nos corps. Mais je sens la tête de Garance se glisser entre nous, je m’écarte pour la laisser prendre possession de son sexe. Quelques minutes plus tard, elle jouit une nouvelle fois en s’exprimant encore une fois assez fort. Une fois revenue à elle, nous l’aidons à se maintenir debout, elle est un peu stone. Léonard revient, la prend dans ses bras et l’amène dans la chambre pour la déposer sur le lit recouvert d’une serviette. J’ai peur qu’il veuille lui faire de nouveau l’amour, mais avant que je ne dise quoi que ce soit, il lui écarte un peu les jambes et glisse sa tête entre elles pour venir lui brouter le minou. Elle ferme les yeux, met ses bras en croix et se donne complètement à lui. Garance et moi-même nous positionnons à côté d’elle pour nous occuper chacune d’un sein. Son pubis fait des ronds dans l’air, un sourire éclaire son visage, elle est bien et profite au maximum de la situation. Elle finit par jouir très fort si l’on en juge par ses cris de joie. Léonard remonte le long de son corps, il bande, mais je sais qu’il ne va pas enfoncer son sexe dans le sien, il lui ferait trop mal. Je m’allonge à côté d’elle et l’attire sur moi. Son sexe raide comme un bout de bois s’enfonce dans le mien qui l’accueille avec plaisir. Sa bouche se pose sur celle de Naomi pendant que son sexe me laboure le vagin. Garance lui caresse les fesses, mes mains glissent sur son dos, il ne tarde pas à jouir en se raidissant. –Oui mon chéri jouit, c’est comme si tu jouissait en moi, j’aime sentir ton corps se raidir dans le plaisir. Déjà mon chéri, décidément cette Naomi va très vite dans tout ce qu’elle fait, Garance me regarde, elle doit penser comme moi. Léonard se laisse tomber sur le côté, Naomi ne bouge pas, elle est un peu flagada, un sourire de bonheur ne quitte plus ses lèvres. –Mes chéries, vous ne savez pas à quel point je suis bien, je crois que je tombe amoureuse, je ne vais plus vouloir vous quitter.–Mais qui te demande de nous quitter, si tu es bien ici, tu peux rester ici, mais dans le respect des autres.–Bien sûr, mais je peux rester un peu comme ça, je suis complètement épuisée, vous m’avez trop fait jouir, je sens que je m’endors.–Vas-y chérie, nous sommes là, nous pouvons même rester avec toi dans le lit.–Moi, je vais faire des courses et je dois aussi passer à l’agence pour les prévenir des changements dans la location, je pense qu’ils voudrons vous voir cet après-midi.–Ok, tu seras là à midi ?–Oui, bien sûr. Léonard nous quitte, je me love contre Naomi sur son côté gauche, Garance sur son côté droit. Elle nous enlace en nous plaquant bien contre elle.
 –Restez là mes chérie, je vais m’endormir protégée par mes amies qui, je le sais, deviendrons mes amours.–Dors ma chérie.–Fais de beaux rêves. Nous restons sans bouger, Naomi s’endort en moins d’une minute, nous sentons sa respiration lente, nous n’osons pas la caresser de peur de la réveiller. Mais Garance n’a pas ma patience, au bout d’une bonne heure, je vois une de ses main glisser sur sa peau. Naomi réagit, son ventre bouge un peu, encourageant Garance à continuer. Je m’écarte un peu, libérant de l’espace sur sa peau que s’empresse d’envahir Garance. Naomi se positionne sur le dos, son ventre ondule de plus en plus ouvertement, je ne peux plus résister, je me glisse entre ses jambes pour les écarter un peu afin d’atteindre ses lèvres intimes. Ma bouche se pose sur son sexe, elle réagit en donnant un petit coup de rein pour accentuer la pression de mes lèvres qui se déchaînent sur ses lèvres douces et détrempées. Je me gave de son jus d’amour en titillant de temps en temps son clitoris dur comme du bois. Les mains de Garance glissent sur son corps, elles insistent sur ses seins. Soumise à ces différentes caresses, elle ne met pas longtemps à exprimer son plaisir en se raidissant et en émettant un grondement sourd. Son corps est parcouru de frissons et secoué de spasmes, ses fesses ont décollé de quelques centimètres, je me délecte de sa cyprine en glissant ma langue dans son vagin. Lentement elle revient à elle, je libère son sexe pour m’allonger sur elle et poser mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un long baiser, ses mains et celles de Garance parcourent mon corps et surtout mes fesses. Je me laisse tomber sur le côté pour laisser Garance prendre ma place. J’en profite pour la caresser en même temps que Naomi. Quand leurs bouches se séparent, Garance se lève et prend la main de Naomi. –Allez, petite douche et on sort se balader un peu, j’ai envie de prendre l’air.