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Les actrices

Chapitre 13

Moteur, Action

Orgie / Partouze
Lorsque j’eus terminé de préparer mon sandwich, je m’installai lumière éteinte dans le coin lecture pour le déguster tranquillement, en m’assurant de ne pas faire tomber de miette. Il était 4h15 du matin, et je n’avais pas sommeil malgré les efforts que je venais de déployer avec Julie. Je connaissais la raison de cette insomnie, elle avait un joli nom : Mélanie. J’avais beau retourner le problème dans tous les sens, je me heurtais toujours aux mêmes problèmes : la gestion du gîte m’empêchait de m’absenter pour de longues périodes, et Mélanie était toujours en déplacement professionnel. Un week-end par-ci par-là serait jouable, mais insuffisant à long terme. Il allait falloir trouver une solution.
Tout à ma réflexion, je fus soudainement surpris en apercevant une ombre se faufiler discrètement vers la porte d’entrée. Maladroitement, je fis alors tomber le couteau à beurre que j’avais près de moi, ce qui arracha un cri de surprise à mon intrus, me permettant de reconnaître instantanément Gilles. Dans la faible lumière du jour naissant, je pus remarquer qu’il portait ses chaussures à la main, comme un ado essayant d’échapper au père de sa copine après avoir passé la nuit avec elle malgré l’interdiction. Remis de ses émotions, je l’invitai à me suivre dans la cuisine, afin de discuter plus facilement sans déranger personne.
Une fois dans son univers, Gilles commença à se préparer un petit en-cas assez copieux, ce qui me fit penser qu’il avait dû énormément se dépenser cette nuit. Immédiatement, la conversation s’engagea sur le devenir de nos relations respectives, mon ami ayant lui aussi retourné le problème dans tous les sens sans trouver de solution à long terme. Afin de lui changer les idées, je lui fis un résumé succinct de ma semaine, lui parlant de quelques-uns des fantasmes assouvis par ces jeunes femmes et de ce que j’avais appris à leur contact. J’insistai notamment sur leur capacité à distinguer sexe et sentiments, et surtout sur leur habitude de ne pas accorder leur confiance et leur amour à n’importe qui. Si Gilles avait eu ne serait-ce que l’ombre d’un doute sur les sentiments de Jade à son égard, j’espérais bien les avoir dissipés.
Gilles venait à peine de finir son casse-croûte lorsqu’un bruit distant se fit entendre, semblant venir de la piscine. En allant voir sur place, nous eûmes la surprise de trouver Coralie et Marianne dans l’eau jusqu’au cou et clairement sans le moindre vêtement. Se croyant seules à cette heure, elles furent surprises de nous voir et poussèrent un petit cri.
— Oh putain, vous nous avez fait peur ! s’écria Coralie.— L’orage nous a réveillés et impossible de se rendormir. On commençait à avoir froid, alors comme la piscine est chauffée...— Pas de soucis mesdemoiselles, on a juste été surpris. Je ne pensais pas trouver quelqu’un ici à 4h30 du mat’. — Désolé les gars. Ceci dit, je connais un moyen de nous faire pardonner, précisa Marianne, avec un regard très suggestif.
La jolie blonde sortit alors de l’eau, et d’une démarche chaloupée s’approcha de Gilles et moi. Arrivée devant nous, et avec une dextérité époustouflante, elle déboutonna simultanément nos deux chemises, avant de nous prodiguer quelques caresses particulièrement sensuelles. Ne la sachant pas ambidextre, je fus tout aussi surpris que Gilles par la manœuvre, ce qui me permit d’apprécier encore plus la situation. Décidément, ces jeunes femmes étaient pleines de surprises. Le dernier bouton enlevé, elle se mit lentement à genoux tout en nous fixant de ses grands yeux noirs en amande, et laissant ses mains descendre le long de notre torse. En ce qui me concernait, l’effet fut radical, et je fus pris d’une solide érection. Arrivée au niveau des ceintures, elle libéra nos verges avec la même maestria, et se retrouva avec deux pieux tendus à l’extrême devant le visage, qu’elle commença à masturber délicatement.
Très rapidement, Marianne passa à la double fellation. Nos braquemarts bien en mains, elle passait de l’un à l’autre, gobant le premier et léchant le deuxième, tout en continuant à les branler lentement. La sensation était absolument sublime, et le visage de Gilles reflétait le même état d’esprit. Pendant ce temps, Coralie était sortie de l’eau et était venue s’allonger sur un transat biplace. Dans cette position, elle commença à se masturber délicatement, tout en caressant ses seins et en faisant onduler son corps. La vision d’une des deux sœurs en train de se donner du plaisir pendant que la deuxième nous pompait était absolument jouissive, et je dus rester concentré pour ne pas achever trop vite cette partie de jambe en l’air qui ne faisait que commencer.
