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Les actrices

Chapitre 6

Les deux fond la paire

Avec plusieurs femmes
Je me suis réveillé un peu avant 8H, l’esprit encore embrumé par mes aventures de la nuit. En me retournant, la vision du postérieur de Jade me remis les idées en place, et je décidai d’appliquer sans tarder le programme suggéré par Mélanie la veille. Je me levai donc discrètement, je pris le lubrifiant dans la trousse de toilette de la demoiselle et je revins me placer derrière elle, le braquemart déjà au garde à vous. Ne voulant pas blesser ma partenaire, je fus généreux avec le lubrifiant, en étalant beaucoup sur ma bite et sur sa rondelle. Par réflexe, le contact de la crème froide fit frissonner Jade, mais elle ne se réveilla pas pour autant. Je pris tout de même la précaution de la préparer un peu avec mes doigts, en prenant soin de ne pas la réveiller, le but de la manœuvre étant de le faire avec ma bite. Au moins, ainsi, elle ne verrait pas qui la lui met. Je la doigtai donc délicatement, juste ce qu’il fallait pour la détendre un peu, et ainsi faciliter l’introduction de l’objet du délit.
Après un court instant, craignant de sortir Jade des bras de Morphée, je me suis positionné derrière elle allongé sur le flanc, et j’introduisis lentement ma queue dans son anus. Petit à petit, je m’enfonçai en elle, provoquant chez ma partenaire un gémissement à mi-chemin entre le soupir d’extase et la plainte étouffée, jusqu’à sentir ses fesses sur mes cuisses. Je marquai alors une légère pause pour guetter ses réactions, mais contre toute attente la jeune femme ne semblait pas s’être réveillée. J’avoue que pendant un instant, je me suis demandé comment il était possible de continuer à dormir juste après s’être pris une bite dans le cul, mais lorsque je commençai mes allers-retours, je vis tout de suite que Jade s’était bien réveillée. En effet, sa main vint chercher mes fesses qu’elle commença à caresser, son corps se cambra pour mieux recevoir ma verge, et son allaitement devint plus régulier.
Ayant atteint mon objectif, je continuais néanmoins mon pistonnage anal au même rythme, ce qui semblait énormément plaire à Jade. Passant une main sous sa nuque afin de lui empoigner les seins, je m’accrochai à sa poitrine tout en lui donnant de petits coups de bassin régulièrement. Quelques minutes de ce traitement et Jade se retrouva le souffle coupé, comme à chaque fois qu’elle avait un orgasme. Celui-ci devait cependant être particulièrement intense car je la vis mordre l’oreiller et agripper ferment le drap de sa main. Il lui fallut quelques secondes pour retrouver son souffle, temps pendant lequel je crus préférable de stopper mes mouvements. Lorsque Jade repris son souffle, j’en profitai pour changer de position. La laissant sur son flanc, je me plaçai à moitié accroupi derrière elle, et le recommençai à l’enculer, m’accrochant à sa cuisse pour pouvoir y aller bien au fond. Ainsi placé au-dessus d’elle, je pouvais voir son visage tout en lui pénétrant la rondelle, ce qui ajoutait encore à l’excitation de l’instant.
Je m’employai à être le plus doux possible, la position que je venais d’adopter, bien que très excitante, était propice aux blessures et potentiellement source de douleur. Le visage rayonnant de bonheur de la jeune femme me rassura cependant bien vite sur le plaisir qu’elle prenait, plaisir qui trouva son paroxysme au bout de quelques minutes, lorsque Jade connut un nouvel orgasme. Cette fois-ci, en plus du souffle coupé, elle attrapa ma main et la plaqua sur son sein, que je malaxai pour son plus grand plaisir. Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle se tourna afin de se placer sur le dos, et dans cette position, je lui empoignai fermement les cuisses et je repris mes allers-retours entre ses fesses, tandis qu’elle agrippait les draps. Jade avait atteint un tel degré d’excitation qu’elle perdit tout contrôle et se mit à jurer : "Vas-y putain, explose moi le fion. Je veux sentir ta bite dans mon cul. vas-y, plus fort!!!!". Fortement invité à le faire, j’accélérai le rythme, me faisant plus percutant, jusqu’à faire jouir très violemment la jolie brune, qui serra tellement fort les draps que ceux-ci faillirent se déchirer. N’y tenant plus, je sortis de son anus, et vins me répandre à grand jet sur son ventre et sur ses seins, avant de m’allonger près d’elle, une main sur ses seins.
