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Les Amants du Chalet

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Woahhhh ! Ça s’est vraiment bien passé, il a été comme j’avais envie qu’il soit. Précautionneux, doux, audacieux juste quand il le fallait ! J’ai chaud, je transpire et je lui montre la salle de bain :
— J’y vais, juste un peu ! Je reviens te donner un coup de main ! Je vais t’aider ! c
Je ramasse mon peignoir et vais donc à la salle de bain me passer un peu d’eau fraîche sur la figure, me donner un coup de peigne et me refaire une beauté. Je suis tout ébouriffée et mon maquillage a souffert, mais je me sens bien, très bien même. Moi qui adore me faire lécher la chatte.....
Je me regarde dans la glace, je me souris, je m’interpelle !
— Alors ? Ça t’a plu ? T’as l’air contente !— C’est ce que j’espérais.— Tu sais plus, mais t’étais chaude et t’as bien joui, non ?— Oui, je suis bien partie !— Et maintenant, t’as envie de te faire enfiler, hein ?— Sois pas vulgaire !— T’as pas envie ?— Si ! Évidemment ! Ce n’était qu’un amuse-bouche.— Faut que tu y ailles, il t’attend !— Ah oui ! Je me dépêche !

J’enfile juste mon peignoir de bain et je vais retrouver Yohan dans la cuisinette. Il est vingt heures trente, vingt et une heures peut-être, et :
— Ca donne faim tout ça !
Je lui souris et lui demande ce qu’il a prévu.

— Ce soir, on fait simple ; je te propose un peu de charcuterie, une grande salade, yaourts, fruits ! — Woahhh ! Tout ça, super ! — Demain, on fera mieux, il y a tout ce qu’il faut avec ce que j’ai apporté ! Ce soir, j’ai pas eu trop le temps... — Oui, c’est vrai que tu as été très occupé depuis que tu es arrivé. Mais très bien occupé !
Il sourit et on passe à table... Le temps passe à discuter de tout, de rien, de nos amis, de ses projets pour la semaine, de mes projets pour la semaine... On allume la télé, on tombe sur un documentaire qu’on regarde en pointillé. Le repas se termine. On range et il se dirige vers la douche :
— Moi aussi, il faut !
Il n’a pas fermé complètement la porte de la douche alors là, je vous entends déjà, nos lecteurs que j’adore :’Bien sur, il a envie qu’elle vienne le rejoindre sous la douche. Elle va pouvoir le savonner. Elle va lui caresser tout le corps avec la mousse, particulièrement son sexe qui n’attend que ça et ses boules qui sont pleines à craquer !... Surtout qu’elle en meurt d’envie, la salope !’
Ben non ! Vous avez perdu, je n’en ai pas eu envie, j’ai eu envie de l’attendre lovée dans le canapé, pensant à lui, c’est vrai, mais regardant distraitement la télé et quand il est sorti quelques minutes plus tard, il était tout bêtement dans son peignoir. Un mec normal comme j’aime. C’est tout. Il est venu s’asseoir sur le canapé et je me suis lovée (encore une fois !) contre lui, il a passé ses bras autour de mon cou et on était bien.
On était bien quand il a glissé sa main dans l’échancrure de mon peignoir.....On était bien quand j’ai posé ma main sur son genou.....On était bien quand sa main est vraiment descendue.....On était bien quand j’ai tourné la tête vers lui et qu’il a compris qu’il devait m’embrasser...On était bien quand je l’ai embrassé (j’avais écrit ’embrasé’, mais là aussi, je l’ai embrasé!) et qu’il a pu commencer à me caresser la poitrine.On était bien quand ma main est remontée entre ses cuisses qu’il n’a pas cherché à tenir serrées...On était bien quand il a pris ma poitrine dans sa main...On était bien quand j’ai constaté qu’il ne cherchait pas à cacher le désir qu’il avait..... et que j’avais en main. Un très grand désir, un désir solide et bien épais :)
— Tu es bien, Yohan ? — J’ai l’air de quelqu’un qui n’est pas bien ? Et toi, ma belle ?
