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Les amants de Lady Schneckerley

Chapitre 2

Hétéro
Dès qu’ils furent sortis, je me précipitai vers mon broc pour me laver la chatte. J’étais partagée de sentiments contradictoires. Je me sentais humiliée, j’étais en colère, ravagée par une haine profonde contre ces deux hommes dont je jurai de me venger mais en même temps j’étais frustrée. Je n’avais pas eu le temps d’atteindre l’orgasme comme quand je me câlinais longtemps.
A cette pensée, je mis mes doigts sur mon con. Il avait souffert, j’avais un peu mal mais il avait apprécié le gros nœud de Calldick.
J’avisai le gros gode en bois qu’ils avaient laissé traîner par terre. Je m’en saisis et le portai entre mes grandes lèvres. Je commençai à me caresser avec. Le désir me submergea aussitôt.
Je me mis à califourchon sur une chaise, l’enfonçai en moi et commença à aller et venir dessus tout en me cramponnant au dossier. J’allais au moins avoir une excitation.

Comme je n’étais pas loin d’aboutir, deux mains me saisirent les seins par derrière. On devine ma terreur, je criai tout en basculant mais les deux bras vigoureux me retinrent.
"Allons, allons calme toi la belle, ce n’est que moi".
C’était Calldick. Il était nu, le sexe gonflé.
"Retirez-vous ou j’appelle"!
Me retirer, sûrement  pas ! Ton cochon de mari m’a coupé dans mes élans. Je ne pouvais pas rester avec le piquet dressé toute la nuit. Quant à me masturber, sachant qu’il y a là une bouche et un cul si accueillant...Retirez-vous vous dis-je ou j’appelle !Tu peux appeler tant que tu veux ma belle. Le vieux bouc dort profondément et pas un seul domestique ne se risquera à s’opposer à moi.Laissez-moi. Je raconterai tout!Allons, allons, vois tout ce que tu as à gagner avec moi. Tiens, viens voir.
Et il m’emmena vers le placard où mon mari avait pris le gode. Il y avait d’autres instruments. Calldick insista sur le fouets et les pinces.
"La cravache ne t’a pas suffi ? Pour tes petits fesse sont bien zébrées ! Ton mari aime quand c’est violent. Et je ne serai pas toujours là pour l’exciter. Quand il m’envoie en mission il faut bien qu’il se soulage. Alors les coups pleuvent. Tu veux essayer son fouet... Et regarde ces belles pinces. Imagine-les déchirant tes tétons... et celles-là avec les poids suspendus à tes lèvres... Non je t’assure quand je ne suis pas là, elles dérouillent. Fie-toi à moi. Je peux t’apprendre comment le satisfaire et tu échapperas à toutes ces tortures... mais pour cela il faudra être toujours très gentille avec moi".
Et il se rapprocha pour m’embrasser à pleine bouche.
Je protestai pour la forme, l’insultai, lui crachai même au visage. Mais je dus reconnaître qu’il avait raison. Aussi quand il plongea deux doigts dans ma chatte, n’opposai-je qu’une résistance de principe.
"Voila, tu deviens raisonnable... et puis avec moi tu as tout à gagner, car en plus tu vas te pâmer. Je vais t’emmener à l’orgasme plus facilement que ce pieu de bois avec tu jouais coquine. Car le mien est plein de bon foutre...".Donc nous avons un accord ?Nous avons un accord ma jolie. Viens. On va le conclure par quelques bons coups de queue.
Alors il me coucha sur le lit, les fesses au bord du matelas et il me pénétra sans peine car j’étais terriblement excitée. D’une main il s’agrippa à mon épaule et de l’autre il se mit à me broyer un sein. Sa queue me démontait avec violence  et les chocs de son corps sur le mien ébranlaient tout mon être. Mon sein libre flottait au rythme de ses coups.
Puis il me saisit sous les hanches de ses mains puissantes pour mieux m’enfoncer son engin tout en m’ordonnant, dans les termes les plus orduriers, de me caresser la poitrine, ce que je fis avec délice, mes nénés étant terriblement durs et disposés à toutes les tentations.
Bien qu’il me secouât avec violence, je ne souffris d’aucun mal, au contraire. C’était extraordinaire mais je me gardai bien de le lui dire.
Il me fit mettre dans diverses positions, allongée, sur le côté jambe pliée et jambe posant sur le matelas tendue et lui à califourchon sur cette dernière m’enfourchant comme une bête.
J’eus droit aussi à la levrette. Il me prit également sur un siège, face à lui pour me mordre les seins et pour balayer ma bouche de sa grosse langue baveuse. Perdue dans l’ivresse du désir je le laissais faire sans aucune retenue. Je devais reconnaître qu’il était expert et qu’il me sautait comme un dieu.
Il me saisit debout, les mains appuyées contre la cheminée, le cul tendue et lui me ramonant par derrière en pétrissant mes tétons durs.
J’obtins, à force d’être pénétrée un orgasme tel que je n’en avais jamais connu ce qui le fit exulter:
"Ah ouais. Tu couines bien salope. Tu aimes la bonne grosse queue. T’es faite pour être montée, toi. Je vais t’ exploser la chatte..."
Vaincue par ce premier orgasme je retrouvai mes esprits tandis que lui, allongé sur moi, continuait infatigable à s’agiter vigoureusement. Je subissais le poids de son gros corps, puissant mais sans beauté ni charme. Je me trouvai cynique. Je détestais l’homme mais j’appréciais pourtant son savoir-faire. Que c’était bon. Je compris alors que plus jamais je ne pourrais me passer d’un foutoir en chair si vigoureux et je me promis d’en trouver un beaucoup plus à mon goût dès que je le pourrai, plus jeune, plus beau, plus musclé...
"Allons, passons à du solide". Il se releva et saisit dans le placard un godemiché d’ivoire plus petit que le membre de bois qui m’avait fait perdre mon pucelage.
"Enfonce toi, cela. Bien, comme ça, oui tu aimes qu’on te fourre... d’accord, à quatre pattes... voila tu es très obéissante. Maintiens-le bien en toi. Comme ceci... et ne relâche pas.. Voila"
Et il commença à introduire son vit alors que mon con était déjà bien occupé. Mon excitation m’avait chauffée mais pas suffisamment dilatée et les deux monstres eurent du mal à cohabiter mais enfin, il y parvinrent avec mon aide car j’usais de toute ma force pour maintenir l’olisbos en moi. Je me sentais si pleine, si délicieusement foutue que je jouis à nouveau.
Il m’attrapa par les cheveux : ’allez viens là, et il mit son sexe au dessus de moi tout en l’agitant frénétiquement de sa main droite : "Ouvre bien ta gueule salope... Mieux que ça...tire la langue, vite".
Et je reçus aussitôt plusieurs jets de semence qui explosèrent sur mes joues, mon nez mon front ou qui se déversèrent aussitôt dans ma bouche. "Avale, tout, avale...".
Le goût était un mélange salé et amer et la texture était visqueuse et je ’en éprouvais aucun plaisir... ni aucun déplaisir.
Alors il s’affala à côté de moi sur le lit.
"Voilà, vous avez eu ce que vous voulez, retirez-vous maintenant".
Oh là, ma belle. Pas question. Le jour est encore loin et j’ai plein d’autre choses à t’apprendre. Laisse-moi le temps de récupérer et de me remplir à nouveau les burnes et quand le dardillon sera à nouveau prêt pour la décharge , je t’apprendrai comment bien branler un vit et comment bien le sucer pour permettre l’extase du mâle et l’attacher définitivement à toi. D’ici là, causons un peu et apprenons du vocabulaire car tu ne m’as pas l’air très savante en la matière".
Alors j’eus droit à une longue leçon de mots orduriers désignant toutes les parties du corps de la femme ou de l’homme et toutes les positions qu’on pouvait arranger et qu’il me montrait en réel. Ce fut une leçon de chose finalement captivante, malgré ma fatigue.
Puis, au bout d’une heure à peu près, il me dit : "cela doit être assez maintenant. Fait moi bander" et il s’allongea, écarta ses jambes pour me montrer son sexe"
Je le saisis et aussitôt je le sentis se réveiller alors je le mis dans ma bouche sans tarder. Dès qu’il eût atteint son paroxysme il m’enseigna comment lui procurer une bonne fellation, comment sucer le gland tout en masturbant la tige où tout en caressant les couilles, comment flatter celles-ci avec la langue, comment recouvrir la langue avec le prépuce pour la faire rouler ensuite sur la collerette ou le méat. Je sus comment accélérer et ralentir ,comment entretenir l’érection et la calmer.

