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Les actrices

Chapitre 11

Bon sang ne saurait mentir

Avec plusieurs femmes
Nous étions de retour depuis vingt minutes environ lorsque Julien vint demander à Bouchra et Mélanie de se préparer pour une scène en commun. Après avoir embrassé cette dernière, je repris ma casquette de gérant du gîte et je fis le tour du jardin afin de répertorier l’ensemble des tâches à effectuer, et lesquelles demanderaient l’intervention d’un professionnel. Depuis mes derniers exploits, j’avais comme projet d’étendre la propriété jusqu’à la rivière, et d’aménager un petit chemin amenant directement jusqu’à la plage, histoire que mes locataires puissent eux aussi profiter des charmes de ce lieu tranquille. Cependant, il me faudrait pour cela acquérir le terrain entre le gîte et la plage, et la négociation s’annonçait âpre, l’actuel propriétaire étant particulièrement dur en affaire.
Une fois le tour de la propriété terminé, je me dirigeai vers la cuisine, histoire de mettre tout cela au propre et de préparer thé et café pour tout le monde. J’y retrouvai Samia, vêtue d’une robe courte volante décolletée à fine bretelle, occupée à peler quelques légumes pour le repas du soir. Lorsque la collation fut prête, j’apportai le tout dans le salon, avant de me diriger vers la piscine où la précédente scène se terminait. En approchant, je vis Déborah caresser et embrasser Julie, lascivement allongée sur une chaise longue. Ses gestes pleins de sensualité, de tendresse et de passion semblaient lui procurer autant de plaisir qu’à sa partenaire. Je restai ainsi quelques instants à profiter du spectacle, avant de rejoindre Samia en cuisine et de sortir mon ordinateur pour prendre quelques notes.
— Tu ne tournes pas aujourd’hui ? demandai-je à la jeune femme, toujours occupée devant les fourneaux.— Déjà fait, une scène à trois avec les frangines. Mais j’y retourne d’ici une heure. Les scènes lesbiennes sont beaucoup moins fatigantes pour nous, on peut les enchaîner.— Peut-être est-ce aussi bien plus plaisant pour vous. Déborah avait l’air de prendre autant de plaisir que Julie tout à l’heure.— Ah non, elle, c’est parce qu’elle aime vraiment ça. Elle a toujours préféré les scènes avec les filles et ça ne m’étonnerait pas du tout d’apprendre dans quelque temps qu’elle s’est mise en ménage avec une femme.— C’est pour ça qu’elle est devenue actrice ?
Le naturel avec lequel j’avais posé cette question me surprit. Samia ne sembla cependant pas plus gênée que ça.
— J’en sais trop rien. Déby est super discrète sur son passé, mais je suis prête à parier qu’elle vient d’un milieu où l’homosexualité est tabou. Si, comme Chloé et les frangines, elle est venue volontairement dans le porno, c’était avant tout pour se découvrir et savoir qui elle était vraiment. Aujourd’hui, elle revendique sa bisexualité même si elle préfère vraiment les femmes.— Mais pourquoi Séb l’oblige-t-il à se faire poinçonner par des hommes alors ? Il est pourtant assez sympa avec vous.— Il ne décide pas de tout, et il a aussi des comptes à rendre. Déby est super bandante, fougueuse quand elle chevauche et en plus, elle fait une taille mannequin. Ses vidéos se vendent bien, donc elle baise avec des hommes. Et peu importe ses préférences en dehors du boulot. — Ça doit pas être facile tous les jours.— Joue pas les innocents, dit-elle avec une moue moqueuse. T’es bien placé pour savoir qu’on a toutes appris à séparer cul et sentiments, et même la confiance est quelque chose qu’on accorde difficilement. L’avantage, c’est que lorsqu’on aime, ce n’est pas de la comédie.