Au bout de quelques minutes de pur bonheur, je glissai la règle du jeu à l’oreille de Gilles, qui s’empressa de quitter la jolie blonde qui le suçait pour se précipiter vers sa jumelle. Il m’avoua plus tard que mon intervention l’avait sauvé d’une éjaculation trop rapide dans la bouche de notre pompeuse. Je le vis alors se mettre à genoux entre les jambes de la jeune femme, puis commencer un cunnilingus accompagné de tendres caresses. A en croire les petits cris qu’elle se mit à pousser, Coralie semblait fort apprécier l’initiative. De mon côté, j’invitai ma partenaire à se relever, puis je l’entraînai vers un deuxième transat proche de celui de sa sœur, où je lui demandai de s’allonger à plat ventre.
Là, après lui avoir badigeonné le postérieur de lubrifiant, je lui introduisis un puis deux doigts dans la rondelle, et tandis que Coralie connaissait un premier orgasme sous les assauts de son partenaire, je commençai à masser l’anus de Marianne, afin de la préparer à la suite du programme.
Lorsque l’objectif fut atteint, je vins me placer au-dessus de ma partenaire, la bite à la verticale de sa rondelle. Profitant de mon poids, je m’enfonçai alors doucement au plus profond de la jolie blonde, lui arrachant un long cri de plaisir. Une fois en place, j’entamai de lents, mais amples allers-retours, ma position surélevée me permettant, à chaque mouvement, une exploration bien en profondeur des entrailles de la jolie blonde. Très vite, elle glissa une main sous elle pour se masturber, tout en haletant en cadence, de plus en plus fort au fur et à mesure de l’amplification de mes coups de boutoir. Habituée à se faire prendre par-derrière, et aidée par cette quasi double pénétration, elle ne fut pas longue à connaître un premier orgasme, qu’elle manifesta par un long sourire de jouissance. Sans même ralentir le rythme, je continuai mes va-et-vient en elle, venant à chaque fois claquer mes cuisses contre ses fesses, dans une chorégraphie lubrique qui dura quelques minutes.
Lorsqu’un deuxième orgasme ravageur vint foudroyer Marianne, celle-ci me demanda une petite pause que je lui accordai bien volontiers.
Pendant ce temps, Gilles ayant fait jouir Coralie une deuxième fois au cours de son cunnilingus d’anthologie, je le vis passer aux choses sérieuses. Agenouillé au pied du transat, il fit glisser son amante jusqu’à lui, plaçant ses chevilles sur ses épaules. Empoignant alors fermement les jambes de la demoiselle, il l’enfila d’un coup sec et commença sans attendre ses mouvements de piston à un rythme soutenu, claquant ses cuisses contre les siennes à chaque aller-retour. Coralie rejeta sa tête en arrière et accompagna les coups de boutoir de son amant en haletant en cadence, et en se caressant frénétiquement les seins. A ce rythme, elle connut rapidement un premier orgasme, puis un second, et ainsi de suite jusqu’à être littéralement terrassé par une jouissance si intense que son corps fut parcouru de spasmes violents, l’obligeant à s’accrocher de son mieux à son lit de fortune.
Son amante ayant elle aussi besoin d’une petite pause, Gille me demanda d’un regard s’il était possible d’inverser nos partenaires. Etant d’accord, je rejoignis Coralie sur son transat, tandis que mon camarade renouvela sa performance avec sa sœur, dans la même position que précédemment, mais en changeant d’orifice. Une fois en place dans le cul de sa partenaire, Gilles commença sans attendre ses allers-retours, à un rythme lent, mais puissant, s’évertuant à explorer profondément les entrailles de Marianne à chaque mouvement, claquant ses cuisses contre celles de sa partenaire à chaque coup de boutoir. De mon côté, je plaçai mon amante sur le flan, une main sous la nuque pour venir lui caresser les seins, et tandis que je lui mordillais le lobe de l’oreille, je la pénétrai à un bon rythme en cuillère, tout en lui titillant le clitoris de ma main libre, déclenchant instantanément des râles de jouissance, qui se transformèrent bien vite en orgasmes à répétition.
Ainsi prise, les deux sœurs montèrent très vite en température, transpirant à grosses gouttes, enchaînant les jouissances jusqu’à se faire clouer, simultanément, une nouvelle fois sur place par un orgasme ravageur, déclenchant chez les deux jeunes femmes une série de spasmes qu’aucune des deux n’essaya de contrôler.
