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Les actrices

Chapitre 16

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Orgie / Partouze
Il était plus de deux heures du matin lorsque Mélanie et moi sommes arrivés au gîte. Nous étions les derniers, les autres véhicules étaient sagement parqués devant le bâtiment. L’averse qui nous avait surpris au sortir de l’église avait fait place à une pluie continue. Nous nous sommes alors précipités vers le bâtiment, le plus silencieusement possible afin de ne déranger personne. Une fois à l’intérieur, nous nous sommes rendu compte que toutes ces précautions étaient inutiles, des bruits caractéristiques de couples en pleine action nous parvenant distinctement. Retenant difficilement un fou rire, nous nous sommes avancés en direction du lieu de provenance de ces cris suspects.
Arrivés dans le couloir des techniciens, nous n’eûmes aucune difficulté à localiser le lieu des méfaits, la porte de la chambre de Julien était grande ouverte. Discrètement, nous nous sommes approchés, et avons ainsi pu profiter du spectacle. Le locataire des lieux était allongé en travers de son lit, profitant au maximum de l’opulente poitrine de Bouchra qui s’agitait sous son nez. La jolie brune ondulait au rythme de ses montées et descentes sur la verge de son amant, tentant tant bien que mal de se synchroniser sur les coups de boutoir de Nico dans sa rondelle. Debout derrière son amante, le caméraman avait empoigné fermement les hanches de la jeune femme, et venait à chaque mouvement percuter les cuisses de sa partenaire. L’angle ne nous permettait pas de bien voir le visage de Bouchra, mais la tête en arrière de la jeune femme, ainsi que les gémissements qu’elle poussait, trahissait un grand moment de plaisir.
Samia, Julie et Fred n’étaient pas en reste. Allongé au milieu de la pièce, le braquemart au garde-à-vous, le preneur de son se faisait profondément sucer par Julie, tout en léchant le clitoris de Samia, assise sur son visage. Appuyée au mur tout proche, la jolie Maghrébine poussait des gémissements caractéristiques, les mains de son amant caressant sans retenue son sublime et voluptueux corps. L’excitation des deux trios était si intense qu’elle en était presque palpable, et le spectacle si prenant que je commençai moi aussi à être gagné par le désir. Et tandis que nous observions nos trois camarades onduler de plaisir sous les assauts de leurs amants, je laissai mes mains parcourir la croupe de ma chérie. En retour, ma chère et tendre m’adressa un large sourire, avant de commencer à se caresser la poitrine, tout en se mordillant très sensuellement la lèvre inférieure.
Nos derniers exploits dataient au mieux d’une heure, et le spectacle qui se présentait à nous semblait avoir ravivé un instinct lubrique encore vivace. Lorsqu’un violent orgasme terrassa Bouchra, lui coupant complètement le souffle, nous décidâmes de laisser là nos compagnons, une idée coquine derrière la tête. J’attrapai tendrement Mélanie par la main, et le plus silencieusement possible, je l’entraînai vers sa chambre.
Arrivés dans le salon, ma chérie s’arrêta soudainement, manquant de me faire chuter. Devant mon air interrogateur, elle m’adressa un large sourire puis m’entraîna à son tour vers la piscine et les saunas plongés dans le noir. Sur place, elle fit volte-face, déboutonna frénétiquement ma chemise qu’elle fit tomber au sol, avant de se mettre à genoux et de faire de même avec mon pantalon. Sans attendre, elle goba mon braquemart fièrement dressé devant elle, et commença une sublime fellation, dont seules ses amies et elles avaient le secret. Rapidement, elle glissa une main sous sa robe, tandis que j’accompagnai cet instant de félicité par des caresses sur les cheveux bruns de mon amante. Pendant quelques instants, elle s’employa ainsi à me donner du plaisir, avant que je l’invite à se redresser et à se retourner dos à moi. Ce n’était que le début, et bien que je me sois vidé très récemment, je sentais que l’excitation était en train de remonter en flèche.
Je fis donc suivre à ses vêtements le même chemin que les miens, avant de venir caresser d’une main sa généreuse poitrine, et d’introduire deux doigts de l’autre main dans sa chatte. J’entrepris ainsi de masturber ma chère et tendre, qui dans un soupir de plaisir pencha la tête sur le côté pour que je puisse lui mordiller la nuque. Et tandis que je m’exécutai avec plaisir, elle commença à onduler du bassin, laissant ma verge coulisser entre ses superbes fesses, faisant par la même occasion grimper la température d’une bonne vingtaine de degrés.
Ce manège dura une ou deux minutes, avant que ma partenaire ne rompe le contact. Elle m’entraîna alors vers le sauna le plus proche, avec un regard lubrique que je pouvais deviner malgré la pénombre. A peine la porte fermée, un cri de surprise retentit, nous faisant sursauter sur place. Quelqu’un se redressa devant nous et sembla nous dévisager.
— Ah c’est toi, je suis désolée de vous avoirrrr fait peurrr.— Ania ?? m’écriai-je en reconnaissant la voix et l’accent de la secrétaire médicale. Mais que fais-tu ici ?
J’actionnai le variateur, tout en laissant la luminosité au minimum pour ne pas éblouir tout le monde. Ania se tenait devant nous, dans le plus simple appareil, le corps couvert de gouttes de sueur.
— Chloé nous a invités, Damien et moi, pour demain soirrr. Nous serrrons bien là, mais comme je suis de rrrepos ce samedi, j’ai demandé si je pouvais venirrr dès ce soirrr. Et je ne rrregrrrette pas, les deux sœurrrrs sont vrrrraiment terrribles. J’avoue que j’ai voulu également prrrofiter du sauna pourrr me détendrrre un peu.— Ça, c’est sûr.— Mais je vais rrrentrrrer, je vais gêner sinon, précisa la jolie blonde en adressant un large sourire à Mélanie puis un regard gourmand sur ma bite toujours au garde-à-vous.— Mais tu ne gênes absolument pas, bien au contraire, répondit ma chérie, un sourire coquin aux lèvres.
Avec une démarche chaloupée, elle se dirigea vers la jolie blonde, qu’elle empoigna délicatement par les hanches. Se penchant légèrement, elle commença alors à lui parcourir la poitrine de sa langue, embrassant tendrement chaque centimètre carré de peau. Régulièrement, elle venait mordiller les tétons de la jeune femme, déclenchant à chaque fois une vague de frissons, qui en retour commença à caresser voluptueusement le dos de sa partenaire. Dans la lumière tamisée du spa, le spectacle que donnaient ces deux sublimes jeunes femmes était envoûtant, et la température ambiante, déjà élevée, ne fit qu’augmenter.

Au bout de quelques instants, ma chère et tendre se redressa, adressa un large sourire à sa partenaire, puis lui attrapa délicatement la main pour la guider à l’extérieur du sauna, vers un des transats en position couchette. La secrétaire s’y allongea lentement sur le dos, jambes repliées et écartées, et m’adressa un sourire plein de sous-entendus. Et tandis que Mélanie s’agenouillait devant la jolie Russe et engouffrait son visage entre les cuisses galbées de la jeune femme, je m’approchai de son visage, plaçant mon braquemart fièrement au-dessus de ses lèvres. Elle se redressa alors légèrement, goba l’engin et commença à me sucer tendrement, tandis que je caressais délicatement son abondante chevelure, tout en me délectant de la douce fellation que je recevais. Pendant ce temps, ma chérie explorait les entrailles à coup de langue, caressant sensuellement notre amante en s’attardant régulièrement sur sa délicate poitrine.
