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Les amis de mon fils

Chapitre 2

Le Pari

Trash
Après avoir aperçu le sexe bandé de mon fils entrant dans la douche, un million d’idées, toutes plus perverses les unes que les autres, me traversèrent l’esprit. Bien entendu, aucune d’elles n’était réalisable sans passer pour la plus indigne des mères de famille. Je sortis donc la salle de bain et je courus presque, jusqu’à ma chambre. Mon mari était déjà allongé, en pyjama, en train de lire un roman historique traitant de la première guerre mondiale... Cela doit bien être le dernier genre littéraire à m’intéresser, pensai-je. Nue, je me suis littéralement jetée sur lui, arrachant son livre de ses mains et lui collant mes gros seins sur son visage.
« Je veux ta bite ! dis-je, comme une furie.
Il enleva ses lunettes alors que je pressai sa tête entre mes seins en remuant mon bassin sur lui. J’avais un comportement de chienne en chaleur, ce qui est plutôt inhabituel. Je me surprenais moi-même.
« Heu... maintenant ? bégaya-t-il.— Ben oui, pas demain !— Les enfants ne sont pas encore couchés...— Je m’en fous ! En plus, Quentin est sous la douche.— T’es folle...— Ta gueule et défonce-moi ! »
Jamais je n’avais parlé comme ça avant, mais ma libido prit le dessus. Je lui arrachai le haut de son pyjama qui s’ouvrait comme une chemise et lui baissai le bas juste assez pour sortir sa bite. Il ne bandait pas mais je la pris directement dans la bouche tout en passant ma main sous ses couilles. Je le suçai comme une folle, à quatre pattes sur le lit, bien cambrée, en tortillant du cul comme une chienne appelant le mâle. En levant les yeux vers mon mari, je vis qu’il était encore sous le coup de la surprise. Je le sentais durcir doucement dans ma bouche, mais il prenait son temps le salaud ! Moi je m’appliquai à baver, faire des bruits de succion, tout en remuant ma langue autour de son gland. Dès qu’il me sembla prêt, je m’empalai sur lui. J’avais envie de le chevaucher dans de grands allers-retours mais il ne bandait pas assez pour ça, il fallait que je le garde en moi. Alors je me contentai de bouger d’avant en arrière, me massant le clitoris au passage.
« Désolé chérie, je ne suis pas encore à fond...— Tais-toi et laisse-moi faire ! »
Il ferma les yeux, sûrement pour se concentrer.Je fis de même. J’imaginais être sur la queue de Kévin. Je lui aurais dit : “tu vois, t’avais raison : Rosie c’est vraiment un prénom de chienne”.
Ce que je redoutais arriva... Sa bite mi-bandée finit par sortir de ma chatte, bien trop dilatée et humide. Aussitôt, je me remis à quatre pattes sur le lit, les fesses tendues vers lui :
« Doigte-moi ! ordonnai-je. »
Mon mari sembla déçu de la tournure que prenait la baise mais s’exécuta. Il enfonça deux doigts dans ma chatte, sans le moindre effort, bien sûr. Je bougeais les fesses d’avant en arrière pour littéralement me baiser sur ses doigts.
« Un troisième ! Mets-moi un troisième doigt !— Oui chérie.— Mmmm c’est bon putain !!!— Ne crie pas trop... Les enfants...— Ta gueule et doigte-moi ! Vu que ta bite ne me sert à rien, fais-moi jouir avec tes doigts !— Oui, OK...— Mets-en un quatrième !—... Voilà...— Oh ouii, j’adore ! Au moins là je sens quelque chose !— Ah ben merci... C’est vexant...— T’es vexée et moi je suis frustrée ! Alors occupe-toi de ma chatte et laisse-moi m’imaginer que je me fais démonter par une grosse queue bien dure !—...— Oh oui putain !! Vas-y plus fort ! Détruis-moi la chatte !! »
Je ne me contrôlais plus, je criais à gorge déployée. J’entendis la douche s’arrêter, mon fils allait sortir. Normalement, je me serais aussitôt calmée mais là, c’était ma libido qui avait le contrôle sur mes actes.S’il m’entend ? Et alors ? Il saura que sa maman se fait plaisir ! Peut-être même que ça le fera bander... encore !Rien que cette pensée me fit définitivement perdre pied. Mes va-et-vient sur les doigts de Jean faisaient un bruit de clapotis humide très audible, sans parler du lit qui grinçait également sous mes mouvements.
