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Les amants de Lady Schneckerley

Chapitre 3

Hétéro
Les leçons de Callddick portaient leurs fruits. Je donnai pleinement satisfaction à mon mari... et à son fidèle serviteur qui tenait à "m’honorer" tous les jours.
Je remarquai rapidement que mon mari s’épuisait dans nos parties fines. Je décidai donc d’en augmenter le rythme et de le pimenter. Je me laissais fouetter, pincer et battre juste ce que je pouvais supporter. Ces scènes violentes maintenaient mon époux en éveil et en état d’excitation plus longtemps. A la fin, il en ressortait harassé.
Je m’arrangeai alors pour venir le provoquer trois à quatre fois par jour. Ses instincts libidineux et pervers le soumettaient vite fait à mes tentations d’autant que j’étais devenue experte à le séduire. Je mêlai Calldick à ces jeux autant que je le pus, tant pour prendre mon plaisir que pour qu’il excite son maître avec les sangles, les godemichés et les coups de fouet.
Mon plan réussit plus vite que prévu. En quatre mois, j’avais usé la bête, j’en étais venu à bout. Un soir d’hiver alors que je l’avais fait bander pour la cinquième fois de la journée, il fit un malaise. J’appelais au secours.
Calldick et d’autres serviteurs l’allongèrent sur son lit où il resta trois jours sans se réveiller. Il était gardé jours et nuits par des domestiques. Quand on vint me prévenir qu’il était enfin sorti de sa torpeur, je crus pleurer de rage. Il avait mangé et bu et était mieux mais ne pouvait parler.
Je demandai à rester seule avec lui. Quand la pièce fut vide, je me déshabillai lentement, me caressai devant lui, exhibant ma chatte . Je le suçai mais sa pauvre petite trique amorphe resta désespérément inerte. Je fis venir Calldick.
"Baisez-moi Calldick, mon mari le veut"— Mais madame, il n’a pas l’air en bonne santé. Ne craignez-vous pas de le fatiguer.— Il me l’a demandé, il faut obéir Calldick.— Est-ce bien ce que vous voulez Mylord ?
Le vieux porc était bien incapable de répondre mais son regard plein de lubricité parlait pour lui. De toute façon, je m’étais déjà agenouillée et décalottait de la langue la grosse verge de l’âme damnée de mon mari. Dès lors celui-ci était vaincu.

Nous baisâmes sur le lit, sur le lit de l’agonisant dont l’œil humide et les lèvres pincées me laissaient deviner toutes les frustrations. Je vis qu’il suffoquait et que sa respiration augmentait.
"Venez Calldick, mon mari est fatigué. Vous allez me finir ailleurs. Appelez pour qu’on vienne le surveiller".
Et m’adressant à mon mari : "Reposez-vous bien Monsieur, votre serviteur va bien s’occuper de moi. Il doit suffire que vous y pensiez pour avoir votre contentement".

Je quittai la chambre juste avant que n’arrive une domestique.
Sitôt dans l’escalier, Calldick me repénétra par l’arrière. Il me bourrait depuis à peine dix minutes que nous entendîmes des cris.  Aussitôt, je me rhabillai et me rendis au chevet de mon mari. Celui-ci s’était de nouveau évanoui, ses yeux étaient révulsés, sa peau tendue comme un vieux parchemin. Je demandai qu’on appelât le médecin.
Il tarda à venir et, après avoir examiné le vieux débris, il me fit savoir qu’il restait peu de temps. En épouse modèle, je m’effondrai.
L’agonie dura encore deux jours. J’étais veuve, débarrassée de cette loque perverse, enfin.
Quand les obsèques furent passées, je fis venir l’intendant du domaine, Monsieur Brokfield, un homme efficace mais discret que mon mari ne cessait d’humilier et de rabrouer et qui n’était resté à son service que pour mieux défendre le reste du personnel tout aussi méprisé et soumis aux volontés de Calldick.