La jeune femme ponctua sa dernière phrase d’un sourire complice, avant de se servir un thé. J’étais absolument convaincu de la sincérité des sentiments de Mélanie à mon égard, mais je mesurais encore difficilement la chance immense que j’avais. Ces quelques phrases échangées avec Samia me remplirent de fierté. Je me levai alors pour la remercier en l’embrassant sur le front, ce qui la surprit un peu, mais la fit sourire malgré tout.
— Dis voir, Samia, tu es la seule dont j’ignore les raisons qui l’ont poussée à devenir actrice. — Rien d’original, annonça-t-elle tout en plongeant quelques pommes de terre dans une préparation. A 16 ans, j’étais apprenti cuistot et à 18, ma mère a pété un câble sans raison et m’a foutue dehors en me disant de me démerder toute seule. Je venais à peine de louer un appartement dont elle payait le loyer, et je n’avais pas encore de boulot. Alors j’ai fait comme elle a dit et je me suis démerdée.— OK, génial !!! Et du coup, c’était la prostitution ou le porno ?— C’est ça, sauf que moi ça a été la prostitution puis le porno.
Encore aujourd’hui, je ne saurais dire ce qui m’a le plus désarmé, la révélation de Samia ou le calme avec lequel elle l’annonça. Toute à sa recette, elle poursuivit :
— Mon premier client a été mon proprio. Je payais mon loyer en le laissant me péter la chatte deux ou trois fois par semaine. Très vite, c’est devenu mon mac et moi sa pute. — Charmant cet homme !— Il m’envoyait des clients toute la journée. Inutile de te dire que je n’ai jamais pu devenir cuisinière. Il m’a également payé une nouvelle paire de nibards pour pouvoir augmenter mes tarifs. Tu me diras, pute de luxe c’est toujours mieux qu’arpenteuse de trottoir, mais il en a bien profité de sa gagneuse ce vieux salaud.— Ça a duré longtemps ? — Un peu plus de deux ans. En journée, ça pouvait aller en général, mais le plus difficile à vivre, c’était les soirées spéciales comme il les appelait. — Des soirées spéciales ? — Plusieurs mecs qui s’offraient mon cul, ma chatte ou les deux pour la nuit entière, une partouze donc. Je n’avais rien à dire, la seule chose que j’avais obtenue était ’Pas de Violence’, et uniquement pour ne pas baisser ma valeur marchande à cause de blessures. Le pire a été la fois où ils sont venus à trente avec pour objectif de tous me remplir par les trois trous. Dix heures ça a duré!!! A la fin, je n’étais plus qu’un tas de viande inerte débordant de foutre, accueillant les bites par paquet de quatre ou cinq. Même dans le porno, j’ai jamais connu ça. Il m’a fallu deux semaines à m’en remettre.
L’évocation de ce souvenir particulièrement douloureux affecta grandement la jeune femme, qui se crispa complètement et se mit à trembler. La sanction fut immédiate et la dernière pomme de terre lui échappa des mains, tombant dans la préparation qui éclaboussa complètement sa jolie robe. La surprise passée, elle éclata de rire tandis que je me saisissais d’un chiffon humide pour espérer enlever quelques taches. À genoux devant elle, je passai ma main sous sa jupe pour tendre le tissu, mais, remontant trop haut, mes doigts virent heurter son clitoris, ce qui lui arracha un petit cri et nous figea tous les deux sur place.
Samia reprit ses esprits la première. Un sourire évocateur aux lèvres, elle passa ses mains sous sa jupe, écarta sa culotte avant de saisir mes doigts et de les glisser dans son intimité. Un profond soupir de satisfaction accompagna cette pénétration, qui laissa place à des gémissements de plaisir lorsque j’entamai une douce masturbation. Appuyée sur le rebord de l’évier, elle m’accueillait en elle avec délectation, savourant pendant ces quelques instants l’exploration méthodique de sa grotte d’amour.