De ma position, je pouvais voir que Mélanie mordillait régulièrement le clitoris de la jolie blonde, déclenchant à chaque fois un frisson de plaisir chez la jeune femme. Soumise à pareil traitement, Ania ne fut pas longue à succomber, et connut rapidement un premier orgasme, qu’elle manifesta par un long soupir de plaisir.
Son but atteint, Mélanie se redressa, m’écarta doucement, puis vint se placer au-dessus du visage de la secrétaire, reprenant ma fellation là où la jolie blonde l’avait arrêtée. Aussitôt, cette dernière attrapa les cuisses de la jolie brune, et s’employa à lui prodiguer le même traitement qu’elle avait reçu l’instant d’avant. Rapidement, ma chérie se mit à haleter de plaisir, son excitation grandissante la faisant très vite monter en température. De mon côté, comme à l’accoutumée, l’instant était divin, chaque mouvement de bouche et chaque coup de langue déclenchant chez moi un frisson de plaisir. Quelques courts instants plus tard, ma chère et tendre poussa un gémissement de jouissance, abandonnant mon braquemart juste le temps de reprendre son souffle. Cet orgasme n’était clairement que le premier d’une longue série, et je comptais bien en déclencher de nombreux autres.
Afin de mettre mon projet à exécution, je profitai de cette petite pause pour demander aux filles de changer de position. Elles se redressèrent donc, puis Mélanie s’allongea à plat dos sur le transat. Son amante vint alors s’accroupir entre ses jambes, la langue engouffrée dans l’intimité de la jolie brune, et l’arrière-train fièrement redressé. Immédiatement, le cunni reprit là où il s’était arrêté, mais bien plus intense. Mélanie se mit aussitôt à haleter de plaisir, les yeux fermés, appuyant de temps en temps sur la chevelure de la jolie blonde pour l’inciter à approfondir son exploration. Je laissai ainsi les deux jeunes femmes monter en température, avant de venir me placer derrière Ania... pour constater qu’elle ne m’avait pas attendu et qu’elle se masturbait allègrement depuis le début.
Cette vision provoqua chez moi un violent pic d’excitation, et c’est sans ménagement que j’empoignai les hanches de la jeune Russe, et que j’enfonçai profondément ma bite dans sa chatte, bien que cette dernière soit déjà occupée.
Ania m’accueillit en elle avec un long soupir de plaisir, puis tourna légèrement la tête pour m’adresser un large sourire de satisfaction. Ayant reçu l’approbation de ma partenaire, j’entrepris rapidement de lui pilonner l’arrière-train, bien accroché à ses hanches, claquant mes cuisses contre les siennes à chaque mouvement. Quelques instants plus tard, ses doigts quittèrent sa grotte d’amour, pour venir explorer celle de son amante, en complément des coups de langue qui n’avaient pas cessé pendant tout ce temps. Cette masturbation eut un effet retentissant sur Mélanie, qui s’accrocha fermement au transat, avant d’être parcourue quelques secondes plus tard par un nouvel orgasme. Cette vision augmenta encore mon excitation d’un cran, me faisant accélérer mes mouvements pour la plus grande joie de mon amante, jusqu’à ce qu’un orgasme la submerge à son tour, laissant son superbe corps parcouru par une série de spasmes.
Cette jouissance ne me fit pas ralentir, bien au contraire. Pour une raison que je ne suis jamais parvenu à trouver, je n’ai jamais pu faire l’amour à Ania sans une once de brutalité, contre laquelle elle n’a jamais protesté. Cette fois-là ne fut pas différente, et bien que la jolie blonde ait connu un puissant orgasme quelque peu épuisant, j’accélérai encore la cadence et la puissance de mes coups de boutoir, sans considération pour l’état de fatigue de ma partenaire. Celle-ci semblait cependant apprécier le traitement, à en juger par les râles de plaisir qu’elle poussait et les encouragements qu’elle chuchotait. De plus, chaque impact la projetant un peu plus vers l’avant, elle profitait de ces mouvements pour approfondir son exploration des entrailles de Mélanie, au plus grand plaisir de la jolie brune, qui commença alors à enchaîner les jouissances, les bras tétanisés trahissant une montée crescendo du plaisir.
Quelques instants plus tard, un nouvel orgasme terrassa littéralement la secrétaire, qui ne put s’empêcher de hurler un juron en russe, avant de s’écrouler sur son amante, hors d’haleine et tremblante comme une feuille.
Cette fois-ci, je fus pris de compassion pour la jeune Russe. Je me retirai donc de cette chatte accueillante, laissant mon amante reprendre difficilement son souffle sur le flan, tandis que j’approchai un deuxième transat, permettant à ma chérie de se remettre elle aussi. Très vite cependant, l’excitation qui ne la lâchait pas depuis notre retour lui donna une idée. Elle se leva, colla les deux banquettes l’une à l’autre, avant de venir se placer tête-bêche par rapport à Ania, et de commencer à lui lécher la chatte avec beaucoup de tendresse et de sensualité. Instantanément, la jolie blonde retrouva toute sa vigueur, les deux jeunes femmes commençant alors sans attendre un 69 particulièrement excitant, accompagné de grognements de plaisir et de caresses extrêmement sensuelles.
Chauffé à blanc, et ne pouvant tenir davantage, je me précipitai vers le sac de ma chérie, y récupérai le lubrifiant, et après lui en avoir appliqué sur la rondelle, je me plaçai à genoux derrière elle à même le sol, avant de m’enfoncer sans ménagement jusqu’à la garde dans ses entrailles.
Nos récents exploits ayant bien préparé le terrain, ma chère et tendre m’accueillit en elle sans aucune difficulté, malgré la position acrobatique, adoptant sans attendre un rythme rapide et percutant. Fermement accroché à sa hanche, chaque mouvement était l’occasion de venir claquer mes cuisses contre ses fesses, pour le plus grand plaisir de la jeune femme qui grognait de plaisir. Rapidement, elle synchronisa l’exploration vaginale de son amante sur mes va-et-vient, faisant grimper la température un peu plus à chaque fois, devenant caniculaire. A cette cadence, les deux jeunes femmes ne furent pas longues à venir, et connurent simultanément un puissant orgasme, qu’elles manifestèrent par un long soupir de satisfaction. La jouissance passée, Ania se leva soudainement, et tandis que je continuais à limer notre amante commune, elle se dirigea vers le spa, avant d’en ressortir rapidement, deux magnifiques vibromasseurs à la main.
Elle revint alors vers nous, en tendit un à Mélanie, puis reprit sa place, alluma l’engin et commença à masturber sa partenaire, qui poussa un râle de plaisir lorsque le gode la pénétra. Quelques instants plus tard, mon amante en fit de même avec la jolie blonde, et notre cavalcade endiablée put reprendre, à un rythme encore plus soutenu.
Prise en double, ma chérie se laissa complètement aller à ses sensations, les orgasmes vaginaux commençant à se succéder tant Ania maîtrisait l’engin. Cela ne lui fit cependant pas oublier ses devoirs, et sa maîtrise du vibromasseur égalant celle de son amante, celle-ci commença également à enchaîner les orgasmes. L’atmosphère était plus ardente qu’un brasier, et connut son paroxysme lorsque les deux jeunes femmes explosèrent en même temps, dans un violent orgasme qui les tétanisa sur place. La violence des sensations fut telle qu’elle arracha à la jeune Russe un juron dans sa langue natale, qui dut être audible jusqu’au centre-ville. Loin de nous calmer, ce cri amplifia notre excitation, le rythme de nos mouvements devenant alors quasi frénétique. En nage et les yeux rivés sur les hanches de ma chérie que je regardais onduler, mon regard fut cependant attiré par une masse qui sembla se diriger vers nous.