"Madame la comtesse m’a demandé";— Vous êtes un serviteur fidèle Brockendfield.— Je l’espère Madame.— Je crois que vous n’aimiez guère mon mari.— Monsieur le comte était parfois dur Madame, surtout quand il écoutait ce .... Calldick.— En effet...  Avez-vous quelques hommes dont vous puissiez être tout à fait sûr ?— Qu’en attend Milady ?— Je veux chasser cet infâme Calldick. Mais il résistera peut -être. Il faudra s’assurer de lui.— Oh, quant à cela, s’il s’agit de le jeter à la porte, j’aurais tous les gens de vos domaines avec moi.— Alors, faîtes.... Dites-moi... Le personnel est-il satisfait de ses gages ?— Ils sont meilleurs dans bien d’autres maisons Madame, mais il est difficile de trouver à se placer aujourd’hui. C’est ainsi que beaucoup sont restés au service de Monsieur malgré les difficultés.— Bien! Vous me ferez des propositions pour que tout le monde soit augmenté. Et je veux que l’on traite chacun avec humanité désormais. Est-ce entendu ?— Tout le monde vous bénira madame.
M’étant ainsi attachée toute la domesticité, je pus avoir le champ libre.
Mon veuvage me permettait de retourner chez mon père. J’avais en arrière pensée de pouvoir me faire prendre par Robby, le valet dont j’avais gardé de belles impressions.
Je demandai à ma vieille Ann de lui faire dire de me retrouver dans ma chambre dès le soir de mon arrivée. La pauvre me réprimanda mais quand je lui démontrai ce que j’avais souffert avec mon défunt mari, elle ne s’y opposa plus.
Le soir venu, Elle fit entrer Robby dans ma chambre. Il resta debout un peu nigaud sur le tapis.
"Je vous ai fait venir car mon défunt mari me maltraitait et on dit que vous savez être tendre avec les dames..."
Il ne sut que répondre.
J’enlevai alors mon déshabillé et découvris ma nudité. Je m’approchais de lui, enlevai son surcot puis son pantalon. Il bandait dur. Je pris le vit en bouche et le suçai énergiquement. Il était plus petit que celui de Calldick mais de belle taille tout de même. J’en appréciais la forme bien courbée, le gland finement ciselé et sa dureté de roc. Quand enfin je l’eus bien préparé, je m’allongeai sur le lit et écartai mes jambes au plus grand, lui offrant ma vulve. J’aurais aimé qu’il me broute le minou mais il me pénétra directement.
Je m’accrochai à lui, parcourus ses membres musclés et robustes, son dos d’Apollon et ses fesses de statue. Sa queue tapait rapidement au fond de moi;  elle était bonne mais il éjacula rapidement... trop rapidement.
Ma déception fut grande mais je me dis que je l’avais intimidé. Je le fis revenir les jours suivants mais bien vite je dus me rendre compte que c’était un bien médiocre baiseur. Il fallait que je prenne chaque initiative et, quand je sortais des sentiers battus, il déchargeait immédiatement comme quand je le pris entre mes seins.
En fait, il avait beau être magnifique et bien monté, il ne se préoccupait juste que de sa jouissance et baisait comme un lapin.
Je quittai la maison de mon père et fis le tour de tous les domaines de mon mari pour y trouver un mâle bien pourvu qui pût me satisfaire. Cependant ce fut difficile car dès que je développais des amours ancillaires, les heureux élus se permettaient des libertés avec moi et je ne voulais à aucun pris retomber sous la coupe d’un homme m’eût-il fait jouir dix fois par jour.
Quand la période de veuvage fut terminée, on me pria de toute part de me remarier. Mais ce que je recherchai c’était une queue, une queue solide, endurante, un boutoir pour assouvir mes désirs que je ne comblai plus guère qu’avec le précieux matériel que m’avait laissé mon époux. J’en vins même à regretter l’ignoble Calddick, non pour lui même mais pour les dimensions de son sexe et ses façons de s’en servir.
Il n’était pas un jour que mes amis ou ma famille me pressent de trouver un époux et on m’en présentait beaucoup qui pouvaient faire l’affaire. Je scrutais ces jeunes et ces moins jeunes, fixais mon regard sur leur entrejambe pour voir si la bosse y était belle et testais leur caractère pour en trouver un qui serait à ma merci.