« Oh oui, mets ton pouce aussi, mets-moi ta main entière !— Tu es sûre ?— Oui, allez ! J’aurai l’impression d’avoir une très grosse bite dans la chatte ! »
Il me l’avait déjà fait mais cela restait quelque chose de très exceptionnel... Il fallut donc quelques minutes avant que je n’arrive à absorber sa main en entier, avec pour seul lubrifiant, un flot abondant de cyprine. Et quel plaisir ! Je hurlais ! Les larmes coulaient sur mes joues.
« C’est trop bon d’avoir la chatte bien remplie ! Ça me change de ta bite ! Mmmm ! »
Mon mari ne bandait plus du tout et n’avait pas l’air d’apprécier mes paroles un peu trash, mais il semblait vouloir me faire jouir au plus vite. Comme pour le provoquer davantage, je me suis mise à bouger plus violemment pour que le lit fasse encore plus de bruit. Jean essayait de se tenir au mur pour tenter d’atténuer le vacarme.
« J’ai l’impression d’avoir deux bites au fond de la chatte ! C’est si bon !!—...— J’aimerais tant recevoir une vraie bite ! Avoir un vrai mâle pour me démolir comme une salope !—...— Tu aimerais me voir me faire baiser par un autre ?— Non !— Oh t’es pas drôle ! C’est juste pour m’exciter.—...— Dis-le que t’as envie d’être cocu !— Mais non !— Juste pour moi, dis-le !—... J’ai envie d’être cocu...— Mmmm ! Je le savais ! J’ai envie de te faire cocu ouiii !!—...— Tu branleras ta petite nouille en regardant ta salope de femme se faire remplir par tes amis et tes collègues !—...— C’est si bon mon chéri !! Je vais jouiiiiir ! »
Je pense que tout l’immeuble m’entendait à ce moment-là ! Puis je m’affalai dans les draps et m’endormis en souriant. Il me sembla que Jean se masturbait à côté de moi, qu’importait ; j’étais trop fatiguée pour y prêter plus attention.
6h30, le réveil de mon téléphone sonna, j’enfilai une culotte et passai mon peignoir. Jean était déjà parti au travail. Je préparai rapidement le petit-déjeuner puis je toquai à la porte de mon fils, légèrement entrouverte :
« Debout là-dedans, dis-je avec le sourire. »
Je l’entendis grommeler, signe qu’il m’avais bien entendu. Je passai devant la porte de la chambre de ma fille, je vérifiai qu’elle fut bien fermée car il lui restait une petite heure de sommeil, son lycée étant à Annecy même, la chanceuse. Et je retournai avaler mon bol de café que mon mari m’avait laissé dans la cafetière. Quentin arriva en se frottant les yeux. Je pus voir à travers son caleçon qu’il avait une légère érection.
Cela pourrait être mieux me dis-je avant de me rendre compte du caractère malsain de ma pensée.
Il s’approcha, me dit bonjour et je lui fis un bisou sur le front avant qu’il n’aille s’asseoir.
De retour dans ma chambre, je laissai tomber mon peignoir et fis glisser ma culotte jusqu’au sol. Je me regardai dans le miroir du placard, nue, passant mes mains sur mes seins et mes tétons qui durcissaient ; certainement à cause de l’air légèrement frais du matin et peut-être aussi à cause d’une pointe d’excitation. Je passai ma main sur ma chatte pour constater qu’elle était effectivement un peu humide.