- Oh la vache, le pied!!! dit-elle entre deux halètements. C’est bien la première fois que je me réveille en me faisant enculer. J’avoue que je n’y avais jamais pensé.— Le réveil orgasmique c’est bien mon idée, mais le faire dans le cul, c’est une idée suggérée par Mélanie. Tu as l’air de bien aimer la sodomie, toi, surtout sur le dos.— C’est vrai. Mais en même temps, à chaque fois, ça m’excite, c’est comme ça que mon entraineur m’a dépucelé.— Ton entraineur t’a dépucelé ????— Oui, je nage depuis toute petite, je voulais devenir nageuse pro. Du coup, le mec que je voyais le plus souvent était mon entraineur, et le jour où j’ai eu 18 ans, j’ai voulu aller plus loin avec lui. Comme je voulais impérativement me souvenir de ma première fois, il m’a pris le cul, sur un banc de la salle de muscu. J’ai tellement adoré que depuis, chaque fois que je me fais enculer dans la même position, j’y repense et ça m’excite.— Tu t’es fait dépuceler le cul avant la chatte du coup.— Le cul, la bouche, la chatte, dans cet ordre. Et tout par le même mec. Pendant trois ans, il m’a sodomisé deux-trois fois par semaine, et le jour de mes 21 ans, il m’a pris la chatte pour la première fois. A partir de là, il m’entrainait le jour, il me tronchait le soir. Et il était doué l’animal.— Alors comment es-tu devenue actrice porno et pas championne de natation?— Quand ton amant et entraineur se fait virer de ton club pour raison économique, tu prends un coup au moral. Quant en plus tu te blesses au même moment, c’est la déprime, et si pour couronner le tout ton toubib est un quetard pervers, tu descends aux enfers. Il m’a mise dans son lit et dans celui de ses collègues, m’a obligé à me faire refaire les nibards, et lorsqu’il m’a fait comprendre que la compétition c’était cuit mais que j’allais lui rapporter un max de pognon, je me suis tiré. Et comme actrice porno c’est toujours mieux que pute…
Ainsi donc, elle aussi a été victime d’abus de faiblesse de la part d’un profiteur, et a choisi le porno pour éviter la prostitution. Son histoire ressemblait étrangement à celle de Mélanie. Mon interrogation devait se voir sur mon visage car Jade me précisa avec un grand sourire :
- Mélanie t’a raconté son histoire et elle ressemble à le mienne. C’est normal, mon médecin était son mec. On s’est enfuie ensemble et passé le casting porno ensemble. Avec des lolos comme les nôtres, ça a été une formalité.
Plus je connaissais ces jeunes femmes, plus je tombais des nues. Décidément elles avaient pour la plupart des histoires peu enviables. Pour changer l’ambiance, je proposais à Jade d’aller se doucher, ce que nous fîmes rapidement avant de descendre prendre un petit déjeuné. Nous étions les premiers dans le salon mais pas les premiers réveillés, à en juger par les petits cris venant d’une chambre. Nous sommes allés voir, avons entrebâillé la porte de la chambre, pour voir Nicole assise sur une commode, les jambes accrochées autour des hanches de Séb, en train de se faire prendre la chatte. Son corps d’ébène ondulait sous les coups de son amant et son visage rayonnait de bonheur. Je comprenais mieux ce qu’elle voulait dire en disant que Séb se préoccupait de l’avenir de ses actrices. Nous les avons observés quelques instants avant de retourner en cuisine préparer le repas.
- Ces deux-là vont finir ensemble, me précisa Jade d’un grand sourire. Quand elle aura fini son contrat elle épousera Séb et se retirera du business. Ce n’est pas trop mal comme plan de reconversion dans ce milieu.