–Ok, mais on n’aura pas beaucoup de temps, il est déjà onze heures, Léonard ne va pas tarder à rentrer.–Tu as raison, commençons par préparer quelque chose à manger avec ce que nous avons, j’ai vu des tomates dans la cuisine, une petite salade de tomate ne conviendrait bien.–A moi aussi.–J’en suis, au boulot. Nous allons dans la cuisine, je regarde dans le frigo, il y a un reste de mozzarella, c’est parfait. Je coupe les tomates en rondelle, je ne les mange crue que comme ça, je les dispose sur un plat et émiettant la mozzarella dessus. Quelques olives à la greque et le tour est joué. Nous avons à peine fini que Léonard entre avec un sac de course.  –Brochettes d’agneau de chez Jean Pierre, deux baguettes bien fraîches, superbes cerises et un bon rosé bien frais. Je vois que vous vous êtes occupées de l’entrée, alors à table.  Une fois la table dressée, nous nous nous installons pour déjeuner joyeusement sur la table carrée du salon. Je suis en face de Garance avec Naomi à droite et Léonard à gauche. Je n’aime pas beaucoup cette table, elle est trop grande, je ne peux pas promener mes mains sur les corps de mes compagnons. Il va falloir changer ça !! Léonard s’occupe de faire cuire les brochettes sur un grill, ça ne le dérange pas, il cuisine très bien et surtout aime le faire. Une fois la dernière cerise engloutie, nous décidons d’aller faire un tour en ville, nous nous habillons très sexy, mais sans exagération. Pas de sous vêtements, mais corsages assez sages et jupes à cinq centimètres sous les fesses, donc très longues pour nous. Léonard est en Blanc du Nil, chemisette et short mi cuisse. Il fait une température agréable, nous déambulons dans la ville, Naomi et Garance sont accrochées aux bras de Léonard, je m’accroche à celui de Naomi. Il y a un peu de vent et nos jupes flottent un peu dans l’air dévoilant de temps en temps nos fesses nues, je mouille comme une folle. Je vois dans le regard des hommes que l’on croise que Léonard fait beaucoup de jaloux. Vers seize heures, nous nous rendons au rendez-vous que Léonard à prit avec Ursula, la patronne de l’agence, pour modifier le contrat de location. Nous sommes les seuls, Ursula est une belle femme de trente ans très souriante qui nous fait passer dans son bureau. Elle nous fait voir les documents à signer ce que nous faisons à tour de rôle. Je trouve qu’elle regarde plus nos fesses et nos seins que les documents à signer. Nous sommes dans son bureau fermé, elle est habillée d’une robe blanche mi cuisses assez ample. Je ne distingue pas de soutif, je pense qu’elle est comme nous, rien dessous. Elle se penche un peu pour aider Garance à signer aux bons endroits nous dévoilant un peu plus de ses cuisses. Je m’avance vers elle et pose négligemment une main sur sa fesse gauche, elle ne réagit pas et se penche même un peu plus. J’insiste en descendant vers le bas de sa jupe, pour arriver sur sa peau nue. Elle reste immobile, Léonard se rend compte de la situation, ainsi que Naomi qui vient se mettre de l’autre côté et pose directement sa main sous sa robe. Elle reste immobile pendant que nos mains remontent ses cuisses pour arriver sur ses fesses extrêmement douces et nues. Sa robe suit le mouvement et dévoile ses fesses à Léonard resté derrière. Nos mains remontent encore dévoilant de plus en plus de son superbe corps. Soudain, elle se redresse, se saisi du bas de sa robe et la fait passer par-dessus sa tête nous dévoilant son magnifique corps nu. Elle se libère et se dirige vers la porte qu’elle ferme à clef, elle nous fait face. Elle est superbe, seins hauts et fermes, bas ventre lisse, fesses d’enfer et un petit clitoris qui pointe un peu le bout de son nez, elle est excitée. –Comme ça, nous seront tranquilles, déshabillez vous tous !! Il ne faut que quelques secondes pour que tout le monde se retrouve à poil. Elle se dirige vers Léonard et se saisi de sa bite déjà bien raide. Elle l’assoie sur le bord du bureau et s’empale sur sa bite. Elle attrape la main de Naomi pour l’attirer à elle. Leurs bouches se soudent un petit moment, mais elle veut autre chose, ses mains appuient sur ses épaules et la font descendre jusqu’au niveau de son sexe. Naomi se penche dessus, on voit la verge de Léonard bien enfoncée dans son vagin, mais son clitoris est accessible. Naomi se jette dessus et l’aspire entre ses lèvres. Elle lui fait faire des va et vient pendant qu’Ursula monte et descend sur la bite qui l’empale. Avec Garance ne voulons pas rester inactives et nous caressons chacune un sein bien haut et bien ferme. Ursula ne résiste pas très longtemps et se raidi pour hurler son plaisir, j’espère que les murs sont bien isolés. Elle se détend doucement sous nos caresses, je repère un divan dans un coin à côté d’une table basse en bois massif. Nous l’allongeons dessus avec Garance, Naomi s’empale sur le sexe de Léonard qui n’a pas jouit, elle veut le finir.  