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Les actrices

Chapitre 14

Soins particuliers

Avec plusieurs hommes
Le tournage venait à peine de se terminer que Séb demanda à toute l’équipe de replacer rapidement le matériel près de la piscine, afin d’enchainer la scène suivante. L’arrivée tardive des acteurs l’avait mis en retard, et il essayait de corriger le tir. De ce fait, Mathieu et Tiago filèrent prendre une douche sommaire, tandis que Julie et Chloé firent rapidement leur apparition, vêtues d’un bikini string jaune ultra sexy pour la première et d’un maillot une pièce bleu profondément échancré pour la deuxième, avant de s’engouffrer à la suite des techniciens. Restés seuls, Jade, Mélanie et moi allâmes nous doucher à notre tour, les jeunes femmes s’évertuant à ne pas semer de gouttes de sperme sur le trajet.Arrivés dans la salle de bain, je laissai mes deux comparses se précipiter sous la douche, tandis que je préparais peignoirs et serviettes. Lorsque le tout fut en place, je rejoignis rapidement mes deux partenaires de scène. Les carrés de douche avaient beau être assez grands, ils restaient cependant étroits pour trois personnes. Je me faufilai donc lentement pour me trouver une place, profitant de la situation pour caresser délicatement ma douce Mélanie, et laissant de temps en temps ma main s’égarer sur les cuisses de Jade. Profondément émoustillés par la scène que nous venions de tourner et sous un jet d’eau chaude, la température ne fut pas longue à monter.La réaction des deux actrices ne se fit d’ailleurs pas attendre. Après avoir baissé le jet d’eau, Jade vint doucement plaquer sa poitrine contre mon dos tout en me caressant sensuellement, tandis que Mélanie se plaça face à moi, et commença avec un grand sourire à me masser la verge. Les pilules du bon docteur Fred faisant encore effet, je retrouvai rapidement toute ma vigueur, permettant à ma chérie de passer du massage à la masturbation, sa complice venant régulièrement s’occuper de mes testicules. De mon côté, au prix de quelques contorsions, je parvins placer mes mains à la hauteur de leur intimité, commençant sans attendre à leur caresser le clitoris et à leur introduire un ou deux doigts, pour leur plus grand bonheur. Pendant quelques minutes, nous sommes restés ainsi tous les trois à nous faire du bien, les deux jeunes femmes parvenant à déclencher un orgasme, tandis que je luttais pour ne pas venir dans la main de Mélanie.Lorsque ma sublime branleuse lâcha mon braquemart, ce fut pour se retourner face au mur reins cambrés, sa camarade de jeu venant se glisser à ses côtés, face à moi. Aussitôt, les deux jeunes femmes commencèrent à se doigter, tout en délicatesse et en sensualité. Dans la vapeur chaude de la douche, le spectacle de ses deux beautés se donnant du plaisir avait quelque chose d’irréel et de terriblement excitant, l’eau n’était ici encore pas la seule responsable de l’augmentation de la température. N’y tenant plus, j’empoignai Mélanie par les hanches, et je lui enfonçai d’un seul coup ma verge entre les fesses, le terrain ayant été préparé par les sodomies du tournage. Elle accueillit l’engin par un long soupir, rejetant la tête en arrière et la bouche grande ouverte. J’entamai alors mes aller-retours dans sa rondelle, d’abord lentement puis, sur les injonctions de la jeune femme, de plus en plus rapidement. Jade se colla alors à sa complice, et tandis qu’elle la caressait d’une main, elle continua son doigtage de l’autre, le tout avec une tendresse et une sensualité des plus envoutantes.
Ainsi prise en double, ma chérie se laissa instantanément aller à ses sensations. Accueillant ma verge avec délectation, elle haletait au rythme de mes pénétrations, chaque coup de boutoir faisant rebondir les gouttes d’eau de la douche sur ses fesses. La belle asiatique explorait méthodiquement les entrailles de son amie, pinçant délicatement de temps en temps son clitoris du bout des doigts, provoquant ainsi des spasmes et de petits cris de plaisir chez notre amante. Rapidement, Mélanie commença à enchainer les orgasmes, chacun plus intense que le précédent, jusqu’à connaitre un double orgasme qui la fit trembler de tous ses membres, la faisant alors lâcher prise sur la faïence trempée, ne se rattrapant qu’in extremis en se plaquant contre le mur.
Afin d’éviter que ceci ne se reproduise, Jade s’allongea au sol, le dos directement dans l’eau de la douche et les jambes repliées pour ne pas dépasser à l’extérieur, puis invita Mélanie à s’étendre tête-bêche sur elle. Et tandis que les deux actrices entamaient un 69 des plus troublants, je repris ma sodomie là où je l’avais arrêtée, reprenant le rythme soutenu que j’avais précédemment. Les deux jeunes femmes maîtrisant à la perfection le sexe buccal, elles ne furent pas longues à connaître plusieurs orgasmes. De mon côté, dans une position acrobatique et dans la chaleur et la vapeur étouffante de la douche, je pilonnais vigoureusement l’arrière-train de ma partenaire, m’assurant à chaque mouvement d’explorer au mieux ses entrailles. Accroché aux hanches de la jeune femme mais peu habitué à baiser sous une douche, je manquai à plusieurs reprises de glisser et de m’écrouler sur mes deux amantes. Je parvins tout de même après plusieurs minutes de chevauché à déclencher chez ma chérie un nouvel orgasme anal qui, associé à l’une des nombreuses jouissances déclenchées par la langue experte de Jade, lui fit pousser un puissant râle de plaisir et provoqua une série de spasmes qui la fit trembler de tout son corps.
