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Les amants d'Amandine

Chapitre 4

Erotique
Depuis hier, je ne fais que penser à cette soirée et je me repasse en boucle mentalement les mots qu’elle m’a adressés. Pourquoi m’a-t-elle demandé si j’étais lesbienne ? Fétichiste ? Si j’aimais les hommes ? Elle voulait peut-être s’assurer que je l’avais matée au squash sans arrière-pensée, ce qui n’était évidemment pas le cas. Ou elle aurait juste peur que je lui saute dessus ? Pas mal ça, ça me donne un avantage. Mais bon, c’est peut-être juste un rendez-vous pour me rendre ma raquette et retrouver son string, et je me suis fait tout un cinéma en m’excitant sur elle, ce qui serait assez con. En même temps, elle m’a dit « Sois jolie ». Bon, ça, j’aime bien, c’est plutôt bon signe, elle veut que je lui plaise. Et puis elle a demandé si j’aimais son string, si ça se trouve, elle va en porter un similaire. Cette idée m’excite beaucoup. Bon, l’heure a fini par tourner et je suis sur le point de partir.
J’ai finalement opté pour une robe courte, bleu nuit, presque noire, chic et sobre, sage en apparence, mais avec des échancrures bien placées qui mettent en valeur mes épaules, le haut de mon dos et, bien sûr, mes jambes. J’ai clairement un avantage sur elle du côté de ma poitrine et j’ai donc décidé de porter ma robe sans soutien-gorge. Elle pourra deviner ce détail à condition qu’elle observe soigneusement les échappées de mon dos découvert. J’avais plié soigneusement son string dans une petite boîte, mais, petit à petit, je me suis faite à l’idée que c’est moi qui vais la conquérir et qui doit prendre les devants. Elle a peur que je sois lesbienne, elle veut que je sois jolie. Je vais donc jouer le grand jeu. Etre belle, sexy, troublante et conquérante. Alors, au dernier moment, je retire ma culotte en vitesse et décide d’enfiler son string sous ma robe. Si elle le veut, il faudra qu’elle vienne le chercher, et cette idée m’excite férocement.
Je me maquille légèrement, mais avec beaucoup de soin. Je veux être féminine et irrésistible. J’enfile mes plus belles chaussures et file à son adresse. C’est parti ! dis-je à mon reflet en quittant mon appart.
J’arrive en bas de chez elle, j’hésite un instant, pourquoi suis-je saisie soudainement d’un sentiment de fébrilité. Bon, plus le temps d’hésiter, je compose le digicode, pénètre dans l’immeuble et sonne à l’interphone. La porte en verre s’ouvre immédiatement, je file dans l’ascenseur, j’ajuste ma robe et je sens mon corps qui transpire légèrement d’incertitude et d’excitation. J’arrive sur le palier, une porte s’ouvre, plus le temps d’hésiter, je m’y engouffre.
Et là, avec ma robe courte et chic, mon dos nu, ma pochette, un string volé et mes seins nus sous ma robe, je suis brutalement estomaquée, à un point qui me laisse immobile et bouche bée pour quelques secondes, de par trois faits simultanés. D’abord, elle n’est pas là et c’est un homme qui tient la porte. Ensuite, cet homme, très élégant, la cinquantaine, sourire calme, regard pénétrant et une impressionnante carrure baignée de virilité rassurante, est extrêmement séduisant. Enfin, cet homme, je le connais, ou plutôt, je le reconnais. C’est le cinquantenaire que j’ai vu jouer au squash en même temps que cette femme que je désire et dont mon intimité porte le string.
— Bonjour, vous venez pour la raquette, je présume ?— Oui.— Je vous en prie, entrez.
Je suis là, dans le vestibule, avec cet homme hyper-séduisant, et la porte se ferme derrière moi.
— Suivez-moi.
J’arrive dans un vaste salon. Les murs sont bruts, la décoration est minimale et chaleureuse. Un grand canapé en cuir, des photos au mur de visages et d’arbres, de corps nus et d’insectes.