Je mouille vraiment pour rien ces derniers temps... me dis-je.
Machinalement j’entamai un va-et-vient avec la paume de ma main, titillant mon clitoris au passage. Je repensai à ma masturbation de la veille au soir dans la baignoire alors que mon fils était juste à côté et à quel point cela m’avait excité.
J’avais laissé la porte de la chambre ouverte mais Quentin ne pouvait pas me voir ; la table à manger n’étant pas juste en face. Et s’il se levait, je l’entendrais. Confiante et très excitée par cette nouvelle situation “dangereuse”, je m’assis sur le rebord du lit, face au miroir, les cuisses largement écartées et insérai deux doigts dans ma chatte. L’effet fut immédiat, comme si je sortais d’une interminable abstinence. J’accélérai le mouvement de mes doigts, retenant mes soupirs de plaisir. J’entendais Quentin se servir, faire des bruits de couverts... Il était vraiment très proche et il n’y avait aucun autre bruit dans l’appartement. J’allais jusqu’à faire glisser mon pied contre le placard pour simuler l’activité “normale” d’une maman se préparant le matin dans sa chambre.
En entrouvrant le placard, je vis la boîte dans laquelle je mettais mon gode. Tiens ? Bizarre, je pensais l’avoir mieux caché, vers au fond. Je l’ouvris, pris mon jouet et m’assis dans la même position avant de me l’enfoncer directement au fond de ma chatte bien dilatée. Je me baisais littéralement avec le gode de ma main droite et me couvrais la bouche de la main gauche, luttant pour ne pas me laisser aller.
Inconsciemment, je m’allongeai sur le dos, les cuisses écartées, les pieds appuyés contre le placard. Comme la veille, je prenais un plaisir incroyable à me savoir exposée, salope, indigne, me posant la même question : est-ce que Quentin entendait ma respiration saccadée ? Les clapotis de ma chatte trempée au contact du gode ? Est-ce que mon fils se doutait que sa maman était une grosse salope qui laissait sa libido prendre le dessus dans un moment pareil ?
Au bord de la jouissance et dès les premiers spasmes, je donnai un coup de pied dans une étagère qui se déboîta à l’intérieur du placard, faisant un vacarme qui me fit sursauter. J’eus à peine le temps de me redresser que mon fils apparut à l’entrée de la chambre, son bol à la main.
« Tout va bien maman ?— Oui oui mon poussin, aucun problème, j’ai dérapé. »
Mon Dieu, j’étais rouge comme une pivoine ! Assise sur le rebord du lit, à deux centimètres de tomber par terre, nue, le gode planté dans la chatte... Quentin ne me voyait que de trois quarts. Il ne voyait pas ma chatte, ni le gode, depuis la porte, du moins je tentais de m’en persuader. Je n’osai le regarder, trop concentrée à réguler ma respiration.
« Hé ben, fais attention maman... Je vais me préparer. »
Je l’entendis poser son bol dans l’évier et partir vers sa chambre. Je repris rapidement mes esprits, il fallait que je me prépare aussi, même si la frustration d’avoir été stoppée à une seconde de l’extase m’empêchait d’avoir les idées totalement claires. J’attrapai une fine culotte noire et un soutien-gorge assortis. J’ai toujours aimé porter de la lingerie sexy, ou au moins, agréable à l’œil ; non pas pour faire plaisir à mon mari ou à un quelconque pervers qui aurait l’occasion de voir ma jupe se soulever, mais pour moi-même ; au même titre que le maquillage, le vernis et les chaussures.
Cela me fait sentir femme et il paraîtrait même que je fais plus jeune que mon âge. Je suis toujours surprise d’apprendre que la plupart des mères des ados que je croise au quotidien sont de ma génération... Je leur donnerais facilement dix en de plus. “Je suis mauvaise, je sais”.