Afin de leur permettre de se reposer, je proposai aux deux actrices de changer de position ou de faire une pause. Mais Mélanie m’ordonna de continuer ainsi, ce que je fis sans me faire prier davantage. Dans la moiteur et la chaleur de la vapeur d’eau, la respiration devenait difficile, tandis que la douche augmentait encore la température de nos corps. Sentant que je n’allais pas vraiment réussir à tenir encore longtemps, j’accélérai encore la cadence de mes mouvements, faisant à chaque fois claquer mes cuisses contre ses fesses. Ma partenaire m’encourageait de plus en plus, oubliant parfois de lécher sa camarade de jeu. Lorsque je fus sur le point d’exploser, je décidai sur un coup de tête de ne pas me répandre dans les entrailles de ma chérie, et après m’être retiré de son anus, je braquai ma verge sur le visage de Jade juste en dessous et c’est en long jet crémeux que je me répandis sur son joli minois.
— Merci mesdemoiselles, dis-je en reprenant mon souffle et en aidant tout le monde à se redresser. Mais honnêtement, je ne pensais pas que vous auriez assez d’énergie après une scène pour de nouvelles galipettes.— On s’entraine pour demain soir, me répondis une Jade tout sourire qui profitait de la douche pour se rincer le visage.— Demain soir ? Que se passe-t-il demain soir ?— Ben la partouze, répondit Mélanie d’un air suspicieux. Séb t’en a pas parlé ?— Ah non, il ne m’en a pas parlé ! Il m’a dit que de nouvelles personnes allaient venir, dont potentiellement le patron, mais c’est tout.— Stressé comme il était ce matin il a dû oublier, dit Jade en sortant de la douche. Alors on va t’expliquer. Depuis que Papy est veuf, il ne s’occupe plus vraiment de la direction de la boîte, et depuis un peu moins d’un an, c’est un fondé de pouvoir prénommé Jérôme qui décide. C’est un Golden Boy qui se la pète à mort et dont les dents rayent le parquet. Il a "des projets" comme il dit, mais pour l’instant il a surtout établi un droit de cuissage. Le samedi de chaque semaine, il va voir une équipe et envoie ses sbires auprès des autres, et c’est parti pour l’orgie. Et on a du bol quand il n’invite pas des copains à lui. Nous, ça va, les gars de la technique sont super sympas et respectueux, mais ce n’est pas le cas pour toutes les équipes tu peux me croire !— Et il a le droit, juridiquement ?— René, le mec de Samia, a vérifié, précisa Mélanie en revêtant un peignoir, mais c’est inattaquable. On a toute une clause dans nos contrats qui spécifie qu’on ne peut refuser quelques ’missions supplémentaires d’ordre professionnelle’, une définition assez floue pour être fourre-tout. Avec Papy, ça consistait à sucer un livreur de temps en temps ou à baiser avec un fan à l’occasion. Mais avec lui, ça prend d’autres proportions. A titre d’exemple, on avait beau être de repos la semaine dernière, j’ai du baiser avec au moins une quinzaine de potes de môssieur Jérôme !!!
Debout au milieu de la salle de bain, je restai abasourdi. J’avais compris que leur situation était peu enviable mais à ce point ... Soudain, j’eus un éclair de génie.
— Mais dites voir, s’il a le droit d’inviter qui il veut, pourquoi pas vous ? Il suffit de demander à Gilles, Sabrina et Anaëlle de venir et se sera tout de suite plus plaisant.
En entendant cette proposition, les deux jeunes femmes écarquillèrent tout d’abord les yeux, avant d’afficher un large sourire qui valait mille mots.

— Ok, je les appellerai. Faudra que je leur dise de s’entraîner, et moi aussi d’ailleurs.— T’en fait pas mon chéri, s’écria Mélanie et se jetant à mon cou et en m’embrassant, je m’en occupe.
Je l’enlaçai à mon tour et lui rendis son baiser, sachant avec quelle maestria elle pratiquait ce genre d’entrainement. En sortant de la pièce, nous croisâmes Déborah, qui nous rapportai nos vêtements laissés en vrac dans le salon ! Après nous être platement excusés, nous nous sommes rhabillés et tandis que mes deux complices redescendirent dans le salon, je m’isolai dans la chambre de Mélanie pour appeler le joyeux trio. Gilles, qui prenait son service, commença par s’offusquer des passe-droits que s’adjugeait le dénommé Jérôme, avant d’établir le menu pour le lendemain soir et d’accepter la proposition de partouze. Sabrina, qui ne bossait que l’après-midi, s’enflamma à l’idée "de se faire péter le cul à la chaîne" et accepta avec enthousiasme. Quant à Anaëlle, qui sortait d’une réunion, elle accepta avec plaisir, avant de me demander de donner son numéro à la "Déborah la sublime déesse". Ayant obtenu tous les accords, je sortis de la chambre et me dirigeai vers celle de ladite déesse, qualificatif qui, je dois dire, lui allait parfaitement bien.
