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Les actrices

Chapitre 8

Jour de soldes

Avec plusieurs femmes
Après être resté un bon moment dans la piscine, j’annonçai à Mélanie que Bouchra n’allait sûrement pas tarder à se réveiller et que je me devais de lui prodiguer mon fameux réveil orgasmique. Ma remarque fit rire la charmante jeune femme, qui décida de m’accompagner pour participer aux réjouissances. Nous sommes sortis de l’eau et, après une rapide douche, nous nous sommes dirigés vers la chambre de la jolie maghrébine, sans prendre la peine de nous rhabiller. En entrant en silence dans la pièce, nous avons trouvé Bouchra toujours endormie, nue sur les draps, couchée sur son flanc gauche avec juste la jambe droite repliée. Nous nous sommes rapprochés sur la pointe des pieds et, avec d’infinies précautions, nous l’avons fait rouler sur le dos sans la réveiller. Après nous être concertés, Mélanie et moi avons décidé qu’elle s’occuperait de son minou en premier, tandis que je lui caresserais les seins. Une fois le plan d’action décidé, nous l’avons mis à exécution.
Mélanie grimpa plus silencieusement qu’un chat sur le lit, puis se plaça à plat ventre entre les jambes de Bouchra. Le visage contre son sexe, elle commença à lui lécher le clitoris, avec une très grande sensualité et une très grande délicatesse. Très rapidement, La jolie dormeuse commença à se contorsionner, dans des gestes réflexes qui trahissaient le plaisir qu’elle prenait. Voyant cela, Mélanie s’appliqua de plus belle et explora plus en profondeur sa camarade de jeu, s’immisçant toujours plus dans son intimité. Avec un talent comme le sien pour le sexe buccal, le premier orgasme ne fut pas bien long à venir, et Bouchra s’éveilla dans un soupir d’extase. Voyant qui était à l’origine de cet orgasme, elle lui caressa le cuir chevelu, l’invitant à continuer encore et encore son cunnilingus.
Pendant ce temps, debout près de la tête de lit et passablement excité par le spectacle, j’approchai ma bite bien droite du visage de Bouchra, qui ne se fit pas prier pour commencer à me sucer. Elle goba entièrement mon chibre, et commença immédiatement à le faire coulisser dans sa bouche. Je retrouvai ainsi le bonheur de se faire tailler une pipe par une de ses jeunes femmes, une sensation toujours aussi jouissive. Un jour il faudra que je demande à l’une d’entre elle s’il existe une formation de pompeuse qu’elles auraient toutes suivie. Nous sommes restés ainsi quelques minutes, la bouche de ma sublime suceuse ne quittant ma verge que le temps d’émettre un soupir de jouissance, le cunni de Mélanie restant toujours aussi efficace.
Au bout de quelques minutes, désirant rattraper ma prestation de la veille, je demandai à mes deux partenaires de se placer en 69, ce qu’elles firent sans se faire prier. Mélanie s’allongea donc sur le dos, tandis que Bouchra vint se placer tête-bêche sur elle. Je laissai les deux jolies brunes recommencer à s’amuser, utilisant ce temps pour étaler le lubrifiant sur ma queue et sur la rondelle de celle que je souhaitais sodomiser. Une fois près, je m’introduisis sans difficulté jusqu’à la garde avant de commencer de lents mais énergiques va-et-vient. Les couilles à quelques centimètres du visage de Mélanie, elle m’avoua plus tard que les voir claquer sur les fesses de la fille qu’elle léchait était un spectacle, entre deux jouissances, particulièrement amusant. Je m’employai à rendre ce rapport anal le plus efficace possible, et c’est avec une grande satisfaction que, au bout de quelques instants, j’entendis Bouchra exprimer toute sa jouissance de cette sodomie, d’une voix partiellement étouffée par la chatte de Mélanie. Ayant atteint mon objectif, et me rappelant que la jeune femme semblait aimer les rapports intensifs, je me fis beaucoup plus percutant, l’empêchant parfois de prodiguer son cunni tellement les impacts la faisait bouger. A ce rythme, non seulement la jolie sodomisée connu un deuxième orgasme, mais de plus je ne fus pas bien long à venir. Lorsque j’annonçai que j’étais sur le point de gicler, Mélanie me fit la surprise de demander à ce que je me décharge dans sa bouche. J’accédai à sa requête sans difficulté et, une fois sorti du cul de Bouchra, je plaçai ma bite à la verticale du visage de la jeune femme et je me répandis en elle en longues saccades, qu’elle avala avec un grand sourire.