Afin de laisser une nouvelle fois les deux belles blondes se remettre de nos assauts, je quittai la chatte accueillante de Coralie et j’invitai Gilles et Marianne à nous rejoindre, changeant une dernière fois de partenaire au passage. Je demandai ensuite aux deux jeunes femmes de se placer côte à côte, mais tête-bêche, à quatre pattes sur le transat. Mon camarade vint alors se placer derrière Coralie qu’il prit rapidement en levrette, tandis que, placé derrière Marianne, je la saisis par les hanches et j’entrepris de l’enculer. De concert, nous avons alors commencé à percuter l’arrière-train de nos amantes respectives, vivement encouragées par ses dernières à y aller fermement. Pendant plusieurs minutes, nous avons ainsi soumis les deux jeunes femmes à de puissants coups de reins, les obligeant régulièrement à s’affaler sur le transat, et multipliant chez elles orgasmes et jouissances. Nous étions tous les quatre en nage, transpirant abondamment, et au bord de l’épuisement.
Lorsque, croisant le regard de Gilles, je compris qu’il était sur le point de venir, je quittai le cul de ma partenaire, pour venir me masturber devant le visage de Coralie, qui goba alors mon braquemart afin d’accueillir ma semence dans sa bouche. Gilles en fit de même avec Marianne, et c’est en longs jets que, quelques secondes plus tard, nous avons rempli la gorge de nos amantes.
— Voilà mesdemoiselles, vous ne devez plus avoir froid, je pense, dis-je en reprenant mon souffle.— Et j’adore votre façon de vous faire pardonner, précisa Gilles.— A votre service, et merci à vous, commenta Marianne, laissant ainsi le sperme qu’elle avait en bouche se répandre sur sa poitrine, que Coralie s’empressa de lécher.
Les deux jeunes femmes se levèrent alors pour aller se doucher, tandis que Gilles rentra chez lui se changer avant de prendre son service. Il était cinq heures du matin et je réalisai soudain que, en trois heures de temps, j’avais baisé ou enculé trois créatures de rêve, dans deux lieux différents. Décidément, ces jeunes femmes m’auront fait voir la vie sous un autre angle. Tout à mes réflexions, je retournai dans la chambre de Mélanie, avant de me coucher silencieusement à ses côtés et de m’endormir comme une masse.
Cette fin de nuit fut le théâtre d’un rêve particulièrement érotique. J’étais dans une pièce remplie de jeunes femmes superbes, certaines connues comme Pamela Anderson vêtue de son célèbre maillot rouge, ou inconnues comme cette cliente il y a quelques mois dont l’énorme poitrine m’avait fait halluciner, que je baisais ou enculais au gré de mes envies. Soudain, Mélanie entra, les chassa toutes, me fit m’allonger sur le dos avant de venir s’enfiler sur mon gourdin. Un large sourire aux lèvres, les mains posées sur ma poitrine, elle montait et descendait lentement, s’assurant à chaque mouvement de bien profiter de toute la longueur de ma verge. Les sensations étaient si magiques et si réalistes que je finis par me réveiller... pour constater que ce n’était pas un rêve ! Ma jolie brune avait, à son réveil, profité d’une érection nocturne de ma part pour venir s’embrocher dessus et se donner du plaisir.
— Bonjour mon chéri, bien dormi ? me demanda-t-il innocemment, tout en continuant ses mouvements.— Très bien, mon amour, mais le réveil est encore meilleur !— Chacun son tour...
Mélanie se pencha pour m’embrasser, avant de se redresser puis d’accélérer le rythme, s’empalant littéralement à chaque mouvement. J’ignorai depuis quand elle était ainsi, mais dès qu’elle passa à la vitesse supérieure, elle fut prise d’un orgasme, qu’elle manifesta en rejetant sa tête en arrière, mouvement qu’elle accompagna d’un "ouiiiiiii" langoureux. Elle n’interrompit pas ses coups de reins pour autant, et tandis que je lui caressais cuisses et poitrines, elle amplifia entre ses mouvements, déclenchant deux ou trois autres orgasmes, le dernier la couchant littéralement sur moi.
Afin de la laisser se remettre, je la fis rouler sur le côté et vins me placer derrière elle. Je repris alors la position que j’avais adoptée pour Coralie, avec pour résultat le même succès que précédemment. Prise en cuillère et clitoris stimulé, ma douce amante fut particulièrement excitée par cette double, et, haletant de plaisir, recommença très rapidement à enchaîner les jouissances. Souhaitant faire durer le plaisir le plus longtemps possible, je partis d’un rythme lent en ample que j’accélérais progressivement, pour la plus grande joie de mon amante qui ondulait de plaisir, au rythme des orgasmes qui la parcouraient, provoquant chez elle spasmes et frissons. Au bout de quelques minutes, la vitesse des coups de boutoir était devenue assez grande pour provoquer chez nous vague de chaleur et transpiration. Ne pouvant tenir indéfiniment, surtout après mes exploits de la nuit, j’annonçai à ma chérie que je n’allais pas tarder à venir.