Je trouvai la chambre ouverte et la jeune femme nue, en train de choisir un maillot. Cela pourrait paraître saugrenue sachant que personne ne se vexerait si elle se baignait en tenue d’Eve, mais j’avais remarqué que la plupart de ces jeunes femmes mettaient un point d’honneur à arborer une tenue correcte en toute circonstance, la nudité étant pour elles une attitude professionnelle. Lorsqu’elle m’aperçut, la jeune femme me sourit et m’invita à entrer.
— Dit voir, je viens d’appeler Anaëlle pour l’inviter à venir demain soir. Elle a accepté et m’a demandé de te donner son numéro.— Génial !! s’exclama-t-elle, en entrant le numéro dans son portable.— Dis-moi Déby, y a une question que je brûle de te poser depuis quelques temps.— Oui vas-y— Je me rappelle t’avoir vu dans une émission de télé un soir, et - honte à moi - j’en été arrivé à la conclusion que tu étais particulièrement hautaine. Que s’est-il passé ce jour-là pour que tu en arrives à ne pas sourire pendant deux bonnes heures ?
Déborah se renfrogna soudainement, puis après m’avoir pratiquement fusillé du regard, sembla se détendre et alla s’asseoir sur le lit.
— C’est un souvenir que je n’aime pas évoquer mais je pense que ça me fera du bien d’en parler. Les filles t’ont parlé du nouveau patron je suppose. — Oui, ça m’a l’air d’être un drôle de zigoto !!!— Doux euphémisme, précisa la jeune femme en souriant. Entre autres choses, il a décidé dernièrement que, comme les grands studios Hollywoodiens, il aurait sa vedette, son actrice fétiche qu’il mettrait en avant. Et vu qu’il aime les grandes châtains, c’est tombé sur moi. Bon, en toute honnêteté, ça m’a plu au début, ça flattait mon égo. J’avais droit à de vrais interviews même si souvent le journaliste me pétait la chatte au passage, une meilleure rémunération, je pouvais plus facilement choisir mes tournages ... Bref, c’était plutôt agréable jusqu’à cette putain d’émission. Déjà, quand je suis arrivée au studio, j’ai dû me faire un plan à quatre avec le présentateur, le producteur et une chroniqueuse équipée d’un gode ceinture de la taille d’une batte de base-ball !!! Elle m’a tellement défoncé le cul que je ne pouvais pratiquement plus m’asseoir sur le plateau ! Ensuite, comme t’as pu le voir, cet abrutit de présentateur n’a pas arrêté de me demander combien de fois je jouissais par scène, si je pratiquais la même chose en privé, ... Et pour finir, de retour en coulisse, j’ai surpris une conversation du producteur qui m’a fait comprendre que pour tout le monde ici, non seulement j’étais juste deux trous à bourrer avec des gros nibards au-dessus, mais en plus je n’étais qu’une grosse salope qui jouait les princesses et qu’il allait falloir sérieusement songer à remettre à sa place !!! Pour ça, il avait prévu d’organiser discrètement lors d’une deuxième invitation une tombola auprès du public, dont le premier prix serait mon cul à défoncer ... — Ok génial !!! Même une machine à laver est mieux traitée !!!
Son sourire avait disparu depuis longtemps. Un peu honteux d’avoir posé la question, je m’assis à côté d’elle et la serra dans mes bras. En retour, elle passa ses bras autour de mes épaules et vint blottir sa tête dans mon cou. Pendant plusieurs minutes, nous sommes restés ainsi, mes mains caressant le dos de la jeune femme pour la réconforter. Au bout d’un moment cependant, et sans que je m’en rende vraiment compte, mes caresses commencèrent à explorer le bas de son dos, puis les reins et enfin les fesses et les cuisses. Lorsque j’en eus conscience, je me risquai à lui embrasser le cou, baisers qu’elle me rendit presque aussitôt, accompagnés de mordillement de lobe d’oreille. Dès lors, mes caresses et mes baisers se firent bien plus sensuels, explorant méthodiquement chaque centimètre carré de son corps et effleurant sa peau du bout des doigts, provoquant une vague de frisson chez la jeune femme.J’invitai alors ma partenaire à s’allonger sur le dos, et après avoir ôté ma chemise, je repris mes caresses et mes baisers, parcourant le corps de la sublime créature, de la gorge vers les cuisses, en m’attardant sur les seins, au plus grand plaisir de leur propriétaire qui se mit à gémir de plaisir. Arrivé près de son intimité, je descendis du lit puis, genoux au sol, j’entamai un tendre cunnilingus que je fis durer au maximum, souhaitant à tout prix rattraper ma maladresse. Pendant plusieurs minutes, je restai ainsi, explorant les entrailles de la jeune femme, mordillant son clito, et profitant de ma position pour continuer mes caresses. Très vite, Déborah connu un orgasme, le premier d’une longue et intense série à laquelle elle s’abandonna sans aucune retenue. Les ongles littéralement plantés dans le matelas et la tête rejetée en arrière, elle laissa la vague de plaisir la submerger, jusqu’à l’apothéose finale où un orgasme dévastateur la cloua sur place, le souffle complètement coupé dans une série de spasmes violents, la laissant littéralement sans force au point de menacer de glisser sur le sol.