Il me fallut aussi voir comment je pouvais me servir de mes seins, enserrer le gros membre dedans et le masturber ainsi.
Mais je me mis à mouiller de nouveau. Alors, il me souleva de terre et me portant dans ses bras il me ficha sur le pieu arqué . Je m’accrochais à sa nuque de bœuf pour mieux me faire aller et venir sur la colonne de viande qui me mettait en feu.
Il était au bord de l’explosion aussi je me mis à crier comme une folle pour le stimuler davantage "oh oui, oh oui, encore, baisez-moi..."
Bien t’aime ma queue là, tu la sens t’aime ça hein ? Dis que tu es une pute qui aime la queue hein dis le!
Et, tout en jouissant, en sentant mon liquide qui coulait de moi sur la verge insatiable, je prononçai les mots attendus : "Oui je suis une pute, oui je veux ta grosse queue, fourre moi"
Et, tou en me portant, il fit deux pas, me bascula sur le lit, me replongea son nœud qui s’était échappé dans la bataille et, se raidissant en modulant d’une petite voix aigüe : " Hooooooo00000oo..... hOOOOOOOooooooo, OUIiiiiiiiiiii, la garce, c’est bon", il éjacula en moi de sorte que chaque palpitation de son gland me fut comme une commotion qui enflamma tout mon dos d’une énergie inconnue.
Il resta affalé sur moi un long moment en soufflant fort. Sa queue peu à peu se détachait de moi libérant tout le liquide qui ruisselait sur mon entrejambe et sur mes fesses.
"Putain, le vieux il a eu la main heureuse. T’es sacrément bonne toi. Tu aimes le sexe. On va bien s’amuser..... demain je reviens avec lui. Il a des projets pour toi. Lave-toi le fondement".
Plait-il ?Lave-toi le fondement, il adorera te prendre par là.Mais, c’est.... C’est dégoutant.
Alors il se leva, son gros sexe rouge encore éclairé par les dernières lueurs des bougies, il mit deux doigts dans mon con, bien profond. Ils en ressortirent gluants et il les porta à ma bouche.
"Avale, allez avale, voila... et ça c’est pas dégoutant... tu aimes pourtant la liqueur d’homme on dirait... alors ma bite dans ton cul ce sera pas plus dégoutant. Allez dors bien Milady".
Il ramassa ses vêtements et sortit en se retourna une dernière fois... "Putain, quels nichons, quel culs quelle chatte... je suis sûr qu’en me réveillant je vais avoir la gaule et je vais me masturber en pensant à toi...tiens, là dedans". Et, prenant ma culotte, il disparut.
A suivre.
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