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les ambulancières

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Une randonnée en moto. Un chemin détrempé. Une courbe. Des arbres cachent le tournant. En tournant, j’arrive face à face avec une BMW qui double un camion remorque. La roue avant de ma moto percute le coin du pare-chocs de la BMW. Je suis catapulté comme un obus, tombant brutalement dans un boisé, me disloquant une épaule, me brisant une jambe et me laissant avec des douleurs sur tout le corps. Le conducteur du camion s’arrête et vint constater mon état. Il retourne à son camion et appelle une ambulance. Le soleil descend derrière les montagnes en cette fin de journée de septembre 2001. Le 24 septembre, le jour de ma fête. Mon 27em anniversaire. Bientôt une sirène d’ambulance se fait entendre et des éclairs de gyrophares illuminent les arbres dissimulés sous le manteau noir de la nuit.
Deux femmes ambulancières sortent une civière. L’une des deux femmes était assez corpulente et avait de la fibre musculaire dans les bras. Aidée symboliquement par sa partenaire, une jeune rousse à la poitrine opulente, la femme forte me place sur la civière et celle-ci est hissée dans l’ambulance. La jeune rousse prend le volant alors que l’autre femme, plus âgée visiblement, dans la quarantaine, s’assit à côté de la civière, pour me tenir compagnie. La femme à mes côtés était plutôt rondelette, un séant magnifique, mis en valeur dans un pantalon serré, que j’avais vu de près alors qu’elle s’était penchée à côté de moi pour les premiers soins. Des magnifiques pains éclairés par les éclairs rouges des gyrophares. Ma verge écuma à la seule vue de ses rondeurs. Je m’imaginais plongeant au plus creux de son sillon, de sa fente, mais je ne doutais pas que çà deviendrait la réalité, que j’aurais la chance, le plaisir d’y goûter, à ses pains, que j’aurais l’exquis privilège d’en jouir en sentant ma verge gicler au plus profond de ses antres, de toutes ses antres. Elle avait des cheveux ondulés, qui avaient la même courbe que la courbure de son dos, là où le dos change de nom. Ses grandes mains, qu’elle promenait doucement sur ses cuisses, que d’images elles faisaient surgir en moi. Empoignant mon sexe, le caressant, le masturbant. Des mains faites pour le plaisir. Mon organe bondissait et elle le remarquait.
— Çà fait longtemps que tu fais de la moto ?— Deux ans. Je revenais d’un party d’anniversaire, quand je suisarrivé face à face avec une BMW qui était à contre sens, en train dedoubler une van. Eh oui ! Que veux tu... c’est la vie.- Tu roules toujours tout seul ?— Je n’ai pas de petite amie qui puisse poser ses petites fessessur mon siège.— Un jeune solitaire. Un beau garçon comme toi...Elle me dit cela en tapotant mon épaule gauche, celle en bon état. Elle était assise à ma gauche et en me tournant, mes yeux arrivaient droit sur son entre jambes, dissimulé dans un pantalon gris de coton qui était moulant. Ma verge bondissait dans mon pantalon noir ample. Loin de tenter de calmer ses ardeurs, je le fais bondir le plus possible, soulevant tout le haut du pantalon. Allait-elle se laisser tenter ?
— Un tic nerveux. Certains ont le pouce qui bouge tout seul. Moi j’ai quelque chose qui lève tout seul, lui dis-je en la regardant.Elle riait de bon coeur et je remarquais que sa chatte se mouillait et que son pantalon se trempait entre ses jambes. Elle bouge ses cuisses et glisse une main dans son pantalon.— C’est vrai qu’il fait chaud. On fait de l’humidité, lui dis-je.Je pose ma main gauche sur la moquette rouge du banc en cuir qui se trempait de sueur. La sueur de ses cuisses qui se refermèrent volontairement sur une main qu’elle trouvait bienvenue dans son intimité.
Ma main caresse l’intérieur de sa cuisse gauche et du bout des doigts je presse sa vulve chaude. À ce moment se produit ce que je n’osais espérer: elle baisse son pantalon gris jusqu’aux pieds, puis sa petite culotte rose. Bientôt elle n’a plus que ses bas blancs, sa chemise blanche et sa veste rouge. Caressant son clitoris et son mont de vénus touffu, elle m’offre son antre humide, à mes yeux et à mes doigts. Elle avait un grand vagin, des lèvres rosées béantes qui suintaient de cyprine, une végétation noire couverte de fluide, les poils noirs comme ses longs cheveux ondulés, collant sur sa peau moite. Un doigt de se glisser dans les grandes et petites lèvres de son portail érotique, qui allait devenir le temple des plaisirs sexuels. Deux doigts, puis trois. Elle gémit, allant des petites plaintes voilées aux grands éclats de satisfactions lâchés sans retenues. De l’autre main je sors mon organe écumant de sa prison. La femme, enflammée de désir, enlève mes doigts de son vagin, se lève d’un bond et se jette littéralement sur ma verge qu’elle engouffre dans sa bouche. Mon plaisir est brutal et lancinant. L’ambulance prend un cahot et mon organe cogne dur contre le fond de sa bouche, provoquant la déflagration. Des jets brusques de sperme brûlant gicle dans sa gorge chaude, m’arrachant des râles.