Le temps de comprendre de quoi il s’agissait, et Ania poussa un cri de surprise, une bite venant soudainement de s’introduire dans sa chatte, en compagnie du gode !!!!
— On peut vous tenir compagnie ? demanda Fred, accroché aux hanches de la jolie blonde, et déjà occupé à la limer. Les filles ont souhaité s’amuser entre elles, on ne pouvait pas le leur refuser.— Ouiiiiii, répondirent en chœur les deux jeunes femmes, sans trop savoir s’il s’agissait d’une réponse à la question ou d’une énième jouissance.
Julien et Nico sortirent alors de l’ombre, et virent s’agenouiller devant les deux jeunes femmes, présentant leur braquemart à sucer. Sans se faire prier davantage, elles s’exécutèrent de bonne grâce, le sexe des deux jeunes hommes commençant dès lors à apparaître puis disparaître entre les lèvres des demoiselles. De mon côté, remis de mes émotions, je repris ma place dans la danse, mes mouvements de piston retrouvant leur cadence initiale. Très vite cependant, il fut clair pour tout le monde que la position de nos amantes n’était pas vraiment pratique, et manier simultanément la sucette et la branlette dans ces conditions était inconfortable. Aussi, en parfaits gentlemen, les caméramans prirent en main les vibromasseurs, et chacun d’entre eux s’employa alors à masturber l’une des jeunes femmes tout en se faisant tailler une pipe par l’autre.
Ainsi libérées d’une entrave, Mélanie et Ania purent se laisser aller à leurs sensations, et c’est sans surprise qu’un puissant orgasme vint rapidement les terrasser presque simultanément, les obligeant à interrompre leur fellation pour reprendre leur souffle.
Cette jouissance passée, chacun reprit ses activités avec encore plus d’ardeur. Ania semblait fortement apprécier cette double vaginale, la douceur des mouvements de Julien avec le godemiché contrastant avec les coups de boutoir de Fred. Ses cris de plaisir, bien qu’atténués par le sexe de Nico dans sa bouche, étaient parfaitement audibles, et ses yeux mi-clos trahissaient un moment de pur bonheur. De son côté, Mélanie vivait une situation quasi identique, et s’abandonna complètement à ses sensations. Mes allers-retours dans sa rondelle, associés aux va-et-vient du vibromasseur dans sa grotte d’amour et aux mouvements de l’engin de Julien entre ses mâchoires, firent grimper la température en flèche jusqu’à un point de non-retour. Ma chérie explosa alors littéralement dans un double orgasme qui, après l’avoir tétanisée, la fit trembler de tout son corps pendant plusieurs secondes.
Cet événement fut si soudain et si puissant qu’il surprit tout le monde, à commencer par Ania qui ne put alors se maîtriser, et se laissa terrasser par un violent orgasme, qui la laissa bouche ouverte, yeux écarquillés et souffle coupé pendant plusieurs secondes.
Afin de laisser nos amantes se remettre, tout le monde se retira quelques instants, les techniciens emportant les vibromasseurs avec eux. Pour ma part, je roulai sur le dos, quittant la rondelle accueillante de ma chérie, et caressant tendrement son dos du revers de la main. Cependant, bien que peinant à retrouver leur souffle, l’excitation des jeunes femmes ne retomba pas, et elles recommencèrent rapidement à se masturber mutuellement. Quelques instants et une jouissance plus tard, Mélanie stoppa ses mouvements, se redressa partiellement, avant de profiter de ma position pour venir s’empaler sur ma verge fièrement dressée. A peine mon engin venait-il de disparaître dans ses entrailles que Julien, qui n’avait pas perdu une miette de la scène, vint se placer à genoux derrière la jolie brune, la bite devant son anus et les mains sur ses hanches.
Sans crier gare, il s’y enfonça jusqu’à la garde, arrachant un cri de plaisir à ma chérie, puis commença immédiatement de puissants va-et-vient, m’obligeant à en faire de même, et à la même cadence. Notre amante sembla accueillir nos membres en elle avec la plus grande satisfaction, commençant immédiatement à haleter en rythme, laissant les sensations et la vague de chaleur l’envahir, sans jamais chercher à se retenir.
A chaque mouvement, nous venions claquer nos cuisses contre le sublime corps de Mélanie, faisant grimper la température un peu plus à chaque fois. Bien entendu, nos trois comparses ne restèrent pas immobiles, et dès que notre double pénétration commença, Nico s’allongea près de moi. Ania vint alors s’embrocher sur son braquemart et Fred compléta l’ensemble en lui rentrant sans ménagement sa verge dans le cul, le trio adoptant presque immédiatement un rythme identique au nôtre. En nage, abandonnées à elles-mêmes, et ne cherchant nullement à se contrôler, les deux jeunes femmes se laissèrent complètement aller, subissant les assauts de quatre amants fougueux. La pièce, dont la température devenait difficilement supportable, se remplissait des bruits de claquement de cuisses contre les corps de déesses de nos amantes, ainsi que des cris de jouissance, que les demoiselles enchaînaient sans modération.
A ce rythme, la libération ne tarda pas à venir pour Ania, qui explosa dans un double orgasme ravageur, qu’elle encaissa plus ou moins facilement, la bouche grande ouverte, le souffle coupé et le corps parcouru par une série de spasmes.
A peine avait-elle repris sa respiration que ses amants, à bout de force, annoncèrent qu’ils étaient sur le point de venir. La jolie blonde leur demanda alors de jouir dans sa bouche, ce qu’ils firent de bonne grâce. Accroupie sur le transat, la jeune femme suça quelques secondes Fred, qui vint alors se vider dans la gorge de son amante, avant de faire subir le même sort à Nico. La bouche remplie, Ania laissa le foutre s’écouler lentement par la commissure de ses lèvres, avant d’en avaler une partie et de récupérer le surplus sur ses joues du bout des doigts, dans un geste très sensuel. Cette scène particulièrement excitante eut raison de nos dernières forces, et à la seconde où sa camarade de jeu lécha son doigt plein de sperme, Mélanie fut terrassée à son tour par un puissant double orgasme, qui la laissa sans souffle et sans force, et qui nous acheva également, Julien et moi.
Apprenant que nous étions sur le point de venir, la jolie Russe nous fit la surprise de nous demander d’éjaculer nous aussi dans sa bouche. Laissant Mélanie se remettre tranquillement, nous nous sommes donc dirigés vers sa camarade, qui goba le sexe du cameraman dès qu’il fut à portée. Aussitôt, elle se mit à le masturber, et quelques secondes plus tard, la semence de son amant s’écoula entre ses mâchoires, remplissant un peu plus sa jolie bouche. Lorsque ce fut mon tour, elle enfourna littéralement ma bite entre ses lèvres, la maculant du foutre de mes prédécesseurs, puis me branla quelques secondes, avant de recevoir mon jus en longues saccades, faisant partiellement déborder le réceptacle. Lorsque je me retirai, Ania referma rapidement la bouche pour en conserver le contenu, puis se tourna vers Mélanie, un semblant de sourire aux lèvres.