Afin de laisser mon amante se remettre, je l’aidai à remonter sur le lit et à se placer sur le flanc, avant de me déshabiller complètement, libérant ainsi mon sexe raide comme un piquet depuis déjà un moment. Je m’allongeai derrière la jeune femme puis, après avoir passé un bras sous sa nuque, je présentai mon braquemart à l’entrée de son vagin, que je pénétrai alors doucement avant d’entamer de tendres aller-retours. Déborah m’accueillit en elle avec un soupir d’extase, passant son bras par-dessus ma tête pour m’inciter à lui embrasser la nuque, ce que je fis sans problème. De mon côté, je m’employais d’une main à lui caresser les seins, tandis que de l’autre, j’empoignais solidement sa hanche afin de mieux assurer mes coups de boutoir. Rapidement, la jeune femme se mis à haleter en cadence, avant de me demander d’accélérer le rythme. Je passai donc à la vitesse supérieure, percutant l’arrière-train de ma partenaire avec plus de fougue, déclenchant presque instantanément un nouvel orgasme chez la jolie brune, qu’elle manifesta par un puissant râle de plaisir.

Cette jouissance ne me fit pas stopper mes mouvements, et c’est avec entrain que je continuai mes aller-retours dans le vagin de la demoiselle. Rapidement, ma position me le permettant, je lâchai la hanche de ma partenaire pour venir caresser son clitoris, accentuant encore plus le plaisir que je lui procurais. La conséquence ne se fit pas attendre et un puissant orgasme la terrassa littéralement, tétanisant son corps de déesse pendant plusieurs secondes, la laissant une nouvelle fois souffle coupé et bouche grande ouverte. Lorsqu’elle reprit le contrôle, je l’aidai à s’allonger à plat ventre sur le lit, avant de m’asseoir à califourchon sur ses cuisses et de reprendre mon martelage. Les ongles plantés dans le drap, Déborah se laissait submerger par les vagues de plaisirs, sans aucune retenue, se contentant de mordre l’oreiller pour ne pas hurler sa jouissance, sans doute par respect pour le tournage du rez-de-chaussée. La jeune femme, totalement en nage et dont la respiration devenait difficile, n’était plus qu’un orgasme permanent, le corps parcouru de spasmes qu’elle ne cherchait pas à contrôler.
Devant tant d’excitation, je ne pus tenir encore longtemps et lorsque j’annonçai à ma partenaire mon imminente éjaculation, elle me demande de me relever un peu, tourna sur elle-même, puis me fit rasseoir avant d’enserrer ma bite entre ses énormes seins. Quelques mouvements plus tard, j’envoyai mon sperme se répandre en long jet sur la gorge et la poitrine de la jolie brune.
— Oh putain quelle pied !!! s’exclama-t-elle après m’avoir nettoyé avec sa langue. Si tu t’excuses toujours ainsi, je veux bien que tu me rappelles tous les mauvais souvenirs de la terre.
Avec un grand sourire, j’aidai la jeune femme, encore fragile sur ses jambes, à rejoindre la salle de bain. Après nous être débarbouillés, elle enfila enfin son maillot et rejoignit la piscine. De mon côté, il était temps que je reprenne ma casquette de gérant de gîte, aussi suis-je descendu récupérer mon ordinateur avant de m’installer dans le jardin. Il était pratiquement 11H30 et la température était agréable, j’avais le temps de travailler un moment, d’autant plus que la cuisinière était en train de se faire remplir par Mathieu. Tiago quant à lui faisait des longueurs dans la piscine avec Jade. Rapidement, je fus rejoint par une Mélanie tout sourire, un café et un thé en main, qui vint s’asseoir près de moi avant de me prendre amoureusement le bras. Curieuse, elle me demanda en quoi consistait exactement mon travail au quotidien, et pendant près d’une heure, j’enchainai les explications professionnelles, illustrant chaque propos par une ou deux anecdotes croustillantes. A chacune de mes histoires, la jeune femme riait aux éclats, tant et si bien que lorsque Samia vint nous annoncer que le repas était prêt, nous n’avions pas vu le temps passer.