— Je m’appelle Pierre. Et vous ?— Amandine.— On peut se tutoyer ?— Bien sûr.
Mon bien sûr est limpide, définitif. Bien sûr que tu peux me tutoyer, et bien sûr que tu vas tomber dans mes bras.
— Un verre de vin ? me propose-t-il.— Avec plaisir.
Il me tend le verre avec décontraction et simplicité et, pourtant, à la robe et au nez du liquide qui tombe dans mon verre, je sais immédiatement qu’il s’agit d’un grand cru. Magique et envoutant. Ce bel homme, cet endroit, son string, ma robe. Je ne pense plus qu’à lui en goûtant ma première gorgée.
— Je t’ai vue au squash, tu regardais Lou.— Pierre et Lou ? Pas mal, lancé-je, un brin ironique.— Lou, c’est une vraie louve.— Elle est canon quand elle joue au squash, admets-je.— Elle t’excite ?— Pourquoi suis-je là à ton avis ?— Pour rendre le string. Et tu l’as ?— Oui.
Je fais une pause et, dans un sourire, je précise :
— Sur moi.— Tu penses pouvoir m’exciter aussi facilement ?— On parie ?— D’accord, parions ma cravate. Je te donne dix minutes. Si tu me fais bander, tu gagnes et la cravate est à toi. Sinon, c’est moi qui gagne et je fais ce que je veux avec. Alors ?
Je m’esclaffe de rire tellement ça me parait facile. Et puis ce petit jeu me plaît, c’est excitant.
— Tenu !
Pierre programme le minuteur de son téléphone et s’installe confortablement dans un vaste fauteuil en cuir.
— C’est parti, à toi de jouer.
Je me déplace dans la pièce pour qu’il me regarde marcher. Il me dévore déjà des yeux. Je me place à distance, me retourne et lui présente mon dos. Je reste immobile, il me regarde, c’est sûr, des pieds à la tête. Il sait qu’il va se passer quelque chose. J’attends encore un peu puis, en un geste, je fais tomber ma robe. Il découvre le verso de mon corps, mon dos intégralement nu, mes hanches si joliment dessinées, la rondeur de mes fesses si bien mise en valeur dans le string pourpre de sa femme, le galbe de mes jambes, la tendresse de mes chevilles. Je reste encore un peu immobile, il doit dévorer le moindre détail de mon anatomie. Puis je fais volte-face, et il me découvre d’un seul coup, avec ma poitrine pleine d’audace, mon ventre qui a faim, et je m’avance vers lui, déterminée, avec un appétit sexuel communicatif. Je vois dans son regard sa résistance vaciller et ce début d’abandon m’excite un peu plus.
Je m’accroupis sur ses genoux, face à lui, cuisses écartées et je défais sa cravate. Il a déjà ses grandes mains chaudes sur mes hanches. Je passe le bout de soie autour de mon cou, saisis ses poignets et invite ses mains à saisir la cravate. Je lui lance :
— Je n’ai jamais été douée pour faire les nœuds. Alors je demande l’aide d’un expert.
Il commence à nouer la cravate autour de mon cou et dans les mouvements complexes de ses mains, mes seins frémissent à chaque frôlement de soie et à chaque frôlement de peau. Je déboutonne sa chemise et j’enfonce mes mains entières dans son torse viril et puissant. Ce sont des caresses et une possession à la fois. Il a fini de nouer la cravate et il la positionne à la perfection entre mes deux seins enflés. Ses mains veulent les saisir, les aider à exploser, à libérer la tension sexuelle qui les emplit, mais je saisis ses poignets et j’écartèle ses deux bras. Je colle mon bassin contre son ventre et, en le tenaillant dans la mâchoire de mes cuisses en feu, je monte lentement mon bassin le long de son buste. Ses muscles, à travers la fine membrane de mon string, envoient à ma vulve des signaux puissants et masculins. Je suis déjà trempée. Il est déjà transpirant. Je remonte encore contre ce large buste et je plaque mon sexe brûlant contre sa bouche. Un infime morceau de tissu nous sépare.