Pour toute réponse, elle m’attrapa la hanche et vint plaquer ses fesses contre moi. Comprenant le message, c’est en jet saccadé que je vins me répandre en elle, tout en embrassant tendrement ses épaules.
— Alors, ma surprise t’a plu ? demanda-t-elle avec un grand sourire, après avoir roulé sur le ventre.— Sublime. Je vais avoir du mal à relever le niveau. Ceci dit, j’ai peut-être une idée.
Je lui racontai alors ma nuit d’anthologie, m’amusant de son regard d’excitation à chaque fois que j’évoquais un détail croustillant, lui promettant de tenter si possible le même genre d’expérience "religieuse" avec elle. Elle approuva d’un sourire, avant de se lever et d’aller se doucher, douche au cours de laquelle je la remerciai d’un tendre cunnilingus qu’elle apprécia fortement. Une fois prêts, nous sommes descendus pour le petit-déjeuner.
A 8H30 du matin, tout le monde était là, y compris Julie et les frangines malgré leur nuit mouvementée. Seul Séb semblait soucieux. Quelque chose le tracassait, mais il faisait des efforts pour ne rien laisser paraître. Le repas terminé, il profita de me croiser dans la cuisine pour me parler.
— Dis voir, j’aurais plusieurs trucs à te demander, si t’as un moment.— Oui, vas-y.— Voilà. Déjà pour commencer, on aura de la visite demain soir, la prod nous envoie 4 personnes dont peut-être le patron. — Peut-être ?— Pour te la faire courte, la boîte a été fondée il y a 50 ans par un gars qu’on surnomme Papy, qui à l’époque faisait tout avec sa femme, y compris acteur et actrice. Aujourd’hui, il embauche cinquante filles, réparties en cinq équipes comme la nôtre, quatre sur le terrain de gîte en gîte pendant quatre semaines et une au repos pendant une semaine. Nous, on était de repos la semaine dernière. Du coup, depuis quinze ans maintenant, Papy ne s’occupe plus que de gérer la boîte et laisse la création à des types comme moi, envoyant juste des administrateurs en fin de semaine pour voir comment ça s’est passé. Malheureusement, il a perdu sa femme il y a cinq ans, et pour ne pas sombrer dans la tristesse et continuer à voir du monde, il a pris l’habitude de venir lui aussi. Le problème c’est qu’il y a actuellement 4 équipes en tournage, et vu qu’il se décide au dernier moment...— Ce n’est pas méchant, il reste des chambres si nécessaire. Il suffira d’un avenant au contrat pour être en règle.— Très bien. Sinon, on fait appel à un traiteur quand on peut pour le samedi soir. Jade m’a parlé de ton ami restaurateur. Il fait les repas à domicile aussi ?— Plus ou moins. Disons qu’il peut soit livrer les plats tout faits à l’heure demandée soit livrer en avance à charge de réchauffer. Cependant, il préfère la deuxième option, il peut plus facilement s’organiser. — Ça ira. Ta cuisine est bien équipée et connaissant Samia, ça ne la dérangera pas de s’en occuper.— Je lui demande de prévoir pour 20 du coup ?— Oui, ce sera bien. Pour finir, il va me manquer un acteur ce matin, ça te branche de le remplacer ?
Sa question me surprit tellement que je fus incapable de répondre. Ma réaction fit rire Séb qui précisa :
— Je devais avoir trois acteurs ce matin et un quatrième cet après-midi, mais je viens d’apprendre que ceux du matin seront en retard parce que l’un d’entre eux s’est bourré la gueule hier soir. Résultat, il est malade et les deux autres ont dû partir sans lui. Et bien sûr, pile le jour où j’ai une scène à trois acteurs. Je pourrais demander à Julien, Nico ou Fred, mais j’ai besoin d’eux.— Je veux bien t’aider, surtout pour ça, mais je ne te cache pas qu’une apparition comme acteur porno n’est pas forcement génial pour les affaires. En plus, c’est un métier, je n’ai pas les techniques. Comment être sûr que je pourrais bander assez longtemps par exemple ?— Pour l’apparition, ne t’en fais pas, selon le scénario, les acteurs seront masqués pour cette scène. Pour le deuxième point, tu peux demander des astuces aux actrices avec qui tu vas tourner, il s’agit de Mélanie et Jade. Ça devrait t’aider.
Ce dernier argument acheva de me convaincre. De plus, la perspective de ne pas être reconnu par de potentiels futurs clients me plaisait bien. J’acceptai donc, ce qui sembla lui ôter un poids. Je le suivis alors dans la chambre qu’il occupait avec Nicole, et me tendis quelques feuillets tenant lieu de scénario. Au moins, je n’aurais pas grand-chose à apprendre. Et comme me l’avait précisé Déborah après l’avoir enculée dans le sauna, le jeu d’acteur compte peu dans le porno. Il me remit également un petit flacon contenant quelques pilules étranges, avec pour consigne de demander à une actrice comment les utiliser. Je me mis donc en quête de Mélanie, afin de lui résumer tout ce qu’il venait de se passer.