Je répondis d’un sourire, tandis que je préparai café et toasts. J’avoue que je n’avais jamais réfléchi à ce que devenait une actrice porno une fois sa carrière finie, mais le simple fait de fonder une famille quand les hommes vous résument à une chatte à percuter ou un cul à défoncer ne doit pas être simple. J’étais content pour Nicole mais je ne pouvais pas m’empêcher de me demander comment les autres allaient s’en sortir. Le bruit du grille-pain expulsant ses tartines me sortit de mes pensées, et je repris avec Jade l’installation de la grande salle. Nous fîmes plusieurs allers-retours entre salon et cuisine, et à l’un deux, Séb et Nicole firent leur apparition, Séb en pyjama et robe de chambre, Nicole en nuisette et robe de chambre longue. Ils nous saluèrent, et nous donnèrent un coup de main pour finir. A un moment, me trouvant seul dans la cuisine avec Séb, j’en profitais pour lui demander une petite précision
- Au fait Séb, j’avais prévu une maintenance aujourd’hui sur le Hammam, vu que le gîte devait être libre. Ça te dérange? Je peux la reporter.— Non, non vas-y. Je compte en profiter mais pas aujourd’hui je n’ai pas le matos étanche. Les hardeurs d’aujourd’hui doivent me l’apporter. Je te rappelle qu’à l’origine on devait aller chez une certaine Madame Armant. Tu connais?
Un peu que je la connais. Cette salope est une vieille rombière toujours prête pour faire la morale mais avec des oursins dans les poches. Elle a voulu me racheter la ferme le jour même des obsèques de mon grand-père, aucun respect. Et depuis mon installation, elle m’emmerde en m’expédiant les services sanitaires ou de normalisation à tout bout de champ. Heureusement qu’ils ont vite compris et qu’ils ne se déplacent plus à chaque fois. Ça ne m’étonne même pas qu’elle ait viré les filles, mais en gardant l’argent bien sûr.
- Oh oui je connais. Donc je vais bricoler toute la matinée, voire jusqu’à 14-15H. Demain ce sera les saunas et après-demain le bain à remous. — Ok, je m’adapterai. A ce sujet, elle est impressionnante ton installation. — J’avoue j’ai pas mal dépensé. 2 saunas, un Hammam, un bain à remous et une piscine. Mais je me suis formé pour la maintenance, c’est plus rentable pour moi.— N’empêche … Bon à table j’ai faim.
Avec ce que Nicole et lui avaient dépensé, tu m’étonnes qu’il ait faim. Nous avons pris le petit-déjeuner, progressivement rejoint par le reste de l’équipe. Lorsque Mélanie fit son apparition, je lui souris tendrement, sourire qu’elle me rendit. Lorsqu’elle croisa le regard de Jade, les deux jeunes femmes s’échangèrent un clin d’œil complice. Le repas fini, Séb demanda à voir l’équipe technique, ainsi que Jade, Julie, Samia et Bouchra. Ils s’installèrent dans le coin lecture et les quelques phrases que je percevais me firent comprendre qu’il leur expliquait leur rôle du jour. Pendant ce temps, j’aidai le reste de l’équipe à débarrasser. Lorsque ce fut terminé, Mélanie, qui s’était débrouillé pour rester seule avec moi, me sauta au cou et nous nous embrassâmes passionnément. Dire que deux jours auparavant nous ne nous connaissions pas et maintenant nous nous embrassions en cachette comme deux collégiens. Je n’ai jamais vraiment cru au coup de foudre, mais je crois bien que j’en ai vécu un à ce moment-là.
Mélanie me demanda toutes les précisions sur ma matinée avec Jade. Je ne lui cachais rien, ni de la sodomie matinale, ni de ses révélations sur son passé commun avec elle. Le fait que j’en sache un peu plus sur elle ne sembla pas la perturber outre mesure, et entendant que des filles s’approchaient de la cuisine, elle me glissa à l’oreille qu’elle aimerait bien que je teste le même réveil avec elle un prochain matin, puis elle me regarda, un sourire coquin aux lèvres. A cet instant, Déborah entra dans la cuisine pour me signaler l’arrivée des hardeurs du jour. Nous sommes alors sortis tous les trois pour les accueillir et les guider vers le reste du groupe. Je laissai là mes charmantes compagnes et j’allais chercher l’outillage nécessaire pour assurer les travaux sur le hammam.