Je ne sais pas si c’est la frustration ou simplement mon côté salope qui reprenait le dessus, mais j’avais envie d’être sexy aujourd’hui. J’optai pour une jupe blanche courte, plus courte que mi-cuisses et un top noir moulant dont le décolleté était dessiné par du tissu transparent orné d’arabesques, à mi-chemin entre de la dentelle et un filet en résille.
Cela donnait une place importante à ma poitrine, laissant clairement apercevoir ma chaire entre mes seins, jusque sous le soutien-gorge, lui-même fondu dans le noir de mon top. Des bas autofixants et des escarpins noirs avec cinq centimètres de talon, un collier de perles vertes, mon alliance -que j’enlève pour dormir-, et me voilà habillée.
Quelques minutes plus tard, mon fils et moi étions prêts à partir. J’entrouvris la porte de la chambre de Julie pour lui souhaiter une bonne journée et ainsi, la réveiller doucement. Même si elle se passe très bien de moi pour ça.
Quentin sembla un peu surpris de ma tenue, mais sans plus. C’est vrai que le temps était couvert et nous avions perdu quelques degrés. Une trentaine de minutes plus tard nous étions au lycée. Légèrement en avance par rapport aux horaires de Quentin, mais c’est généralement moi qui ouvrais le portail de la cour, les toilettes et les quelques salles qui donnent directement sur l’extérieur.
Quentin alla directement s’installer dans le couloir principal qui sert aussi de salle d’étude, pendant que je continuais mon tour des bâtiments. En traversant la cour je pouvais sentir l’air frais du matin sur mes cuisses, me faisant légèrement frissonner. Arrivée au bureau d’administration, je constatai qu’il était déjà ouvert. Rien d’étonnant, notre directeur arrivait généralement très tôt. J’entrai, lui fis la bise et allai directement me lancer un expresso à la machine.
La jupe, comme le top, mettait en avant mes formes et l’effet se faisait déjà sentir : je sentais le regard du directeur posé sur mes fesses en attendant mon café.
C’était un homme très propre sur lui, grand et charismatique. Un beau brun ténébreux, comme qui dirait. Le savoir en train de me mater était flatteur et cela m’émoustilla même un peu. Les élèves n’allaient pas tarder à affluer, je me dirigeai donc vers le portail principal, croisant au passage, plusieurs professeurs, dont Sébastien, le prof de dessin qui me faisait des avances régulièrement. Encore plus que les autres, il sembla admirer ma tenue, s’arrêtant même quelques secondes devant moi :
« Oh ! C’est pour moi tout ça ?— Oui... bien sûr..., dis-je en levant les yeux au ciel.— Ça te fait des nichons encore plus gros en tout cas !— Merci Seb. »
Décidément, il était en forme de bon matin lui... Et moi aussi, après réflexion ; n’ayant toujours pas joui !
« Waw, t’es canon aujourd’hui ! T’as pas froid ? »
C’était la voix de Sam, que je n’avais pas vu arriver. Comme quoi, un pervers peut en cacher un autre !
« Merci Sam, dis-je en souriant et sans relever, à nouveau, le tutoiement. »
Le voyant rester près de l’entrée après plusieurs minutes, l’air un peu agacé :
« Tu ne rejoins pas ta classe ?— Non, j’attends Kév, j’ai peur qu’il me mette un plan...— Qu’il te mette un plan ?— Ben oui, on a fait un TP à deux et on doit le rendre aujourd’hui.— Et c’est lui qui l’a, je suppose ?— Ouais, sauf qu’hier il commençait à faire genre il a mal à la gorge et tout. Et comme par hasard, là il est à la bourre... »
Je savais que Kévin était un élève peu studieux mais il n’était jamais absent.