Une fois vidé et nettoyé par les soins de Bouchra, je vins m’assoir sur le lit entre les deux jeunes femmes
— Merci pour ce réveil, c’était presque aussi bien qu’hier, commenta Bouchra avec un petit sourire narquois. En plus, j’aime bien me faire enculer.— C’est pour ça que t’es devenu actrice ? demandai-je, toujours curieux sur le sujet.— Non, ça, c’était pour pas finir à la rue après que mon mec m’ait foutu dehors. J’étais pas assez docile selon lui, tout ça parce que je voulais pas me faire partouzer par ses copains de beuverie. Depuis, c’est loin d’être facile tous les jours, mais je compense en baisant plus et mieux qu’avec lui, et en me tapant de temps en temps des super baiseurs comme toi.
Cette dernière remarque s’accompagna d’une légère branlette sur mon sexe toujours partiellement bandé et d’une approbation de Mélanie. Cette dernière avait un peu de sperme que perlait sur ses lèvres, chose que Bouchra corrigea rapidement d’un coup de langue et d’un baisée langoureux. Nous nous sommes ensuite levés puis douchés, avant de descendre pour le petit-déjeuner. Au cours du repas, Séb donna les instructions, confirma que Mélanie devait tourner trois scènes le matin, dont une dans le Hammam, me demandant au passage si j’étais toujours d’accord pour qu’il l’utilise. Non seulement j’étais d’accord, mais de plus, sachant que j’y avais tronché Marianne et Coralie la veille, j’aurais été idiot de refuser. Le repas s’acheva, et tandis qu’on débarrassait la table, les acteurs du jour arrivèrent. Profitant de la distraction, je me débrouillai pour être seul avec Mélanie, et lorsque l’occasion se présenta, je me plaçai furtivement derrière elle, lui malaxant les seins à travers sa nuisette, lui susurrant à l’oreille de garder des forces pour l’après-midi, j’avais une surprise pour elle. Sous son regard interrogateur, je la laissai là, avant de rentrer chez moi pour récupérer mes outils pour assurer la maintenance des saunas.
En arrivant chez moi, je reçu un SMS de Gilles, où il me disait le pied qu’il avait pris dans ce plan à quatre de la nuit passée, me demandant presque timidement s’il pourrait revenir avant la fin de la semaine, principalement pour revoir Jade pour qui il vivait un véritable coup de foudre. Je répondis bien entendu qu’il lui était possible de venir quand il le souhaitait, tout en lui faisant remarquer avec un grand sourire qu’il n’avait pas perdu de temps. Il m’apprit alors qu’ils avaient discuté pendant près de trois heures avec Jade avant qu’on ne les surprenne et qu’ils s’étaient découvert un tas de passions communes. Je lui répondis d’un clin d’œil, je pris ma boîte à outil et je retournai vers le gîte. Au fond de moi, les sentiments de Gilles envers Jade me rassuraient quant à mes propres penchants pour Mélanie. Je n’étais pas le seul à éprouver quelques choses de fort pour une professionnelle du sexe.
Sur place, je remarquai que les acteurs du jour étaient arrivés, ce qui me poussa à rejoindre les saunas par la porte de service. En entrant, j’entendis du bruit venir de la piscine. En jetant un œil, je pus voir Mélanie, dans l’eau jusqu’aux seins, en train de pomper allègrement l’énorme verge d’un homme super baraqué assis sur le bord. Ses tournages ayant commencé, il s’agissait pour moi de ne pas finir trop tard afin de pouvoir pleinement profiter de mon après-midi avec elle. Un écriteau pour condamner les saunas, le système de chauffage hors tension et je me mis au travail. Cette maintenance fut bien plus rapide que celle de la veille car il ne s’agissait que de contrôler le bon fonctionnement de l’installation et non pas de changer des pièces hors d’âge. Le temps m’assurer du bon état général de l’installation et des sécurités, en moins d’une heure et demie, ce fut fini. Ayant tout remis en marche, il ne me restait plus qu’à vérifier le bon redémarrage, chose qui se faisait préférentiellement depuis l’intérieur des saunas. Je me mis donc en maillot de bain, et je me dirigeai vers la porte précédemment condamnée.
En entrant, j’eus la surprise de voir que malgré l’écriteau, quelqu’un était présent. En effet, Déborah, vêtue d’un mini bikini rouge, était là, allongée sur un banc dans une pose lascive, un petit sac à ses côtés et me souriant d’un air faussement innocent.