Au bout d’un court instant, je retirai ma main de son logement afin de remonter la jupe de mon amante sur ses reins et de faire tomber sa culotte au sol. Aussitôt, j’entamai un cunnilingus, introduisant méticuleusement ma langue entre ses lèvres, et accompagnant le tout de caresses sensuelles sur ses cuisses et ses fesses. Samia haletait de plaisir, et m’incita à y aller plus profondément, en passant ses mains dans mes cheveux et en appuyant légèrement sur ma tête. Je m’exécutai sans me faire prier, et quelques instants plus tard, un puissant râle de plaisir me fit comprendre que l’objectif était atteint.
Cette première jouissance passée, je décidai de passer à l’étape suivante, d’autant que mon sexe, bien durci, ne demanda qu’à sortir de sa prison. Je me relevai donc, fis pivoter la jeune femme, pour ensuite me placer derrière elle. Après m’être débarrassé de mon pantalon et de mon caleçon, je m’introduisis d’un seul coup dans sa chatte, lui arrachant un cri au passage. Bien accroché à une hanche et une épaule, je commençai immédiatement mes allers-retours, en prenant bien soin d’être le plus tendre possible au début avant d’accélérer progressivement. Agrippée sur le bord du meuble, Samia accueillait chacun de mes coups de reins avec délectation, haletant en cadence et poussant des petits "Oui" de plaisir régulièrement. Au bout de quelques minutes, elle rejeta sa tête en arrière en poussant un "Ouiiiiii" langoureux, la fenêtre au-dessus de l’évier me renvoyant l’image de son visage rayonnant de plaisir.
Je ne m’arrêtai pas pour autant et, après avoir fait tomber les bretelles de sa robe pour libérer ses seins, je m’agrippai à ceux-ci et continuai à percuter la moule de ma partenaire, lui déclenchant rapidement un nouvel orgasme.
Au bout d’un moment, l’envie de changer d’orifice me prit et je me retirai de la chatte accueillante de la jolie brune. J’attrapai alors un tube de lubrifiant qui traînait sur le réfrigérateur et vins m’asseoir sur une chaise. Sans un mot, mais avec un large sourire, Samia retira totalement sa robe, me prit le tube des mains et s’en badigeonna la rondelle. Dos à moi, elle vint ensuite s’asseoir sur mes jambes, s’enfonçant mon braquemart au passage. La pénétration se fit sans difficulté, un profond soupir de la jeune femme trahissant le plaisir qu’elle prenait. Appuyé sur le rebord de la chaise, elle commença sans attendre à monter et descendre sur mon engin, haletant en cadence, tandis que je profitai de ma position pour lui masser les seins et lui donner quelques coups de reins occasionnels, qu’elle accueillait à chaque fois par un petit cri.
Très vite, elle trouva une bonne cadence qui eut cependant comme conséquence de faire danser son imposante chevelure, que je prenais régulièrement dans le visage.
Mais face au plaisir que me procurait cette chevauchée, c’était bien anecdotique.
Nous étions ainsi depuis deux-trois minutes lorsque Nicole entra soudainement dans la cuisine, uniquement vêtue d’un string de bain. En nous voyant, elle nous adressa un sourire, alla déposer sa tasse de thé dans l’évier, puis se dirigea vers nous. Ne sachant plus que faire, nous avions stoppé toute activité, attendant de voir la réaction de la jolie métisse. Pour toute réponse, elle s’agenouilla devant Samia, puis, après lui avoir caressé les cuisses, commença à la doigter tendrement, mais en profondeur, tout en se masturbant. La jolie Maghrébine eut un léger sursaut de surprise, qui bien vite laissa la place à des soupirs de satisfaction de plus en plus intense. La bite toujours dans le cul de ma partenaire, je pris alors l’initiative de reprendre la sodomie, enchaînant les mouvements de bassin brefs, mais intenses, arrachant comme précédemment un cri à chaque impact.