« Il va arriver, ne t’inquiète pas.— Non, je suis sûr qu’il est en train d’esquiver. Il répond pas au tél.— Il viendra.— On parie ?— OK. Je parie qu’il arrive avant la pause de 10h30.— Moi je dis qu’il ne sera pas là à 10h30 !— On parie quoi ?— J’ai pas de tunes... Mais si tu perds, tu me donnes ta culotte !— Hein ? »
Je mis quelques secondes à comprendre. Encore une fois, il avait dit ça avec tant d’aplomb... Et je me souvenais de sa main sur ma cuisse, voire, de ma fesse... Mon côté joueuse prit alors le dessus :
« OK, je te donne ma culotte si je perds, mais si je gagne ?— Si tu gagnes, je te montre ma queue.—... OK. Deal. »
Et il me tapa dans la main pour sceller notre pari. Je me rendis vite compte de la stupidité des enjeux : Sam était déjà prêt à me montrer sa bite hier et sans raison, lorsque je l’ai traité de branleur. Cela ne m’étonnerait même pas qu’il n’attende que ça ! Mais je dois avouer que c’est aussi un bon prétexte pour moi de voir son sexe de façon “légitime” ; et cela me donnera matière à fantasmer lors de mes prochaines masturbations. Et si je perdais, outre le fait d’abandonner une jolie culotte, ce n’était ni la plus belle ni la plus sexy de ma collection. “Et puis je sens toujours bon”, me dis-je.
Je vaquais à mes occupations, oubliant presque ma frustration du matin et regardant régulièrement la liste des absents, scrutant les noms, pour éventuellement y voir le nom de Kévin -les noms étant ceux des absents confirmés auprès du C. P. E. ou du directeur-. Mais rien. Je me surprenais même à vouloir gagner, non pas de peur d’enlever ma culotte, mais pour espérer voir enfin le sexe dont Sam semblait si fier !Il faut vraiment que je me calme, je ne pense qu’à ça !
10h30 ; je retournai dans la cour, guettant en même temps l’arrivée éventuelle de Kévin, en vain.Sam arriva en courant, tout content de lui.
« Allez, la culotte !— Il peut encore arriver, la pause vient juste de commencer !— On avait dit 10h30 et il est 10h32 !— Tu y tiens vraiment, hein ? »
Il fit oui de la tête, tout en affichant un large sourire victorieux.
« Et on devrait se dépêcher de conclure notre affaire avant que les potes n’arrivent. »
Il n’avait pas tort, je ne tenais pas à retirer ma culotte devant tout le monde. Je passai le portail pour sortir et me diriger derrière une voiture garée devant le lycée, il me suivit. En quelques secondes, je fis glisser ma culotte sous ma jupe, le long de mes jambes et lui tendis. Sans hésiter, il la porta directement à son nez.
« Hum ! Ta chatte sent vraiment bon ma p’tite Rosie !— Je suppose que même si Kévin arrive en retard, tu n’auras pas tout perdu comme ça.— On a jusqu’à 12h30 pour le rendre et il ne viendra pas... ça me fout dans la merde quand même.— Tu l’as rappelé ?— Oui ! Il a dit qu’il viendrait, mais il va arriver trop tard et on va perdre des points.— On parie ?, dis-je en lui faisant un clin d’œil.— Si tu veux, mais hors de question que je remette ta culotte en jeu ! Cette fois, si tu perds, tu me files ton soutif.— Bon OK.— Je savais bien que tu mourrais d’envie de voir ma queue en fait ! »
Il mit sa culotte dans sa poche et d’autres élèves nous entourèrent pour parler de tout et de rien, sans que Sam ne fît aucune allusion à notre petit jeu. Je pouvais sentir l’air remonter le long de mes cuisses jusqu’à ma chatte, ce qui m’était finalement assez agréable. Les heures passaient et toujours aucun signe de Kévin. Autant j’étais prête à donner ma culotte, autant, avec ce top, sans soutien-gorge ça risquait d’être très sexy...Et alors ?
12h30 ; me revoilà devant le portail et à ma surprise : Kévin arrivait tranquillement, quelques mètres plus loin. Sam arriva derrière moi au même moment.