— Dites donc mademoiselle dis-je d’un ton qui se voulait accusateur, vous n’avez pas vu le panneau ? Il est interdit d’entrer— Oh, désolé Monsieur, me répondit-elle, d’un air ingénu des plus comiques. J’ai enfreint une règle, je vais avoir une punition.— Je ne peux laisser passer ça, dis-je en me retenant à grand peine de rire.

Déborah se leva alors de son banc, se retourna pour se placer face au mur puis, les mains appuyées sur celui-ci, et cambra ses reins au maximum, me présentant son magnifique postérieur que son maillot cachait à peine.
— Ne soyez pas trop sévère Monsieur, je ne l’ai pas fait exprès.
Son jeu de comédienne volontairement exagéré était à mourir de rire, d’autant que le tube de lubrifiant dépassant de son sac contredisait la soi-disant innocence de son geste. La température commençait à vraiment monter, et vu comment la demoiselle faisant rouler son popotin devant moi, le sauna n’était pas le seul responsable de cette chaleur. Les effets combinés ne furent pas long à se manifester chez moi : je commençai à transpirer et je bandai comme un âne. Je m’approchai de ce généreux postérieur, que je me mis alternativement à caresser tendrement et délicatement, avant de décocher sans crier gare une petite claque. Sans même aller jusqu’au SM, je n’étais franchement pas adepte des coups volontaires et de l’humiliation pendant l’amour. Par contre, je n’avais rien contre une petite fessée érotique, d’autant que, à chaque coup, la demoiselle tressautait en poussant un petit cri des plus suggestifs, faisant danser au passage sa longue crinière châtain et ses énormes seins.
— Alors mademoiselle, c’est bien compris ? demandai-je après une bonne dizaine de claque, on respecte les panneaux.— Oui, monsieur, je crois que j’ai compris.— Bien, mais afin d’en être sûr, je vais faire rentrer le règlement profondément.
Je disais vraiment n’importer quoi, j’en avais presque honte. Mais le regard plein d’envie que me lança Déborah à ce moment me fit revenir à la réalité. Je me débarrassai bien vite de mon maillot et de celui de ma partenaire, j’appliquai généreusement le lubrifiant sur ma verge et sur sa rondelle, puis, accroché à ses hanches, je la pénétrai directement en anal. Je m’enfonçai alors jusqu’à claquer ses cuisses, puis j’entamai de lents mais puissants va-et-vient. A chaque impact, je m’arrangeai pour que la pénétration soit vraiment profonde, au plus grand plaisir de la jeune femme qui haletait en cadence. Fermement appuyé d’une main sur le mur et se caressant les seins ou se masturbant de l’autre, elle encaissait chaque coup de reins avec bonheur, s’abandonnant un peu plus à chaque fois, jusqu’à atteindre au bout de quelques minutes un intense orgasme. Bien décidé à le faire durer, je ne ralentis pas ma cadence, amenant la jeune femme à un tel degré de jouissance que ses jambes commencèrent à fléchir.
Afin d’éviter tout accident, j’attrapai ma partenaire par les hanches puis, après m’être retourné, je me laissai tomber sur le banc en l’entraînant avec moi, la bite toujours plantée dans son anus. L’impact de chute lui arracha un cri, mais ne lui fit pas perdre ses moyens pour autant car aussitôt, elle s’allongea sur mon torse et se mis à ondoyer du bassin. Un bras derrière sa tête afin de caresser la mienne, elle se masturba de sa main libre, tandis que je caressai ses énormes seins, tout en lui mordillant et lui léchant la nuque. Son plaisir était palpable, ses gémissements trahissant une profonde extase. Nous restâmes ainsi quelques instants, Déborah s’appuyant sur ses jambes de nouveau opérationnelles pour se soulever de temps en temps avant de retomber sur place, lui arrachant à chaque fois un cri de profonde félicité.
Lorsque j’annonçai à la jeune femme que j’étais sur le point de venir, elle me demanda de "bien vouloir lui faire rentrer profondément le règlement". Afin de répondre à sa requête, je la fis se relever, avant de la plaquer de tout son long sur le mur latéral du sauna. Accroché cette fois-ci à ses seins, j’entrepris de lui pilonner l’arrière train, lui claquant les fesses avec mes cuisses à chaque mouvement. A ce rythme, elle connut un deuxième orgasme assez puissant, auquel je ne pus survivre que le temps de quelques mouvements. Dans un dernier coup de reins, je vins me répandre en longues saccades dans les entrailles de Déborah, qui sembla accueillir ma semence avec une grande joie. Complètement épuisés et surtout complètement en nage, nous nous sommes laissés glisser jusqu’au sol, la jeune femme allongée sur le ventre et moi sur le flan.