Le repas terminé et les deux derniers acteurs arrivés, Séb demanda à tout le monde de se tenir prêt afin de rattraper le retard du matin. Mélanie m’embrassa avant de partir se préparer, Mathieu et elle devant tourner une scène dans le jardin. Afin de ne pas les gêner, je décidai de rejoindre Samia en cuisine (son principal QG lorsqu’elle ne tournait pas) afin de lui présenter le menu concocté par Gilles et de voir avec elle qu’elle serait la meilleure façon de procéder pour la livraison. Une fois tombés d’accord, j’envoyai un message à mon ami, lui demandant de me rappeler si nécessaire, puis je me dirigeai vers Samia pour voir si elle avait besoin d’aide. A ce moment précis, Chloé entra dans la cuisine d’un pas décidé, vêtue d’un short en toile et terminant de nouer son chemisier sous sa poitrine. Sans que je comprenne exactement ce qui s’était passé, je la vis soudain s’écrouler sur place, la rattrapant de justesse avant qu’elle ne se fracasse le crâne sur un coin de table. Lorsqu’elle essaya de se redresser, l’appui de sa jambe gauche sur le sol lui arracha un cri et manqua de la faire chuter une nouvelle fois. Tandis que je la soutenais, Samia lui apporta une chaise et examina la jeune femme pour essayer de comprendre ce qui s’était passé. Le cri ayant alerté Bouchra et Déborah présentes dans le salon, ce fut bientôt 4 personnes qui entourèrent la jolie rousse.
— Tu t’es fait une petite entorse ma chérie, diagnostiqua Bouchra. Il vaudrait mieux te faire une radio, je vais te poser une attelle en attendant. Tu as une trousse de secours ?
Je répondis par l’affirmative et partis chercher ladite trousse, une valise très complète dans le placard d’entrée. Bouchra y trouva son bonheur et commença aussitôt à immobiliser la cheville. Je restai stupéfait devant l’aisance de la jolie maghrébine, et cela devait se voir car Déborah me précisa que, avant de se faire dégager par son abrutit de mec, elle était élève infirmière. Ainsi donc, elle aussi avait vu sa carrière brisée par la faute d’une seule personne. Décidément toutes ces jeunes femmes avaient en commun d’accumuler les coups du sort. J’appelai donc les urgences pour savoir comment procéder, ce à quoi on me répondit de venir effectivement faire une radio, un médecin aviserait ensuite.
— Voilà ma chérie, ça te soulagera le temps de voir un toubib. Mais ne traine pas trop, plus on soigne vite, mieux c’est.— Je vais la conduire, précisai-je en saisissant mes clés de voiture.
Soutenue par ses amies, Chloé fut transportée dans ma voiture, et vingt minutes plus tard, nous étions dans la salle d’attente des urgences. Après une courte attente, un infirmier vint chercher la jolie rousse, qui revint quelques instants plus tard, munie d’une paire de béquille et d’une attelle bien plus légère. L’infirmier nous précisa alors que le docteur Alter allait nous recevoir et nous indiqua le chemin. En partant je remarquai le regard appuyé du jeune homme sur les courbes avantageuses de la jeune femme, qui fit semblant de ne rien remarquer. Quelques instants plus tard, nous étions devant un guichet estampillé "secrétariat du Dr Alter", et derrière lequel se tenait une superbe blonde à la chevelure incroyablement longue, d’environs trente ans, très bien faites de sa personne et très élégamment vêtue d’un tailleur jupe, pour ce que sa blouse blanche me laissait juger.
— Bonjourrr messieurs dames, le docteurrr va vous rrecevoirr, nous annonça-t-elle avec un grand sourire, et des R roulés qui trahissaient des origines slaves.
Nous prîmes place sur deux sièges de la salle d’attente proche du bureau de la secrétaire, qui régulièrement nous lançait un petit regard furtif, avec sur le visage une expression intriguée. Rapidement, le médecin vint nous chercher et nous fit entrer dans son cabinet, une petite pièce disposant d’un lit médicalisé, d’un bureau et d’un canapé deux places avec une table basse. Après nous avoir fait asseoir au bureau, il examina la radio qu’il venait de recevoir et se montra rassurant. L’entorse était effectivement bénigne, et l’intervention rapide de Bouchra avait encore amélioré les choses. Il enleva l’attelle pour s’assurer des soins reçus avant de la remettre, prodigua quelques conseils à Chloé puis retourna à son bureau pour prescrire une pommade antiinflammatoire. Le docteur terminait la rédaction de son ordonnance lorsque la secrétaire fit son entrée, puis se dirigea vers le bureau non sans jeter au passage un coup d’œil à Chloé. Elle murmura quelques choses à l’oreille du médecin, qui parut particulièrement surpris, demandant "non, t’es sure ?" à sa collaboratrice. Celle-ci lui répondant par l’affirmative, il haussa les sourcils avant de se tourner vers nous en souriant.
— Excusez-moi de vous demander ça, mais ne seriez-vous pas Chléo O’Malley?
