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Les amis peuvent aussi être, …un peu plus !!!!!!!

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Durant ton dernier séjour au Liban, Christine avait été hospitalisée, et Jean-Philippe n’avait pas pu, pour des raisons d’affluence au magasin et d’inventaire annuel, avoir sa semaine. J’avais donc proposé à nos amis de garder Gaétan, de l’emmener à l’école le matin et le soir, le faire manger à midi, voire le soir ainsi qu’à J-P. Ils avaient tout d’abord refusé de peur de gêner, disant qu’ils arriveraient à s’arranger, mais leur ayant expliqué que je me sentais moi-même redevable de l’amitié qu’ils me portaient depuis ton départ, ils avaient finalement dit oui. Lorsqu’il sortait du travail, J-P allait voir son épouse à l’hôpital, puis venait à la maison vers 20h30. Nous mangions tous les deux, son fils ayant mangé avec les nôtres. Dès le premier soir, je lui proposais de garder Gaétan dormir, de cette manière il aurait plus de temps le matin, et ne serait pas contraint par quoi que ce soit. Les enfants ayant école, nous décidions de les coucher une fois que Gaétan aurait vu son père. De peur qu’il ne reparte dormir chez lui et ne soit plus avec son copain, ils furent dès le début très sage, et nous n’avons pas eut besoin de descendre comme nous le craignions. Après le repas, nous allons dans le salon, portant sur un plateau, les cafés afin de les boire devant la télé. Après avoir terminé les cafés, nous zappons rapidement pour nous apercevoir que malgré le nombre faramineux de chaîne, il n’y a vraiment rien de bien à voir. Je lui propose donc de tenter de t’avoir sur MSN, ce qu’il accepte avec plaisir. Par chance, dès que nous nous connectons nous voyons ton avatar dans les personnes connectées. Je lance un wizz et quelques instants d’après nous entamons la conversation au rythme du débit extrêmement lent du réseau wi-fi Libanais. J-P me demande de lui céder la place et commence à plaisanter avec toi. Devant ce soudain délaissement je décide d’aller prendre ma douche et me dirige vers la salle de bain. Lorsque je reviens il est toujours derrière le clavier et lorsque je regarde par dessus son épaule je m’aperçois que le niveau de la discussion est bien tel que je l’imaginais de la part de vous deux. Il est en train de te demander de quel côté tu dors lorsque tu es ici afin de ne pas prendre ta place, ce à quoi tu réponds que vue son poids et le tien il vaut mieux qu’il dorme de ton côté qui est renforcé, et que surtout, si nous devons « cumuler » nos poids, il vaut mieux se mettre bien au milieu, là où il y a un cinquième pied !!!!! M’apercevant à travers la Webcam, tu écris : — « re-bonjour ma chérie, je vois que tu es déjà en tenue !!!! »— « Oui, et en plus elle sent bon – écrit J-P – je vais aller me laver aussi, sinon on sera en retard. Euh, au fait, je peux t’emprunter ton eau de toilette, ça lui fera moins de changement ?!!!! »— « Au prix ou elle est !!! Il n’en est pas question !!! Pour l’habitude et les repères, je pense que ta petite brioche fera l’affaire. »— « Je ne vois pas du tout à quoi tu fais allusion, mais à son sourire, je vois qu’elle le sait. »— « Ok, et bien va te laver, et rends moi ma chère et tendre épouse, s’il te plait. »Il me laisse la place et je m’assieds face à l’écran et à la caméra.— « Ca va toi ? Pas trop fatigué ? Je vois que pour écrire des conneries, ça à l’air d’aller. »— « Quelles conneries ? »Je t’explique les raisons de la présence de J-P ici, et tu me réponds que j’ai bien fait. Nous parlons pendant 20 minutes et tu me dis que du fait de la présence de J-P et de ta fatigue, il vaudrait mieux que nous terminions, finissant par une tirade sur ton désappointement de ne pas pouvoir avoir le loisir de voir tes seins. J’éclate de rire et J-P me demande pourquoi. Je lui explique que nous terminons toujours nos dialogues sur MSN par ça. Il me dit que je ne dois pas me gêner pour lui, qu’il ne regardera pas, ou alors, pas beaucoup. Je le prends au mot et lui demande de fermer les yeux. Alors qu’il le fait, j’écarte les pans de mon peignoir, relève ma chemise de nuit et te montre mon buste rebondit. J-P me demande si j’ai finit, et dès que je me suis rhabillé, il se lève, se met derrière moi, te désigne mes seins et lève le pouce en se passant la langue sur les lèvres. Tu rigoles, applaudit et écrit : « Encore un peu !!! ». Je fais non de la tête, mais tu insistes. Derrière moi, J-P met la main devant ses yeux, mais écarte les doigts. Tu es plié en deux devant les grimaces de J-P, et ne sachant pas trop pourquoi, je dévoile à nouveau ma poitrine. J-P sort la langue, ramène les bras devant lui, comme un petit chien qui fait le beau et halète. Tu ris aux éclats, et je ne résiste pas au fou rire qui me prend. Je flatte sa tête de la