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Les Amants du Chalet

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Il penche son visage vers mes fesses et les embrasse tendrement, avant de me préciser :
« Non non, ce n’est pas fini… Tu as oublié ce que tu demandais dans ton poème ? Pas moi ! »J’ai essayé de me rappeler ce que j’avais bien pu lui dire mais j’étais encore complètement dans la queue de mon orgasme. La queue, comme celle de la comète, oui, quand je me fais bien envoyer en l’air, je pense à une comète, la comète elle-même c’est mon orgasme, c’est chaud, j’oublie tout, je ne sais plus où je suis et puis il y a la queue de la comète, c’est toute une période où j’essaie de récupérer mes esprits, il ne faut pas m’en demander trop et là c’est le moment que choisit Yohan pour me demander de faire un effort de mémoire.... Mais quand j’ai senti son sexe balayer ma raie en insistant de plus en plus, j’ai réalisé brusquement. J’ai  compris ce qu’il voulait... Je n’avais rien contre mais il m’aurait laissé un peu de temps....  Mais bon, s’il veut m’enculer maintenant...
« Yohan, un peu de gel, s’il te plaît.... »
Je gagnais un peu de temps, le temps pour lui d’aller chercher une serviette et du gel même si je savais que ce ne serait pas nécessaire, mouillée comme j’étais ! Il étale la serviette sur le lit, je me mets à genoux et j’enfouis ma tête sous l’oreiller. Je suis surprise par la température du gel. Je parie qu’il doit être en train de vider le tube qu’il étale bien avec son sexe.... Je ne me rends pas trop compte de ce qu’il fait mais quand je le vois se mettre de côté, que je sens son pouce bien enfoncé dans mon cul et  deux doigts dans mon vagin, je sais....que ça va être ma fête ! C’est bientôt ma fête, je vais jouir et tremper la serviette,je le sais, j’essaie de me retenir , mais je ne peux pas et quand il a fini de me branler le minou il vient derrière moi et c’est debout qu’il remplace sans hésiter son pouce par sa verge, son manche, son vit, sa grosse bite …....
« Ta pisine est pleine, ma chérie ! »
Je ne commente pas. Il  essaie de s’enfoncer.... Ca force, il se retire revient dans ma chatte, j’écarte mes fesses avec mes mains.... Il revient essayer de s’enfoncer et au bout du troisième ou quatrième essai, il franchit la barrière …. Je pousse un petit cri, j’ai une petite réaction, réflexe de défense, il s’arrête.... Il attend un peu puis se lance.....
« Tu aimes ça, te faire enculer, hein ? »
J’aime pas trop au début mais plus il s’enfonce délicatement plus je sais que ça va le faire ….. Quand je sens son ventre et ses cuisses sur mes fesses, je sais qu’il est au fond et qu’on est bien..... Jusqu’à la garde !
« Attends un peu ! »
J’étais tendue pendant sa progression mais maintenant, ça va !« Que tu m’encules.... C’est aussi le poète, quoique...... Jusqu’à la garde ….. Que tu me défonces …..... »Maintenant, je me rappelle bien la suite.... Tu veux du cul, tu auras aussi de la culture !
« Une posada, à peine éclairée. Le long des murs, dans l’ombre, des buveurs attablés, qui causent entre eux ; au centre, une grande table, sur laquelle la danseuse essaie un pas. Avec une certaine noblesse d’abord, ce pas s’affermit, répète un rythme… Les buveurs n’y prêtent aucune attention, mais, peu à peu, leurs oreilles se dressent, leurs yeux s’animent. Peu à peu, l’obsession du rythme les gagne ; ils se lèvent, ils s’approchent, ils entourent la table, ils s’enfièvrent autour de la danseuse... qui finit en apothéose. Nous étions un peu comme les buveurs, ce soir de novembre 1928. Nous ne saisissions pas d’abord le sens de la chose ; puis nous en avons compris l’esprit. »
Le Boléro de Ravel ! Tu me fais le coup du Boléro ? J’adore me faire prendre en musique. Ca démarre doucement... Tu essaies un pas....un rythme.... Puis ce pas s’affermit, devient plus rapide.... L’obsession du rythme me gagne, tu m’encules avec vigueur et plus vite, tu t’enfièvres, tu m’enfièvres, je suis pleine, je me sens pleine, pleine d’une sensation que tu ne connais probablement pas, pleine de ta bite qui grossit encore, se calme un instant puis reprend le rythme, accélère encore, oui, tu vas tenir, tu dois tenir, Yohan, tu dois me faire jouir au final, tu n’en as plus pour longtemps, si, crois-moi, je m’écroule sur le lit, j’écarte les jambes, les fesses  au maxi, tu transpires, tu t’enfonces, je ne sais plus où j’en suis, je ne sais plus où je vais, sinon que je vais jouir.....C’est le final.... Grandiose...... Malgré le latex, je sais que tu donnes, que tu te vides, que tu décharges, putain que c’est bon.... Quand je fais l’amour, je ne sais pas qui baise qui, qui domine qui....... Mais quand tu t’écroules sur moi, ta bite au fond de moi, tu es très léger, léger, léger.....
