Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 117 J'aime
  • 4 Commentaires

Les actrices

Chapitre 4

Promenons-nous dans les bois

Orgie / Partouze
Nous sommes restés quelques instants ainsi allongés, à écouter Déborah se faire exploser l’arrière train. Moi qui l’avait entendu jouir réellement, j’en avais mal pour elle de l’entendre ainsi hurler. Lorsqu’elle finit par ne plus rien dire, Stéphane se leva pour se préparer, il avait une scène de prévu juste après avec Chloé, sur les bords de la piscine. Après son départ, Julie et moi avons discuté un moment, toujours allongé côte à côte. J’appris ainsi qu’elle venait d’une famille riche avec laquelle elle était en conflit ouvert car il souhaitait la marier à l’héritier d’une autre famille, sans lui demander son avis. Depuis qu’elle était partie, chacune de ses actions avait alors été pensée pour "faire chier les vieux le plus possible", et notamment sa fausse poitrine et son travail d’actrice X. Au vu du résultat, je ne pouvais qu’approuver.
Nous avons fini par nous lever, et tandis que Julie prenait tout son temps pour se doucher, je fis rapidement une toilette, trop curieux de voir de près un tournage porno. Le couloir des chambres côté piscine donnant sur une coursive surplombant la pièce d’eau, je pouvais à loisir voir la scène sans gêner. A mon arrivé, le tournage avait déjà commencé, la scène avec Déborah ayant déjà eu lieu au même endroit. Je voyais Chloé, dans l’eau jusqu’à la taille, gober goulument l’énorme chibre de Stéphane assis sur le bord, les pieds dans l’eau. Elle lui malaxait les boules et cherchait à en avaler le plus possible, tandis qu’il lui attrapait l’arrière de la tête, l’incitant à une gorge profonde, et poussant des soupirs bien trop profonds pour être vrais. Lorsque Chloé sortit de l’eau, Séb lui ordonna de s’allonger sur une serviette, Stéphane se plaçant derrière elle pour la prendre en cuillère. A peine avaient-ils commencé que Séb hurla "Coupez", et Stéphane cessa tout mouvement, la bite dans la chatte de Chloé, le temps que Nico déplace sa caméra. Puis un "Moteur" relança l’action, et Stéphane percuta de nouveau Chloé. Je suis resté ainsi à observer pendant 10 à 15 minutes, temps pendant lequel Il y eu une bonne dizaine de coupure et seulement un changement de position pour les acteurs. A présent, je ne m’étonnais plus d’avoir fait jouir mes charmantes partenaires. Comment voulez-vous prendre votre pied si on vous interrompt à tout bout de champ?
Je laissai là les deux amants du moment et je me dirigeai vers l’extérieur via l’escalier de secours. Je croisai alors Julie sortant de la douche, ayant revêtu de nouveau sa mini-jupe, ainsi qu’un débardeur assez moulant
- Dis donc, vous m’avez bien remplis le cul mes salauds, dit-elle en rigolant, j’ai eu du mal à tout virer. C’est Chloé que j’entends? — Oui, elle se fait limer par Stéphane. Ça doit être chiant de devoir s’arrêter tout le temps parce qu’une caméra est mal réglée— M’en parle pas. Une fois, il y avait tellement de coupure qu’un acteur m’a baisé pendant vingt minutes sans me faire jouir, alors qu’en privé il me fait grimper au rideau toutes les deux minutes. A la fin on a dû arrêter tellement j’avais mal aux cuisses à force de me faire percuter. Et pourtant t’es bien placé pour savoir que j’aime bien me faire secouer de temps en temps.
Cette dernière remarque s’accompagna d’un sourire coquin, d’un regard lubrique … et d’une claque sur les fesses de sa part. Nous sommes sortis en rigolant et nous nous sommes dirigé vers la cuisine, Julie étant affamée, où nous sommes entrés par la porte de derrière pour ne pas déranger le tournage. Heureusement que les normes de sécurité m’avaient imposé des sorties de secours au niveau des chambres, de la cuisine et de la piscine, cela nous permettait d’avoir des portes dérobées. Samia s’y trouvait déjà, sirotant une tasse de thé.