Pour d’évidentes raisons, pratiquement aucune actrice porno ne garde son vrai patronyme et toutes se sont choisi un pseudonyme. Ainsi, la rousse Chloé se faisait donc appeler Chléo O’Malley, Mélanie devenait Fanny Bovary, Jade avait choisi Saori Yokohama, Les frangines étaient les soeurs Mel et Anna Dream, Julie était créditée en tant que Lady Dark, Samia et Bouchra avaient choisi des noms proches, devenant respectivement Mia et Nadia Persia, Déborah était Princesse Chestnut, tandis que Nicole avait opté pour un simple prénom, Ava. Bien entendu, entre elles, c’étaient les vrais prénoms qui étaient utilisés.
— Oui, c’est bien moi, déclara Chloé pour la plus grande joie de la secrétaire.— Ania est une de vos plus grandes fans, vous savez. Et depuis qu’elle m’a fait découvrir vos films, j’avoue que moi aussi— Vraiment ? Cela mérite une récompense alors.
Avec un regard gourmand, Chloé se leva tant bien que mal et se dirigea vers la grande blonde qui affichait une expression mêlant surprise et satisfaction, puis l’embrassa tendrement tout en plaçant ses mains sur ses épaules, faisant tomber sa blouse au passage. D’une légère pression, elle plaqua la jeune femme contre le mur, puis commença à descendre ses lèvres le long du visage, de la gorge puis de tout le corps de son amante, faisant sauter tous les boutons qu’elle croisait en chemin. Arrivée sur la poitrine, elle s’arrêta quelques instants pour se débarrasser du soutien-gorge, avant de mordiller les tétons du bout des dents, déclenchant rapidement une vague de frisson chez la jolie blonde. Son objectif atteint, Chloé reprit son exploration, jusqu’à se retrouver à genou devant Ania, qu’elle termina de déshabiller, dévoilant un corps parfait, avant d’entamer un sublime cunnilingus. Accrochée aux fesses de sa partenaire, la jolie rousse en explorait méthodiquement les entrailles, glissant sa langue dans son intimité et profitant de la position de ses mains pour lui titiller la rondelle. Rapidement, Ania se laissa aller, caressant sa magnifique poitrine, puis commença à masser le cuir chevelu de sa partenaire, l’incitant à y aller plus profondément. Pendant ce temps, le docteur me demanda de l’aider à déplacer la table basse, avant de déplier le canapé et de le mettre en position lit. A peine avions nous fini qu’un cri étouffé nous parvint de l’autre côté du cabinet. Ania venait de céder sous les assauts de Chloé, et un orgasme venait de la parcourir, la faisant trembler comme une feuille.Visiblement satisfaite de son action, Chloé se releva, glissa un mot à l’oreille de la jolie blonde qui me lança un regard plein de gourmandise, puis attrapa délicatement la jeune femme par la main et la guida vers le lit. Là, elle la fit s’allonger sur le dos et puis, agenouillée au sol, repris son exploration vaginale tout en caressant les cuisses de son amante. Celle-ci se laissa rapidement aller à ses sensations mais, visiblement soucieuse de ne pas être entendue, se mordait une main pour étouffer ses râles de plaisir, tout en se contorsionnant de plaisir sous les caresses et le coup de langue de la sublime rousse. De sa main libre, Ania incitait sa partenaire à approfondir son exploration, laquelle ne se fit pas prier et s’exécuta sans attendre. La sentence ne se fit pas attendre, et se fut un nouvel orgasme qui parcourra le corps de la superbe blonde en une succession de spasmes, la forçant à se mordre la main presque jusqu’au sang.Pris de pitié pour la jeune femme, et passablement excité par le spectacle, je décidai de m’approcher d’Ania, et de lui présenter ma bite à sucer, ayant à de nombreuses reprises constater qu’une bonne pipe étouffe tous les cris. Je me déshabillai donc entièrement, présentant un sexe fièrement dressé devant le visage de la secrétaire, qui le goba avec un grand sourire. L’engin en bouche, elle commença sans attendre à me sucer, faisant coulisser ses lèvres avec une extrême sensualité, trahissant une excellente maîtrise de l’exercice. Ses magnifique yeux bleus plantés dans les miens, je laissai les douces sensations de plaisirs m’envahir, remarquant à peine que le docteur s’était lui aussi mis nu et, à plat dos entre les jambes de Chloé, avait commencé un tendre cunni. La jeune femme semblait fort apprécier l’initiative, et accueillit cette langue dans ses entrailles avec un plaisir non dissimulé. Pendant quelques instants encore, nous sommes restés tous les quatre ainsi, jusqu’à ce que, dans un dernier coup de langue, les deux jeunes femmes connaissent simultanément un bel orgasme, particulièrement violent chez Ania qui se retrouva souffle coupée quelques instants.