Après avoir condamné la porte d’accès, je me dirigeai vers le local technique, et j’entrepris tous les travaux de maintenance nécessaires. Comme je l’avais supposé, cela me pris toute la matinée et le début d’après-midi. Il me fallut nettoyer les filtres, désinfecter l’installation, m’assurer la qualité de l’eau, vérifier l’état du système de chauffage, remplacer préventivement toutes les sécurités, … N’étant pas plombier professionnel, je réussi à n’y passer qu’une grosse demi-journée que grâce à l’expérience que je commençai à acquérir dans le domaine.
Pendant ce temps, je voyais mes charmantes invitées vaquer à leurs occupations. Déborah profitait des transats installés sur la terrasse pour parfaire son bronzage, Mélanie, comme à son habitude, lisait un nouveau roman confortablement installée dans un hamac, Chloé et Nicole chacune assise dans un fauteuil bavardaient tout en buvant un thé et en admirant le paysage, … Quant aux demoiselles choisies pour les tournages, je ne vis pas grand-chose, mais j’entendais très bien les actions en cours. La seule exception fut en début d’après-midi, lorsque je vis l’équipe technique s’installer dans le jardin derrière le gîte, près de la table de camping en bois. Quelques instants plus tard, après un "Action" de Séb, je vis Julie et son partenaire, un grand blond prénommé David, sortir de la maison main dans la main, portant un panier de pique-nique et une nappe à carreau. Julie portait une robe d’été courte à motifs floraux dont elle avait "oublié" de fermer les derniers boutons et David était torse nu. Après s’être installés, caressés la main et échangés des regards langoureux, les deux amants passèrent aux choses sérieuses. Caresses plus appuyées, masturbation, fellation, cunnilingus et chevauché dans l’herbe, l’action se termina par une sodomie en levrette sur la table. David se montra prévenant et attentionné pendant toute la scène qui, chose rare, ne fut jamais coupée et au cours de laquelle Julie eut au moins deux orgasmes réels. J’appris bien plus tard que David était bien plus qu’un plan cul régulier pour elle, et que tout le monde s’attendait à recevoir un jour ou l’autre un faire-part de mariage à leur nom. Au moins, elle non plus n’aurait pas de soucis de reconversion.
Lorsque j’eus fini la maintenance, je remis le hammam en route, température moyenne pour commencer, le temps pour moi de prendre une bonne douche. Une fois celle-ci terminée, je décidai de profiter pour une fois de mes propres équipements, et je me dirigeai vers le hammam qui, entre temps, avait suffisamment chauffé. Dans le plus simple appareil, j’entrai dans la pièce envahie par la vapeur et je m’installai sur une banquette, confortablement allongé et les yeux fermés, me laissant aller à mes rêveries. Celles-ci m’emmenèrent tout naturellement vers mes exploits de ces derniers jours. Depuis la sodomie de Chloé contre le mur de la salle de bain le premier jour jusqu’à le réveil anal de Jade ce matin, en passant par la partouze avec Samia et Déborah ou la partie de jambe en l’air avec Mélanie la nuit dernière, tout me revint en mémoire. Presque machinalement, je me mis à bander dur, et plus mes souvenirs étaient nombreux plus mon érection était importante.
Tout à coup, je sentis quelque chose d’humide enserrer ma bite, tandis qu’une langue parcourait ma poitrine. J’ouvris les yeux et je découvris Marianne et Coralie, que je n’avais pas entendu entrer, l’une me suçait tandis que l’autre me léchait. Je ne saurais dire laquelle faisait quoi car en réalité, elles étaient jumelles. L’une comme l’autre mesurait 1m70 pour environs 60kg, à la chevelure blond vénitien très fournie ondulant jusqu’au milieu du dos, et doté d’un sublime 95E. Totalement nues, Je pouvais admirer leur silhouette sportive ainsi que leur troublante ressemblance, si parfaite que toute distinction était impossible.