Samia était une des deux jeunes femmes d’origine maghrébines du groupe. Elle faisait la même taille que Julie, teint mate, cheveux d’un noir profond très joliment ondulé et lui tombant jusqu’aux reins. Elle portait un short d’été beige et un haut de bikini noir, qui permettait de voir sans problème son splendide 85E, ainsi que de deviner ses jolie fesses rebondies
- Coucou vous deux. Je ne sais pas si Séb t’as prévenu mais il faudrait que tu m’accompagnes faire des courses, on n’a pratiquement plus rien à manger, me dit-elle— Si, si je suis au courant, lui dis-je, bien que j’ignorais que c’était elle que je devais accompagner. — Très bien. On peut y aller quand tu veux. Pour ma part j’ai déjà mangé, et ne sachant pas où tu étais, j’attendais ici en espérant que tu passes. T’étais en train de niquer Julie je suppose. C’était bien? demanda-t-elle à sa camarade
Bon, elle au moins, elle ne s’embarrasse pas avec les formes
- C’était génial tu veux dire. Ils m’ont tronchée à deux, Stéph’ et lui, j’ai pas arrêté de jouir et pour finir, ils m’ont remplis le derche comme une outre. J’ai adoré— tu me donnes envie, là, répondit Samia en me décochant un regard lubrique. Bon, si t’es près, on peut y aller maintenant.— Il faudra juste passer chez moi, que je mange quelques choses, et tout simplement pour récupérer ma voiture.
Samia approuva d’un signe de tête, et attrapa son chemisier sur le dossier d’une chaise puis le passa sur ses épaules. Il était assez large pour couvrir un peu ses formes, lui permettant de sortir en public sans déclencher une émeute. Julie nous salua avant de se diriger vers la coupe à fruits, tandis que Samia sortit de la cuisine en se dandinant légèrement, provoquant chez moi une montée de chaleur. Quelque chose me disait que j’allais devoir reprendre des forces.

Arrivé chez moi, je me suis préparé un solide mais rapide repas, tandis que Samia se laisser tenter par une part de gâteau. Pendant le repas, nous avons pas mal discuté, la demoiselle semblant tout particulièrement intéressée par mes exploits de ces deux derniers jours. Je lui racontais ainsi comment Nicole nous avait rejoint Chloé et moi, comment j’avais réveillé Mélanie par un orgasme, comment j’avais préparé Déborah pour sa scène et comment j’avais participé au plan à trois de Julie. Elle écoutait attentivement, et semblait particulièrement sensible à mes performances avec Déborah et Julie.
Le repas fini, nous sommes montés en voiture, direction un gros supermarché à quinze minutes de conduite de là, par des petites routes de sous-bois. On était partis depuis deux minutes à peine lorsque Samia me demanda :
- Corrige-moi si je me trompe, mais tant que tu nous sautes tu acceptes de faire ce qu’on te demande.— Oui enfin, tant que ça reste raisonnable. Je ne cautionne pas toutes les pratiques.— T’en fais pas ça devrait te plaire. Je suis une pure citadine et un de mes fantasmes c’est de faire l’amour en pleine nature et de me faire enculer contre un arbre. Tu veux bien?— Oui, ça va, c’est réalisable.
Ça tombait bien, je connaissais un coin tranquille dans le bois près duquel on circulait, sans compter que moi aussi je rêvais de pouvoir faire l’amour dans un petit bois. Trois minutes plus tard, je garai la voiture dans un chemin discret, je pris une couverture dans le coffre et l’entrainai la jeune femme dans un chemin creux vers une petit clairière bien à l’écart des lieux de passage. Chaussée de sandales compensées, le trajet fut un peu laborieux pour elle, mais heureusement il était court. J’étalai la couverture au sol tout en m’assurant que l’endroit était désert et, une fois rassuré, je me suis déchaussé, j’ai pris place sur la couverture et ai invité Samia à me rejoindre.
Elle prit tout de suite les choses en main. Elle se mit à genou devant moi, fit tomber pantalon et caleçon sur les cheville et commença immédiatement une bonne fellation. Les mains sur mes fesses, elle gobait mon chibre jusqu’au bout, tandis que je lui caressais les cheveux. Très vite, elle abandonna mon postérieur pour enlever chemisier et bikini et dégrafer son short, avant de glisser une main dans sa culotte et de poursuivre le traitement sur ma bite. C’est ainsi que, pendant un instant, je me suis fait sucer en pleine nature par une superbe jeune femme torse nu, pendant que celle-ci se masturbait. L’instant était magique et j’en ai savouré chaque seconde car, à l’image de ses consœurs, Samia pompait comme une déesse.