Afin de laisser sa secrétaire reprendre son souffle, le docteur accompagna Chloé jusqu’au lit médicalisé où, après s’être allongé, il invita la jolie rousse à le sucer, ce qu’elle fit sans attendre. De mon côté, après avoir fait rouler Ania sur le côté, je lui demandai de replier légèrement les jambes, avant de m’allonger derrière elle, de glisser un bras sous la nuque, et de la pénétrer tendrement en cuillère. Elle accueilli ma verge avec un soupir de satisfaction, rejetant la tête en arrière et affichant un large sourire. Profitant de ma position, j’empoignai délicatement la poitrine de ma partenaire, moins généreuse que celle de mes comparses habituelles mais relevant tout de même d’un jolie 90D. Ainsi accroché, j’entamai sans attendre mes aller-retours, venant à chaque mouvement percuter les cuisses de la belle blonde, qui se mis rapidement à haleter en rythme. Très vite, afin de ne plus être gêné par l’impressionnante masse de cheveux de mon amante, je relevai un peu la tête, et vint alternativement lui embrasser, lécher et mordre le côté de la nuque, m’assurant à chaque fois d’être le plus délicat possible.
Ania sembla fort apprécier l’initiative car, peu de temps après m’avoir incité d’un simple mouvement de sa main à poursuivre mes actions, elle fut parcourue par une série de spasmes orgasmiques, qu’elle accompagna d’un puissant râle de plaisir.
Cette jouissance de ma partenaire ne me fit pas changer d’attitude, seulement ralentir le rythme. Un rapide coup d’œil vers Chloé afin de me rendre compte qu’elle était en train de chevaucher le docteur, puis je repris mes mouvements de piston, augmentant même la cadences de mes impacts. Rapidement, je quittai la délicieuse poitrine de ma partenaire pour venir lui caresser le clitoris, lui provoquant un frisson lorsqu’elle sentit mes doigts sur son intimité, avant de se contorsionner de plaisir. L’effet sur moi ne se fit pas attendre, et presque sans m’en rendre compte, mes coups de boutoir se firent plus percutant, claquant avec force sur l’arrière-train de la secrétaire, qui commença à pousser des grognements dans une langue que j’identifiai comme du russe, sans aucune certitude vu que je n’en parle pas un traite mot. Les orgasmes commencèrent alors à se succéder, de plus en plus intenses jusqu’à atteindre une apothéose qui laissa mon amante bouche grande ouverte et sans souffle, le corps parcouru par de nombreux spasmes.
Pendant que la jeune femme reprenait son souffle, je me redressai sur mes genoux avant de faire basculer la jolie blonde sur le dos. Je plaçai alors ses jambes sur mes épaules, et après l’avoir de nouveau pénétrée tendrement, je repris mes mouvements de percussion, tandis qu’elle reprenait à son compte le doigtage de son clito, toujours accompagné de cris en russe. Le rythme de mes va-et-vient retrouvé, je me redressai petit à petit sur mes genoux, décollant alors le dos de mon amante qui ne reposait plus que sur les épaules. Malgré la position acrobatique, elle se mit alors à haleter en cadence, de plus en plus fort, montant en température et calant sa masturbation sur ma cadence de pistonnage. Percutée et doigtée de la sorte, Ania connu une nouvelle jouissance, la première d’une nouvelle série qui se termina quelques minutes plus tard, lorsqu’un orgasme terriblement ravageur la tétanisa littéralement sur place et la laissa souffle coupé quelques seconde avant de s’écrouler sans force sur le lit, hors d’haleine et en sueur.

Je laissai ma partenaire se remettre de ses émotions, tout en regardant Chloé se faire prendre en levrette. Le lit étant réglable en hauteur, le docteur l’avait placé de manière à éviter que la jolie rousse ne s’appuie trop sur sa cheville. Je regardai ensuite Ania, qui n’avait pas perdu une miette du spectacle, et qui d’un sourire me fit comprendre que cela l’inspirait. Je me levai donc pour lui laisser la place nécessaire, mais en revenant me placer derrière elle, je remarquai le sac de Chloé au pied du bureau, lequel contenait toujours un tube de lubrifiant, au cas où. Je cherchai alors le regard de la jolie rousse qui, visiblement, avait compris mes intentions et m’encouragea d’un signe de tête avant de pousser un long râle de jouissance. Je m’emparai donc du précieux butin et, après m’en être copieusement badigeonné, j’attrapai la belle blonde par les hanches et fis glisser mon membre entre ses fesses, déposant au passage le surplus de gel. Lorsque j’estimai la quantité suffisante, je présentai mon gland devant sa rondelle, avant de l’enculer lentement, jusqu’à la garde.
Pendant toute cette pénétration, mon amante me regarda, bouche grande ouverte, souffle coupé et yeux écarquillés, avant de pousser un cri que j’imaginai être un juron. Puis elle m’adressa un large sourire qui valait approbation, point de départ de la suite des réjouissances. Fermement cramponnée à ma partenaire, j’entamai alors une série d’amples aller-retours dans son anus, m’assurant d’être le plus tendre possible tout en m’enfonçant jusqu’au bout à chaque mouvement. Petit à petit, j’accélérai le rythme, venant claquer mes cuisses contre les fesses de la jolie blonde à chaque mouvement, pour le plus grand bonheur de cette dernière qui commença à haleter en cadence, de plus en plus fort. Au bout d’un moment, sans doute dans le but d’étouffer ses cris, elle laissa sa tête tomber contre un coussin et commença à le mordre, les mains crispées sur la couverture. A chaque coup de boutoir, elle se mit alors à crier quelque chose d’incompréhensible, mais de tellement excitant que je me mis à accélérer encore plus la cadence, manquant de peu de transformer cette sodomie en défonçage en règle d’arrière-train.