Le destin travailla pour moi.
J’avais été invité chez une amie de ma regrettée mère que je n’avais revu de longtemps. Son Mari, Lord Glanfort, marquis de Latrick était richissime.
Un matin que je me promenais près des écuries j’entendis des bruits étouffés mais qui ne trompaient point. Je m’approchais et découvrit William, le fils de Lord Glanfort, un beau garçon un peu plus jeune que moi qui était en train de se faire pénétrer par un palefrenier. Lord Glanfort arriva sur ces entrefaites. Sa colère fut sans borne. De sa cravache il frappa le pauvre domestique qui fut bientôt couvert de plaies. Il le menaça de la potence mais William le supplia à genoux.
"Non père, ne lui faites pas de mal. Je ferai tout ce qu’il vous plaira"!— Tout ce qu’il me plaira vraiment ?— Je vous le jure !— Vous êtes une honte pour notre famille, un dégénéré, un pervers. Il faut que cela cesse vous-dis-je. Jurez-moi de ne plus jamais vous retrouver avec un... inverti de la pire espèce, avec un bougre...— Je vous le promets.— Et de vous marier...— Me marier !— Vous marier vous dis-je ou je livre ce chien à la potence !— Soit, je me marierai.— Quant à vous, je vous chasse sur le champ. Ne reparaissez jamais devant-moi ou c’est la corde.
Cette dernière parole jetée au valet eut un effet immédiat. Il ramassa ses hardes se réajusta comme il put et disparut.
Je décidai de le suivre. Il regagna les communs et monta dans une chambre sous les toits. Tout le monde étant au travail à cette heure, je ne fus pas vue.
Je frappai. On ne me répondit pas. Je frappai encore et comme le silence se maintenait, j’ouvris.L’ Homme était nu. Il soignait ses plaies en pleurant et je regrettai vraiment qu’il préférât les hommes car la pièce était belle et je m’en fus fait un délice. Il croisa les mains devant son sexe : "Que me voulez-vous ? Sortez s’il vous plaît Milady, ce n’est pas un endroit pour vous".— Comment vous appelez-vous ?— Arthur Madame.— Eh bien Arthur, j’ai tout vu ?— Pardon ?— Je vous ai vu avec le jeune Lord Glanfort. Vous l’aimez ?
Il n’y eut pour réponse que des pleurs.
"Il vous aime "?— Je... je ne sais pas.— Si, vous savez, il vous aime. Qu’allez-vous faire maintenant?— Hélas, Madame, je suis à la rue, sans recommandations...— Bien attendez-moi ici.
Je retournai au château, signai une lettre et revint.
Il était habillé, avait fait son baluchon et s’apprêtait à partir."Tenez, vous vous rendrez chez moi à l’adresse indiquée. Vous présenterez cette lettre à mon intendant et il donnera un emploi".— Ô ! Madame est trop bonne. Mais pourquoi fait-elle cela ?— Vous le saurez bientôt.

Dans l’après-midi, prétextant une migraine, je me retirai et me rendis en cachette à l’appartement du jeune lord Glanfort, dans l’aile gauche du château où il devait y avoir peu de monde à cette heure.
Je frappai à la porte mais on ne répondit pas. J’insistai sans plus de chance. J’ouvris donc et me retrouvai dans une antichambre déserte. Une autre porte à gauche était entrebâillée. Je frappai à nouveau et comme il n’y eut pas de réponse, j’entrai.
La pièce était dans la pénombre à cause des rideaux tirés et une forme gisait sur le lit. C’était William, celui que j’avais surpris en si virile compagnie quelques heures plutôt.
J’ouvris les rideaux.
"Mais...mais, Milady, qui vous permet... que faites-vous chez moi "?
Il était vraiment très beau, sa chemise ouverte sur son torse puissant et légèrement duveteux. Dommage que celui-ci aussi eût une inclination pour les hommes. Ses yeux étaient rougis par le chagrin.