- Que dirais tu d’un peu de réconfort après tant d’effort? me proposa celle qui me léchait le torse tandis que l’autre continuait allègrement de me pomper.— Mais volontiers, laissez-moi juste m’installer sur le sol
Afin de me laisser me mettre en place, ma charmante pompeuse cessa un court instant sa fellation, pour mieux la reprendre une fois à terre. Profitant de ma position, sa sœur vint s’installer sur mon visage, me présentant son clitoris que je me mis à lécher frénétiquement. Littéralement assise sur mon torse, elle semblait apprécier mon exploration buccale de ses entrailles, à en juger par ses longs soupirs de satisfaction. Pendant ce temps, je lui caressais les cuisses et les fesses, tandis que ma seconde partenaire continuait sa sublime pipe avec la même maestria que ses consœurs. Cependant, à l’inverse des jours précédents, je n’avais quasiment pas baisé aujourd’hui et mes travaux m’avaient fatigué. De plus, l’ambiance vaporeuse et humide du hammam avait rempli son office et j’étais relativement détendu avant l’arrivée des jumelles. Aussi, au bout de quelques minutes, j’eus la sensation que j’étais sur le point de juter dans la bouche de la jolie blonde, ce qui aurait été bien trop précoce à mon goût. La jouissance soudaine, sous les assauts de ma langue, de l’autre jolie blonde eue toutefois un effet salvateur, car cela détourna sa sœur de sa tâche, me permettant de reprendre mes esprits.
J’invitai mes partenaires à échanger leur position, ce qu’elles firent aussitôt. Celle que je léchai recula en marche arrière jusqu’à ma bite et vient s’y empaler sans attendre. Sa sœur en revanche eu une réaction très curieuse. Alors que je m’apprêtai à lui lécher la chatte, elle vint s’assoir sur ma poitrine, et frotta son clito sur mon torse. Sur le coup, je n’ai rien compris à son manège, mais cette position me permettait de la caresser allègrement et de lui introduire un ou deux doigts dans sa grotte d’amour, ce que je m’empressai de faire. Pendant ce temps, sa sœur montait et descendait sur ma queue, à un rythme lent mais régulier, qui devait lui convenir totalement si j’en juge par les deux orgasmes qu’elle eut en moins de dix minutes. Quant à moi, ce rythme me permis surtout de ne pas venir trop vite, ce que je ne voulais surtout pas.
Alors que je caressai les cuisses délicieusement galbées de la jeune femme assise sur moi, j’entrepris de m’aventurer vers sa rosette … pour trouver la place occupée! J’ignore quand ce manège avait commencé, mais la fille que j’étais en train de baiser était, pendant ce temps, occupée à agrandir la rondelle de sa sœur. Sous l’effet de la surprise, n’étant pas habitué à ce que deux sœurs se prodiguent ce genre de caresses, je failli perdre toute ma concentration et ma belle érection commença à mollir. Heureusement, la jeune femme empalée sur mon membre s’en rendit compte et, à l’aide d’une tape sur mes mains, me ramena à la réalité des choses. Elle m’intima l’ordre de m’occuper du devant tandis qu’elle se chargeait de l’arrière, ordre auquel je répondis en masturbant sa sœur de plus belle tout en lui titillant les tétons. Caressée de toutes parts, elle ne fut pas longue à jouir, dans un long et bruyant soupir, ce qui déclencha instantanément un troisième orgasme, tout aussi bruyant chez ma seconde partenaire. Faire jouir simultanément deux actrices pornos jumelles : Check.
Remises de leurs émotions, mes deux partenaires se levèrent et vinrent prendre appui sur le banc où j’étais allongé précédemment, me présentant leur croupe. Les voyants de dos pour la première fois, je fus frappé par le tatouage que chacune arborait. Certes, ce n’était pas les premières à avoir une particularité physique ou vestimentaire. Ainsi, Chloé porte en permanence un bracelet à la cheville, Samia ne quitte jamais son bracelet grecque sur le haut du bras gauche, Jade possède un dragon asiatique tatoué sur la hanche, la fesse et la cuisse gauche, Mélanie des roses entrelacées sur les reins, Déborah un mandala sur la totalité du dos et Julie, grande fan d’animation japonaise, une reproduction du tatouage de Riza Hawkeye dans le manga Fullmetal Alchemist. Ici, rien de tout ça, les tatouages que j’avais sous les yeux représentaient pour l’un - Il s’agissait de Marianne - sa propriétaire en train de se faire sodomiser par un homme sans visage, et pour l’autre - Coralie donc - également sa propriétaire, prise en levrette par le même homme.