— Merci pour cette sodo, j’ai toujours adoré me faire enculer dans un sauna. Et désolé pour cette comédie.— T’inquiète, ça m’a bien fait rire. Rassure moi, t’es meilleure comédienne que ça, d’habitude, demandai-je d’un air hésitant— Tu sais dans le porno, le jeu d’acteur on s’en tape un peu, me répondit-elle avec un grand sourire. Mais oui, je suis meilleure que ça, je suis même pas trop mauvaise, ajouta-t-elle avec un sourire de satisfaction.— En toute modestie, précisai-je en riant
Déborah répondis à ma dernière remarque par un grand éclat de rire. Quand je pense que l’émission de télé où je l’avais vu m’avait donné l’impression d’une femme hautaine, je m’étais bien trompé. Nous sommes restés ainsi quelque temps afin de reprendre notre souffle et de profiter de la chaleur du sauna. Nous sommes ensuite partis nous doucher, avant de retourner chacun de notre côté, tout en nous promettant de remettre ça. Certes, je m’étais déjà tapé Nicole uniquement en sodo le premier jour, mais j’avais fait l’amour à Chloé juste avant. Là, c’était la toute première fois que j’enculais une fille sans préliminaire vaginal, sans pipe, sans cunni, sans rien d’autre qu’un braquemart entre les fesses. Et il me tardait de recommencer.
Le remontage de l’installation et le démontage du cul de Déborah terminés, je me mis à la recherche de Séb pour l’informer que je comptais passer l’après-midi avec Mélanie, comme un jeune homme demandant l’autorisation au père de sa copine. N’ayant pas d’obligation la concernant, il ne vit aucun problème à ça, aussi suis-je retourné dans la chambre de Mélanie pour voir si elle y était. je la trouvai en peignoir de bain, souriante et fraiche bien qu’elle vienne de se faire sauter deux ou trois fois depuis le petit-déjeuner. Elle me rassura cependant en me précisant que les acteurs du jour étaient parmi les plus tendres du circuit, et qu’elle était parvenue à prendre son pied trois-quatre fois, malgré les coupures.
— Je suis content qu’il y ait aussi des gentils garçons dans ce milieu. Dis voir, tu te rappelles que je t’ai prévu une surprise cette après-midi, demandai-je — Rassures toi, je me rappelle, dit-elle avec un grand sourire — Parfait, alors ça commence tout de suite. Habille-toi, je t’emmène manger.
A cette annonce, son visage s’illumina encore plus. Elle ouvrit sa valise, fouilla dedans, en retira une robe légère sans manche et une paire d’escarpin à hauts talons, ainsi que sa trousse de maquillage pour une retouche. Elle alla se préparer dans la salle de bain, et lorsqu’elle en revint je fus subjugué. Sa robe trapèze blanche aux motifs or, longue jusqu’au-dessus des genoux et au bustier délicieusement moulant, mettait sa divine silhouette en valeur, tandis que ses escarpins lui galbait joliment les jambes. Son maquillage, bien que discret, achevait le tout en beauté. Devant mon air ébahit, elle tourna sur elle-même tout en souriant, avant de rire aux éclats, me faisant reprendre contact avec la réalité. Le temps de passer chez moi pour que je me change à mon tour et que je prenne quelques affaires et nous voilà en ville.
Bien qu’il ne soit pas encore midi, il était trop tard pour réserver chez Gilles. Aussi avons-nous déjeuné dans un autre restaurant au centre-ville, où le moins que l’on puisse dire et que Mélanie n’est pas passé inaperçue. Même le serveur, qui devait pourtant voir passer beaucoup de jolies filles, faillit en perdre ses moyens et rattrapa de justesse une sole meunière avant qu’elle ne tombe sur les genoux d’un client. Les choses rentrèrent cependant très vite dans l’ordre, et nous avons passé un excellent moment ensemble. Mélanie était extraordinaire et se passionnait pour toute sorte de sujets. Littérature, Histoire, Archéologie et j’en passe, elle était incollable sur tout. Quand je pense tout ça a été gâché par une mauvaise rencontre, je me consolais en me rappelant que sans cela, c’est moi qui ne l’aurais pas rencontré. Nous sommes restés ainsi plus d’une heure, et seule la cloche de l’église toute proche me rappela qu’il était 13 heures.