Telle une panthère, ma chérie se dirigea alors à quatre pattes vers son amie, plaça une main derrière la nuque de celle-ci, puis embrassa fougueusement la jeune femme, qui échangea avec elle sa précieuse récolte. Plusieurs gouttes glissèrent alors entre les lèvres de ma chérie, et vinrent s’écraser sur sa sublime poitrine. La jolie blonde avala le liquide blanchâtre encore présent dans sa bouche, puis souleva délicatement les seins de sa partenaire, avant de les nettoyer à coup de langue.
Tout le monde resta silencieux dans la pénombre, en nage et un grand sourire aux lèvres. Après une bonne douche, chacun rejoignit ses pénates, Chloé ayant proposé à Ania de dormir avec elle. Complètement épuisés, Mélanie et moi montâmes nous coucher, et c’est en serrant tendrement ma chérie dans mes bras, en position de cuillère et complètement nus tous les deux, que nous nous sommes endormis comme des masses. Lorsque j’ouvris un œil, le soleil était déjà levé, et je repris doucement mes esprits. Comme je serrais toujours Mélanie dans mes bras, j’entrepris de lui déposer de tendres et délicats baisers sur l’épaule, provoquant de légers frissons chez la jeune femme. Le souvenir de notre folle nuit, le sublime corps dévêtu de ma chérie collée à moi, et maintenant ces frissons accompagnés de petits gémissements attendrissants, tout cela contribua à m’émoustiller fortement, provoquant rapidement chez moi une forte érection.
Sans que j’en sois pleinement conscient, ma main commença à caresser la hanche puis la cuisse de la jolie brune, sa jumelle en faisant autant sur sa superbe poitrine. Mon amante commença à se dandiner légèrement, et lorsque j’effleurai son clitoris, elle laissa échapper un nouveau gémissement, trahissant cette fois-ci un certain plaisir.
A cet instant, ma chérie ouvrit lentement les yeux, et tournant vers moi un visage encore embrumé de sommeil, m’adressa un large sourire. Prenant alors conscience que je n’avais pas prodigué mon réveil orgasmique depuis quelque temps, je décidai de rattraper partiellement mon retard, la belle étant déjà en partie éveillée. Je titillai donc délicatement ses lèvres d’amour, en prenant bien soin d’être le plus tendre possible. Aussitôt, Mélanie commença à onduler lentement, laissant échapper de petits soupirs de plaisir, sa main s’aventurant alors vers mon entrejambe pour me caresser tendrement. Sentant rapidement qu’elle commençait à mouiller, je décidai de passer à l’étape suivante, et un puis deux doigts se frayèrent un chemin dans son intimité et commencèrent à la masturber. La jolie brune accueillit l’initiative par un long soupir de plaisir, avant de me rendre la pareille, sa main se refermant sur ma verge.
Les yeux fermés, elle laissa les sensations l’envahir lentement, et lorsqu’un orgasme survint, elle le manifesta par un "ouiiiii" langoureux et presque inaudible.
Prenant alors la direction des opérations, Mélanie saisit délicatement ma verge, et la présenta juste devant son minou. Lentement, je m’y introduisis jusqu’à la garde, provoquant chez ma chérie un long et profond râle de satisfaction. Une main sur sa hanche, l’autre sur ses seins, je commençai sans attendre de lents et amples mouvements de va-et-vient dans ses entrailles, que la jolie brune accompagna de petits soupirs de plaisir. Cette fois-ci, contrairement à la veille, je m’employai à être le plus tendre et le plus doux possible, ce que mon amante sembla apprécier, caressant mes fesses du bout des doigts. Les yeux fermés et la bouche entrouverte, elle cala rapidement sa respiration sur mes mouvements, se cabrant pour faciliter la pénétration. Pendant quelques minutes, je restai ainsi, explorant méthodiquement la grotte d’amour de ma chère et tendre, lui permettant ainsi de connaître plusieurs orgasmes.
Suite à nos exploits de la veille, faire tendrement l’amour était particulièrement agréable, et je ne boudais pas mon plaisir.
Lorsque la quatrième ou cinquième jouissance survint, je décidai de changer de position. Quittant provisoirement les entrailles accueillantes de Mélanie, je la fis se redresser et s’appuyer contre le mur. A genoux derrière elle, fermement accroché à ses hanches, je commençai aussitôt à la prendre en levrette, me montrant plus entreprenant que précédemment, mais veillant toujours à me montrer tendre et prévenant. M’accueillant en elle avec une apparente félicité, ma chérie cala ses gémissements de plaisir sur mes mouvements de bassin, commençant rapidement à enchaîner les orgasmes. Très vite, elle préféra quitter l’appui du mur pour enfoncer sa tête dans un oreiller, profitant de la situation pour pousser des râles de jouissance plus intenses, partiellement étouffés par le coussin. Plusieurs orgasmes plus tard, l’un d’eux la fit se raidir puis trembler comme une feuille, m’indiquant qu’il était temps de me retirer et de la laisser respirer.
La pause fut de courte durée. Vite remise, la jolie brune se tourna sur le dos, avant de placer ses pieds sur mes épaules et ses jambes le long de mon torse, un large sourire aux lèvres. N’ayant pas changé de position, je compris ce qu’elle désirait, et après avoir plaqué ses jolies gambettes contre moi, je la soulevai légèrement pour placer sa chatte à la hauteur de ma bite, et ainsi la pénétrer plus à mon aise. Une fois enfoncé jusqu’à la garde, mon amante m’intima l’ordre d’accélérer la cadence et d’y aller plus franchement. Aussitôt dit, aussitôt fait, et après avoir fermement empoigné ses cuisses galbées, je décollai ses fesses du lit et commençai sans attendre d’amples et percutants allers-retours dans son vagin. Voyant que j’avais compris la consigne, Mélanie ferma les yeux et bascula la tête en arrière, caressant sa sublime poitrine d’une main, et titillant son clito de l’autre.
Cette vision de ma chérie s’employant à amplifier son plaisir fit grimper d’un bond la température, et m’excita suffisamment pour que je commence à accélérer la cadence, sans vraiment m’en rendre compte.
La chambre s’emplit du bruit de l’impact de mes cuisses sur les fesses de ma partenaire, accompagné par des gémissements de plaisir. De temps à autre, un "plus fort" langoureusement susurré me faisait accélérer encore le mouvement, pour le plus grand plaisir de la jeune femme dont l’excitation ne cessait de croître. Lorsque le point de non-retour fut atteint, un violent orgasme ravagea la jolie brune, qui fut prise d’intenses tremblements avant de se laisser envahir par de délicieuses sensations, un large sourire aux lèvres. Souhaitant la laisser se remettre, je commençai à redescendre son bassin sur le lit, lorsque qu’elle s’écria soudainement "oh non, défonce-moi !!!!!", et chercha à agripper mes fesses pour que je tape bien dans le fond. Surpris par son injonction, j’accédai tout de même à sa requête, et après avoir fermement serré ses jambes contre moi, je la soulevai de nouveau et me mis à baiser sévèrement sa chatte.
Jetant toutes mes forces dans la bataille, chaque mouvement était l’occasion d’un pilonnage en règle de la jeune femme, qui répétait en boucle "défonce-moi !" en se caressant frénétiquement les seins. A ce rythme, la conclusion évidente arriva vite, sous la forme d’un terrible orgasme qui la terrassa littéralement, l’obligeant à se cambrer, les jambes prises de puissants tremblements que je ne parvins à maîtriser que partiellement.
