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Les Amants

Chapitre 1

Zoophilie
Les amants partie 1

J’ai acheté sur le Bon Coin un aplatisseur des graines avec ses accessoires chez un agriculteur à cent cinquante kilomètres de chez moi, je téléphone pour rendez-vous, une dame me répond, nous concluons que je vienne récupérer le matériel vendredi matin vers les 10 heures.
Je vois avec un collègue qu’il s’occupe de mes vaches pendant mon absence, ce qu’il accepte volontiers.
Après deux heures de route, me voilà proche de ma destination, mais la ferme en question est dans le sud du Massif central en demi-montagne 900 m d’altitude, isolée, le plus proche village est à cinq kilomètres.
Voilà la ferme, une ancienne maison bien agencée et juste à côté un bâtiment d’élevage porcin. Je me présente à la porte, une dame m’accueille.
               - C’est vous qui venez chercher l’aplatisseur.               - Oui je suis un peu en retard, j’ai eu quelques soucis pour vous trouver, pas facile quand on ne connaît pas la région.               - Pas de soucis, en agriculture, il n’y a pas d’heure, nous prenons aussi le temps.
Elle a un visage agréable, cheveux coupés courts, jean et tee-shirt, un peu forte, je ne sais pas pourquoi, mais je me sens à l’aise, lorsqu’elle m’a tendu la main, la rencontre avec la mienne a produit un échange assez agréable, en plus son sourire a complété l’ensemble.                   - Le matériel est démonté ou il faut le faire ?                   - Tout est encore en place, si vous voulez bien le faire, je peux vous aider.                  - Vous êtes seule sur la ferme !                  - Depuis quelques années oui, mon ex ne partageant pas ce travail, il n’était pas du milieu agricole, mais je me débrouille bien avec mon élevage de porcs. Comme je vois que nous sommes de la même génération, on peut se tutoyer, ce serait plus facile, mon prénom c’est Marie.                  - Pour moi pas de soucis, je suis Luc.
Nous échangeons longuement sur nos fermes et ce que nous faisons, quand je lui dis que je suis seul, mais avec mes vaches, je vois une certaine satisfaction.
Nous voilà à partir vers la porcherie, mais avant je change mes souliers contre des bottes, là, humm, son visage s’éclaircit, j’ai un shorr, un tee-shirt, ses yeux me parcourent tout le corps, mais particulièrement les bottes et au niveau de la ceinture un peu en dessous, je crois qu’elle a deviné que je ne portais pas de slip, l’engin est en longueur le long de ma cuisse à ras de la fin du short.