"Je suis venu vous apporter un réconfort Monsieur".— Je n’en ai nul besoin Madame. Je suis juste un peu souffrant. Retirez-vous je vous prie.— Alors disons que je suis venu vous proposer un marché.— Un marché  ? De quoi parlez-vous Madame ?— Et bien disons que je vous ai vus ce matin avec ce... ce jeune palefrenier...— Je vous demande pardon...— J’ai tout vu Monsieur... tout l’intérêt qu’il vous porte ainsi qu’à vos parties charnues...
Il s’était redressé et me regardait effaré.
"Que désirez-vous madame"?— Un marché je vous l’ai dit. J’ai vu votre... goût... et combien peu Monsieur votre père l’apprécie.— Ô mon Dieu, je suis perdu...— Au contraire Monsieur, je puis tout arranger.— Comment cela ?— Si vous acceptez mon accord... Peut-être reverrez-vous ce jeune homme... très généreusement gâté par la nature...— Parlez Madame, parlez de grâce ! Que faut-il faire pour revoir Arthur ?— Et bien.... mais avons-nous un accord ?— Quel accord Madame ?— Epousez-moi !— ... Comment ?— C’est bien simple, votre père veut que vous vous mariez. Je suis libre, épousez-moi.— Mais... mais vous savez que.... enfin... les femmes et moi... enfin, vous avez vu... alors pourquoi ?— Voyez-vous Mylord, j’aime autant les hommes que vous... Je vous offre votre liberté avec l’homme que vous voulez et vous m’offrez la mienne avec ceux que je voudrais. Chacun ses amants en somme.— Certes, certes... mais Arthur a été chassé et je...— Arthur sera bientôt chez moi...— Chez vous ?— Chez moi. Je l’y ai envoyé après le départ de Monsieur votre père.— Et bien je ne sais... d’autres conditions ?— Oui, une, absolument. Il faudra que l’un et l’autre nos soyons discrets pour que notre nom ne soit point entaché de scandales qui ne pourraient que nous compliquer l’existence... des amours ancillaires devraient suffire. Alors avons nous un accord.— Je ne sais... je ne sais... et que dira mon père le marquis.
Une voix sortit de l’antichambre.
"Il vous dira d’accepter imbécile" !
et la silhouette du marquis se détacha sur la porte.
"Père" ?— J’ai tout entendu.— Et ?— Et je pense que la comtesse est une belle catin... mais elle préservera votre réputation.. et celle de notre nom que vous souillez par vos débauches. De plus, la comtesse est riche... D’ailleurs elle a bien fait de reprendre votre... votre giton...  que j’ai chassé un peu vite... Ainsi il n’ira pas se répandre en calomnies.
Je repris la parole :
" Ainsi Monsieur vous nous donnerez votre consentement" ?— Si votre conduite reste secrète, cela ne me regardera pas. Mais une chose cependant ?— Et laquelle Monsieur ?— Les héritiers, l’héritier des marquis de Latrick ne peut pas être le fils d’un garçon d’étables. Et ce... ce... ce bougre là Madame ne vous en fera guère.— Rassurez-vous Monsieur... mon défunt mari ... et d’autres hommes plus vigoureux m’ont si souvent prise que j’aurais pu donner naissance à autant d’enfants qu’il en faut pour compléter les effectifs d’un régiment de sa Majesté. Je crois ne point pouvoir concevoir. Mais je crois que mon futur époux a un frère plus jeune qui vous donnera tous les héritiers voulus....— Rien ne m’assure cependant Madame... peut-être vos amants n’étaient-ils point tout à fait...— Quand à mon défunt mari je vous l’accorde, mais les autres... mais cela dit marquis, essayez donc  vous-même.
Et je m’approchais de lui. L’homme de 48 à 50 ans était encore vigoureux. Ma gorge était pigeonnante et mes doigts agiles. Je portai mes mains à son gousset. Je le fis bander aussitôt.
"Allons Monsieur, vous qui avez fécondé votre épouse, faites vos preuves".