Ursula est un peut stone, elle se laisse faire les yeux fermés. Garance s’allonge tête bêche sur elle pour poser sa bouche sur son sexe et le lécher ce qui la réveille. Ses mains s’agrippent à ses fesses et la font descendre sur sa bouche. Elle se donnent mutuellement du plaisir pendant que ma main se pose sur mon sexe détrempé et que mon majeur tourne sur mon clitoris. Mais je vois une petite bouteille de coca de vingt cinq centilitres sur le bord de la table basse. Je viens me positionner au dessus et me laisse descendre lentement. Je sens le goulot se frayer un passage entre mes lèvres, le diamètre augmente, pas de problème, je m’enfonce dessus jusqu’à ce que mes lèvres se resserrent sur la partie plus étroite, mes fesses touchent la table. Mon vagin est plein, mon majeur accélère sur mon clitoris jusqu’à ce que mes jambes m’abandonnent et que je m’écroule sur le tapis secouée d’énormes spasmes de plaisir. Quand je reviens à moi, je vois Ursula et Naomi sur le tapis tête-bêche. Garance caresse les fesses d’Ursula qui est dessus. Léonard me tend la main pour m’aider à me relever. –Cette séance de signatures prend un tour spécial. –Oui, et j’aime beaucoup. En me levant, je réalise que j’ai toujours la bouteille de coca dans le vagin, elle ne me gêne pas du tout, j’aime cette sensation de possession, je décide de la garder le plus possible. Naomi et Ursula jouissent en même temps, Garance s’occupe toujours de leurs corps. Quand elle ont récupéré, elles se lèvent, mais je vois au regard d’Ursula que la fête n’est pas finie, elle vient vers moi. –A nous deux ma petite, je vois que ta foufoune n’est pas libre, mais je pense que je pourrai quand même m’occuper de ton petit bouton.  Elle s’allonge sur le divan et me fait allonger sur elle, je pose mes lèvres sur son sexe pendant qu’elle en fait autant. Mais ce qui me surprend, c’est de sentir le gland de Léonard gluant se glisser entre mes fesses. Quelques secondes plus tard, sa bite est entièrement entrée dans mon fondement. Ursula écarte mes fesses pour lui faciliter la tâche. Je sens son pubis sur mes fesses. –Putain, avec ta bouteille dans le sexe, c’est extraordinaire.–Oui, vas-y mon chéri, défonce moi le fion, je sens que ça va être génial avec Ursula qui me titille le bouton. Il commence des va et vient de plus en plus amples et rapide. Je sens une boule se former dans mon bas ventre, elle grossi d’autant que la langue d’Ursula ne reste pas inactive. Je fini par exploser dans un gigantesque orgasme qui me pulvérise au fin fond de l’univers. Quand je reviens à moi, Garance et Naomi sont habillées et Léonard boutonne sa chemisette. –Il faut y aller chérie, je crois qu’on se reverra souvent.–Je veux mon neveu, n’oubliez pas que j’ai votre adresse. Je me lève, aide Ursula et enfile vite fait ma jupe et mon corsage. Nous quittons Ursula bien fatiguée. Nous retournons à l’appartement j’ai toujours la bouteille dans le cul, je mouille comme une folle. Une fois arrivés, nous nous installons sur le divan collés les uns sur les autres. –Je crois que nous allons vivre une belle vie si nous continuons à être ouverts et tolérants. –Je le pense aussi à condition que nous ne restions que peu nombreux.–Ça va de soit. Nous vivons ensemble depuis treize ans, nous sommes toujours que quatre, mais nous recevons souvent des amis pour faire la fête. Nous avons fini par acheter l’appartement que nous avons aménagé à notre goût. Gabrielle est sortie de prison, elle passe de temps en temps nous voir, mais n’a aucun contact avec Léonard, c’est mon homme, elle n’y touche pas. Ursula et Laure, viennent souvent nous voir, mais ne restent jamais la nuit. Juliette et Alexandra viennent aussi quand Léonard n’est pas là. Nous n’avons pas voulu d’enfant, il aurait fallu vivre autrement. La vie est belle, je suis heureuse, tout le monde est heureux, je vois l’avenir sereinement.
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