Ainsi prise en une double pénétration assez inhabituelle, la jeune femme se laissa aller à ses sensations et, quelques instants plus tard, connut coup sur coup deux nouveaux orgasmes, si rapprochés qu’elle en perdit l’équilibre, m’obligeant à la rattraper de justesse.
La position devenant bien trop périlleuse pour la jeune femme, je me dégageai et de son postérieur et de la chaise, afin de la laisser s’asseoir plus confortablement. Profitant de cette nouvelle position, Nicole, qui s’était elle aussi retirée, engouffra sa tête entre les jambes de son amie et commença à lui prodiguer un sublime cunnilingus. La tête rejetée en arrière et gémissante de plaisir, Samia caressait la chevelure de son amante, écartant les cuisses pour faciliter la manœuvre et mieux apprécier chaque seconde de cette exploration buccale. Légèrement en retrait, je profitai ainsi quelques instants du spectacle avant de me décider à y participer. Je me plaçai donc à genoux derrière Nicole, je lui retirai son string puis sans prévenir, je la pénétrai d’un coup sec et puissant. Fermement accroché à ses hanches, j’entrepris alors de lui prendre le minou à bonne cadence.
La jolie métisse accueillit ma verge en ouvrant la bouche de surprise et en retenant son souffle. Très vite cependant, elle reprit ses esprits, et se remit à son cunni. A chacun de mes coups de reins, son visage et sa langue s’enfonçaient un peu plus profondément dans l’intimité de son amante, pour le plus grand plaisir de celle-ci. Et tandis que Nicole, bien que bâillonnée par le sexe de sa partenaire, haletait en cadence au rythme de mes coups de boutoir, Samia se tortillait de bonheur sur sa chaise, multipliant les orgasmes. Au bout de quelques instants, ce fut le tour de ma partenaire, qui exprima sa profonde jouissance par un râle puissant et sonore, que Samia étouffa partiellement en lui plaquant la tête contre son clitoris. Le spectacle de ses deux beautés totalement abandonnées à leur plaisir était tellement jouissif que je me mis à percuter le sublime corps de mon amante avec de plus en plus d’entrain, jusqu’à provoquer un orgasme simultané chez elle comme chez moi.
J’eus juste le temps de me retirer de son intimité pour répandre toute ma semence sur sa sublime peau d’ébène, tandis que Samia, hors d’haleine, descendit de sa chaise pour embrasser son amante et essuyer ma bite à coup de langue.
— Merci beaucoup, c’était génial, déclara Nicole en se relevant, mais j’étais juste venue dire à Samia de se préparer, on a une scène elle et moi. — Non, mais je m’entraînais, répondit-elle dans un grand éclat de rire.
Après s’être rhabillée et avoir vérifié que son plat pouvait mijoter tranquillement, Samia emboîta le pas de Nicole et sortit de la cuisine. Resté seul, je repensai aux déclarations de la jeune femme. Certes, Nicole s’était elle aussi prostituée autrefois, mais, pour en avoir reparlé depuis avec elle, c’était de son propre chef et cela avait duré peu de temps, quelques mois tout au plus. Samia, elle, n’avait pas eu le choix et avait subi de plein fouet toute la violence inhérente à cette profession. Malgré cela, elle restait fraiche et souriante, et n’avait pas perdu son goût pour la cuisine si j’en jugeais par la délicieuse odeur qui émanait de la plaque de cuisson.
Je regardai l’heure, presque 17h. Après m’être rhabillé, je sortis du gîte pour appeler le propriétaire du terrain que je convoitais. Il s’agissait d’un agriculteur des alentours que je connaissais bien, un homme droit et honnête, mais qui connaissait très exactement le prix de la terre. J’en savais quelques choses, pour lui avoir vendu quelques-uns des anciens champs de mon grand-père lorsque je me suis installé. A l’époque, mon expérience dans la finance m’avait été bien utile et je sentais que ça allait de nouveau être le cas. Appuyé sur une table de jardin près de mon ordinateur, j’étais prêt pour la négociation.