« C’est l’heure de me filer ton soutif ma p’tite Rosie !— Kévin arrive...— Ah merde, alors il y a égalité ? On a tous les deux perdu !— Non, on a tous les deux gagné. Suis-moi. »
Qu’est-ce qui m’avait pris de répondre ça ? Tel un robot, je me dirigeai vers le fond de la cour où se trouvaient des classes en préfabriqués inutilisées. Tout en marchant je m’interrogeais, me demandant presque si la situation était réelle, comme détachée de mon corps. Sam me suivait de près sans poser de question. J’ouvris une des classes dont les stores étaient fermés et m’y engouffrai. Dès que Sam fut entré, je fermai à clé derrière lui et aussitôt, je relevai mon top et dégrafai mon soutien-gorge, l’arrachant presque, avant de me réajuster. Dans la pénombre de la salle, Sam n’avait rien pu voir. D’ailleurs, moi-même, je ne pouvais voir le résultat : est-ce que mon décolleté et la transparence de mon top ne seraient pas trop osés ? Je tendis le soutien-gorge à Sam qui sembla vraiment surpris de la vitesse avec laquelle je l’avais retiré ; comme s’il avait raté le meilleur du spectacle.
« Wah ! Merci ma p’tite Rosie !— À ton tour maintenant !— Quoi mon tour ?— Montre-la moi.— Tu veux voir ma bite ?— Oui.— Alors demande-le clairement !— Je veux voir ta bite !— Et le mot magique ?— S’il te plaît...— C’est mieux ! dit-il avec un sourire de satisfaction. »
Il défit sa ceinture, baissa son jean jusqu’au sol et abaissa son caleçon juste assez pour en sortir un sexe semi-bandé et qui me sembla, effectivement, de très bonne facture ; et ce, malgré la pénombre. Je n’avais vraiment pas de quoi me moquer !
« Elle te plaît ?— Pas trop mal, dis-je en cachant ma surprise.— Tu veux que je me branle un peu ? Histoire que tu la vois en pleine forme.— OK mais dépêche-toi alors. »
Je le vis sortir ma culotte de sa poche et la porter à son nez de sa main gauche tout en commençant des va-et-vient sur son sexe, de sa main droite. La situation était d’un érotisme incroyable ! J’eus l’impression de retomber trente ans en arrière, une vraie ado qui se cache dans son lycée avec son copain pour se tripoter. Mon Dieu, mais comment je me suis retrouvée là moi ! Si mon mari savait... Si mon fils savait !
« Montre tes nichons. »
Sam me sortit de mes pensés.
« Hein ? Pas question !— Allez, on voit que dalle de toute façon, retire juste ton haut. »
Je ne sais pas pourquoi mais j’obéis. J’ai seulement soulevé mon top, mais suffisamment pour laisser sortir mes gros seins sous le regard vicieux de Sam. Mes yeux s’étant habitués à l’obscurité, je distinguais maintenant nettement son sexe qui commençait à avoir une belle taille. Lui aussi devait parfaitement voir mes seins à présent. Il me sembla d’ailleurs que cela ait fait son petit effet. J’étais flattée et je sentais mon minou s’humidifier. J’eus une furieuse envie de me masturber, là, devant cet étudiant, lui-même en train d’astiquer une belle queue à quelques centimètres de mon bassin. Dans un dernier élan de bon sens, je me ressaisis :
« C’est bon, elle est bien bandée maintenant, le jeu est terminé !— Tu vas pas me laisser comme ça ! Je peux même pas remettre mon jean avec ma trique là !— Tu prends trop ton temps !— OK OK, je me dépêche. Deux minutes.—...— Je peux te toucher les nichons ?— Non ! N’abuse pas !— Mais c’est juste pour aller plus vite.— J’ai dit non, t’as qu’à te branler avec mon soutif ou ma culotte.— Je veux pas les salir, je vais devoir me trimballer du tissu plein de sperme dans la poche tout l’après-midi après !— Débrouille-toi alors.— Tu peux au moins te caresser les boobs pour moi ?— Pff, OK mais dépêche toi. »
Il s’assit sur une table, les pieds sur une chaise et continua sa branlette. Résignée, je m’assis sur la chaise d’à côté, en prenant garde à ne pas me mettre juste devant lui et commençai à me caresser les seins le plus sensuellement possible. Sam ne me quittait pas des yeux. Il me sembla qu’il accélérait le mouvement.
