Après la jolie surprise de mon amant (une vidéo de lui sous la douche), je ne pouvais m’empêcher de lui renvoyer la pareille. Je ne suis pas très à l’aise avec mon corps, surtout mon ventre qui a souffert de ma grossesse, mais il me dit toujours que je suis belle, qu’il a envie de moi, que mes fesses le rendent fou... alors je me lance ! Je me déshabille, trouve un système pour poser mon téléphone dans la douche sans risquer de le mouiller, mais pour que mon tendre A. ait une vue d’ensemble et :" coucou ! Il est 6h du matin, c’est l’heure de la douche!” Je me retourne pour allumer l’eau, je prends le pommeau de douche et joue innocemment avec, laissant l’eau ruisseler sur mes épaules, mes seins, mon dos et mes fesses. Je me suis épilée la veille, ne laissant qu’un petit bosquet sur le mont de Vénus." un peu de gel douche maintenant ! On fait bien mousser.” Mes mains caressent ma peau et mon corps est peu à peu recouvert d’une mousse onctueuse. Je lui lance des clins d’œil, des sourires coquins tout en me savonnant. Puis je me rince, en prenant la pause, de profil, bien cambrée, les seins dressés en avant, dont les tétons excités pointent franchement. Je termine en m’approchant tout près du téléphone et lui envoie un baiser volant en lui souhaitant une bonne journée.
Avec les 6h de décalages horaires, il ne verra ma vidéo que vers 14h30, et je suis un peu nerveuse. Mais mes doutes s’envolent, vers 15h, quand il m’envoie un message “waouuuuh ! Magnifique, comme toujours ! Merci beaucoup ma douce. Ça m’a donné envie d’aller en prendre une...” je le remercie, et lui propose de refaire ça, mais en visio, pour partager ce moment à deux, il est plus que ravi.
Malgré notre envie commune, plusieurs imprévus sont venus contrecarrer nos plans. Entre le décalage horaire et les jours où il est impossible de s’appeler, nous avons peu d’occasions de nous voir virtuellement. Alors, on se lance des défis par messages. Un jour, je lui envoie un fichier audio, il a 3 essais pour deviner de quoi il s’agit, s’il réussit, je lui envoie la version vidéo. Mais le 1er défi est un peu difficile : on ne voit que mon fessier, en string dentelle rose que je fais claquer avec mes doigts. Je lui fais cadeau de la 1ère épreuve. Le 2ème défi est un peu plus facile : je suis seins nus, j’ouvre un flacon de gel de massage, en expulse une noisette sur mes mains et je l’étale sensuellement sur ma poitrine. Il arrive à deviner le début, mais pas ce que je fais avec le gel, bonne joueuse, je lui envoie tout de même sa récompense et il me dit: “hum très réussi ! Je vais avoir du mal à trouver des défis aussi intéressants”, je lui réponds :“c’est peut-être moins évident de ton côté en effet, mais tu peux essayer d’autres choses, je suis très sensible aux mots par exemple ”.
Quelques jours plus tard, je reçois ce message de sa part: “une jeune fille de 35 ans qui rêvait d’un tatouage a pris son courage à deux mains la semaine passée... elle rêvait d’une petite fleur tatouée près de sa rose. Le jour J, dans le salon de tatouage, quelques clients scrutent les magazines posés sur une petite table. La fille courageuse était allongée, jambes écartées, laissant le tatoueur faire son travail. La scène se déroulait juste à côté de la salle d’attente, séparée par un petit rideau très fin. On aperçoit le tatoueur concentré à réaliser son œuvre. Quelques minutes passent, on entend des petits bruits saccadés, de plus en plus fort. Dans la salle d’attente, on se demande ce qu’il se passe, on hésite entre la douleur que peut causer l’instrument et autre chose...”, puis: “aimerais-tu avoir un tatouage à cet endroit ? Fais par mes soins... avec mes propres instruments ?” je lui réponds que ça me plairait beaucoup ! Et il m’envoie: “OK, voilà donc mon défi pour toi : trouver un endroit qui ferait office du salon... avec des clients qui se demandent ce qu’il se passe, pour nos retrouvailles... une première version est attendue au plus tard demain”.
Je suis tout émoustillée et ravie qu’il ait pensé à un défi pour moi ! Il faut savoir qu’il est le seul à avoir réussi à me faire jouir avec sa langue et que cela m’avait laissé un souvenir impérissable. Je ne suis pas trop du genre exhibitionniste, mais pour le délire, je décide de me lâcher et invente le lendemain un scénario dans une cabine d’essayage, avec une vendeuse un peu trop attentionnée et une voisine de cabine bavarde ! Il adore mon idée, mais je ne lui laisse pas le temps de développer et lui pose une nouvelle énigme : “devine ce que j’ai fait cet après-midi ?” il trouve assez facilement et je lui envoie la vidéo suivante :
Mon téléphone est posé sur le lit, on voit une partie de ma chambre, j’apparais dans un ensemble en dentelle blanche, j’avance sur le lit, féline, lui adresse un coucou sensuel en approchant mes seins de l’écran. Je me positionne de profil et enlève mon soutien-gorge, je caresse mes jolis seins bien ronds, les resserre, les remonte et titille mes tétons déjà durs. Puis je m’allonge et tends une jambe vers le haut (je sais qu’il adore ça), je me tourne, les fesses devant le téléphone et ondule lascivement du bassin. Je fais glisser mon string déjà bien humide sur mes cuisses jusqu’à mes pieds. À genoux sur le lit, assise sur mes talons, je commence à glisser une main vers mon intimité en soupirant, les yeux fermés. Puis je m’allonge à nouveau, je saisis d’une main le téléphone et me caresse la minette de l’autre, il ne voit que mon visage où le plaisir se lit et lentement je descends la caméra vers mon entrejambe inondée. Je pose le téléphone entre mes cuisses bien ouvertes et je reprends mes caresses, je joue avec mes doigts sur mes grandes lèvres, je triture les petites. On voit clairement que je mouille abondamment et je glisse mon majeur à l’intérieur de ma grotte en gémissant. Je le ressors, luisant de cyprine, et je le pose sur mon bouton d’amour déjà tout gonflé de désir, j’augmente la vitesse de mes cercles dessus, laissant échapper des soupirs de plaisir de plus en plus sonores. Je sens l’orgasme arriver et je lance un "oh oui ! A. ! “, mes cuisses se resserrent d’instinct et je reste plusieurs secondes en apesanteur. Je me redresse enfin, envoie un baiser vers mon amant et coupe la vidéo.
Quand nous nous sommes connus, 10 ans plus tôt, regarder une fille se caresser était un de ses fantasmes et je l’avais réalisé, mais pas jusqu’à l’orgasme. Il avait trop envie de participer et ce sont ses doigts qui m’ont fait jouir finalement, pour mon plus grand bonheur. Maintenant qu’on est coincés chacun derrière son écran, il ne peut être que spectateur, jusqu’au jour où l’on se retrouvera pour de vrai...
La suite de cette histoire sera classée en fantasme, mais si les évènements évoluent, je raconterai la réalité.
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