Je la trouvai près du salon de jardin, en compagnie de Jade et Bouchra, terminant d’éponger et de remettre le mobilier en état, l’orage de cette nuit l’ayant quelque peu malmené. En apprenant la nouvelle, les jeunes femmes furent ravies, et s’amusèrent de mes craintes.
— Ce sont des stimulants pour mec, précisa Bouchra en regardant le flacon. C’est Fred qui les récupère on ne sait où. Il a tellement bourlingué avant d’arriver ici qu’il a des copains à travers la moitié de la planète. Ce sont juste des plantes et des compléments alimentaires, il est assez porté sur les produits naturels. Ça ne fait pas de miracle, si t’es en panne, t’es en panne. Par contre, quand t’es en forme, ça aide à durer. Le vrai souci est ailleurs : t’as déjà baisé comme un hardeur ?— Euh...— J’en étais sûr. Viens.
Bouchra laissa là sa serpillière, m’attrapa par le bras et m’entraîna à l’écart derrière une haie, suivie de Mélanie et Jade hilares.
— Le tournage a lieu dans une heure. Tu vas avaler deux ou trois cachets maintenant, ça agira à ce moment-là. Dans l’immédiat, tu vas me péter le cul porno style, Mélanie et Jade corrigeront au fur et à mesure. Et j’ai bien dit "me péter le cul", pas "me faire l’amour".
A cet instant, je ne savais plus trop où j’en étais, la situation étant par trop surréaliste. Heureusement, Mélanie s’approcha de moi, m’enlaça tendrement avant de m’embrasser langoureusement. Je repris mes esprits et j’avalai trois pastilles, au goût plus que prononcé !!! Ma grimace fit sourire Jade, tandis que Mélanie me donna une petite tape sur les fesses en me précisant que les règles d’or étaient l’exagération en toute circonstance ainsi qu’un bon angle de vision sur tout. Pendant ce temps, Bouchra, appuyée sur un arbre, avait dégrafé son chemisier, libérant son opulente poitrine qu’elle caressait sensuellement. Très vite, elle déboutonna son short, glissa une main à l’intérieur et commença à se masturber. Immédiatement, elle plissa les yeux, entrouvrit la bouche et commença à se tortiller sur place, tout en gémissant de façon outrancière. L’effet fut cependant là, et je commençai à bander.
D’un regard, Mélanie me demanda de m’approcher. Je me plaçai donc à genoux devant Bouchra, faisant tomber son short et son string au sol, avant de saisir les hanches de la demoiselle et de commencer un cunnilingus. Aussitôt, Jade me demanda de retirer une de mes mains, permettant ainsi à la jolie Maghrébine de placer une de ses jambes sur mon épaule, avant de me demander de saisir la cuisse ainsi relevée. Bien qu’acrobatique, la position m’amusa et je repris sans tarder mon exploration buccale. Comme prévu, ma partenaire se mit à gémir à l’excès, ondulant plus que de raison et appuyant régulièrement sur l’arrière de ma tête. Jade me suggéra d’utiliser aussi mes doigts, ce que je fis sans difficulté. L’alternai ainsi cunni et masturbation pendant quelques minutes, parvenant malgré tout à déclencher un orgasme chez ma partenaire.
Le léchage de chatte terminée, Mélanie me demanda de me déshabiller et d’échanger ma place avec Bouchra. Aussitôt, elle commença à me sucer, mais de manière bien plus appuyée et ample que d’habitude, ne déclenchant pas les sensations auxquelles j’étais habitué. Malgré tout, le moment était plaisant et je ne boudais pas mon plaisir. Cette pipe dura à peine une ou deux minutes, avant que mon amante ne se relève, ne m’attrape par la bite et ne m’entraîne vers une souche voisine. Elle s’y positionna un pied au sol un pied sur la souche, puis présenta mon braquemart devant sa fente, avant de se pencher en avant. Ayant compris que la délicatesse n’était pas de mise ici, j’empoignai ses hanches et m’introduisis sans ménagement, avant de commencer de larges et puissants mouvements de piston, qui m’amenaient à chaque mouvement à claquer assez bruyamment mes cuisses sur celle de la jeune femme, faisant danser ses énormes seins au passage.
Bien entendu, la jeune femme se mit à pousser d’intenses râles de jouissance comme si elle prenait le pied du siècle, mais elle parvint malgré tout à avoir un véritable orgasme pendant les quelques minutes que dura cet éclatage de chatte en règle.