Le canon au bout de ses munitions de dégonfler dans sa bouche. Elle le couvre de ses lèvres, de sa langue, comme une bonne sucette dont elle se délecte. Elle veut récolter toute ma semence. Elle s’avance vers moi, se retourne et vint déposer sa vulve chaude sur ma bouche. Une langue en sort, frétillante, qui s’agite avidement sur l’entrée de son vagin et sur son clitoris. Ses fesses chaudes sur mon visage, elle en gémit un bon coup, lâchant des «Oh oui!» sonores, qui se succèdent rapidement, entrecoupés de râles aigus et grisant, qui m’affole et me font frémir. Je glisse ma langue dans son vagin, plaquant ses fesses sur mes joues, mon nez, faisant bouger ma langue dans son antre.
Agitée, frémissante, couverte de sueur dans sa veste rouge frappée du sigle des ambulanciers, elle se retourne vers moi et vient offrir sa chatte échaudée à mon organe avide de séjourner en elle. Elle descend sa grosse croupe sur mon organe qui entre dans une véritable fournaise. Elle ferme les yeux et emprisonne lentement mon organe, de plus en plus profondément, jusqu’à venir appuyer sa vulve poilue sur les bourses de mon organe turgescent. Mon organe cogne au fond d’elle. Nos corps en fusion sont unis. Après avoir jouis longuement de ma verge en elle, dans son vagin, elle a envie d’en jouir dans l’autre orifice de son séant. Relevant sa croupe, elle libère mon organe palpitant et change de position. Appuyée sur ses pieds et ses mains derrière elle, penchée vers l’arrière, elle redescend sa croupe, mais pour offrir cette fois son antre de Sodome. Le gland éjecté de son enveloppe de se voir forcer l’entrée du canal par les efforts de la femme. Elle force pour tenter d’engloutir ma verge en elle. Le gland entre puis disparaît bientôt. Le restant de l’organe, dans des mouvements brusques, glisse dans l’antre, dans une friction lancinante et extatique. Son visage est rouge, son antre est dilatée. Elle en jouit un bon coup alors que ma verge pleine à craquer de sperme glisse jusque dans le fond de la tanière. Je la sens à la veille de flancher, ma verge, l’objet de nos plaisirs délicieux. Je tente de contenir la pression du sperme, mais les empalements de plus en plus rapides et violents, accompagnés de gémissements excitants, me mettent à la limite. Des filets de semence s’échappent, comme la vapeur d’une bouilloire qui s’affole.
La semence glisse sur l’organe, aidant celui-ci à glisser encore plus vivement.— Allez! Lâche-moi tout ton jus... oh oui... je veux sentir ta liqueur chaude me brûler les entrailles ! Allez, je veux t’entendre hurler en crachant tout ton foutre !...
Elle me poussait à bout et son visage prenait une allure agressive. Ses yeux étaient ceux d’une bête sexuelle déchaînée. Elle se donne un élan et s’empale d’aplomb, lâchant un grand cri et écrasant mes bourses contre ses fesses. La semence gicle d’un coup sec et brutal, faisant s’arc-bouter mon dos, ce qui était moins plaisant, puisque, faut-il le rappeler, j’étais blessé. Le sperme gicle et la bête assoiffée de lancer: «Allez, remplis-moi le cul!». Ce que je fis, vidant toute ma réserve dans son séant bien rond couvert de sueur et remplit de sperme. Pendant ce temps, la jeune conductrice, séparée de nous par un mur percé d’une ouverture au milieu, voyait tout par le miroir en haut du milieu du pare-brise. Elle voyait tout, car la section arrière était éclairée par des néons au plafond. Heureusement que les portes arrières étaient pleines, sinon... Mais surtout, elle entendait tout et les gémissements que poussait ma compagne étaient lâchés sans retenues, étouffant les chansons de la radio. Elle devait être dingue et les oreilles devait lui chauffer. Elle n’allait pas tarder à craquer.
Alors que mon organe était toujours prisonnier de l’antre, je sentis une langue s’agiter à la base de mon organe. Je relève la tête. La conductrice est là, complètement nue, à ma gauche, penchée sur mon sexe. Elle avait garée l’ambulance dans un coin perdu et nous avait rejoint. Ma partenaire de se retirer de la civière pour aller licher la vulve de sa jeune protégée, lui ayant baissé son pantalon gris et sa culotte blanche, les deux en même temps, d’un coup sec. Sans hésiter, habituée à la faire jouir, sa jeune compagne, elle entre ses doigts dans les deux antres en même temps. Pendant ce temps, la petite gourmande de me fellationner goulûment, le souffle chaud de ses petits gémissements d’accompagner la salive sur ma verge engloutie. Le séant de la petite est secoué violemment par les doigts qui s’agitent. On entend les doigts qui s’agitent sur les chairs de ses orifices. J’entend desbaisers qui viennent se déposer sur ses fesses alors que mon foutre emplitla bouche de la petite, qui en bave et se déliche...
J’arrive finalement à l’hôpital, un peu plus tard que prévu, mais avec un papierdans les poches de mon pantalon: l’adresse et le numéro de téléphone de lagrande aux cheveux noirs. La femme forte des hanches et des bras, qui s’était empalée joyeusement et qui s’appelait Sophie. L’histoire ne faisait que commencer...
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