Totalement hors d’haleine, Mélanie ne vit cette fois-ci pas d’objection à retrouver le confort du lit. Souhaitant finir sur une note particulière, je profitai de la situation pour venir me placer à califourchon sur ma chérie, le braquemart sur sa poitrine. Entrant dans mon jeu, la jolie brune resserra ses magnifiques seins l’un contre l’autre, emprisonnant ma verge, puis commença à les bouger de haut en bas, prodiguant ainsi un délicieux massage que j’accompagnai par des mouvements de bassin. Rapidement, cette branlette espagnole porta ses fruits, et de douces sensations de plaisir m’envahirent, dont je profitai au maximum sans chercher à les contrôler. Quelques instants plus tard, j’atteignis l’orgasme, me vidant en longs jets crémeux sur la gorge et la poitrine de mon amante, qui termina tranquillement en me nettoyant la verge à coup de langue, avant que je ne m’allonge lentement sur le matelas, à côté d’elle.
— Bonjour mon amour, bien dormi ? demandai-je le plus naturellement du monde, comme si nous venions tout juste de sortir des bras de Morphée.— Oh oui, répondit-elle en roulant sur elle-même pour se placer à son tour à califourchon sur moi avant de m’embrasser tendrement. Mais le réveil était bien meilleur.
Un grand sourire aux lèvres, elle s’allongea délicatement sur moi, puis se laissa lentement glisser pour se retrouver sur le flanc à mes côtés, une jambe et un bras toujours sur moi, son visage collé au mien. Nous restâmes ainsi un bon moment, en silence, chacun profitant de la tendresse de l’autre. Le bruit d’une porte s’ouvrant dans le couloir nous ramena à la réalité.
— Je crois qu’on est prêt pour ce soir, fis-je remarquer en caressant du bout du doigt le téton de ma chérie.— Oui, surtout que le samedi est le jour des partouzes et des orgies, m’informa la jolie brune.— Attention au surmenage, annonçai-je en éclatant de rire, ce qui provoqua celui de Mélanie.
Nous nous levâmes, et après une douche bien méritée, nous descendîmes au salon, où se trouvaient déjà Coralie et Marianne, rapidement rejointes par Chloé et Samia. La jolie rousse semblait de plus en plus à l’aise avec sa canne, parvenant à faire quelques pas sans. Rapidement, le sujet de la conversation porta sur nos soirées respectives de la veille, où personne ne fut avare de détail. J’appris ainsi que Samia, Julie, Bouchra et les garçons avaient poursuivi leur soirée dans un bar, où un jeune gars a passé la soirée à les regarder discrètement avec un grand sourire, en tâchant d’être le plus discret possible. Ce petit jeu a beaucoup amusé Julie, et lorsque le jeune homme s’est dirigé vers les toilettes, elle l’a rejoint sans attendre, et après l’avoir sucé copieusement, elle l’a laissé l’enculer contre le mur. Sur le chemin du retour, c’est le récit de cet exploit qui chauffa tout le monde et justifia la partouze à laquelle nous avions assisté.
Ignorant qu’on était au courant, Chloé nous informa qu’elle avait invité Ania, et qu’elles avaient passé tout leur temps à s’envoyer en l’air, rejointes plus tard par Coralie et Marianne. En effet, les deux sœurs avaient commencé leur soirée par une balade le long de la rivière, où, au détour d’un rocher, elles avaient entendu puis surpris un couple en pleine action, monsieur en train de prendre madame en levrette. Comme la vue des deux jeunes femmes ne sembla pas les arrêter, les frangines décidèrent de se joindre à eux, à la plus grande joie des deux amants. Deux promeneuses qui passaient par là se joignirent par la suite au quatuor, et c’est avec cinq furies que l’homme passa son début de soirée. D’après Marianne, le résultat fut des plus plaisants, mais le pauvre gars n’aura pas trop du week-end pour s’en remettre.
Quant à Mélanie et moi, nous racontâmes notre folle soirée dans l’église, sans oublier nos exploits de la nuit, notre auditoire semblant particulièrement captivé et avide de précision.
Nous venions de finir notre histoire lorsque Bouchra et Julie firent leur apparition, suivies par Nicole et Seb. Lorsque l’équipe technique se présenta à son tour, tout le monde remarqua qu’Ania les accompagnait, et que tout ce petit monde semblait fatigué. Personne ne posa de questions, mais lorsque, quelques instants plus tard, Julien et moi nous retrouvâmes seuls dans la cuisine, j’eus droit aux explications. En réalité, et contrairement à ses intentions initiales, Ania avait dormi avec lui, et, vers six heures du matin, avait soudainement eu envie de se "prendrrrre une farrrrandole de bites dans le cul" selon ses propres termes. Ses fidèles complices et lui s’étaient donc relayés pendant un bon moment, remplissant, pour sa plus grande joie, la jolie blonde de foutre chaud. Quelque peu surpris par cette frénésie sexuelle de la part de nous tous, je profitai de l’occasion pour demander au caméraman s’ils terminaient toujours leurs semaines de tournage de cette façon.
— C’est l’effet partouze, ça excite tout le monde, me répondit-il. Et encore là c’est rien, y a deux mois, le gîte était composé de trois bâtiments indépendants, et les deux autres avaient chacun été loués par une compagnie de théâtre. Alors déjà qu’on avait pas mal baisé toute la semaine, l’idée leur a tellement plu que non seulement ils se sont fait une orgie entre eux le vendredi, mais en plus ils ont fait durer la partouze jusqu’à 5 heures du matin le dimanche. Je te raconte pas la tête dans le cul pour tout nettoyer avant de partir.— Ça va, on a de la marge, dis-je en riant.
D’un signe de tête très exagéré, Julien confirma mes propos, lorsque le bruit d’une voiture attira notre attention, et nous fit nous diriger vers la fenêtre. Je reconnus le véhicule de Anaëlle, duquel sortit également Jade bâillant à s’en décrocher la mâchoire et Déborah toujours aussi élégante. Tout le monde se retrouva alors au salon, et les dernières arrivantes ayant déjà déjeuné, la table fut rapidement nettoyée. Comme il était à peine 9H30, le metteur en scène demanda à toute sa troupe de se mettre rapidement en place, afin de profiter de l’occasion et ainsi finir plus tôt. J’embrassai donc ma douce Mélanie, avant de rejoindre Anaëlle en cuisine.
Elle portait une paire de sandales romaines, ainsi qu’une petite robe légère mi-cuisse couleur crème, à motif fleuri et à corsage cintré refermé par une rangé de bouton. Ses gros seins y étaient un peu à l’étroit, si bien que les boutons menaçaient de sauter et que les fines bretelles ne tenaient pas en place. Elle avait gagné un peu de place en ne portant pas de soutien-gorge, mais cela ne semblait pas suffire. Nous prîmes chacun un café, avant de sortir le boire dehors, profitant de ce début de journée ensoleillée. N’y tenant plus, je demandai alors à la jeune femme comment s’était passée la soirée.
— Comme si tu t’en doutais pas, me répondit-elle sur un ton moqueur. Sabi était sortie avec sa copine Isa, on avait donc l’appart pour nous seules, et j’avais fait venir un traiteur. Du coup, Déby et moi on a passé notre temps à manger, baiser et se marrer. Elle est belle, drôle, intelligente, cultivée... Elle est vraiment géniale cette fille !
Ses yeux brillaient d’une lueur que je lui connaissais, et qui ne trompait pas. La jolie blonde était tombée amoureuse de son amante, en un temps record cependant. Et de trois !