Notre chevauché infernale fut brièvement interrompue lorsque Chloé et son amant virent nous rejoindre sur le lit. La jolie rousse s’allongea sur le flanc à côté d’Ania, et dans un large sourire demanda à son étalon de bien vouloir reprendre où il s’était arrêté. Celui-ci s’exécuta sans attendre, et cala ses coups de hanche sur les miens, faisant haleter sa partenaire en rythme et faisant grimper encore plus la température. Soudain, profitant de sa position, l’actrice plaqua sa main sur le clito de la secrétaire et commença à la doigter, arrachant un cri de surprise à cette dernière, que le coussin peina à étouffer. Tout de suite après, elle se remis à haleter avec force, alternant râles de plaisir et phrases toujours aussi incompréhensibles. Dans l’euphorie du moment, les deux jeunes femmes perdirent toutes mesures et toutes retenus et se laissèrent totalement aller. Pour l’une comme pour l’autre, les orgasmes se succédaient, les corps chauffés à blanc et trempés de sueur. Quelques instants plus tard, Ania fut foudroyée par un double orgasme qui la tétanisa une nouvelle fois, laissant échapper un juron qu’elle ne parvint à étouffer qu’en mordant vigoureusement le coussin.
Cette fois-ci cependant, elle ne prit pas le temps de se remettre et c’est trempée de sueur qu’elle se dégagea de ma verge, lança un ordre au docteur qui s’extirpa des entrailles de sa partenaire pour s’allonger sur le dos, puis vint s’empaler sur la verge dressée de celui-ci. Elle prit alors la direction des évènements, montant et descendant à un rythme effréné sur le membre de son amant, lequel profitai de sa position pour malaxer les jolis seins de sa secrétaire. Après quelques instants à admirer le spectacle, Chloé et moi décidâmes de nous joindre aux festivités, et tandis que, après quelques acrobaties, je reprenais ma place dans le postérieure d’Ania, ma complice vint placer son bassin devant le visage de cette dernière, puis agrippa la tignasse blonde, incitant ainsi sa propriétaire à lui prodiguer un magnifique cunnilingus. Calant mes mouvements sur les siens, c’est ainsi à trois sur la même partenaire que nous reprîmes notre cavalcade.
Ayant perdu tout sens de la mesure, et au comble de l’excitation, le docteur et moi pilonnions sans ménagement les orifices de la jolie blonde qui, de son côté, léchait frénétiquement sa partenaire, au comble du bonheur. Sans plus aucunes retenues, la jeune femme s’abandonna totalement à ses sensations, laissant les orgasmes se succéder, nous laissant à chaque fois un peu plus en sueur et un peu plus fébrile. Quelques instants plus tard, un puissant doubles orgasmes lui arracha ses dernières forces, et alors que, au prix d’un effort surhumain, elle parvint à s’extirper de sa position pour rouler sur le dos près de Chloé, le docteur et moi, au bord de l’explosion, profitâmes de la situation pour nous vider en saccade sur les magnifiques poitrines de nos amantes. D’un coup de langue, elles terminèrent le travail, et c’est hors d’haleine que nous nous sommes assis sur le lit près des deux jeunes femmes.
— Merrrrci beaucoup Mademoiselle O’Malley. Depuis que je te connais, j’ai toujourrrrs rrréver de fairrre comme toi et de me fairrrre baiser par un prrrofessionnel, déclara Ania en m’adressant un large sourire.— C’est l’aspect plaisant de ce métier, mais il comporte pas mal de contraintes pas toujours évidentes à supporter. J’ai vu beaucoup de jeunes femmes y perdre leurs illusions. — Rrrrassurrrre-toi ma chérrrrie, déclara la jolie blonde après avoir langoureusement embrassé sa complice. Je me suis rrrenseignée je ne crrrois pas pouvoirrrr supporrrter ce que tu vis. Ça me rrrend encorrre plus admirrrative. Ici je joue en amateurrr mais j’ai un excellent parrrtenairrre.
Elle accompagna cette dernière remarque d’un clin d’œil au médecin et d’un coup de langue sur sa verge encore partiellement dressée, lequel lui répondit par un tendre baiser. Les douches du personnel étant libre et accessibles sans passer par la salle d’attente, nous en avons profité, le docteur saisissant l’occasion pour montrer à Chloé comment enlever et remettre son attèle. Quelques instants plus tard, nous étions rhabillés et tandis que Chloé échangeait quelques mots avec Ania, nous prenions congé de nos partenaires, tout en se promettant de recommencer à la première occasion. Le départ des actrices étant imminent, je ne voyais pas bien comment cela serait possible, mais les aventures que je vivais depuis dimanche m’avaient appris que l’avenir était toujours plein de surprise.
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