Comme je m’y attendais, mon interlocuteur ne lâchait rien. Au bout de quinze minutes, nous n’étions parvenus à nous mettre d’accord que sur la parcelle concernée. Je commençai à avoir mal au crâne, et la chaleur lourde et pesante de cette fin de journée n’aidait vraiment pas. A cet instant, Chloé sortit du gîte, pied nu, short moulant et chemisier sans manche noué sous la poitrine, et se dirigea vers moi en m’apercevant. Je devais avoir une drôle d’expression sur le visage, car, lorsqu’elle fut plus près, la jolie rousse fronça les sourcils et me demanda à voix basse ce qu’il se passait. Après lui avoir expliqué la situation, je la vis faire demi-tour puis, se ravisant, revenir vers moi, un sourire malicieux aux lèvres.
— T’as besoin de te détendre, susurra-t-elle à mon oreille avant de se mettre à genoux devant moi.
A peine fut-elle au sol qu’elle commença à me masser l’entrejambe au travers de mon pantalon, avec toute la délicatesse et la maestria qu’elle possédait. Toujours au téléphone, je fus tout d’abord tenté de lui demander d’arrêter afin que je reste concentré sur ma conversation, mais je sentais que les effets se faisaient déjà sentir. Chloé avait d’ailleurs dû le sentir elle aussi, car elle déboutonna mon pantalon, fit sortir mon sexe et commença à me masturber, tout en me regardant de ses yeux verts, un large sourire sur le visage. Pendant ce temps, mon interlocuteur continuait à me donner les arguments justifiant le prix demandé, mais j’avais quelques difficultés à rester concentré.
La tension monta d’un cran lorsque, sans crier gare, la jeune femme fit tomber son chemisier et vint placer mon braquemart entre ses seins, commençant sans attendre une sublime branlette espagnole. Le regard toujours fixé au mien et serrant ses énormes loches contre ma bite, elle faisait coulisser l’engin de haut en bas, dans des mouvements très sensuels et parfaitement maîtrisés. Suivre la conversation était devenu terriblement compliqué tant les sensations procurées étaient jouissives, mais lorsqu’elle laissa tomber la masturbation pour une merveilleuse fellation, cela devint quasiment impossible ! Je ne répondis plus que par monosyllabe en me retenant de pousser des râles de satisfaction, tandis que ma somptueuse pompeuse gobait goulûment mon chibre, le léchait sur toute sa longueur ou le masturbait délicatement à intervalle régulier. Ayant déchargé il y a peu de temps, je parvins à tenir assez longtemps, mais nul homme au monde ne peut résister indéfiniment aux pipes de Chloé.
Au moment où, lassé de parler à un mur, mon interlocuteur me dit qu’il allait en parler à son notaire, je ne pus me maîtriser davantage et un long jet de sperme vint s’écraser sur le visage de la jeune femme, suivi de quelques autres.
Après quelques échanges de politesse, je raccrochai et laissai ma partenaire m’essuyer à coup de langue.Son œuvre terminée, Chloé se releva tout sourire, du foutre plein le visage. Sans mot dire et arborant un regard espiègle, elle remit son chemisier avant de s’en aller en sautillant, particulièrement fière de sa performance. De mon côté, après m’être rhabillé, je restais un instant dans l’incertitude, ne sachant pas si je devais rappeler mon potentiel vendeur. Le bruit d’une voiture me rappela à la réalité, et je me dirigeai vers l’avant du gîte pour accueillir le visiteur. Lorsque la voiture s’arrêta, la conductrice en sortit et ce fut comme une apparition. Anaëlle s’approcha de moi dans une sublime démarche chaloupée, son corps sculptural mis en valeur par une courte jupe tailleur gris, un chemisier blanc à manche longue délicieusement cintré et une paire de talons hauts qui ne devait pas lui faciliter la marche sur ce sol irrégulier.