Au bout de quelques minutes, Mélanie me fit signe de m’allonger au sol directement sur l’herbe. Sans attendre, Bouchra vint s’asseoir sur ma verge, et commença avec force ses montées et descentes, s’empalant littéralement dessus à chaque fois et accompagnant encore une fois le tout de puissants cris de plaisir. Fortement penchée en arrière et les mains sur mes cuisses, j’imaginai les douleurs que l’ampleur des mouvements devait occasionner au niveau des reins, j’en avais mal pour elle. Aussi je l’invitai rapidement à se relever avant de l’entraîner de nouveau vers l’arbre. Bien que j’aurais aimé la prendre par-derrière, Jade me prit de court en me demandant de la plaquer contre l’arbre, de soulever une de ses jambes et de la prendre ainsi de face, les yeux dans les yeux. La position n’était pas du tout agréable, ni pour elle ni pour moi, principalement à cause de notre grande différence de stature.
J’entrepris cependant de la poinçonner assez vivement, dans de larges mouvements qui me firent quitter sa grotte d’amour plus d’une fois. Profitant d’une de ces sorties, mon amante pivota rapidement sur elle-même, et c’est en levrette debout que, quelques minutes et un orgasme de Bouchra plus tard, je finis mon entraînement d’acteur porno, en déchargeant mon foutre sur le visage de ma partenaire, à genoux devant moi, bouche grande ouverte et langue tirée.
— Tu ne t’en tires pas trop mal, commenta Bouchra en s’essuyant le visage. J’ai même pu jouir deux ou trois fois. Ça devrait le faire pour une scène, d’autant que Séb est plutôt sympa comme metteur en scène. Il faudra juste que tu penses à pousser quelques beuglements bestiaux et ce sera bien.
Sa dernière remarque me fit sourire, tandis que Jade et Mélanie approuvèrent les commentaires de leur amie. Il restait 45 minutes avant le vrai tournage, j’en profitai pour voir le scénario avec mes futures partenaires de scène, secondé par Bouchra en qualité de conseillère technique. Je serai donc un cambrioleur qui, avec deux comparses, visite une maison isolée. Surpris par Jade en maîtresse de maison, celle-ci nous propose une bonne partouze en échange de notre départ. Or, pendant la partie de jambe en l’air, Mélanie sa meilleure amie arrive à l’improviste et nous rejoint dans la chevauché.
Les positions prévues étaient dans l’ordre : pipes simultanées ; levrette en série avec pipes pour les autres se terminant pour le dernier par une sodomie ; départ vers la chambre, suivi par d’autres sodomies en levrette, en cavalière puis cavalière inversée, toujours accompagnée de pipes ; double pénétration tournante avec pipe ; intervention de Mélanie directement en levrette ; orgie improvisée terminée par une éjaculation anale pour les actrices ainsi qu’une faciale pour le troisième larron. Sacré programme !
Pendant un bon quart d’heure, les trois jeunes femmes me donnèrent pour chaque position plusieurs conseils, que je promis de suivre à la lettre. De plus, j’appris que mes compagnons de tournage étaient de gentils garçons prévenants, et qu’avec eux, ça se passait toujours bien. J’étais donc rassuré lorsque Nicole vint nous prévenir de leur arrivée. Je fis ainsi la connaissance de Mathieu et Tiago, deux gaillards souriants bien bâtis de près de 1m80. Et tandis que Jade et Mélanie partirent se préparer et que l’équipe technique se mettait en place, je pris un café avec les deux jeunes hommes qui me donnèrent à leur tour de précieux conseils. Lorsque Julien vint nous annoncer que tout était en place, je me sentis prêt.
Le tournage commença par une scène extérieure puis intérieure, montrant Mélanie arrivant chez son amie, se laissant guider par les cris de jouissance avant de la surprendre en pleine partouze. Dans le même temps, une autre scène dans la salle de bain se tournait, dans laquelle Jade se préparait juste après sa douche. Les deux rushs seraient ajoutés plus tard au montage. L’action terminée, les caméras se replacèrent, et Séb nous demanda d’enfiler nos cagoules de mauvais garçons. Et lorsque j’entendis les fameux "Moteur. Action", j’eus presque un frisson de plaisir. J’emboîtai alors le pas de mes comparses et j’enfilai mon costume virtuel de cambrioleur.
Comme dans un mauvais film, nous nous sommes approchés silencieusement du bâtiment, dont Tiago ouvrit la porte. Sur la pointe des pieds, nous commençâmes alors à fouiller partout, à la recherche de quelques choses de valeurs. Au bout de quelques instants, nous fûmes donc "surpris" par Jade, qui apparut dans le salon uniquement vêtue d’un string, porte-jarretelles et soutien-gorge rouge en dentelles ultra-sexy.