— A présent, je te propose de profiter du premier jour des soldes. Ça te dit ?— Toujours, me répondit-elle avec un large sourire— Alors allons-y
Nous sommes sortis du restaurant, non sans provoquer une nouvelle fois un vif émoi chez les autres convives, et nous nous sommes dirigés vers le plus grand magasin de vêtement de la ville, un colosse de plusieurs étages. En chemin, Mélanie s’accrocha tendrement à mon bras, ce qui n’était pas pour me déplaire. Arrivé au magasin, la jeune femme pris les choses en main et voyagea d’une penderie à l’autre, choisissant shorts, jupes, débardeurs, ... avec un très grand soin. En gentleman, je la déchargeais au fur et à mesure de ses choix, tout en m’amusant de la virtuosité avec laquelle elle naviguait dans les rayons. En pareil circonstance, en bon mec qui se respecte et même si professionnellement j’avais un devoir de représentation (on ne fait pas signer un contrat de location en Marcel et bermuda), j’aurai tout fait au pas de course.
Tandis que Mélanie était en quête d’une robe de soirée, je vis enfin passer une vendeuse que je cherchais du regard depuis notre arrivé, et qui me fit un signe pour me dire que tout était bon. Prénommée Sabrina, elle était ma complice dans la réalisation de la suite des évènements. Jeune femme rousse à l’allure athlétique et aux cheveux ondulés jusqu’aux hanches, mesurant 1m65 pour 55kg, elle était totalement libérée niveau sexe. C’était un de mes plans culs occasionnels, qui avait d’ailleurs failli devenir actrice porno. Elle avait passé un casting, au cours duquel elle s’était tellement fait défoncer le fion que non seulement l’envie lui en a passée, mais de plus elle a eu du mal à justifier un arrêt de travail de quelques jours. Lorsque je lui fis part de mon projet, elle y adhéra tout de suite et me promit de m’aider, en échange d’une petite faveur qu’il ne serait pas trop dure de satisfaire.
Le choix des vêtements terminé et la robe tant souhaitée enfin trouvée, place aux essayages où la phase finale de mon plan pouvait se mettre en place. En arrivant aux cabines, Sabrina vint nous accueillir, puis nous guida jusqu’à une cabine en bout de rangée près d’n angle de mur, partiellement cachée derrière une pile de cartons. Discrètement, nous nous sommes faufilés dans la cabine assez spacieuse, où j’accrochais tous les vêtements tandis que Sabrina déplaçait les cartons pour nous dissimuler totalement.
— Pourquoi la vendeuse vient-elle de replacer les cartons devant la porte ? demanda Mélanie, tout en vérifiant dans le miroir la perfection de son maquillage— Tu n’as pas une petite idée ? lui demandai-je avec un grand sourire, tout en l’attrapant par la taille ?
Par l’intermédiaire du miroir, elle me lança un regard interrogateur, puis compris instantanément. Son visage s’éclaira immédiatement et elle afficha un large sourire, de ses sourires qu’on affiche à noël lorsqu’on reçoit le cadeau tant rêvé.
— Laisse-moi deviner. Chloé a vendu la mèche ?— Euh ... oui. Tu ne lui en veux pas ?— Ça va dépendre de toi, mais je ne pense pas, répondit-elle avec un regard lubrique ?
Prenant sa réponse pour une invitation, je commençai tout de suite à lui mordiller et à lui lécher le cou, tandis que j’entrepris de remonter sa robe. Pendant ce temps, Mélanie passa sa main droite derrière ma tête pour m’encourager à poursuivre, tandis que sa main gauche caressait le haut de ma cuisse. Bien que ce soit la sixième fois - en comptant le trio avec Bouchra -que nous fassions l’amour, c’était la première fois que nous étions entièrement habillés avant de commencer. Aussi lorsque j’eus remonté un pan de sa robe, je me contorsionnai une main pour pouvoir la glisser dans sa culotte et venir la doigter, tandis que, de mon autre main, je caressai sa poitrine au travers de son corsage. Le miroir me renvoyait l’image de son visage, et je voyais qu’elle avait fermé les yeux et penché la tête d’un côté pour faciliter mes mouvements de langues. Elle ondulait du bassin pour frotter ses fesses sur mon entrejambe, provoquant immédiatement une solide érection. Mélanie en profita alors pour glisser sa main dans mon pantalon via la braguette, avant de saisir mon braquemart à pleine main et de le branler doucement.