— Et oui, me dis Marianne avec un grand sourire. Chacune son rôle— Et comme ça, impossible de se tromper, précisa Coralie
C’était donc ça leur manège, le partage des tâches. L’une suce l’autre se fait lécher. L’une en anale, l’autre en vaginale. Pour les caresses et la masturbation par contre c’est toutes les deux, tandis qu’elles se partageaient l’éjaculation à tour de rôle, et c’était au tour de Coralie. A présent que j’avais les règles du jeu, je pouvais m’en donner à cœur joie. Sans plus attendre, je me présentai à l’entrée du cul du Marianne, j’y entrai sans encombre et j’entrepris tout de suite des va-et-vient lents et profonds, au plus grand plaisir de la belle blonde. Accroché à ses hanches, je venais cogner ses fesses à chaque mouvement, faisant ainsi gigoter ses énormes seins. Très vite cependant, j’eus du mal à les distinguer nettement, la vapeur chaude du Hammam emplissant l’espace. Dans cette atmosphère chaude et humide, les sens étaient décuplés, et rapidement Marianne eut un premier orgasme. Pendant ce temps, Coralie vint s’asseoir près de sa sœur, et entreprit de la masturber tout en se donnant du plaisir. Grisé par l’ambiance, je me fis un peu plus percutant, jusqu’à entendre un intense râle de plaisir chez Marianne, signe d’une nouvelle jouissance très certainement amplifiée par le massage de Coralie.
Afin de laisser respirer ma partenaire, je me retirai de son postérieur accueillant, j’invitai Coralie à s’allonger sur le côté, et je vins me placer derrière elle. Fermement accroché à ses seins, je la pris alors en cuillère, d’un rythme assez lent afin de ne pas venir trop vite pour cause de fatigue. Ma pénétration faisant suite à sa masturbation, Coralie ne mit que quelques secondes à jouir, dans un profond soupir. Je poursuivis néanmoins mes allers-retours, tout en accélérant progressivement le rythme, sous les encouragements de Marianne qui reprenait tranquillement ses esprits tout en s’introduisant deux ou trois dans le vagin. L’atmosphère du Hammam continuait à nous griser, si bien que, totalement abandonnée à ses sensations, Coralie connu un nouvel orgasme peu de temps après le précédent. Cette fois-ci, je ne pus me retenir et, dans un dernier mouvement de bassin, je me rependais dans les entrailles de la jolie blonde et restais collé à ses fesses le temps de totalement me vider. Une fois terminé, je sortis de ma partenaire, je m’assis entre les deux sœurs qui, qui virent alors poser leur tête sur mes cuisses, Marianne en profitant pour me nettoyer avec sa langue.
Nous sommes restés ainsi un bon moment, à profiter de l’ambiance et des effets relaxant du Hammam. Dire que là non plus, je n’y avais encore jamais fait l’amour, alors que j’avais l’installation sous la main. Ceci dit, Coralie m’apprit que c’était une première et même un fantasme pour sa sœur et elle, et que je venais de l’assouvir. Après Mélanie et sa double jouissance anale, Jade et son réveil en sodomie majeure, Samia et Déborah et leurs ébats champêtres, je venais de satisfaire deux jeunes femmes de plus. De plus, en faisant l’amour à ses deux magnifiques blondes, je venais de coucher avec neuf des dix actrices en moins de 72 heures. Il me restait Bouchra avec qui je comptais coucher cette nuit et ce serait terminé. Nous étions mardi après-midi et le contrat courrait jusqu’à dimanche midi. Les cinq jours restant allaient être riche en émotion, j’en étais certain. Et vu l’imagination de mes partenaires en matière de position ou lieu en tout genre, la suite promettait d’être épique.
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