— Oh mon Dieu des cambrioleurs, s’exclama-t-elle dans un cri outrancier et un jeu volontairement exagéré. Ne me faites pas de mal.— S’il vous plaît Madame, ne criez pas ! demanda Mathieu. On ne cassera rien promis.— Allons jeunes gens, vous êtes sûr de vouloir me voler ? Si vous promettez de ne toucher à rien, je vous serai très reconnaissante.
Pour appuyer son discours, Jade commença à se caresser, avant de glisser une main dans son string et de se masturber. Ses gestes étaient accompagnés de mimiques de jouissance, yeux mi-clos et bouche entrouverte, ainsi que de petits soupirs de plaisir. Bien vite, nous nous sommes regroupés autour d’elle, ce qui lui permit de caresser nos bites déjà bien dures au travers des survêtements que nous portions tous les trois. Je fus d’ailleurs assez surpris de bander aussi dur juste après mon entraînement, les pilules du docteur Fred étaient efficaces. Jade se mit alors à genoux et libéra nos braquemarts qui bondirent juste devant son nez comme des ressorts. La première scène pouvait à présent débuter.
Comme prévu, la belle Asiatique commença à nous masturber et à nous sucer à tour de rôle, avec toute sa virtuosité habituelle, mais accompagnée d’un peu plus de rudesse. Malgré tout, l’instant était divin, et mes deux compagnons semblaient eux aussi apprécier le moment. La bouche de la jeune femme passait d’une bite à l’autre, en gobant une, en léchant une autre, tandis que nous lui caressions tendrement les cheveux. Quelques minutes plus tard, suivant le scénario, Tiago l’aida à se redresser puis à se pencher en avant. Il écarta alors le string et commença un tendre cunnilingus imprévu, tandis que la jeune femme reprit ses fellations avec Matthieu et moi. Notre amante sembla fortement apprécier l’initiative du jeune homme, et connut ainsi un premier orgasme qui l’obligea à stopper momentanément ses fellations. Ayant atteint son but, Tiago se releva, abandonna ses vêtements avant de s’accrocher aux hanches de Jade, de l’enfiler jusqu’à la garde et de commencer à la pistonner.
Cette introduction arracha un cri à la jeune femme, qui retrouva bien vite son professionnalisme et synchronisa ses pipes sur les coups de boutoir de son amant. Séb semblait satisfait de ce début de prestation, ainsi que son actrice qui connut rapidement un deuxième orgasme.
Cette jouissance passée, Mathieu relaya son camarade et reprit les mêmes mouvements, tandis que Tiago revint se faire sucer. Les mêmes causes produisant les mêmes conséquences, les allers-retours du jeune home dans le vagin de la belle Asiatique lui déclenchèrent un nouvel orgasme qu’elle manifesta cette fois-ci par un profond soupir de satisfaction. Son amant continua encore un peu son pilonnage, avant d’inverser sa place avec moi et de me laisser ainsi la charge d’enculer notre amante en premier. Une fois en place, j’adoptai le même rythme que mes comparses ainsi que de larges mouvements, appliquant à la lettre les conseils reçus précédemment. Soudain, je vis Nicole, employée ici en qualité de réalisatrice assistante, brandir un écriteau où était écrit "Commence à la préparer". Comprenant le message, j’écartai doucement les fesses de mon amante tout en continuant à la pilonner, et j’entrepris de lui titiller l’anus, y introduisant régulièrement un doigt, voire un deux.
Lorsqu’un troisième orgasme fit frissonner la jeune femme de plaisir, je vis Séb me faire signe du pouce que c’était bon.
Quittant alors l’accueillant vagin de Jade, je plaçai ma verge juste devant sa rondelle, et d’un coup sec, je m’y introduisis, espérant que mon massage anal avait été suffisant. Visiblement, c’était le cas, car bien que la jeune femme accueillit ma bite en poussant un cri et en se redressant légèrement, elle reprit bien vite ses fellations tandis que je commençai mes va-et-vient dans ses entrailles, bien amples et bien profonds comme on me l’avait appris. Néanmoins, je m’appliquai à être suffisamment tendre dans mes mouvements pour que la jolie brune y trouve son plaisir, et pendant les deux minutes que dura cette sodomie, les ondulations du bassin de ma partenaire me firent comprendre que le but était atteint. Lorsque Séb nous fit signe, c’est un grand sourire aux lèvres que Jade se redressa et nous entraîna vers une chambre.