Moi, j’étais très bien, très calme, lovée contre mon amant qui me caressait doucement les seins, ma source de cyprine commençant à s’affoler, une bite bien raide en main, les yeux rivés sur un documentaire qui avait pour moi de moins en moins d’intérêt, tout n’était que luxe, calme et volupté et moi qui m’entendais dire :
— Yohan, je suis bien là, j’ai envie que tu me fasses l’amour... — Depuis le temps, j’en ai tellement envie... — Moi aussi, tu sais, faut te sentir libre avec moi. Tu comprends ce que je veux te dire ? — Je crois, oui !
J’étais complètement excitée et si Yohan avait eu deux doigts dans ma chatte, il s’en serait aperçu. Mais j’étais sûre que ça n’allait pas tarder ! C’est là que m’est revenu en mémoire un soi-disant poème érotique qu’un copain m’avait forcée à hurler chez lui, un soir où on était un peu bourrés...
— Yohan, je peux te réciter un poème ? — Oui, ma belle...
Vu ce que j’étais en train de lui faire avec ma main, il ne pouvait rien me refuser :)
— Je te préviens, c’est un peu... cochon ! — Je t’adore quand tu es cochonne ! — T’as pas peur ?
Alors je me suis à nouveau lovée contre lui, branlant doucement son sexe que j’avais tellement envie de sucer. Mes seins dans sa main, confortablement installée, j’ai commencé, prenant mon temps :
— Grâce à toi,..... Je vais être baisée..... Etre limée..... Etre défoncée... Etre sucée..... Etre mangée...... Je vais m’entendre jouir... M’entendre gémir..... M’entendre feuler...... Me voir griffer les draps... Me défendre...... M’ouvrir....... M’offrir..., tu aimes Yohan ?
Je n’avais pas besoin de lui poser la question, j’avais la réponse dans la main !
— Je continue mon poème ?
Je m’étais un peu redressée et je regardais Yohan dans les yeux tout en continuant à le branler doucement. Je commençais à mouiller sérieusement plus il me pelotait.
« Yohan, j’ai envie...... Que tu me désires..... Me détestes....... J’ai envie....... Que tu m’attaches....... Me ligotes....... M’emprisonnes....... Les bras en croix, clouée contre le mur...... »Là, Yohan s’est emparé de mes seins et m’a allongée sur le canapé brutalement avec un regard de désir fou, il a saisi mes poignets, il s’est couché sur moi.....
— Yohan, ce n’est qu’un poème..... Qu’est-ce que tu crois ? — Je ne crois rien, continue, ma belle !
J’ai réussi à continuer.....
— Yohan, j’ai envie...... D’être en levrette..... A quatre pattes..... Le cul en chaleur..... Appelant... Ta queue....... Ton nSud...... Ta bite......
Yohan essaie de m’immobiliser, mais c’était un jeu, il riait et je rajoutais :
— Mais Yohan, ce n’est pas moi qui le dis, c’est un poète, j’te jure,....... J’ai envie..... J’ai envie......... Que tu me baises..... Si ! Si ! C’est le poète..... Que tu m’encules... C’est aussi le poète, quoique...... Jusqu’à la garde..... Que tu me défonces........
Le canapé commençait à trembler et je tremblais pour lui. Je ne savais pas si je devais m’arrêter pour que Yohan arrête de s’exciter... Enfin si, je n’avais aucune envie d’arrêter d’exciter Yohan.
— Mais continue, ma chérie, continue ! — Oui, mais avec ta main entre mes cuisses... Ah oui, le poète disait... J’ai envie..... Que tu me suces... Que ta langue dans ma chatte... Caresse mon clito....... L’avale...... Mon pauvre Yohan, j’ai envie......
Là, je n’ai pas pu lui réciter la suite, il s’est mis debout, il a tombé son peignoir, il m’a soulevée dans ses bras puissants, on a réussi à passer la porte de la chambre sans me fracasser le crâne, et il m’ a jetée sur le lit. Je n’en pouvais plus de rire.....
— Que tu me laboures pendant des heures... Que je ne puisse plus ni m’asseoir ni me lever..... Ca, je ne suis plus sûre que ce soit le poète qui le dise, ça !... Yohan, j’ai envie que tu me baises, mais c’est quand tu veux... Surtout, ne te presse pas !