Quelques minutes passent.....je somnole, repue, crevée..... lui doit être un peu dans le même état que moi.... on a beaucoup transpiré..... je sens qu’il se retire doucement.... j’ouvre un œil, je vois le préservatif plein de sperme qui pend à l’extrémité de son sexe.... un claquement quand il le retire..... il ferme la lumière quand il va à la salle de bain...... l’eau commence à couler..... je m’endors......Quand je me réveille dans la nuit pour aller aux toilettes, il est nu sur le lit. Il dort, il respire régulièrement, profondément..... Il a peut-être un léger sourire au lèvres.... Il est pas mal mon mec, mon mec qui m’a donné du plaisir, mon mec qui m’a remplie, même avec son sexe complètement détendu. Si j’étais en grande forme...... Mais, ça va, je ne suis pas encore repartie..... J’ai eu un instant l’envie de le toucher délicatement, assez pour sentir sa réaction, mais pas trop pour le pas le réveiller et puis finalement.....Je me recouche et me rendors. J’ai rêvé... enfin, j’ai l’impression de rêver, de faire plusieurs rêves, des rêves érotiques, bien sur ! Quand je me réveille, je ne me rappelle que d’un rêve érotique avec Yohan évidemment mais il n’était pas seul, il y avait deux amis avec lui. Il disait que c’étaient des amis à lui mais ils ressemblaient beaucoup à des amants à moi !  Je ne vous dis pas ce que je ferais de trois hommes. En tout cas, maintenant je le sais !Quand je me réveille Yohan est lové dans mon dos. Il me demande si j’ai bien dormi. Je le rassure, tout va bien, je suis en pleine forme...Il me dit qu’il s’est levé cette nuit.... Je ne l’ai pas entendu.... J’étais nue sur le lit, découverte..... Il n’a pas pu s’empêcher, c’est ce qu’il dit, de s’approcher et de me caresser délicatement le bout des seins..... Il paraît que je souriais dans mon sommeil..... Je ne lui parle pas de mon rêve....
« Il faut se dépêcher un peu pour les locations »
C’est l’un de mes plus agréables petit-déjeuners. Yohan est aux petits soins pour moi..... Je me dis que la situation est un peu bizarre. Je ne le connais pas vraiment, c’est le moins qu’on puisse dire, mais je me sens à l’aise avec lui....Et cette sensation va durer …. Je vais louer chaussures et ski, lui a son matériel..... Il fait grand beau......  Une journée grave géniale. Beaucoup de monde mais on s’en fout, c’est dimanche.... C’est normal.... Déjeuner rapide sur les pistes..... Un arrêt à la terrasse plein soleil du Bar des Skieurs..... Puis retour au chalet, il est 17h, on a rendu mes skis parce que je repars demain matin.
Quand on entre dans le chalet, l y fait très chaud, une douche s’impose, hein Yohan ? Il ne répond pas.... J’enlève ma combinaison de ski... dessous, j’ai juste une petite culotte, un soutif et un top bleu ciel.... Je me penche pour sortir ma petite trousse de beauté de mon sac à dos posé par terre quand je sens les mains de Yohan sur mes hanches..... Je me redresse et me tourne vers lui et là je vois dans ses yeux ce dont il a envie.... Il me donne un baiser qui m’empêche de répondre à la question qu’il ne m’a même pas posée.....
« Oui, bien sur, avec plaisirs, hein ? »
Il me soulève facilement et me pose les fesses sur le bord de la table, se penche vers moi, me couche sur la table, écarte mes cuisses, prend mes chevilles et les pose sur ses épaules.... Il est torse nu mais n’a pas eu le temps de sortir complètement sa combi. Je mouille déjà et n’ai pas forcément envie de préliminaires.....