Après quelques minutes de ce traitement, pendant lequel je soupçonne ma charmante partenaire de s’être donné du plaisir, Samia lâcha ma bite puis, retirant totalement son short, vient s’allonger dos sur la couverture. Sans plus attendre, je m’allongeai sur elle et sans autre forme, je la pénétrai directement et commençai à la limer. Les jambes autours de mes hanches et les bras accrochés à mes épaules, la plantureuse jeune femme se cambra pour profiter de chacun de mes coups de rein, tout en me présentant sa gorge que l’embrassai goulument. Dans cette position, je profitai de mon poids pour la pénétrer bien profondément à chaque mouvement, pour son plus grand bonheur. Tout au plaisir de satisfaire un de ses fantasmes, elle se laissait complètement dominée par ses sensations, et ce fut un, puis deux, puis trois orgasmes successifs, le dernier si violent qu’elle me planta ses ongles dans le dos.
Après cette puissante jouissance, Samia se détendit et relâcha son emprise sur mes hanches. Profitant de l’occasion, je me retournai afin de la positionner sur moi. Passée l’instant de surprise, elle se mit correctement à califourchon et, les mains sur ma poitrine, commença à monter et descendre sur ma bite, dans des mouvements fluides, tendres et amples, me faisant alors pleinement profiter de son énorme paire de seins. La profonde satisfaction de sentir simultanément un petit vent sur son visage et une bite dans ses entrailles se lisait sur son visage, et les orgasmes recommencèrent alors à se succéder, pour le plus grand bonheur de la jeune femme.
Comme je voyais qu’elle se fatiguait, je lui rappelai qu’elle m’avait également parlé de son souhait de se faire sodomiser contre un arbre, afin qu’il lui reste assez d’énergie pour le satisfaire. Samia cessa alors sa chevauché sauvage avec un grand sourire, puis s’approcha d’un grand chêne, sur lequel elle s’appuya de manière à me présenter sa croupe. Sans perdre un instant, je me plaçai derrière elle et lui enfonçai délicatement ma bite dans le cul. Cette simple pénétration eu déjà pour effet de lui arracher un puissant soupir de satisfaction, suivi d’un léger halètement lorsque je commençai mon pilonnage.
Très vite, Samia s’affala de tout son long sur le chêne, et pendant plusieurs minutes, elle accueillit ma verge avec un large sourire trahissant sa grande satisfaction à cet instant. Elle vivait pour la deuxième fois en moins de vingt minutes le plaisir d’assouvir un fantasme. Cette pensée m’excita fortement, en conséquence de quoi j’empoignai fermement ses hanches et devins de plus en plus percutant dans mon pilonnage. Cela plut énormément à Samia qui m’encouragea à continuer, jusqu’à connaître un orgasme anal, juste avant que, n’y tenant plus, je ne me retire de son sublime postérieur pour me répandre directement sur le sol, au grand amusement de ma partenaire. Complètement hors d’haleine, elle me décocha un large sourire avant de s’accroupir devant moi et de me nettoyer le sexe à coup de langue.
- Oh putain, c’était encore plus sublime que je l’avais espérer, me dit-elle tout en reprenant son souffle. Quand je vais raconter ça aux copines tu risques d’avoir du boulot, on est nombreuse à rêver de se faire baiser en plein air. Et si en plus tu es prêt à satisfaire d’autres fantasmes, tu vas souvent te vider les couilles.— A votre service mesdemoiselles, lui répondis-je, tout excité à l’idée de satisfaire au passage plusieurs de mes propres fantasmes.
Nous nous sommes rhabillés, sommes retourné à la voiture et avons repris le chemin du supermarché. Le moins que l’on puisse dire c’est que nous ne sommes pas passé inaperçu, énormément de personnes se sont retournées sur notre passage, et curieusement autant de femmes que d’hommes. La tenue de Samia n’était pas du tout provocante, mais le charme de la jeune femme était, à l’instar de celui de Mélanie et de Déborah, si ravageur qu’elle ne laissait personne indifférent sur son passage. Il y eu cependant quelques commentaires plus ou moins discrets du type "Putain la salope", "non mais t’as vu les nibards" ou encore "Putain laisse-moi cinq minutes avec elle et je lui explose son p’tit cul de grosse pouf’ ", mais au sourire de la demoiselle je compris qu’elle n’y accordait aucune importance.
De retour au gîte avec les victuailles, nous sommes directement rentrés par la cuisine afin de tout ranger. Déborah et Stéphane s’y trouvaient, sirotant un rafraichissement, tandis que du salon nous parvenait les cris de jouissance d’une actrice en pleine action.