— Si tu veux le string de ta femme, il faudra venir le chercher.
Et j’appuie tellement fort ma chatte contre sa bouche, qu’il ne peut répondre. Mon clitoris se déploie dans le souffle chaud de sa bouche qui caresse mon sexe. Mon corps entier est tendu, mon corps entier est sexe, je suis une érection. Et lui, son érection, maintenant, je veux la voir, la toucher, la sentir, la prendre. Je redescends violemment vers son sexe, j’ouvre son pantalon, descends brutalement son boxer. La sonnerie du minuteur retentit. Il ne bande pas...Je suis estomaquée et un immense sourire traverse son visage.
— Cette cravate est à moi, dit-il en la saisissant. Suis-moi.
Il tient le bout de la cravate, puis précise
— A quatre pattes, pour l’esthétique, dit-il en souriant.
Ces mots traversent mon corps. Un frisson s’empare de moi. Je me sens soudainement face à l’inconnu, à la fois prise au piège et méritante de la situation. J’étais si sûre de moi, si présomptueuse. Ce vacillement est troublant et pas si désagréable. Je me mets donc à quatre pattes et je me sens, d’un coup, toute petite, idiote. Il commence à marcher et à me promener, avec sa cravate en guise de laisse, dans le salon. Je me découvre très obéissante et je ressens une troublante sensation, infime, mais plaisante. Je commence même à onduler mes fesses dans ma démarche.
— Tu en fais un peu trop, corrige-t-il. Arrêtons-nous. Tourne-toi et mets-toi sur le dos. Je n’ai pas fini avec la cravate.
Je m’exécute et m’allonge sur le sol, quasiment nue, face à lui, debout et impérial. Il défait la cravate de mon cou. Et je suis traversé d’un sentiment d’inquiétude. Il me regarde. Que va-t-il faire ? Il ne va pas me fouetter, tout de même ! Cette pensée me terrorise. Elle me terrorise non seulement par l’angoisse d’être fouettée, mais aussi parce que je me demande si ce n’est pas ce que je suis en train de désirer le plus au fond de moi. Finalement, il me surprend encore. Il saisit mes deux bras sans violence, et les remonte, tendus et en arrière, au-dessus de ma tête. Il lie alors mes deux poignets avec sa cravate et les fixe au sol, au pied du mur. Il se déshabille intégralement, déplace le fauteuil au niveau de mes pieds, s’y assoit confortablement et me regarde, avec mes bras tendus et attachés au-dessus de la tête, mes seins déployés, mes jambes libres et nues.
— Tu vas me rendre le string de Lou. Et après, je te fais jouir.
Il est souriant, beau, impérial, puissant.Je veux qu’il me baise, attachée, comme ça, je veux jouir sous son corps.
Ca m’excite terriblement et il faut que je me débarrasse comme je peux de ce fichu string. Les mains prises, ce n’est pas simple. Alors je me tortille dans tous les sens, je soulève mon bassin, je frotte mon cul contre le sol. Cette situation me frustre et m’excite à la fois. Putain, enlève-moi ce string et baise-moi, pensé-je au fond de moi. Le string se tortille bien un peu, mais il y a peu de progrès. Il me regarde, il bande maintenant le salaud, il jubile. Putain, sa bite est belle, elle est dressée, je la veux. Et j’agite encore plus violemment mon bassin. C’est désormais les frottements du parquet sur mon cul qui se mettent à m’exciter. Je suis excitée de partout, mais terriblement insatisfaite. Alors j’accélère encore, je transpire. Puis, à bout de souffle, j’abandonne violemment. Aucun progrès. J’ai soudain envie de tout arrêter, de rentrer chez moi, de me masturber un bon coup, de prendre une douche, de sombrer dans ma couette.