— Et alors ce matin, poursuivit-elle, ça a été l’apothéose... Sabi est rentrée vers 5h, avec Isa et six mecs ! Des gars de passage, j’en connaissais aucun. Pile au moment où on venait de se réveiller et qu’on commençait à s’embrasser. Résultat, ça n’a pas loupé, l’appart s’est transformé en baisodrome, les lascars nous ont défoncées dans tous les sens, par tous les trous. — Ah bah putain, déjà que tu rates jamais une occas de t’envoyer en l’air, si en plus le hasard fait bien les choses... T’as dû bien t’éclater.— Oui, c’est sûr, c’était super, mais bon, un peu déçue quand même.— Ah bon ? Pourquoi ?— Ben depuis que vous lui avez pété la chatte avec deux bites, ma frangine n’arrête pas de me saouler avec, comme quoi c’est génial, c’est le méga kiff, et que je devais absolument tester. Alors ce matin on s’est dit qu’avec six gars, ça serait l’occasion pour moi de m’y mettre et pour elle de recommencer. Sabi s’y est collée la première, et pendant que deux gars lui prenaient la chatte, deux autres prenaient Déby en sandwich et les deux derniers s’occupaient de nous enculer, Isa et moi. Au début c’était super, tout le monde était bien excité, sauf que ces andouilles l’étaient tellement que dès que les deux gus qui baisaient ma frangine se sont vidés en elle, les quatre autres ont envoyé la purée en même temps ! Et bien sûr, impossible de les faire remonter.
Anaëlle affichait à cet instant un air boudeur des plus comiques, et semblait réellement déçue de ne pas avoir pu tenter l’expérience. Je tâchai alors de la réconforter.
— C’est pas méchant, tu testeras ce soir.— Oui, c’est sûr, mais je voulais m’entraîner, moi.
Sa remarque, ainsi que la moue qu’elle affichait toujours, me fit rire de bon cœur, avant que je ne l’embrasse sur le front. Le bruit d’une voiture, sans doute les hardeurs du jour, nous fit alors réagir, chacun retournant à ses occupations. La jeune femme récupéra un sac de plage dans sa voiture, puis s’en alla en direction de la rivière pour profiter du soleil, tandis que je retournai vers la cuisine pour m’assurer que tout était prêt pour accueillir Gilles et ses bons petits plats. J’avais le temps, Sèb avait prévu de travailler jusqu’à 15h avec juste une pause-café vers midi, le cocktail que les invités devaient apporter ensuite devant largement suffire pour tenir jusqu’au repas.
Une fois ma tâche terminée, je risquai un œil dans le salon. Jade était à genoux sur la table, prise en sandwich par un acteur en dessous d’elle, et par Marianne équipée d’un gode ceinture. Déborah, appuyée sur le meuble juste devant elle, se faisait prendre en levrette par un grand blond. Quant à Julie, elle était accroupie au sol, occupée à pomper allègrement deux autres hardeurs. Je remarquai une chose, Nicole avait rejoint l’équipe technique, et caméra à l’épaule, elle changeait régulièrement de place. J’avais déjà pu voir, lors de la partouze de Sabi, qu’elle savait manier le matériel, j’en avais une preuve supplémentaire. Je restai quelques instants ainsi à me rincer les yeux, avant de laisser là mon petit monde et de m’en aller.
N’ayant rien de particulier à faire, je décidai d’aller me promener moi aussi vers la rivière, mais avec une idée en tête. Quelque chose me taraudait l’esprit, impossible de voir où était le rocher derrière lequel les frangines avaient fait leur gangbang. Je marchai donc d’un pas ferme vers la petite plage, lieu de précédents exploits, et je m’y arrêtai pour réfléchir. En aval, il n’y avait aucun amas rocheux sur les rives, j’en étais certain. De plus, l’autre rive était soit boisée, soit cultivée, et la passerelle la plus proche était à 5 kilomètres. Les filles avaient donc remonté le cours d’eau vers l’amont, ce que je fis également.
Pendant près d’un quart d’heure, je croisai diverses formations rocheuses, mais aucune ne convenait. Soudain, au sortir d’un virage, la vue d’un énorme rocher entre les arbres provoqua chez moi un véritable flash. Mais oui, bien sûr, le rocher du civet ! Gilles m’en avait parlé il y a longtemps, dans notre jeunesse. Cet amas de pierres avait globalement la forme d’un lièvre, et abritait apparemment en son sein une large cavité herbeuse invisible du chemin, pour peu qu’on ne fasse pas de bruit. De ce fait, beaucoup de couples venaient s’y ébattre tranquillement, sans risque d’être surpris. Son nom lui avait été donné il y a longtemps par je ne sais qui, en référence au nombre de femmes passées à la casserole derrière une pierre en forme de lapin. Le couple d’hier soir avait dû être particulièrement bruyant pour se faire surprendre par les frangines. Ayant découvert l’endroit, je m’y dirigeai d’un pas ferme, curieux de voir à quoi cette fameuse cavité pouvait ressembler.
Au pied du massif, je trouvai non sans difficulté derrière un buisson un chemin de terre qui semblait se diriger vers l’arrière. Je l’empruntai donc, et rapidement des voix me parvinrent, mais trop inaudibles pour en déterminer la nature. Le lieu était donc occupé. J’accélérai donc le pas, histoire une nouvelle fois de jouer les voyeurs et de surprendre ce qui ne pouvait être qu’un couple en pleine action. Quelques mètres plus loin, je débouchai enfin dans la clairière ombragée, et pus voir en regardant discrètement que j’avais affaire non pas à un couple, mais à trois hommes et une femme en pleine chevauchée sauvage. La jeune femme, dos à moi, était occupée à s’empaler sur un de ses partenaires, tout en branlant et suçant les deux autres, le corsage de sa robe crème à motif fleuri grand ouvert pour permettre à ses trois amants de caresser sa poitrine.
Une robe crème à motif fleuri ?? Anaëlle ?? La surprise me fit perdre en discrétion et j’attirai alors l’attention de la grande blonde devant moi, qui se retourna dans ma direction.
— Tiens, t’es là toi, lança-t-elle avec désinvolture, sans cesser de monter et descendre sur la bite de son amant. Tu te joins à nous ?— Mais bon sang, qu’est-ce que tu fais ici ?— Dès le début de ma balade, j’ai reçu un message de Sabi. Un des gars de ce matin l’a reconnue à son boulot et est venu lui demander s’il pourrait revenir nous troncher ce soir. Comme c’est pas possible et qu’il avait l’air déçu, elle a été trop mignonne en pensant à moi. Elle m’a donc dit de venir ici et lui a dessiné un plan. Dommage qu’il n’ait pu joindre que deux de ses potes.— J’ai appelé tout le monde, précisa le jeune homme brun qui se faisait sucer à mon arrivée, mais j’ai pas réussi à joindre les trois autres. J’ai laissé un message, je leur ai dit d’aller voir l’autre fille dans sa boutique et de lui demander le chemin.— Pas grave mon chou, répondit Anaëlle en attrapant la verge de son amant pour la branler. Bon alors Eric, tu viens oui ou noooNNNN OUIIIIIII !!!!!!