Ca, c’était vraiment de la provoc ! Vous savez ce qu’il a fait ? :)

Je vais vous le dire, moi, ce que je fais : je la regarde d’un air presque méchant avant de me jeter sur elle. J’écarte vivement les pans de son peignoir, dévoilant son corps magnifique puis d’une main, je la saisis à la gorge. Le geste paraît plus violent qu’il ne l’est en vrai. Amélie arrête de rire et le lance un regard de défi. Je lui demande :
— Tu veux vraiment que je te montre que je la connais bien ta poésie ?
Oui, vas-y... Montre-moi.
— Tu ne perds rien pour attendre ! Tu vas voir que je connais ma leçon sur le bout des doigts, coquine !Mais tu as oublié une strophe dans ton poème.
Elle me regarde avec étonnement avant de demander :
— Ah bon ? Tu crois ? — Je suis sûr même ! Tu n’as pas parlé du moment où tu me prends en bouche, où tu me suces, où tes mains me touchent en même temps...— Oui, j’ai oublié, tu as raison, mais je peux réciter ce passage maintenant si tu veux. — Non, pas besoin ! Finie la poésie, maintenant on passe aux travaux pratiques !
Elle sourit en comprenant où je veux en venir. Je me déplace sur le lit, à genoux, jusqu’à me retrouver proche de son visage. Je place un coussin sous sa tête pour qu’elle soit à l’aise. Je passe une main dans ses cheveux longs et mon autre main vient saisir son sein... ce que j’aime sa poitrine : opulente, douce et appétissante.
— Vas-y, Amélie, montre-moi que tu es douée en travaux pratiques !— Tu vas voir, je vais te rendre dingue moi ! Tu vas voir ce que je sais faire avec ma bouche !
Elle me lance dans un regard d’emploi de lubricité et de sensualité. Elle sourit et approche son visage de mon sexe tendu. Je suis incroyablement dur alors que pour l’instant, elle n’a fait que me branler un peu. Mais sa main, ses doigts sont tellement experts, son corps brûlant tellement excitant et ses mots tellement puissants. Sa voix envoûtante, son visage angélique, son corps de déesse : tout en elle m’excite au plus haut point. Elle effleure ma queue de ses lèvres puis me fait sentir son souffle chaud. Sa main saisit mon manche et elle commence à tirer légèrement la langue. Le contact de mon gland avec cette dernière m’électrise immédiatement. Elle joue un peu avec sa langue puis ses lèvres enserrent enfin mon gland. Elle suçote mon gland en douceur. Je savais qu’elle avait une jolie bouche pour l’avoir vue en photo et elle m’avait dit qu’elle aimait sucer, mais à peine a-t-elle entamé les va-et-vient avec sa bouche le long de ma queue que j’en ai eue une preuve plus que tangible.
Elle me suce avec application tandis que sa main droite me branle et que sa main gauche me tient les couilles.
— Ooooh Amélie ! C’est trop bon ma belle ! Tu suces tellement bien !
Je sens un sourire se dessiner malgré mon sexe qui gêne sa bouche, puis elle redouble d’ardeur pour me faire encore plus de bien. J’aime le faire sucer en temps normal, mais là, c’est particulièrement bon. Elle est vraiment douée. Trop douée. Je suis obligée de la stopper tant c’est excitant.
— Déjà ? rit-elle, provocatrice. — T’inquiète pas, je compte bien y revenir après m’être occupé de toi ma belle.
Je me déplace à nouveau pour me positionner entre ses jambes après les avoir écartées. Je me jette dessus : ma bouche, ma langue et mes doigts s’emparent de sa chatte. Je la goûte à nouveau, mais avec plus de véhémence cette fois. Amélie mouille déjà beaucoup et très vite, mes lèvres brillent de cyprine et mes doigts enfoncés en elle en sont imprégnés. Je sors mes doigts du délicieux antre de chair puis je me redresse et m’allonge entre ses jambes. Nos corps se collent, nos peaux s’épousent enfin, nos sexes chauds se consument l’un l’autre. Je la regarde et je lui ordonne :
— Tiens, goûte-toi ! Goûte l’essence de ton plaisir !