Mais je le revois, satisfait, puissant, beau, viril, il me regarde et ce regard m’encourage. Alors je décide de relever le défi à nouveau, mais calmement. Je ne m’agite plus dans tous les sens. Je soulève mon bassin, puis me positionne, arquée, pour que seul le haut du string touche le sol. Et lorsque la position est bonne, je glisse mes fesses sur le sol de quelques centimètres. Ca marche ! Je jubile de ces quelques centimètres descendus sur mes fesses. Alors, je reprends, et encore quelques centimètres. Ca ne va pas vite, mais je progresse ! Cette progression m’excite. Surtout que Pierre me regarde, et mon pubis se dévoile à ses yeux, centimètres par centimètres, dans une lenteur exquise qu’il savoure comme un esthète. Je combine maintenant avec des oscillations latérales du bassin, et mon corps entre dans une danse très érotique, et qui devient progressivement complètement pornographique.
Mon pubis est enfin à découvert, mes fesses sont intégralement nues contre le sol, et le bout de tissus fait un trait horizontal sur mes cuisses. Je mouline maintenant mes jambes doucement pour faire descendre encore le string plus bas. Ces frottements excitent les lèvres de ma chatte déjà trempées et je me sens toute gonflée, protubérante de plaisir et d’envie sexuelle. Quand, enfin, le string est à mes genoux, je peux accélérer la procédure, j’ai bientôt une jambe libérée et, de l’autre, je fais tourner le tissu sur ma cheville et je l’envoie, finalement, en enfer ! Vas-y Pierre, je suis à toi, fais-moi jouir encore plus que je ne jouis déjà !
Je suis offerte, brûlante et trempée, les mains attachées au-dessus de ma tête. Pierre sort enfin de son fauteuil, le regard plein d’envie. Il se déploie face à moi et, en contre plongée, sa bite défie fièrement la verticalité de cette image de géant viril. Il fait quelques pas, un pied de chaque côté de mon corps, et s’agenouille enfin. Ses jambes puissantes encadrent les miennes, sa bite est dressée comme si elle sortait de mon propre corps et je suis sur le point de m’évanouir tellement cette situation m’excite. Il pose ses deux larges mains sur mes joues et me regarde. Il pourrait m’écraser le visage s’il le souhaitait. Mais, au lieu de cela, il les glisse lentement sur mes joues. Il est d’une douceur infinie et cette tendresse est renversante. Il poursuit alors cette caresse symétrique, à deux mains, d’une délicatesse absolue, sur tout mon corps. Mon cou, mes épaules, mes seins, mes hanches, mon bassin, mes cuisses, mes chevilles, mes pieds.
Tout mon corps entier s’abandonne à ce frisson subtil, ce baiser tactile donné avec tant de grâce par ces mains puissantes. Il remonte avec la même douceur, mais de manière très légèrement plus appuyée, et cette sensation me donne l’impression qu’il est en train de retirer ma peau, comme pour mettre l’ensemble de ma chair à vif. Ce frisson est électrisant. Une nouvelle chaleur envahit mon ventre, mon esprit vacille. Il me serre alors légèrement au niveau des aisselles, approche son visage du mien et, soudain, enfouit ma bouche dans la sienne avec une violence inattendue. Ce baiser, presque cannibale, m’enivre. Cette ivresse est divine. Je suis sur le rebord d’un gouffre orgasmique dans lequel je me sens sur le point de tomber. Qu’il me mange, qu’il me baise, je suis à lui, je suis son chef-d’œuvre.
Et, dans cet élan sexuel, alors que je suis au bord de l’abandon et que j’approche un nouvel orgasme, dur et brillant, quasiment inconnu, j’entends une porte qui claque et ce bruit me ramène à la réalité. Je suis attachée, entièrement nue, sous le corps massif de Pierre qui m’embrasse. Une personne vient de rentrer. Dans un instant, Lou va nous surprendre. Cette nouvelle image me surexcite soudainement et je m’abandonne à nouveau à la voracité de Pierre. Mais Pierre me relâche brutalement et l’image de la silhouette qui entre dans la pièce me fige de stupeur. Ce n’est pas Lou, c’est un homme. C’est un très jeune homme d’ailleurs. Et je le reconnais, c’est le jeune timide du squash.