La fin de sa phrase fut interrompue par une jouissance soudaine, qui l’obligea à reprendre son équilibre en s’appuyant sur la poitrine de son baiseur et à stopper ses mouvements. Aussitôt, le troisième larron, un blond athlétique à lunette, s’allongea sur une serviette à côté de son comparse et fit signe à la jeune femme de venir s’empaler sur son membre, ce qu’elle fit après s’être débarrassée de sa robe. Son précédent amant, un homme plus âgé que les deux autres et arborant de longs cheveux bruns, se releva alors et vint se placer devant la jolie blonde, prêt à se faire sucer. Dites donc, messieurs, c’est un peu conventionnel comme réaction ! Personne pour passer par-derrière ? Pourtant, un cul pareil, ça donne des idées, non ? D’autant qu’il semblerait que ce matin vous l’ayez fait, alors pourquoi pas maintenant ? Bon, ce n’est pas méchant, ça ne sera pas la première fois ni la dernière que j’enfile Anaëlle en commençant par le trou de balle.
Certes, je n’avais pas de lubrifiant, mais la jeune femme n’en était pas à sa première sodomie. Il faudra juste ne pas y aller comme un sauvage. Quelques secondes plus tard et quelques vêtements en moins, je m’enfonçai lentement dans les entrailles de la jolie blonde.
Anaëlle accueillit mon braquemart en elle par un long soupir de satisfaction, avant de reprendre ses fellations. Une fois en place, j’imposai à mon partenaire un rythme lent, mais soutenu, qui sembla lui plaire également. Pendant quelques instants, je m’employai donc à ne pas trop forcer, avant de commencer à accélérer progressivement, jusqu’à venir claquer les fesses de la jeune femme à chaque mouvement. Pendant ce temps, la jolie blonde passait d’une bite à l’autre, branlant et suçant à tour de rôle, chaque impact dans son arrière-train lui permettant d’y aller un peu plus profondément. A ce rythme, la sentence ne fut pas longue à venir, et un double orgasme fit trembler notre amante de la tête aux pieds avant de la tétaniser, l’obligeant à stopper tout mouvement pour ne pas tomber.
Une fois remise, la jeune femme proposa une permutation, et tandis que le jeune homme à lunettes et moi prîmes la pose pour nous faire pomper, elle chevaucha sans attendre son dernier amant, tout en se faisant pilonner le cul par l’homme plus âgé à cheveux longs.
Les rotations durèrent comme ça plusieurs minutes, se concluant toujours par un orgasme vaginal, parfois doublé par un orgasme anal. Progressivement, l’excitation grimpa, les coups de reins se firent de plus en plus percutants, et les jouissances de la jolie blonde de plus en plus puissantes. De plus, ses partenaires lui laissant de moins en moins de temps pour récupérer après chaque orgasme, je vis venir le moment où Anaëlle serait bien trop épuisée pour profiter pleinement de la double vaginale qui l’attirait tant. Aussi, lorsque ce fut de nouveau mon tour de l’enculer, je décidai d’assouvir son fantasme, et au lieu de m’enfoncer dans son anus, je pris place sans prévenir, au côté du jeune homme à lunette, dans la chatte de notre amante.
Aussitôt, bien accroché à la croupe de la jeune femme, j’entamai de puissants mouvements de va-et-vient, sous le regard ébahi de mes partenaires, mon compagnon de baise reprenant rapidement ses esprits et synchronisant sans attendre ses coups de reins avec les miens.
Moi qui m’attendais à une certaine difficulté à introduire deux bites dans une seule chatte, je fus surpris de la facilité de la chose. Il faut dire que les multiples orgasmes de notre amante avaient sûrement bien lubrifié la zone. Passée la curieuse sensation de sentir une autre verge contre la sienne, l’expérience était fort plaisante, et à en croire le visage de mon camarade, l’avis était partagé. Quant à Anaëlle, elle accueillit mon initiative par un puissant "Oh putain oui !!!!", la tête en arrière et les mains crispées sur la poitrine de son amant, avant de rapidement nous intimer l’ordre d’y aller à fond. Bien décidée à assouvir pleinement son fantasme, la jeune femme se cambra pour mieux accueillir nos deux braquemarts, ponctuant chaque coup de boutoir dans ses entrailles par un grognement de plaisir, qui ne fit qu’augmenter encore notre excitation et la puissance de nos impacts.
Totalement abandonnée à ses nouvelles sensations, et ne cherchant nullement à les contrôler, notre amante laissa la vague de plaisir la submerger complètement, chassant définitivement toute la frustration accumulée depuis le matin. Dans de telles conditions, la sentence ne se fit pas attendre bien longtemps, et c’est au cri d’un "Putain Ouiiiiii !!!!" tonitruant, qui s’en alla résonner sur les roches alentours, que la jeune femme fut terrassée par un orgasme ravageur, qui la laissa tellement sans force qu’elle faillit s’écrouler sur son amant sous elle.
La puissance de ce cri fut telle que, immanquablement, n’importe quel promeneur sur le chemin avait dû l’entendre. La perspective d’être surpris ne nous détourna cependant pas de notre tâche, le cri poussé et la rapidité de la jouissance nous ayant bien trop excités. Alors que les effets de l’orgasme n’étaient pas encore totalement dissipés, mon camarade et moi avons encore augmenté la cadence de notre double pilonnage en règle, à la plus grande joie de notre amante. Par précaution, celle-ci préféra tout de même s’allonger sur son partenaire au sol, avant d’accompagner nos coups de reins par de puissants soupirs de satisfaction. Complètement submergée par le plaisir et l’excitation, et ne cherchant définitivement plus à contrôler quoi que ce soit, la jolie blonde fut très rapidement gagnée par un nouvel orgasme cataclysmique, qui laissa son sublime corps en nage et sans force, parcouru par une série de spasmes violents qui semblaient ne pas vouloir se finir.
Cette fois-ci, afin de laisser notre amante respirer, mon camarade et moi cédâmes notre place aux deux autres larrons, qui paraissaient ne plus tenir en place. Cette impression se confirma rapidement, car dès qu’ils furent en position, les deux jeunes gens entamèrent de puissants et percutants allers-retours dans la chatte de la demoiselle, qui sembla cependant apprécier fortement l’initiative, comme l’attestèrent les profonds râles de plaisir qu’elle poussait. Assis sur une pierre devant elle, je pouvais voir son visage inondé de transpiration, mais rayonnant de bonheur, et lorsqu’un nouvel orgasme se manifesta, elle ferma les yeux, laissant le tsunami de plaisir la submerger complètement. Sans retenue d’aucune sorte, elle exprima sa profonde jouissance par un long râle de satisfaction, avant de s’écrouler en nage sur l’homme aux cheveux longs en dessous d’elle.
Il était à présent clair que si quelqu’un avait dû surgir, ce serait déjà fait. Toujours aussi excité, les deux jeunes hommes poursuivant leur assaut en règle malgré la puissance de l’orgasme, et la jeune femme n’ayant clairement pas la tête à sucer qui que ce soit, je décidai de combler ma frustration en m’invitant à la fête. Le braquemart plus dressé que jamais, je fis signe au jeune homme brun de se reculer un peu, avant de venir me placer délicatement au-dessus de la croupe de la jolie blonde. Et tandis que ses deux amants continuaient à lui marteler la chatte, je lui empoignai fermement la taille, avant de m’enfoncer soudainement dans son anus jusqu’à la garde, puis de synchroniser mes mouvements de piston sur ceux de mes camarades de jeu.