- C’est Mélanie qui se fait prendre en levrette, précisa Déborah qui, sa scène terminée, avait revêtu une robe d’été bleue assez ample, sans manche et ceinturée par un simple ruban. Mais bon, elle ne risque pas grand-chose, individuellement ils ne sont pas méchants, c’est en trio qu’ils font des ravages. D’ailleurs merci pour ce matin ça m’a bien aidé. — Vous avez passé un bon après-midi, tous les deux? demanda Stéphane, pas du tout dupe de la situation.\— Génial! répondit Samia d’un ton très enjoué. il m’a défoncé en pleine forêt!!— Ah oui, raconte! poursuivit Déborah, soudainement très intéressée.— Non, non, je ne vais pas raconter, tu vas le vivre avec moi, j’ai trop envie de recommencer. Ça vous dit, les garçons? — Oh oui ça nous dit, m’exclamai-je, sous le regard très approbateur de Stéphane. En plus je connais une petite plage pas très accessible et tranquille dans un bras de la rivière près d’ici, on peut y aller à pied. Dix minutes et on y est
Par de simples échanges de regard, il fut évident que tout le monde était d’accord. Les courses rangées et tout le monde rechaussés, nous nous mirent en route, en emportant une ou deux couvertures ainsi que des serviettes avec nous. Après une petite marche, nous sommes arrivés sur la fameuse plage et nous nous sommes tranquillement installés, après nous être assurés que, effectivement, il nous serait difficile de nous faire surprendre. C’était relativement simple de s’en assurer, seuls deux chemins y venaient, celui, peu pratique, venant du gîte et celui, assez long, qui longeait la rivière. Gilles et moi l’avions découvert lors d’une balade et avions justement projeter d’y amener nos conquêtes pour une partie de jambes en l’air en plein air. Quand il apprendra ça …
Très vite nous sommes entrés en action. D’un geste, je défis la ceinture de Déborah et m’engouffrai sous sa robe, accroupi sur le sol et la tête entièrement recouverte par le tissu. Constatant qu’elle n’avait pas remis de sous-vêtements, j’entamai immédiatement un cunnilingus tout en lui caressant les fesses. Encore aujourd’hui je ne sais pas pourquoi j’ai choisi cette position mais en tout cas, ce n’est pas Déborah qui s’en est plainte. A travers le tissu, elle m’empoigna l’arrière du crâne et m’incita à explorer plus profondément sa grotte d’amour. J’introduisis alors ma langue plus loin entre ses lèvres, et entrepris de lécher méthodiquement toute la zone, tout en mordillant régulièrement son clitoris. Déjà passablement excitée par la situation, Déborah eut rapidement un orgasme, qu’elle accompagna d’un "oh ouiiiiiiii" parfaitement audible malgré la robe qui étouffait un peu les sons.
Cette première jouissance excita encore plus la demoiselle, qui souleva sa robe, la retira complètement, me poussa sur la couverture, et après avoir enlevé mon pantalon, vint s’empaler sur mon membre en érection. Pendant cette manœuvre, je remarquai que Samia finissait de sucer Stéphane, puis vint se placer en levrette tandis que Stéphane commençait à lui bourrer la chatte. De son côté, ma troublante partenaire prenait les choses en main, se caressait les seins et imposait un bon rythme, que j’aurai surement eut du mal à tenir si je n’avais déjà joui plusieurs fois dans la journée. C’est en effet à cet instant que je me rendis compte que c’était la cinquième fois depuis ce matin que je sautais une femme, cela ne m’était encore jamais arrivé. Cette réflexion me troubla un peu, au point de ne plus être totalement dans l’action pendant quelques instants. Heureusement, Déborah eut un nouvel orgasme particulièrement bruyant, ce qui me permis de me reconcentrer sur l’instant et d’accompagner cette jouissance de mouvements de bassin percutants, augmentant encore le plaisir de la jeune femme.
Pendant ce temps, Samia et Stéphane continuaient leur levrette endiablée, Stéphane prenant bien soin de ne pas aller trop vite tout en s’assurant d’y aller jusqu’au fond. Samia haletait au rythme des pénétrations, poussant un râle sonore à chaque fois que son amant tapait un peu plus fort. Au bout de quelques instants, j’ignore encore s’il s’agissait de maladresse ou de volonté, je les ai vu basculer sur le côté et continuer comme si de rien n’était. A présent en cuillère, Stéphane continuait ses allers-retours dans le vagin de Samia, dont la profonde extase se lisait sur le visage. Elle ne fut d’ailleurs pas très longue à avoir un orgasme, qui se manifesta par un cri étouffé et par la crispation de sa main sur la couverture. Stéphane ralentit légèrement la vitesse mais continua son pilonnage en règle, pour le plus grand bonheur de la demoiselle.