Nous entrons dans le local à droite, une case avec les porcelets en sevrage, à gauche une case avec les mères et les petits, chaque mère étant dans un box fait en tube ; plus loin une autre case avec deux verrats, un plus jeune, eux aussi en box, je caresse le dos de l’un, bizarrement elle en fait autant.                  - Ah il est bien équipé le bougre, ce doit être un bon inséminateur !                  - Pas de soucis, il sait faire et donner aussi, parfois il a besoin d’aide, on ne peut pas lui refuser.
La dernière case toujours avec les box contient les mères en attente de fécondation ; il y en a plusieurs, on peut apercevoir leur cul, beaux jambons, mais aussi leurs vulves.
Soudain j’en vois une avec un vagin très gros légèrement rose, en forme de pomme.
                 - Je crois que le verrat va bientôt se faire plaisir, machinalement ma main se pose sur ses reins, je finis la caresse sur sa vulve, Marie a vu mon geste.                 - Tu connais bien les animaux, et j’apprécie ta façon de les approcher, me dit Marie.            - Les animaux réagissent en fonction de nos gestes, ils comprennent, ils ont un odorat très développé, ainsi, ils repèrent vite la compatibilité avec nous.                 - Par contre si les atomes ne sont pas crochus, ce n’est pas la peine d’insister.
À la suite de la case deux portes, une visiblement fermée, pas de poignée, et de celle qui conduit vers la machine que je viens récupérer.
Effectivement, il y a du travail pour démonter les gaines qui viennent des silos à l’aplatisseur, le nouveau système est en place, il alimente directement les cases.                  - Marie, je n’aurais jamais fini ce soir, en plus, il est presque midi.                  - J’avais prévu un peu pour le repas de midi, j’ai ce qu’il faut, après on verra en fonction du démontage.
Pendant le repas, nos échanges sont très bons, beaucoup axés sur les animaux, le travail à la ferme, les difficultés dans ce milieu, et aussi comment on peut gérer en étant seul.
Je récupère ma caisse à outils, Marie m’indique qu’elle va me rejoindre, elle finit de ranger.
En passant près de la cochette, j’ai un frémissement, sa vulve est appétissante, pas encore en chaleur, cela promet un beau sexe le moment venu, et là :
             - Tu es impressionné par ma truie à ce que je vois, me lance Marie.
Je me retourne, surprise, Marie est en bottes, mais elle porte une blouse ; de suite je remarque l’absence de soutien-gorge, les deux mamelons descendent un peu sur sa poitrine, je suppose que plus bas il n’y a pas de slip.
             - Oui, ta cochette est une belle bête.            - J’accepte ta réponse, disons que c’est une réponse vague, on peut dire cela.
Un petit sourire narquois de la part de Marie indique que j’ai répondu pour éviter un sujet, mais elle n’est pas dupée de mes envies, la suite sera une merveille.
Nous voilà vers la machine, d’abord enlever la poussière pour accéder aux boulons des six goulottes.
Je desserre les boulons non sans mal, il faut monter à l’escabeau pour atteindre la goulotte fixée sur le silo, pas une mince affaire, tout est grippé. Après un effort, je parviens à sortir le tube, je redescends, je transpire beaucoup, mon front goutte. Marie s’avance vers moi, elle déboutonne le fond de son tablier, remonte le pan et éponge mon front, mon visage, je sens une de ses bottes sur la mienne, puis sa cuisse se frotte contre moi, sa joue se colle à ma joue. Un instant nous restons sans bouger, ses yeux se remplissent de tendresse, je l’enlace doucement.
             - Luc, j’ai envie d’un homme depuis si longtemps, dès que tu es arrivé, tu m’as bouleversé.
Je passe mes mains sous la blouse, lui caressant les hanches, elle enlève mon tee-shirt, lentement ses mains expertes se faufilent une dans la ceinture du short, l’autre sur mon sexe.
Ma bite commence à se dresser, ses caresses sont agréables, puis elle dégage mon short qui tombe à mes pieds, elle a déboutonné le reste de sa blouse, je n’ai plus qu’à dégager ses épaules du reste de la blouse, nous sommes nus face à face.
Ma queue est bien raide, elle caresse les œufs, ses seins sont appétissants, sa chatte humm, une belle pièce, deux lèvres imposantes, une fente assez longue, très peu de poils, mes mains parcourent son corps, brutalement nos lèvres entrent en contact, nos langues se nouent, nos sexes se frottent.
Le désir est là pour tous les deux, je me dégage un peu pour poser mes lèvres sur un de ses seins, avalant le bout de l’un, je suce fortement, Marie gémit de bonheur, mes doigts arrivent sur son jardin secret, oh je sens un gros clitoris, je joue avec, là Marie se tortille de manière à ce que mon doigt aille dans les profondeurs, ce que je fais, et là elle fait des mouvements avec ses reins pour avoir de la jouissance, dans cette position, cela me permet d’avoir la bite moins raide et d’éviter l’éjaculation.
Lentement, je place Marie devant moi, la bite dans le creux de ses reins, la tenant par les seins que je caresse, puis j’excite sa vulve en massant son clitoris, ses grognements se font de plus en plus pressants ; Marie écarte ses jambes, se penche en avant, pose sa tête sur le rebord du silo, heureusement il y a un sac pour la protéger.
        - Prends-moi, j’ai envie de ta queue dans ma chatte !
Je vais faire comme un taureau, au lieu de prendre ma bite dans la main et de l’introduire, c’est ma queue qui va chercher le trou, un peu trop haut au départ, c’est l’anus qu’elle trouve et Marie recule vers moi pour se faire saisir tellement elle me veut ; je me place plus bas, je remonte et la fente de sa vulve m’accueille, mon gland est bien gorgé. Marie me donne un coup de reins et j’entre dans le volcan, son vagin est très humide, je passe facilement le col de l’utérus, je n’ai pas besoin de faire des mouvements, c’est Marie qui mène la danse sur moi, accompagné de gémissements moi aussi, je souffle, je grogne de plaisir. Soudain, je sens le liquide monter dans ma verge, je bloque Marie contre moi pour envoyer au plus profond mon sperme.
Un cri de sa part vient confirmer sa jouissance, un râle de moi indique que l’acte sexuel est consommé entre nous. Nous restons collés l’un à l’autre, attendant que ma bite ressorte toute seule du volcan.
          - Merci Luc, j’avais tellement envie d’un homme que j’attends depuis si longtemps ; nous allons prendre un instant pour nous rafraîchir si tu le veux bien.         - Oui, avec plaisir. Moi aussi, il y a des années que je n’avais pas pris une femme ; par contre si tu acceptes, nous pouvons rester nus, c’est si agréable et je trouve assez respectueux pour chacun.          - Pas de soucis, je n’attends personne, la ferme est isolée, le risque est minime.
Marie m’offre une bière, elle un sirop avec de l’eau, c’est après que j’ai réagi, elle avait débouché la bouteille. Nous avons discuté un moment, concernant la machine et bizarrement au bout d’une heure, ma bite s’est mise en semi-érection. Pendant que je suis resté chez elle, Marie m’avait mis dans la boisson un super excitant sexuel. Je ne sais pas quoi, mais je ne regrette pas.