Nous sommes restés ainsi quelques minutes, à nous caresser mutuellement, jusqu’à ce que Mélanie, complètement abandonnée à son plaisir, connaisse un premier orgasme du fait de mes doigts qui s’agitaient dans sa chatte. Aussitôt après, elle retira mes mains, léchant mes doigts qui sortaient de son intimité, se retourna face à moi, avant de m’embrasser langoureusement puis de commencer à déboutonner ma chemise. Au fur et à mesure qu’elle descendait le long des boutons, elle me léchait la poitrine et s’accroupissait de plus en plus. Un fois à genoux devant moi, elle dégrafa mon pantalon et fit tomber vêtement et sous-vêtement sur mes chevilles. Ma bite au garde-à-vous devant son visage, elle entreprit de me sucer, avec toute la maestria qui la caractérisait. Les mains posées sur sa tête, je l’encourageais à poursuivre, tout en lui demandant de se caresser en même temps, ce qu’elle fit sans se faire prier d’avantage. L’instant était absolument génial, la fellation tout autant, et ce n’était que le début. De l’autre côté du rideau, j’entendais les clients aller et venir, devinant à travers le rideau des silhouettes se déplacer. S’il savait qu’à un mètre d’eux un type était en train de se faire sucer par une déesse, il serait quelque peu surpris.
Afin de passer aux choses sérieuses, j’invitais, au bout de quelques somptueuses minutes, ma sublime pompeuse à se relever et à se retourner face au miroir. Placé derrière elle, je fis descendre lentement la fermeture éclair de sa robe puis, arrivé sur les reins, je fis basculer corsage et soutien-gorge, libérant son opulente poitrine que je me mis à masser langoureusement. Ses mains placées sur les miennes, elle accompagnait mes mouvements, tout en penchant sa tête sur le côté pour que je puisse l’embrasser sur la nuque. Les yeux fermés, elle se laissait complètement aller à ses sensations, écoutant le monde autour d’elle alors qu’un homme lui pelotait les seins. Au bout d’un moment, je me dégageai de ma partenaire, profitant de l’occasion pour enlever complètement mon pantalon, et je glissai mes mains sous sa robe, que je remontai sur ses hanches en lui caressant les cuisses au passage. Arrivé sur le haut des jambes, je fis tomber sa culotte au sol, tandis que la jeune femme prenait appui sur la glace, tout en cambrant ses reins. Dans cette position, ses talons la plaçant juste à la bonne hauteur, je n’eus aucune difficulté pour la pénétrer d’un seul coup jusqu’à la garde, lui arrachant un petit cri étouffé. Commença alors une sensuelle série d’aller-retour, que je m’efforçai de faire durer le plus longtemps possible pour profiter au mieux de la magie de l’instant.
Accroché aux hanches de Mélanie, j’essayais à chaque pénétration d’aller le plus profondément possible, tout en étant assez lent pour que ma partenaire profite de chaque seconde. Les yeux mi-clos et un large sourire aux lèvres, elle accueillait mon braquemart avec délectation, s’abandonnant au plaisir d’assouvir un fantasme. La première jouissance ne fut pas longue à arriver, rapidement suivit par plusieurs autres. A chaque orgasme, Mélanie devait se retenir de crier, rendant selon ses propres dires la jouissance encore plus intense. Au bout de plusieurs extase, elle dû s’appuyer de tout son long sur la glace pour ne pas tomber, me donnant l’occasion de lâcher ma prise et de caresser ce sublime corps qui se donnait à moi. Associées à des mouvements de langue sur la nuque, ces caresses amplifièrent encore la puissance des orgasmes, obligeant la jeune femme, au bout de près de quinze minute de pénétration, à demander une pause pour se remettre.