— Salut. Je suis mandatée par ma fantasque de frangine, annonça-t-elle avec son habituel air hautain. Un trousseau de clés pour deux ce n’est pas vraiment pratique et sans son portable, elle n’ira pas bien loin. Ce serait pas mal qu’on les retrouve. — OK, on va chercher. Mais pourquoi est-ce toi qui viens et pas elle ? Tu arrives directement du boulot apparemment.— Parce que vous me l’avez tellement secouée la nuit dernière qu’à l’heure qu’il est, elle dort à poings fermés. Deux journées de boulot avec une nuit de baise non-stop entre les deux, c’est dur de résister. Elle est rentrée en même temps que moi, et vu son état, j’ai préféré la mettre au lit et venir moi-même.
Je souris en entendant ces paroles. Même si elles passaient leur temps à se charrier mutuellement, les deux sœurs étaient très proches l’une de l’autre. J’invitai donc la jolie blonde à se diriger vers les chambres via l’escalier de service, non sans me débrouiller pour me placer derrière elle et ainsi profiter de son postérieur impeccablement moulé dans sa jupe. Arrivé dans le couloir des chambres, mon téléphone sonna et j’eus la surprise de voir qu’il s’agissait de mon vendeur. Laissant là Anaëlle après lui avoir indiqué la chambre de Chloé, je retournai dehors poursuivre ma négociation. Vingt bonnes minutes plus tard, c’était chose faite, nous étions tombés d’accord sur un prix. Il restait à fixer le calendrier, mais cela pouvait attendre un peu. Avant de raccrocher, mon interlocuteur m’avoua que j’étais sans doute la personne la plus dure en affaire qu’il ait connue, mes réponses monosyllabiques l’ayant convaincu que je n’étais pas là pour plaisanter.
Je ne pus m’empêcher de sourire.
Non seulement il n’avait pas remarqué ce qu’il se passait, mais de plus, la pipe de Chloé m’avait fait passer pour un négociateur intransigeant et sans doute fait baisser le prix. Je me jurai alors de la remercier d’une manière ou d’une autre.En retournant vers les chambres, je passai devant la fenêtre de la cuisine et vis Mélanie totalement nue qui chipait un petit gâteau, regardant à gauche et à droite si personne ne la surveillait. La scène me fit beaucoup rire. Ne pouvant résister à la tentation, j’entrai sans crier gare dans la pièce, faisant sursauter la jeune femme.
— Halte là Mademoiselle, annonçai-je d’un ton qui se voulait martial, n’avez-vous pas honte ?— Oh, mais je suis sûre que vous m’aiderez à perdre ce surplus de calories, cher Monsieur, répondit-elle en se retenant de rire.
Je m’approchai d’elle et, après l’avoir enlacée par la taille et serrée contre moi, nous nous sommes embrassés langoureusement. Elle m’annonça ensuite qu’elle devait y retourner, car Séb voulait profiter de la lumière de fin de journée pour continuer à tourner, la chaleur étouffante de début d’après-midi l’ayant fait prendre du retard. Elle m’embrassa de nouveau puis s’en alla en direction du salon. Je lui décochai au passage une petite claque sur les fesses qui lui arracha un petit cri et me valut un faux regard de réprobation. Un sourire aux lèvres, elle disparut dans la pièce voisine, tandis que je retournai voir où en était Anaëlle dans ses recherches.