— Salut, lance-t-il. — Louis, enfin tu rentres ! répond Pierre.— Louis ? Et Lou ? interrogé-je, complètement déboussolée.— Lui c’est Louis, mon amoureux, précise Pierre.— Louis... Et Lou ?— Lou ? C’est notre meilleure amie !
Sur ces paroles rapides, je me retrouve seule, nue sur le parquet, tandis que je vois Pierre et Louis s’embrasser fougueusement. Pierre dévore la bouche de Louis comme il venait de manger la mienne, peut-être avec plus d’envie encore, et cela me rend très jalouse. J’ai l’impression que Pierre, qui est nu, bande encore plus que tout à l’heure. Il déshabille Louis à grande vitesse, sans jamais libérer la bouche de Louis de la morsure folle de son baiser. Je découvre le corps de Louis, lisse, fin, dessiné, très beau. Sa couleur de peau rappelle la Polynésie, son visage rayonne. Ses cheveux sont bouclés et ses yeux transparents. La montagne puissante enlace une statue grecque, fragile et satinée et, lorsque la nudité intégrale empare enfin Louis, je suis traversé d’un frisson inconnu. Je les regarde, s’embrasser, s’emmêler, se lécher, et ce spectacle m’hypnotise. Puis Pierre fait tourner Louis sur lui-même.
Louis est désormais face à moi, il me sourit et je vois derrière lui la large silhouette de Pierre. Pierre le fait s’agenouiller au-dessus de moi, et de sa main puissante, rabaisse lentement le haut du corps de Louis contre moi. Il tend son visage vers moi et m’embrasse brièvement et ce baiser volé m’électrise. Il descend son visage dans mon cou et ses cheveux caressent mon visage. Je vois Pierre, derrière, qui saisit les deux lobes fessiers de Louis et qui les écarte lentement. Il y enfouit alors son visage et je devine sa langue caresser l’anus humide, et encore fermé, de Louis. Louis fait osciller légèrement son corps au rythme des baisers de Pierre, et les frottements de son corps lisse contre mes seins durs me font frémir. Pierre vient maintenant jouer avec ses doigts, et il alterne, entre les fesses de Louis, coups de langue goulus et doigtés conquérants. Louis gémit de plus en plus fort et il transmet à mon corps son envie d’être pris.
Pierre se relève légèrement, et je vois sa bite gonflée, injectée de sang et d’envie, surmonter le corps de Louis. Il la saisit d’une main et vient la positionner. Ses deux mains saisissent les épaules de Louis et un souffle de Pierre, un léger cri de Louis, une tension dans mon bassin, et je comprends que la bite de Pierre vient de rentrer dans le cul de Louis. Pierre pénètre alors doucement dans Louis, sans s’arrêter. Cet empalement me paraît long, infini, inexorable et j’ai l’impression de sentir sa bite entrer en moi. Pierre est au plus profond de son amant, Louis est collé contre moi, je sens son sexe fin et dur qui bat, collé contre mon ventre. Cette immobile pénétration dure une éternité puis Pierre commence à osciller tout doucement. Ces battements, dans le corps de Louis, se transmettent à mon corps prisonnier sous le sien.
J’aimerais prendre ces deux hommes dans mes bras tellement cette sensation est douce, mais je suis toujours prisonnière, et cette frustration est d’autant plus excitante. Pierre fait désormais des va-et-vient plus rapides, le corps de Louis oscille à la même fréquence, et leurs frictions sur mon corps m’emparent d’une nouvelle ivresse sexuelle. J’ai de plus en plus l’impression que mon corps fusionne à celui de Louis, que la bite qui danse dans le cul de Louis danse aussi dans mon propre ventre. Je sens des contractions brûlantes qui emparent mon bassin, ma vulve, mon cul, et entrent en résonance avec la frénésie rythmée de la sodomie brûlante qui me surplombe. Oui, nos corps fusionnent et brûlent dans un incendie sexuel où tout s’accélère. Le rythme de Pierre accélère. Les gémissements de Louis accélèrent. Les spasmes qui me secouent accélèrent. Pierre va de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus loin.