« Pince-toi les tétons ! »
Ce que je fis, laissant volontairement échapper de petits soupirs de plaisir.
« Plus fort ! »
Son ton était très autoritaire mais j’obéis de nouveau, il fallait qu’il jouisse de toute manière. Je pinçai et tirai si fort sur la pointe de mes tétons que je me surpris même à me faire un peu mal et à lâcher un petit cri. Sam le remarqua et cela finit de l’achever : il poussa un long râle et j’entendis au moins quatre ou cinq jets éclabousser le sol, sans que je ne puisse distinctement les voir. Il rangea sa bite dans son caleçon sans même l’essuyer et, se penchant vers moi, il me fit un bisou sur le coin de la bouche et me caressa la tête, comme on le ferait à un chien qui s’est bien tenu.
« Merci ma p’tite Rosie. Et il sortit, me laissant seule dans la pénombre. »
Je repris mes esprits sur ce qui venait de se passer, puis me risquai à allumer la lumière de la classe. C’est avec surprise que je constatai une importante quantité de sperme par terre, mais en plus, il y avait l’équivalent d’un ou deux jets sur le dossier de la chaise où il avait posé ses pieds.
« Ah, la dextérité de la jeunesse ! Soupirai-je. »
Je sortis rapidement jusqu’au local à côté où étaient entreposés les produits d’hygiène pour les femmes de ménage. Je ne sais combien de temps nous sommes restés dans cette salle mais la lumière du jour m’éblouit. Après avoir récupéré plus de serviettes en papier qu’il n’en fallait, je m’attelai à essuyer le sol. Assez compliqué, je dois dire, j’étalais plus que je n’essuyais et cette odeur de foutre frais commençait à sérieusement m’exciter !
Bien entendu, le constat était sans appel : ma chatte était trempée ! En jetant les mouchoirs pleins de sperme dans la poubelle, je me dis que ça avait été une bonne idée de ne pas être restée devant lui à ce moment-là ! Quoique... Cette pensée m’excitait en même temps. L’idée de recevoir une telle quantité de foutre directement sur le visage ne m’aurait certainement pas déplu, dans d’autres circonstances. Est-ce que c’est tromper son mari que de recevoir le sperme d’un autre sur soi ? Et le goûter ? Je réalisai alors que j’étais en train de me caresser. “Mais qu’est-ce que je fais moi encore ?”. Il est vrai que j’étais toujours un peu frustrée depuis ce matin et que ces dernières minutes avaient été particulièrement chaudes ! Je refermai la porte de la classe à clé et revins m’asseoir sur le bureau, exactement comme Sam juste avant. Un pied sur la chaise et l’autre dans le vide, je lâchais enfin prise et me doigtais sans retenir mes soupirs.
Je regardais les traces de sperme sur le dossier de la chaise, j’avais oublié de la nettoyer...
« Sam, t’aurais dû me faire sucer ta grosse queue ! Prendre ma tête de petite salope et me baiser la bouche, ça aurait été nettement meilleur qu’une simple branlette. Regarde tout ce gaspillage, t’aurais pu te vider dans ma bouche et me forcer à avaler, j’aurais obéi comme une bonne petite traînée tu sais. »
Je fixais toujours la trace de foutre qui dégoulinait légèrement, en me passant la langue sur les lèvres. J’aurais pu avoir ce sperme dans la bouche, y goûter... Je pourrais... Je tendis ma main vers la chaise et touchai du bout des doigts cette substance qui me faisait saliver. J’approchai mon doigt gluant de ma bouche. L’odeur m’excitait de plus en plus.Au point où j’en suis... Et puis, j’ai bien mérité une petite récompense moi aussi !
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