En arrivant devant les chambres, j’entendis du bruit sortir non pas de la chambre de Chloé, mais de celle de Déborah. Il s’agissait clairement de soupirs de plaisir, ce qui ne manqua pas de m’étonner, les tournages ayant lieu au rez-de-chaussée. J’approchai discrètement et jetai un coup d’œil par la porte entrebâillée. Déborah était nue sur le bord du lit, jambes écartées, tandis qu’Anaëlle était accroupie devant elle, en train de lui prodiguer un sublime cunnilingus. Sa jupe était révélée sur les hanches, ses sous-vêtements, son chemisier ainsi que les vêtements de Sabrina avaient volé au milieu de la pièce. La tête en arrière, son amante semblait accueillir chaque coup de langue avec délectation, l’incitant régulièrement à y aller plus profondément en lui appuyant sur la tête.
Pendant un instant, je restai à la porte, ébahi. Gilles avait déjà était rapide en emballant Jade en moins de trois heures, mais là, c’était hors norme ! Je la laisse seule une demi-heure et ... putain ce cul !!!! Je venais soudainement de me rendre compte que je contemplais depuis quelques instants le magnifique postérieur d’Anaëlle. Ce n’était certes pas la première fois que je le voyais, mais pour une raison que je ne suis jamais parvenu à m’expliquer, cette vision m’excitait au plus haut point. Peut-être était-ce tout simplement parce qu’elle n’a jamais fait mystère de son goût immodéré pour la sodomie, et que tous ses amants, sans aucune exception, ont pu l’enculer plus ou moins tendrement, certains d’entre eux ne l’ayant d’ailleurs honorée que de cette manière.
Les effets de cette vision ne se firent pas attendre, et je fus rapidement pris d’une solide érection. Rapidement, je me dirigeai vers la chambre de Mélanie, j’y déposai tous mes vêtements, puis je retournai rapidement vers les deux jeunes femmes, un tube de lubrifiant à la main et le braquemart fièrement au garde-à-vous. Lorsque j’entrai dans la chambre de Déborah, celle-ci venait de redresser la tête. De ce fait, bien que ma démarche fût la plus silencieuse possible, elle ne put que me voir. Bien entendu, mes intentions étaient on ne peut plus claires. Aussi me facilita-t-elle la tâche en reculant lentement sur le lit, obligeant son amante à s’allonger davantage, et ainsi à me présenter totalement sa croupe. Je m’approchai donc à pas de loup puis, m’étant enduit le sexe d’une bonne quantité de lubrifiant, je plaçai mon gland près de la rondelle de la jolie blonde que je pénétrai lentement, m’assurant à chaque instant de ne pas lui faire mal.
Une fois bien au fond, j’entamai sans attendre un mouvement de va-et-vient.
En sentant ma bite la pénétrer, Anaëlle se redressa le souffle court et la bouche grande ouverte. Bien plus tard, elle m’avoua qu’elle ne m’avait pas entendu arriver et qu’il lui avait fallu quelques instants pour comprendre qui était en train de l’enculer. Très vite cependant, Déborah la ramena à la réalité, en l’invitant sensuellement à reprendre son délicieux cunni, ce qu’elle fit sans se faire prier. Ainsi, pendant plusieurs minutes, accroché à sa jupe, je lui ramonai l’arrière-train, tandis qu’elle explorait méthodiquement le clitoris de son amante. Comme précédemment avec Nicole et Samia, sa langue s’introduisait un peu plus profondément dans les entrailles de la jolie brune à chacun de mes coups de reins, au plus grand plaisir de cette dernière qui enchaînait les orgasmes.
Au bout d’un moment, Déborah demanda à changer de place. Je me retirai donc de l’anus de ma partenaire, pour y retourner bien vite, après que les deux jeunes femmes se soient placées en 69. À genoux sur le lit, je repris mes mouvements, accompagné par les râles de plaisir de la belle blonde, partiellement étouffés par la chatte de sa partenaire. Bien vite, les deux amantes parvinrent à se donner du plaisir mutuellement, et commencèrent toutes deux à accumuler les jouissances. Pendant ce temps, je continuai mon labeur et, quelques instants plus tard, Anaëlle explosa en un puissant orgasme anal, qui l’obligea à interrompre son cunni pour reprendre son souffle.