Afin de laisser la jolie brune se remettre, je sortis de sa chatte accueillante, avant d’attraper une chaise placée dans un coin et de m’assoir dessus. Mélanie s’approcha alors de moi, plaça ses jambes de part et d’autre des miennes, puis, les mains sur mes épaules, descendit lentement son bassin vers mes cuisses jusqu’à s’assoir, s’empalant sur ma verge au passage. Sa robe nous couvrait complètement les cuisses, ce qui ne l’empêcha bien sûr pas de commencer à monter et descendre lentement sur ma bite. Appuyée sur mes épaules ou sur ma poitrine, la jeune femme savourait à un rythme assez lent chaque seconde de cette chevauché. Ses gros seins ballotant devant mes yeux, je ne fus pas long à les caresser et le mordiller, pour le plus grand plaisir de leur propriétaire, qui à chaque jouissance, balançait la tête en arrière avant de revenir m’embrasser. Rapidement, je glissai un main sous sa robe, m’aventurant jusqu’à ses fesses pour lui titiller la rondelle. Stimuler de toute part, Mélanie recommença à enchainer les orgasmes, plaça sa tête dans mon cou pour étouffer un cri lorsque celui-ci était trop important. Sa jouissance augmentait avec le bruit à l’extérieur, devenant de plus en plus intense et de plus en plus nombreux, savourant l’idée de se faire baiser à deux mètres à peine d’une foule.
Au bout de plus de dix minutes de cavalcade et d’un nombre incalculable d’orgasme, Mélanie, qui regardait le miroir face à elle, me glissa soudain à l’oreille "quelqu’un nous observe !!!". En regardant par-dessus son épaule, je vis effectivement une silhouette féminine assez menue qui s’était glissée entre les cartons et l’angle du mur, et qui clairement était en train de se masturber. Je regardai ma partenaire, qui d’un regard compris mon intention et approuva. Aussitôt, elle se releva, et tandis qu’elle enlevait complètement sa robe, j’invitai notre voyeuse à nous rejoindre. Celle-ci, visiblement gênée de s’être fait voir, hésita un instant avant de franchir le pas et d’entrer. Une fois à l’intérieur, bien qu’un peu à l’étroit, Mélanie s’approcha de la femme, une sublime blonde à queue de cheval qui devait avoir trente ans, releva la jupe de son tailleur pour lui enlever sa culotte, dévoilant au passage un sublime porte-jarretelles. L’hésitation de la jolie blonde trahissait un manque de pratique dans l’art du libertinage mais son envie était palpable. Arrivé devant moi, elle eut un flatteur regard d’admiration pour ma bite, puis me chevaucha à son tour, la facilité de pénétration en disant long sur excitation.
Les mains sur mes épaules, elle prit tout de suite les choses en main, assurant un bon rythme et haletant de concert. Pendant ce temps, je déboutonnai son gilet et son chemisier, les faisant tomber au sol, avant de lui enlever son soutien-gorge en fine dentelle. Je ne pu m’empêcher de remarquer la qualité des vêtements, ce qui semblait indiquer que la femme qui était en train de s’empaler sur ma verge devait être à l’aise financièrement. La poitrine qui se dévoila devant moi était un très honorable 85C, qui m’aurait certainement arraché un regard d’admiration si depuis 4 jours je ne me tapais pas à la suite que des paires de nibards surdimensionnés. Je ne boudais cependant pas mon plaisir et j’entrepris de les mordiller au plus grand plaisir de ma partenaire, qui connut rapidement le premier orgasme d’une longue série. Je tentai également de lui caresser la rondelle, mais cela semblant lui déplaire, je n’insistai pas et passai alors mes mains dans son dos pour la caresser délicatement.
Ne souhaitant pas être en reste, Mélanie se colla à nous, attrapa délicatement une des mains de notre comparse pour la fourrer dans sa chatte, tout en lui plaçant ses obus sous le nez pour qu’elle puisse les lui lécher. Ma chevaucheuse se plia avec plaisir à cette demande, et masturba la jeune femme pendant plusieurs minutes tout en s’empalant sur ma bite, occasionnant chez Mélanie plusieurs orgasmes qu’elle contrôla heureusement assez bien. Au bout de quelques minutes, ayant remarqué que le rythme commençait à s’accélérer, j’attrapai ma partenaire sans la prévenir par les cuisses, je la soulevai en me redressant, ma bite toujours dans sa chatte, puis je vins la plaquer contre le mur. Dans cette position, j’entrepris de la pilonner un peu plus brutalement, ce qui la fit rapidement monter en pression et avoir un orgasme si puissant qu’elle me planta ses ongles dans le dos. Malgré la douleur, mes coups de reins se firent plus percutant, si bien que son orgasme fut presque immédiatement suivi d’un autre dont l’intensité fut telle qu’elle failli perdre connaissance.