Marie s’occupe de son élevage, moi, je continue mon démontage.
Vers les 19 heures, elle me convie au repas et me propose le gîte pour la nuit, j’avais bien imaginé que nous allions passer le reste de la soirée ensemble.
Nous avons un peu discuté, mais elle veut profiter encore ; Marie vient s’asseoir sur moi face à face, nos sexes en contact, échange de caresses, de baisers langoureux.
Plus tard, nous rejoignons sa chambre ; elle s’allonge sur le bord du lit, m’offrant une belle vue sur sa chatte, oh ma bite commence à montrer des signes de rigidité, je m’allonge sur elle, mes lèvres jouant avec le bout d’un de ses seins, le bigre devient raide aussi. Je descends plus bas sur son ventre tout en caressant ses seins ; elle commence à gigoter un peu, puis voilà son pubis, peu de poils, mais doux, enfin la beauté est là, ma langue écarte un peu les lèvres, je trouve le clitoris que je déguste, les gémissements de Maris sont de plus en plus forts, elle mouille beaucoup, mes testicules sont en agitation, ma verge bien raide, je présente mon gland sur la fente, pas le temps de réagir, elle vient d’écarter les lèvres et je me retrouve dans son vagin.
En quelques coups de reins de chacun, le col de l’utérus est franchi, les râles sont intenses ; soudain je sens qu’elle vient de croiser ses jambes sur mes reins pour me bloquer un peu, et surtout elle contracte le muscle vaginal qui enserre ma bite, j’adore, je suis prisonnier de son sexe, forte excitation de chacun, j’arrive un peu à limer, la jute monte, et va au plus profond de son cratère, elle a bien senti le liquide en elle, ses jambes me serrent encore plus, ses cris disent le reste, moi aussi je pousse un grand cri et oui que c’est bon.
Elle va me garder en elle, relâchant son étreinte que lorsque ma queue sort de son vagin.
            - Luc, je suis comblée de bonheur, nos corps se comprennent bien.           - Toi, tu sais faire plaisir aussi, jamais je n’ai autant de satisfaction avec une femme, nos sexes se marient bien, mais nous savons comment faire, par contre je n’explique pas comment j’ai pu faire autant de fois !
Léger sourire de Marie, mais pas de réponse.
La nuit fut paisible, nos corps enlacés pendant une grande période. Reste la suite encore plus torride.
Au matin, je pars faire mon démontage qui n’avance pas trop, Marie s’affaire avec ses animaux, cela est beaucoup de travail, quand je suis passé vers ma cochette, j’ai remarqué qu’il n’y avait pas trop de changements depuis la veille, ses chaleurs n’étaient pas encore au rendez-vous.
La fin de matinée, Marie me dit qu’elle ne va pas pouvoir venir m’aider de suite, elle doit faire une saillie avec le gros verrat.
              - C’est avec la cochette que tu vas lui faire faire ?               - Non, j’ai une plus vieille. Elle est trop calme, les oreilles en arrière, la vulve gonflée.
Je me rapproche, Marie fait sortir le verrat pour le conduire à la case, je remarque de suite qu’avec son groin il pousse Marie comme pour la faire tomber, puis il passe sa truffe entre ses jambes. Ah là je crois que tous les deux ils ont des affinités, ce n’est pas un comportement normal. Me voyant elle se dégage, il la suit à côté et les voilà vers la truie.
Le coquin, il ne met pas longtemps à deviner pourquoi il est là, il renifle un peu et hop la monte commence. Marie se met à genoux, le verrat est rapide, son tire-bouchon pointe vite, trop vite, il est trop haut vers l’anus de la truie. Marie saisit sa verge pour le diriger, il lâche une rafale de sperme, elle en a la pleine main, elle réussit à le guider dans sa femelle, il est bien introduit, se rapproche encore un peu et commence à déverser sa semence.
À voir ses flancs qui se contractent, cela indique qu’il envoie la sauce par saccade au fond de l’utérus, son tire-bouchon ayant passé facilement le col de l’utérus qui est en quinconce, évitant au sperme de ressortir, c’est la particularité des truies.
Marie se relève, elle essuie simplement le sperme du verrat sur sa cuisse. Là, j’ai la confirmation qu’elle a remplacé son homme par lui ou son collègue, en plus elle est une grande amatrice de bite et de sperme.
Marie se rapproche de moi, je pense qu’elle aussi a un doute, elle vient frotter sa cuisse avec le tapioca du verrat sur ma bite, c’est encore chaud et agréable, un petit sourire de sa part indique que nous partageons aussi d’autres choses.

A suivre
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