Son amante ayant marqué une pause, Déborah en profita pour nous faire rouler sur le flan et quitta le lit pour aller fouiller dans sa valise. Pendant ce temps, en position cuillère et après avoir empoigné ses gros seins, je continuai à honorer mon amante, ayant juste ralenti le rythme pour lui laisser le temps de se remettre. De retour, Déby s’allongea devant la jolie blonde et lui fit admirer le gode qu’elle était partie chercher. Placé derrière, je ne pouvais voir le visage d’Anaëlle, mais je devinai le regard de gourmandise qu’elle devait arborer à la vue de l’engin, assez belle taille. Avec un grand sourire, la grande brune présenta l’objet devant la chatte de la jeune femme, avant de l’enfoncer tendrement et de la masturber consciencieusement d’une main experte. Les gestes étaient précis et trahissaient une grande maîtrise de l’objet et de la pratique.
Ainsi prise en double, Anaëlle se laissa complètement aller, et connut très vite une série d’orgasmes vaginaux de plus en plus intenses, qui se conclut au bout de quelques minutes par un double orgasme particulièrement intense, qui se manifesta par plusieurs secondes de convulsions impressionnantes et par un "oh oui putain !!!!!!" à peine audible.
A cet instant, commençant moi aussi à fatiguer et n’espérant plus tenir très longtemps, je demandai à la jolie blonde de se lever, de se débarrasser de sa jupe et de s’appuyer sur le mur. Comprenant mon intention, Déborah alla s’asseoir au sol entre Anaëlle et ledit mur, et tandis que je reprenais mon pilonnage cette fois-ci à un rythme plus élevé, ce fut au tour de la jolie brune d’exercer ses talents en matière de cunni. Pendant encore plusieurs minutes, transpirant à grosses gouttes, je parvins à marteler le cul de mon amante au bord de l’épuisement, mais lorsqu’elle explosa une nouvelle fois dans un double orgasme ravageur, je ne pus me retenir davantage et c’est en jet saccadé que je me répandis en elle, remplissant ses entrailles d’une quantité de sperme surprenante, compte tenu du nombre de fois où je m’étais vidé aujourd’hui.
Lorsque je me retirai, de grosses gouttes de foutre virent s’écraser sur les cuisses de Déby, qui m’aida à soutenir notre amante commune, pour éviter qu’elle ne s’écroule au sol.
Par la suite, elle m’aida à transporter Anaëlle jusqu’au lit, où elle s’allongea à plat ventre, complètement épuisée. Nous sommes restés là quelques instants en silence, à reprendre notre souffle, Déborah prenant cependant le temps de m’essuyer la bite avec sa langue. Lorsqu’elle put enfin marcher, Anaëlle se leva et vint nous rejoindre.
— Dis donc, toi, me dit-elle sur un ton de reproche, mais un sourire aux lèvres, ça te prend souvent d’enculer d’innocentes jeunes filles sans les prévenir ?— Les innocentes jeunes filles non, mais toi oui, lui répondis-je en rigolant.
Les deux jeunes femmes accueillirent ma réplique par un grand éclat de rire, avant de s’enlacer tendrement et de s’embrasser langoureusement. Nous nous sommes alors dirigés vers les douches, d’autant qu’Anaëlle avait recommencé à semer des petites gouttes blanches sur le sol. Après s’être rhabillée, elle embrassa une dernière fois son amante, tout en lui promettant de revenir avant la fin du week-end. En la voyant partir, je me rendis compte que nous étions jeudi soir et que dimanche matin, je dirais au revoir à tout ce beau monde et notamment à Mélanie. Il était à présent indispensable et urgent que je trouve une solution viable pour continuer à voir le plus régulièrement possible celle que je pouvais désormais appeler ma fiancée. Mais je chassai bien vite ces idées noires, il restait deux et demi et je comptais bien en profiter.
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