En voyant notre complice manquer de tourner de l’œil, Mélanie approcha la chaise du miroir, m’aidant à y assoir la jeune femme, la laissant récupérer. Pendant ce temps, bien que le bruit à l’extérieur n’ait cessé d’augmenter en intensité et qu’il était de plus en plus probable que quelqu’un d’autre nous surprenne, Mélanie vint se placer près de la jolie blonde, le torse contre la vitre et commença à se caresser la rondelle, me faisant comprendre du regard que je m’étais arrêté prématurément lors de mon exploration de la zone. Lubrifiant en main, j’en appliquais sur ma bite et sur sa rondelle, avant d’honorer son cul en y introduisant mon braquemart. Une fois enfoncé jusqu’à la garde, j’entamai de lents et amples aller-retours, m’assurant à chaque fois de venir écraser mes cuisses contre ses fesses. La jolie brune haletait en rythme, couvrant le miroir de buée. Plus la foule autour de nous était bruyante, plus je me permettais des impacts puissants qui venaient claquer contre elle, l’obligeant à se bâillonner de son poing pour ne pas crier. A en juger par le regard subjugué de notre partenaire, c’était la première fois qu’elle voyait une jeune femme se faire enculer contre le mur juste à hauteur de ses yeux. Ne souhaitant pas rester passive, et ayant repris son souffle, elle attrapa Mélanie par la cuisse, et nous fit coulisser vers elle, jusqu’à ce qu’elle se trouve entre le mur et nous. Aussitôt, elle commença à brouter la sublime brune qui, nous contente de satisfaire son plus grand fantasme, le faisait, pour ainsi dire, à l’aide d’une double pénétration. Et à en croire les orgasmes que connu Mélanie, elle savait y faire avec sa langue.
Cette double pénétration dura quelques minutes. Mélanie s’était tellement abandonnée au plaisir qu’elle donnait l’impression d’être en orgasme permanent. Je continuais à lui percuter le fondement, gagnant en vitesse, jusqu’à pratiquement oublier que le rideau pouvait s’ouvrir d’un coup. Nous étions complètement en sueur, et je me félicitai d’avoir pensé à prendre serviettes et désodorisant. Au bout de quelques minutes, Mélanie connu un double orgasme anal et vaginal, si puissant que, la fatigue aidant, je ne pus tenir encore d’avantage. Lorsque j’annonçai à ces dames que j’étais sur le point d’exploser, la belle blonde sortit de sa position, me fit sortir du cul de Mélanie et, à genoux devant moi, goba ma queue sans ménagement et avala mon foutre, qui se répandis au fond de sa gorge en saccade. Complètement épuisée mais au comble de la satisfaction, Mélanie s’assit sur la chaise et nous regarda avec un grand sourire, tandis que notre partenaire du moment avalait la dernière gorgée et me nettoyait la verge avec sa langue. Un coup d’œil à ma montre m’apprit que nous étions là depuis plus d’une heure et que par conséquent, cela faisait presque autant de temps que nous baisions tous les trois comme des sauvages. La jeune blonde s’assit près de Mélanie et posa sa tête sur ses cuisses quelques instants. Puis elle se releva, redescendit sa jupe et se rhabilla. Elle remit ses sous-vêtements dans son sac, nous embrassa à tour de rôle puis quitta la cabine et prenant toutes les précautions pour ne pas se faire voir. C’est à cet instant que nous nous rendîmes compte que non seulement nous ne connaissions pas son nom mais de plus, nous ne l’avons jamais entendu parler. Un bien jolie mystère pour un fantasme assouvi inoubliable.
Je revis la jolie blonde quelques semaines plus tard par le plus grand des hasards, apprenant à cette occasion que c’était la fille du maire que je n’appréciais pas trop. Cela ne m’a pas empêché à cette occasion de lui dépuceler le cul en l’enculant profondément mais ceci est une autre histoire. Pour l’heure, Mélanie s’était relevée et nous avons échangé un long et langoureux baisé. Elle m’avoua que c’était la première fois que quelqu’un se préoccupait d’assouvir ses fantasmes, et que cette partie de jambe en l’air était ce qu’elle avait vécu de plus intense à ce jour. En retour je lui avouai que j’avais prévu d’aider Julie et Bouchra à assouvir leur fantasme, ce à quoi elle me répondit qu’elle souhaitait de tout cœur qu’elle connaissent la même félicité qu’elle. Mélanie était vraiment la jeune femme la plus merveilleuse qu’il m’avait été donné de connaître, et j’en vins pour la première fois à me demander comment ça allait se passer lorsqu’elle partirait. Heureusement, il restait 4 jours et je comptais bien en profiter.
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