*******************************
Je sens qu’elle a envie que je la prenne comme ça, sans préliminaires… Et moi, j’ai envie de la combler. Après ce qu’elle m’a offert hier soir : une symphonie en sodomie, une sodomie en symphonie. Nous étions synchrones et en harmonie. J’ai su faire jouer mon archet sur les cordes de son désir. Elle m’a gratifié de douces mais sonores vocalises pour exprimer son chant du plaisir. Jamais je n’avais ressenti une telle intensité en enculant une femme. Amélie est une diva de la baise, la prima donna de l’opéra de la sexualité. Son corps est un enchantement, sa peau est un chef-d’œuvre, sa partition est un trésor rare et précieux. Mais voilà que je me perds dans mes pensées alors que la belle attend le début d’un nouveau récital. Je lui dis :
« Enlève tout ça ! J’ai envie de voir tes seins pendant qu’on fait l’amour. »
Pendant ce temps, j’attrape mon portefeuille dans le poche de ma combi et j’en sors un préservatif. Je retire ma combi et mon boxer en même temps. Je bande déjà très très fort, faut dire qu’avec une telle femme sous ses yeux, c’est impossible de ne pas être excité. Je recale ses chevilles contre mes épaules, j’enfile le préso. J’écarte sa culotte pour pouvoir passer ma queue, je constate qu’elle mouille déjà beaucoup, ça confirme qu’elle me veut comme ça, direct. Au cas où elle me précise quand même :
«  Prends-moi vite ! J’en peux plus, j’ai trop envie de sentir ta queue en moi. » « J’arrive ma belle… »
Je cale mon sexe bandé contre sa chatte et je la pénètre avec une extrême lenteur, centimètre par centimètre. Je passe ma main sur son ventre et je la remonte, jusqu’à saisir son sein droit avec force. Je progresse en elle, la moitié de ma queue est déjà entrée… je continue à m’enfoncer. Elle se cambre alors comme pour réclamer que je m’enfonce totalement. Ses désirs sont des ordres : alors d’un coup puissant, je finis de prendre possession de sa chatte. Me voilà totalement en elle. Amélie me regarde avec des yeux emplis de lubricité. Je comprends que j’ai fait ce qu’il fallait. Je commence alors les va-et-vient. Cette fois, c’est clairement sauvage, je la prends avec force et elle en redemande. Elle a même passé son majeur par le haut de sa culotte pour se flatter le clitoris pendant mes coups de reins. Nos gestes sont parfaitement coordonnés, tant et si bien que la belle ne tarde pas à jouir. Son orgasme est long et puissant, ses gémissements exquis ; elle m’entraînerait presque dans sa jouissance mais je me retiens, j’ai une autre idée en ce qui me concerne. Amélie gémit et son corps ondule délicieusement pendant qu’elle finit de jouir. Finalement, quand je sens qu’elle se relâche totalement, je me retire en douceur.
« Putain ! C’était vraiment trop bon ! J’ai pris un pied pas possible. »« Oui, j’ai pu le voir et l’entendre aussi. » «  Et toi alors ? » «  Moi, j’adore te voir prendre du plaisir… Tu es magnifique. Mais je n’ai pas joui, si c’est ta question. » « Je peux faire quelque chose pour remédier à ça ? »« Oh ça oui, tu peux !! Je me suis retenu exprès même ! » « Dis-moi coquin… tu veux quoi ? » « J’aime tellement ta bouche et tes lèvres… » « Je vais bien te sucer alors, tu vas voir !! »
Alors qu’elle s’apprête à descendre de la table, je la stoppe.