Arrivée devant le lit, notre amante se débarrassa de son string et de son soutien-gorge, et força Tiago à s’allonger. A cheval face à lui, elle enfonça lentement sa bite dans son cul et commença à monter et descendre dessus, tandis que Mathieu et moi, cette fois à tour de rôle, montions sur la couverture pour nous faire sucer. La position plus confortable que précédemment permit à la jeune femme de se faire plus fougueuse, faisant alors grimper la température. Rapidement, mes deux compagnons inversèrent leur position, notre partenaire se plaçant alors dos à son enculeur, conformément au scénario. Au bout de quelques instants, l’intensification de la scène permit à la belle Asiatique de connaître un orgasme anal, qui lui coupa partiellement le souffle. Lorsqu’elle reprit ses esprits et ses mouvements, je pris l’initiative de venir plaquer ma bouche contre son clitoris pour un nouveau cunni, pour la plus grande joie de la jeune femme, et avec la probation de Séb.
Cette action imprévue décuplant ses sensations, Jade sembla oublier qu’elle était en plein tournage et se mit à haleter de plaisir jusqu’à connaître un double orgasme ravageur qui la fit trembler comme une feuille.
Afin de laisser l’actrice se remettre un peu, Séb nous demanda d’enchaîner l’action. Mathieu et moi avons donc laissé la jeune femme s’allonger sur le lit, tandis que je me plaçai à côté d’elle sur le dos, la verge dressée au plafond. Ayant repris ses esprits, Jade vint s’asseoir sur moi, introduisant mon engin dans son vagin, Tiago se plaçant derrière elle pour la sodomiser une nouvelle fois. Ainsi doublement pénétrée, la jeune femme reprit instantanément sa chevauchée endiablée, ne s’accordant que quelques secondes de répit pour accueillir une nouvelle fois la bite de Mathieu dans la bouche. Prise par tous les orifices et caressée par six mains, la cadence et le volume sonore allèrent crescendo, tout le monde ayant pratiquement oublié la présence des caméras. Dans cette danse infernale qui permit à notre amante de connaître un nombre incalculable d’orgasmes, nous étions tous en nage, à tel point que j’en arrivai à me demander si nous pourrions finir la scène.
— Ah ben on se fait pas chier ici, on sait se faire plaisir, s’écria soudain Mélanie qui venait de faire son apparition.— Putain c’est trop bon, hurla Jade malgré la bite de Mathieu dans la bouche. Reste pas là, viens !
En quelques secondes, Mélanie était nue et à quatre pattes sur le lit en train de pomper Mathieu et de se masturber. Tiago quitta le cul de sa partenaire et vint se planter sans attendre dans celui de ma chérie, s’y introduisant avec une facilité déconcertante. Elle m’apprit plus tard qu’elle s’était préparée en coulisse à l’aide d’un plug anal. Jade pour moi tout seul, et n’ayant pas de consignes particulières, je la fis rouler sur le côté, et sans attendre, je l’enculai en cuillère, Séb approuvant la manoeuvre d’un signe de tête. Chauffé à blanc, je percutais sans ménagement les fesses de ma partenaire, tandis que quelques instants plus tard, Tiago et Mathieu prenaient Mélanie en double juste à côté de nous, Mathieu prenant la place de son camarade dans le cul de la jeune femme. La pièce était saturée de bruits en tout genre, claquement de cuisses contre cuisses et de mains contre fesses, grognements bestiaux, cri de jouissance...
Je fis jouir ma partenaire une nouvelle fois, mes deux acolytes parvenant quant à eux à provoquer au moins deux doubles orgasmes chez ma chérie, dont le visage rayonnant de bonheur était un plaisir à voir.
Un nouveau panneau d’information nous demandant un dernier changement, Mathieu et moi inversâmes nos places, Jade en profitant pour se remettre à quatre pattes et Tiago se retirant temporairement. Dans un dernier effort, jetant nos dernières forces dans la bataille, nous avons sodomisé nos partenaires respectives bien en profondeur, jusqu’à déclencher chez elle un dernier orgasme simultané, qui nous fut fatal à l’un comme à l’autre. Comme prévu, nous nous sommes alors répandus dans les entrailles des deux jeunes femmes, Tiago terminant de se masturber juste devant leur visage, les inondant de foutre chaud. Quittant l’anus de nos partenaires qui se laissèrent glisser sur le ventre, nous leur avons alors présenté nos trois bites devant le nez, qu’elles nettoyèrent délicatement avec leur langue, un grand sourire aux lèvres.
— Dites Madame, à ce tarif-là, on peut revenir vous cambrioler demain ? demanda Tiago.— Non, venez plutôt cambrioler chez moi, précisa Mélanie. Vous verrez, il y a de véritables joyaux à découvrir.
Un "Coupez, elle est bonne" retentissant fit résonner la pièce. Séb semblait satisfait et Julien apporta aux jeunes femmes de quoi se débarbouiller. J’ôtai mon masque et j’aidai Mélanie à se redresser et tout en l’embrassant tendrement, elle me félicita pour mes talents d’acteur. Il ne me restait certes que deux jours à vivre avec toute cette bande, mais mon petit doigt me disait que ce ne serait pas les deux jours les moins calmes du séjour.
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