La tête de Louis émerge, les yeux demi-révulsés de plaisir et il prend ma bouche dans ses lèvres et y enfourne ses cris de plaisirs. Le rythme devient insensé, je ne sens plus le sol sous moi, je ne sens plus le poids de leurs corps, je me sens juste vibrer, brûler, flamber. Je sens des vertiges, des crampes, des spasmes, des éclairs de plaisirs qui me traversent. Puis tout se fige brutalement, un cri sec de Louis s’engouffre dans ma bouche et il s’immobilise, et je sens, sur mon ventre, un liquide tiède en train de s’épancher. Il jouit sur mon ventre autant qu’il jouit dans son cul. C’est une sensation incroyable. Je voudrais le serrer dans mes bras, je me contente d’appuyer mon baiser et de l’enlacer de mes jambes. Nous restons ainsi tous les trois, immobiles. Cette éternité est divine. Puis l’étreinte se relâche, Louis me sourit, Pierre se retire lentement, et Louis vient se blottir à côté de moi, épuisé et heureux. Il ferme les yeux. Je le quitte du regard et je vois Pierre.
Mon excitation est encore brûlante et Pierre bande encore comme un cheval, il n’a toujours pas joui. Il voit dans mes yeux mon désir et vient s’agenouiller au-dessus mon visage. Il glisse sa main gigantesque dans mes cheveux et soulève légèrement ma tête puis enfourne, d’un coup, sa queue brûlante dans ma bouche. Je l’avale sans résistance, cette queue qui vient de sodomiser Louis, ma bouche devient le cul de Louis, et il m’empale avec la même vigueur. Je n’ai plus que cette envie, être pénétrée, férocement, par cette queue puissante, être pénétrée de n’importe où, via mon vagin, ou mon cul, ou ma bouche, qu’importe ! Sa queue est large et belle, et chaque fois qu’elle vient toucher le fond de ma gorge, je me sens sur le point de déglutir, mais mon corps ne demande plus que ça, être pris, être baisé, je m’abandonne à son désir, et c’est bon. Il est sur le point de jouir enfin et se retire, sa bite toujours droite, plus enflée que jamais, luisante de salive.
Il saisit alors sa bite de sa main gauche, ma vulve de sa main droite, et il se masturbe violemment au-dessus de moi tandis que sa main droite envahit mon sexe trempé. Sa main qui s’agite en moi fait un bruit d’eau qu’on agite dans un bocal, ma chatte se distend à l’infini, mon clitoris s’enflamme, mon vagin est pris de spasmes brûlants et des contractions me saisissent. Ses deux mains s’affolent, nos deux sexes aussi, je suis hypnotisée par sa bite prête à jouir sur moi. Puis le moment arrive, des jets puissants de sperme viennent frapper mon visage et mon cou, sa main dans mon sexe accélère encore. Je jouis. Je jouis. Je jouis au rythme des petites gouttes tièdes et visqueuses qui fleurissent sur mes joues. Je me sens vide et pleine à la fois, belle et sale, sexy et sexuelle, épuisée et heureuse. C’est, c’est tellement bon. Pierre s’écarte pour rejoindre Louis. Et son corps libère à nouveau mon champ de vision. Il y a une nouvelle silhouette qui me regarde.
Je n’avais pas entendu la porte claquer à l’instant. Cette silhouette, c’est Lou. Je suis couverte de sperme, attachée par les mains. Je viens de jouir, nue sur son parquet, et son string parme est en chiffon pas très loin de mes pieds.
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