Anaëlle se redressa instantanément, la bouche et les yeux grands ouverts et le souffle coupé. Aussitôt, le jeune homme à lunettes vint se placer devant la jeune femme, et introduisit sa verge entre ses lèvres, avant de saisir délicatement l’arrière de sa tête et d’entamer de lents mouvements. La surprise passée, la jolie blonde reprit l’initiative et commença à le sucer, laissant les trois autres larrons lui marteler l’arrière-train en cadence. Rapidement, la demoiselle lâcha prise, poussant un râle de plaisir étouffé à chaque mouvement d’un de ses amants, et laissa les délicieuses sensations de cette expérience nouvelle l’envahir, faisant littéralement exploser la température. Ayant trouvé un bon rythme, mes deux compagnons et moi venions, à chaque coup de reins, nous enfoncer le plus profondément possible, claquant les cuisses ou les fesses de notre amante à tour de rôle.
Soumise à un tel traitement, transpirant à grosses gouttes et ne cherchant clairement pas à se retenir, la sentence ne se fit pas attendre pour notre partenaire, qui explosa en un puissant et sonore orgasme, étouffé par la verge dans sa bouche, laissant son sublime corps en proie à une série de spasmes interminables.
Tout le monde était en nage, mais personne ne souhaitait s’arrêter. Malgré la jouissance qu’elle venait de vivre, Anaëlle nous intima l’ordre d’augmenter encore la cadence, ce que nous fîmes sans problème. Dans le même temps, elle s’activa encore plus sur la verge du jeune homme à lunettes, qui semblait lutter pour ne pas venir trop vite. Les bruits d’impact de nos cuisses sur les fesses de la jeune femme, ainsi que ceux partiellement étouffés de ses râles de plaisir, résonnaient sur les parois rocheuses environnantes. La température était telle que les orgasmes commencèrent à se succéder, donnant l’impression d’une jouissance continue, jusqu’à atteindre l’apothéose, un double orgasme si puissant qu’il coupa le souffle de notre amante, la tétanisant littéralement pendant quelques secondes, avant de la laisser sans force, l’obligeant à s’écrouler sur son partenaire sous elle.
Au bord de l’épuisement total, nous nous sommes retirés des différents orifices de la jolie blonde, la laissant se remettre doucement, sa chatte commençant à devenir douloureuse. Pour ma part, je m’allongeai dos au sol pour reprendre mon souffle, tandis que mes compagnons allèrent s’asseoir un peu plus loin. C’était sans compter sur la frénésie sexuelle de ces dernières 24 heures, à laquelle Anaëlle avait également succombé. A peine avais-je trouvé une position confortable que la jeune femme vint se placer à califourchon, dirigea ma bite vers son anus, puis s’empala dessus d’un coup sec, avant de commencer de rapides et amples mouvements. Devant ma surprise, elle me précisa qu’elle "avait peut-être la chatte en feu, mais pas le trou de balle", avant de se pencher en avant et de placer ses seins généreux devant mon visage.
Remis de mes émotions par ce joli spectacle, j’empoignai alors les fesses de ma partenaire, avant de commencer à embrasser et mordiller ses tétons, pour le plus grand plaisir de leur propriétaire, qui s’abandonna de nouveau au plaisir.
Prenant le contrôle de la situation, j’entamai sans attendre une série d’allers-retours rapides et puissants, que la jeune femme accompagna de gémissements de plaisir, la bouche entrouverte, les yeux fermés et la tête en arrière. Soudainement, je sentis quelque chose coulisser le long de ma verge, tandis qu’Anaëlle poussa un cri de surprise, avant de rester tétanisée sur place, la bouche et les yeux grands ouverts et le souffle coupé. En jetant un coup d’œil par-dessus son épaule, je restai stupéfait de voir le jeune homme à lunettes, accroché aux hanches de la demoiselle, qui m’adressa un large sourire. Il venait tout simplement de s’introduire sans crier gare dans l’anus de la jeune femme, bien que la place soit déjà occupée ! Tout de suite, son rythme se synchronisa sur le mien, et l’air ébahi de la jolie blonde se changea rapidement en large sourire et visage radieux.
Cette réaction me sortit de ma torpeur, et j’entrepris alors d’accélérer les mouvements de piston, accompagné en cela par mon camarade de sodomie, qui restait parfaitement calé sur mon rythme.
Ne souhaitant pas rester sur la touche, nos deux autres compagnons se levèrent et vinrent placer leur bite juste sous le nez de la demoiselle. Sans se faire prier, elle les goba toutes les deux, et tandis qu’elle se faisant ramoner l’anus par deux verges, elle commença à en sucer simultanément deux autres. La température et l’excitation explosèrent littéralement, et sans même nous en rendre compte, mon camarade de jeu et moi commençâmes à accélérer la cadence, pilonnant sans aucune tendresse l’arrière-train de notre amante. Nos cuisses venaient alternativement cogner avec force son joli postérieur dans un bruit caractéristique, le tout accompagné par des cris de plaisir étouffés. A chaque impact, la jeune femme faisait un bond vers l’avant, enfonçant un peu plus les braquemarts en bouche, arrachant des cris de satisfaction à ses amants.
Plus personne ne cherchait à se retenir, et toute prudence avait disparu depuis longtemps. Dans un état second et complètement en nage, le jeune homme à lunette et moi poursuivions le défonçage en règle de la demoiselle, tandis que les deux autres, visiblement dans le même état, donnaient régulièrement de puissants coups de reins, venant percuter le fond de la gorge de notre amante, lui arrachant un cri indéfinissable. Complètement submergée par ses sensations, luisante de transpiration, le souffle court et complètement épuisée, Anaëlle ne résista pas longtemps à de tels assauts, et explosa dans un des plus violents orgasmes qu’il me fut donné de contempler, la tétanisant complètement, souffle coupé, bouche grande ouverte, dans un tel état de tension que je crus un instant qu’elle allait s’évanouir. Bien entendu, notre état ne valant guère mieux, il nous fut impossible de nous contenir davantage, et tout le monde vint se vider dans la jeune femme, en longs jets de sperme crémeux.
Mes trois camarades se retirèrent de leur orifice respectif, permettant à Anaëlle de rouler sur le côté et de se dégager de ma verge. Complètement essoufflée, elle resta allongée sur le flanc un bon moment, laissant le sperme s’écouler lentement par la commissure des lèvres, avant d’avaler le surplus. Puis la jeune femme se redressa difficilement sur ses genoux, chancelante et les cuisses maculées par le foutre s’échappant de son anus, avant de se pencher vers chacun de ses amants pour les nettoyer à grands coups de langue. Sa tâche terminée, elle revint s’asseoir près de nous, et nous restâmes ainsi quelques instants, silencieux, à reprendre notre souffle, un sourire béat aux lèvres.
La sonnerie d’un téléphone nous fit sortir de nos rêveries. Le jeune homme brun se leva, prit connaissance du SMS reçu, avant de le lire à haute voix
"Message bien reçu. Parti voir la fille de ce matin. Elle a fait un plan, mais on avait pas pris la voiture. On est resté avec elle on vient de lui péter le cul à tour de rôle pendant sa pause. Elle a tout avalé. Et vous c’était bien ?"
En entendant ça, Anaëlle explosa de rire, entraînant les nôtres. Elle emprunta le téléphone et écrivit
"Ils m’ont pété la chatte puis le fion, mais deux par deux. Ils vous raconteront ;). Merci pour ce matin et bonne journée :*"
Elle rendit le téléphone à son propriétaire puis essaya de se lever. Les jambes encore mal assurées, je me redressai à mon tour pour la soutenir et l’aider à récupérer sa robe. Lorsqu’elle fut rhabillée, j’en fis de même, et après avoir salué nos trois comparses, nous sommes retournés en direction du gîte pour une douche bien méritée. Anaëlle et Sabrina étaient en pleine forme, ça promettait pour la grande soirée à venir.
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