« Non non, reste sur la table, si tu veux bien. »
Elle m’adresse un merveilleux sourire et tandis que je retire mon préservatif, elle se déplace sensuellement sur la table (quand je pense que dès demain, je vais faire des repas avec mes amis sur cette même table). Allongée sur le dos, le visage tourné vers mon sexe toujours aussi tendu. Je m’avance vers elle, je caresse sa poitrine d’une main et de l’autre je plonge mes doigts dans sa chevelure. Amélie entrouvre sa bouche, m’invitant à y entrer. Ses lèvres sont douces et brillantes, à l’image de mon gland... Une fois ma bite toute proche de sa bouche, ma belle amante tire la langue pour venir laper mon gland avec gourmandise. Mon Dieu - ou devrais-je ma Déesse - que c’est bon. Très vite elle me laisse progresser un peu et ses lèvres enserrent ma queue. Mon sexe coulisse dans sa bouche chaude, se frottant sur sa langue au passage. Je continue à lui caresser le corps et à la tenir par sa belle chevelure. Elle me branle en douceur pendant qu’elle me suce : sa main est aussi experte que sa bouche et l’association des deux me procure un plaisir incroyable. Je donne quelques coups de bassin pour imprimer un peu le rythme. Elle alterne les jeux de langue et les succions plus franches, plus ou moins profondes. Tout en me masturbant avec force elle me dit :
« Vas-y… Donne-moi ton sperme… Remplis ma bouche, fais toi plaisir ! » « Tu es magnifique et tu suces divinement. J’en peux plus, je vais bientôt jouir. Ta bouche est parfaite. Je t’adore !! »
Elle me sourit puis elle me reprend en bouche. Elle me branle plus fort mais sans vraiment accélérer le rythme. Elle s’applique à me sucer avec délectation et attention. Et quand je sens mon plaisir monter, je reprends le contrôle des mouvements, allant et venant profondément dans sa bouche. Et puis, c’est l’explosion, la délivrance, l’orgasme puissant. Je sens mon sperme jaillir et envahir sa bouche. Amélie continue à me sucer comme si de rien n’était, avalant ma semence au fur et à mesure qu’elle s’écoule sur sa langue, dans sa gorge. Jusqu’au moment où la douleur devient plus forte que le plaisir et que je lui demande d’arrêter. Je l’aide alors à se redresser. Elle est de nouveau assise sur la table, et me voyant épuisé, elle me demande de sa belle voix :
«  Ça va quand même ? Ça t’a plu je crois, non ?
Pour toute réponse, je l’enlace avec passion avant de l’embrasser langoureusement. Je lui glisse un merci dans le creux de l’oreille en la reprenant dans mes bras.
«  Tu es exceptionnelle ! Vraiment ! » «  Arrête, tu vas me faire rougir… » « Mais j’y compte bien oui ! Ça te dit qu’on aille se laver ensemble ma belle ? Il est encore tôt, nous avons le temps de de traîner un peu avant le repas. On se prend un bain carrément ? » «  Ouiiiiiii ! Excellente idée ! »
Je l’entraîne avec moi dans la salle de bain. Je mets l’eau chaude à couler tandis que nous nous câlinons et reparlons un peu de cette superbe journée. On commence déjà à se dire que ça passe trop vite et que nous avons passé un merveilleux week-end. La discussion dévie sur nos vies et nos envies respectives. Chacun écoute l’autre avec attention et respect. Non seulement on baise bien mais en plus nous nous entendons super bien. Amélie est cultivée et passionnante, c’est un régal d’échanger avec elle. Avec tout ça, la baignoire est pleine.
Je rentre dans l’eau et me cale au fond de la grande baignoire puis elle me rejoint et s’installe entre mes jambes, posant l’arrière de sa tête sur mon torse. Je la serre dans mes bras, l’embrasse dans le cou puis caresse doucement ses seins. Une fois encore il y a énormément de tendresse entre nous. On reste un moment dans cette position agréable et confortable. Je lui demande alors :
« Tu aimerais que je te lave les cheveux ma belle ? Ils sont magnifiques tu sais. » «  Oh oui, je veux bien, j’adore qu’on s’occupe de moi. »
Je saisis le pommeau de la douche et je lui mouille les cheveux. Elle me fait passer le flacon de shampoing ; j’en verse un peu dans sa longue chevelure et je me mets au travail. J’adore prendre soin des femmes alors quand elle s’avère aussi belle et douce qu’Amélie c’est un vrai bonheur pour moi. Je m’applique à ne pas lui faire couler d’eau savonneuse sur le visage, je shampouine ses cheveux et masse sa tête par la même occasion. Elle apprécie visiblement mon attention. Je finis par la rincer avec de l’eau tiède, elle me remercie et se retourne pour déposer un baiser sur mes lèvres. Nous finissons de nous laver mutuellement, alternant bisous et caresses. Nous passons un moment délicieux, hors du temps. Nous sortons du bain, enfilons chacun un peignoir et nous repartons vers la cuisine. Elle nous sert un apéritif tandis que je vais mettre un peu de musique classique en fond. Je reviens vers elle, nous trinquons et nous nous mettons à la préparation du dîner.
« Si tu as aimé mon shampoing, tu vas adorer le massage que je te vais te faire tout à l’heure...... »
A suivre.... ?
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