Il ne se le fit pas dire deux fois et me bascula sur le lit où son fils, médusé, se tenait encore.
"Mais père, vous n’allez pas..."— Taisez vous fils indigne et regardez !— Mais, c’est ma future épouse.— Que me chaud ! Je ne prends point votre part. Vous n’userez jamais de son con. Vous préférez trop le cul des laquais... Regardez comme on s’y prend avec une femme... Peut-être cela vous servira-t-il et vous remettra dans le droit chemin.
J’avais déjà relevé ma robe et il me fourrait la chatte avec délectation.
"Ah mon fils, je vous assure, la femelle est chaude et bonne... Une belle garce que vous avez là... Et si je ne vous fais pas moi-même un descendant à ce compte là, c’est que la bougresse est vraiment stérile".— Allons Monsieur, montrez à mon fiancé comment on peut prendre d’autres plaisirs.— Certes Madame, certes, tournez-vous je vous prie.
Et ainsi il me prit par derrière. Le fils, dégoûté sans doute, s’était retiré.
Le père y allait sans mesure : "A foutre-Dieu, Madame, voila longtemps que je n’avais connu tel jouissance. Vous savez y faire".— C’est que, Monsieur, mon défunt mari ne me comblait guère.— Mais vous Madame, vous deviez le combler. D’honneur, je n’ai que peu connu de cons semblables au vôtre... Et avez-vous d’autres talents Madame ?— Retirez-vous Monsieur que je vous montre.
Et je lui fit une pompe magistrale tout en délaçant ma robe pour libérer mes seins."Prenez garde, prenez garde, vous allumez un feu en moi... attention....".— Jouissez Monsieur, Jouissez... tenez voyez mes seins...— Ah oui, donnez les moi... ah ils sont doux, je viens... ouiiiiii.
Et il éjacula puissamment entre mes mamelles blanches.
"Monsieur... Quelle abondance ! En vérité je ne sais si j’ai déjà vu une telle quantité de foutre.— C’est qu’il y a fort longtemps qu’on ne m’a donné tel contentement.— Et je serai fort aise, si vous le voulez, de vous en donner d’autre.— Il le faudra car ce n’est point ainsi que nous verrons si vous pouvez procréer.— Venez ce soir dans mon appartement.— J’y serai la belle, j’y serai... Ah je crois ma future bru que nous nous entendrons bien.— Certes Monsieur mais ne croyez pas pour autant que je vous donnerai l’exclusive.— Bien, Madame, Bien... A ce soir donc, à ce soir.
En fait, il m’accorda la nuit. Son épouse défraichie et puritaine ne lui donnait guère l’occasion désormais de satisfaire à certaines exigences de la nature, aussi se rattrapa-t-il en une nuit où je pus apprécier tous les talents de son vit et de ses mains. Ce n’était certes pas le meilleur amant que je connusse, d’autres ayant un membre plus gros et plus long, mais je dus rendre hommage à la fermeté du sien et à la capacité de ses bourses. A plusieurs reprises, il m’arrosa le fond du con et je sentis sa semence s’écouler en moi.
 "Vous voici pleine comme une jument".— C’est que vous avez fait office d’étalon.— Ce n’était point difficile en vos mains expertes.— Fixons la noce voulez-vous. D’ici là je m’engage à ne point reprendre de foutre en moi. Nous verrons alors si je puis vous donner un petit-fils.— Bien Madame, bien.
La noce fut fixée pour un mois et demi-après. Quant elle eut lieu, avec un certaine discrétion compte tenu de mon veuvage, je n’étais point enceinte. Je passai la nuit de noces avec mon beau-père et mon mari avec son ami Arthur qui m’était désormais fort dévoué.
Après ce mariage, nous décidâmes, avec mon mari de voyager aux îles Antilles où mon précédent époux avaient un plantation qu’il m’avait léguée. Nous emmenâmes Arthur et ma servante Ann. Quant à moi, je n’ignorais pas qu’un navire est toujours plein de matelots et qu’il ne me serait sans doute point difficile, pendant la traversée, de trouver à m’occuper.
A suivre
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