Elle ouvre la bouche, j’y glisse mes deux doigts toujours trempés. Elle se met à les sucer avec gourmandise. Elle me dévisage d’un air coquin, et mes yeux doivent en dire autant. Je retire mes doigts et les remplace par ma bouche. Notre baiser est langoureux, enflammé. Je me redresse le temps de saisir la boîte de préservatifs que j’avais discrètement posée sur la table de chevet, tout à l’heure, pendant sa deuxième douche. Pendant que je déballe et enfile la protection, la belle Amélie déclare :
— Tu es bien dur, dis donc ! Allez, viens me prendre, j’en peux plus... — J’arrive. Moi c’est pareil, j’ai trop envie de toi, tu es tellement belle.
Je me recouche sur elle en douceur. Je saisis mon sexe pour le positionner comme il faut et je commence à la pénétrer. Je ne recule pas, j’ai envie de rentrer entièrement mon sexe en elle, dès le début. Elle mouille suffisamment et j’y vais progressivement, mais je continue à m’enfoncer en elle. Je l’embrasse à pleine bouche en même temps. Au moment où je commence à reculer mon visage, elle me mord la lèvre et m’attire à nouveau vers elle. Cette morsure, par réflexe, me fait donner un coup de bassin et voilà que je plante ma verge tout au fond d’elle et d’un coup. Alors que nos bouches sont soudées de nouveau, cette pénétration profonde et soudaine lui arrache un gémissement, mélange de surprise, de douleur et de plaisir. Je l’observe au cas où, tout va bien, elle sourit. Je prends son sein dans ma main pour jouer avec et je plonge la tête dans son cou pour l’embrasser et la mordiller. Je démarre une série de va-et-vient lents, mais toujours aussi profonds.
Nos jeux de bouche se poursuivent ; nous allons avoir des marques demain, des preuves physiques de nos ébats. Je me redresse, appuyant mes mains sur le lit, bras tendus, afin de la regarder pendant que je lui fais l’amour. Le spectacle est superbe : ses seins bougent au rythme de mes coups de reins, ses cheveux s’étalent sur les draps, son visage trahit son plaisir et son envie. Elle halète et m’ordonne presque :
— Vas-y, Yohan ! Baise-moi !
Je lui obéis sur-le-champ et j’accélère le rythme tout en étant plus "violent" dans les coups de boutoir. Elle se met à gémir plus fort et la voir prendre son pied comme ça décuple mon envie. Je me recolle à elle pour goûter à nouveau sa bouche, sa langue, son cou, le lobe d’une oreille, un sein, un téton... C’est vraiment extra, mais j’en veux plus, je ne veux pas que ça s’arrête déjà. Alors je ralentis peu à peu la cadence puis je lui susurre :
— J’ai envie de te prendre par derrière ma belle. Souviens-toi du poème : tu réclamais la levrette !
Encore une fois, Amélie me répond par un simple sourire. Je me dégage de son corps. Je m’agenouille et je l’aide à se relever. Je finis de faire tomber son peignoir et elle se poste devant moi, à quatre pattes, jambes écartées. Toujours à genoux, je m’avance vers elle. Je me colle contre elle et je pénètre de nouveau avec force. Je caresse un peu son dos. Elle a une magnifique et super douce. Ma main gauche attrape sa chevelure tandis que ma main droite saisit sa fesse et la pétrit avec force. À nouveau et à sa demande, la baise est plutôt énergique et intense... Je lâche sa fesse pour venir jouer avec son petit trou avec mes doigts. Je les mets en bouche pour les humidifier et je me sers de ses sécrétions aussi. Peu à peu, mon pouce entre un peu dans son anus. Ma queue continue à coulisser en elle. Ce petit traitement dure depuis quelques instants quand Amélie :
— Oh, putain, c’est trop bon... Hannnn... je... je... ouiiii...
Elle est prise d’un puissant orgasme qui me surprend et m’excite à la fois. Elle jouit longuement en poussant de délicieux gémissements... Je ralentis progressivement, puis je me retire. Alors qu’elle s’apprête à se retourner, je lui attrape fermement les hanches. Je penche mon visage vers ses fesses et les embrasse tendrement, avant de lui préciser :
— Non non, ce n’est pas fini... Tu as oublié ce que tu demandais dans ton poème ? Pas moi !
A suivre...
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