- Oh putain c’est trop bon, se mit à hurler Déborah soudainement. Restez pas dans votre coin tous les deux venez avec nous.
Un peu surpris, Samia et Stéphane arrêtèrent tout de même leur partie de jambe en l’air et vinrent nous rejoindre. Sans attendre, prenant juste la précaution d’utiliser un lubrifiant, Stéphane encula directement Déborah toujours empalée sur ma bite, tandis que Samia se mit juste au-dessus de mon visage. Je pus ainsi lui prodiguer un bon cunnilingus tandis qu’elle embrassait goulument son amie. Dans cette position acrobatique, c’est Stéphane qui donnait le rythme, soulevant Déborah à chaque coup de rein, puis l’aidant à bien redescendre sur ma verge. Plus encore que lors de notre plan à trois avec Julie, je sentais la verge de Stéphane à l’intérieur de notre partenaire. Pendant ce temps, je m’occupais de donner du plaisir à Samia, en explorant au mieux sa grotte d’amour avec sa langue.
Comme elle nous l’avoua plus tard, Déborah avait entre autre fantasme celui de se faire prendre en groupe en pleine nature. De ce fait, avoir tous ses orifices en action, dont deux à l’aide d’un sexe d’homme, fut pour elle une grande source d’excitation, et elle commença à enchaîner les orgasmes, anales, vaginal, et même à une occasion les deux à la fois. Son corps tout entier était pris de spasmes et elle semblait ne plus rien contrôler. De son côté, Samia fut plus longue à venir mais elle finit elle aussi par connaître la jouissance. Le plus amusant fut que son orgasme coïncida avec le double orgasme de Déborah, ce qui nous donna l’occasion d’entendre un "Oh ouiiiiiiiii!!!!!!" parfaitement synchronisé entre les deux jeunes femmes. Cela occasionna d’ailleurs un bon fou rire chez nous quatre.
Profitant de la pause ainsi marquée, Samia se releva, entraina Déborah avec elle sans rien dire, la plaça contre un arbre les fesses bien en l’air et vint se placer en face contre le même arbre, dans la même position. Ayant compris la manœuvre, je vins me positionner derrière Déborah et Stéphane se mit derrière Samia. Nous avons alors entrepris de les sodomiser simultanément, tandis que les demoiselles recommençaient à s’embrasser. Sur leur injonction, nous nous sommes faits plus percutant que d’habitude, faisant danser en rythme leur énorme paire de seins, pour le plus grand plaisir des yeux. Cette fois-ci, c’était Samia qui assouvissait un fantasme, le troisième de la journée pour elle, et elle connut rapidement un magnifique et assez long orgasme anale qui la fit tellement trembler sur ses jambes qu’elle se serait écroulé sur place si elle n’avait pu se rattraper à l’arbre. Cela eut sur Stéphane un effet inattendu, puisqu’il ne put se retenir et se mit à jouir au même instant, remplissant le magnifique cul de la jeune femme.
Tandis que Samia se mettait à genou devant son amant pour lui nettoyer la bite, je continuai à pilonner le cul de Déborah, m’étonnant moi-même de ne pas avoir déjà joui. Mon amante m’encourageait à y aller de plus en plus fort, ce que je fis sans me faire prier, fermement accroché à ses hanches. Quelques minutes à ce rythme, et ce fut mon tour d’exploser dans le cul de ma partenaire, me rappelant qu’elle m’avait dit le matin même apprécier la sensation du foutre chaud dans ses entrailles. A son tour, elle s’accroupit devant moi pour me nettoyer la bite, tandis que Stéphane et Samia reprenaient leur souffle. Lorsque tout fut fini, nous nous sommes baignés dans la rivière, l’eau encore relativement fraiche en cette saison nous procurant des sensations particulièrement agréable après les efforts fournis. Par la suite, nous nous somme rhabillés et, l’après-midi touchant à sa fin, nous sommes rentrés au gîte où je laissai mes compagnons pour retourner chez moi.
Lors du repas du soir, je repensais à ma journée, j’avais tour à tour fait l’amour à Mélanie, Déborah, Julie, Samia puis Déborah de nouveau. Coucher cinq fois avec quatre femmes différentes, en expérimentant de nouvelles positions dont le sexe à plusieurs, cela ne m’était encore jamais arrivé. De plus, il me restait encore à trouver avec qui j’allais coucher ce soir, et que j’allais très certainement réveiller à grand coup de bite demain matin, vu comment Mélanie avait apprécié ce matin. Décidément, j’étais jusqu’à présent très satisfait de mon accord et la semaine était loin d’être terminée.
Diffuse en direct !
Regarder son live