main, et d’un coup la serre contre ma poitrine. Il ne se démonte pas, et donne trois ou quatre coups de langue sur mes tétons qui se dressent immédiatement. Je te vois te précipiter sur le clavier et écrire. Je repousse J-P, réarrange ma tenue, et attends ton message. — « Je vois que ce n’est pas loin de dégénérer !!! Bonne soirée en perspective !!! »— « A qui le dis tu !!! – marquais-je à mon tour – Il est peut être temps de couper ? »— « Je crois aussi, mais vires-le avant qu’il ne soit trop tard !!! »— « Je vais le faire, n’aies pas peur. »— « Je n’ai pas peur, c’est pour lui que j’ai peur. Déjà deux mois sans homme, tu vas l’épuiser. »— « Ah, ah, ah !!! »— « Allez, bonne nuit bébé. Salues J-P et embrasse les petits à leur réveil. »— « A demain mon chéri. Bises. Je coupe. »Je vois ton login disparaître de la liste des contacts connectés, et quittes à mon tour MSN. J-P rigole encore et ne semble absolument pas gêné par la situation qui, je dois l’admettre, me perturbe un peu depuis que ton visage a disparu de l’écran. Ne sachant pas trop quoi dire je propose un autre café. Je sais que si j’en bois un autre je vais avoir du mal à dormir, mais comme je n’ai pas d’autre idée afin de changer de sujet….— « Ok pour le café – dit il – mais je dois avouer que je n’aurais pas craché sur l’excellent cognac de Michel ! »— « C’est une idée, j’avais un peu peur de ne pas pouvoir dormir avec un autre apport de caféine, mais je crois qu’un petit verre d’alcool devrait m’aider à trouver le sommeil. » dis-je en me levant.Lorsque je reviens avec la bouteille et les verres, J-P me regarde, semblant interrogateur.
— « Tu as un problème ? » demandais-je.— « Non, mais je crois que toi, tu en as un. » dit-il.— « Non, je t’assure, enfin…je dois avouer que je suis un peu gênée par…enfin, par ce qui c’est passé tout à l’heure. »— « N’en parlons plus, c’était dans le feu de l’action, et même Michel n’a pas eu l’air de prendre ça très au sérieux. Et puis, je te rappelle que ce n’est pas moi qui ait eu un mouvement « déplacé ». »— « Ah bon ?!!! Les coups de langue, tu places ça dans quelle catégorie ? »— « Il n’y en aurait pas eu si tu n’avais pas attiré ma tête contre ta poitrine. Magnifique, je dois bien l’avouer. »— « Merci, mais le sujet n’est pas là. »— Ah oui, et il est où ? Michel en a rit, j’en ai ri et toi aussi. C’était une galéjade et rien de plus, d’accord ? N’en parlons plus et torpillons la bouteille du maître de céans !!! »— « Tu as raison – dis-je en souriant de nouveau – saoulons nous !!! »— « Fais gaffe, moi je tiens bien, et j’ai un peu peur que ce que nous promettait ta moitié ne se déroule et que je ne puisse répondre à la demande. »— « Très drôle !!! Vous êtes bien pareils tous les deux, j’arrive à peine à m’enlever ça de la tête et toi tu replonges en plein dedans. »— « Sers nous et arrêtes de réfléchir s’il te plait, tu vas me ficher mal à la tête !!! »— « Gros macho !!! » dis-je en lui servant une large rasade.Je me sers à mon tour et, est ce la fatigue, ma main a beaucoup de mal à retenir la bouteille, si bien que mon verre est copieusement remplit.— « Pour le coup – dit-il – tu devrais bien dormir !!! »— « Je le crois aussi, mais je ne suis pas obligée de tout boire. »— « Effectivement, mais ce serait tout de même dommage de gâcher un si délicieux nectar. »— « On verra bien. A part ça, comment va Christine ? »— « Ca va, mais elle a les boules d’être bloquée une semaine complète à l’hôpital. »— « C’est compréhensible, mais elle sait que c’est pour son bien alors je pense qu’elle arrivera à surmonter l’épreuve. »— « Sans doute, mais c’est une vraie pile électrique et son moral n’est pas au mieux quand elle est immobilisée. »— « Je comprends ça, mais bon, il faut en passer par là. »— « CQFD (ce qu’il fallait démontrer) !!! »Le sujet étant clos par la formule, nous portons le verre à nos lèvres et après la brûlure de l’alcool, une délicieuse torpeur m’envahit. Je me laisse un peu plus couler dans mon siège, savourant le calme et l’instant présent. La conversation reprend sur des sujets divers et variés, chacun ne durant jamais plus que quelques minutes. Les verres se vident et d’un coup d’œil, allant de la bouteille à son verre vide, J-P me demande s’il peut se resservir. Je l’invite à le faire sans demander. S’exécutant, je n’ai pas le temps de mettre ma main, qu’il m’a déjà resservi. — « Tu exagères – dis-je – je vais être complètement pompette. »— « Ce sera marrant, quand Christine est dans cette état, elle ne raconte que des conneries, mais tout le monde se marre. »— « Oui, mais moi, ça a tendance à me rendre amoureuse. »— « Et bien, ce n’est pas ton mari qui s’en plaindra !!! »— « Je pense que nous ne donnons pas le même sens au mot « amoureuse », moi je parle de conditionnement, d’envie. »— « Aïe, aïe, aïe, je ne voyais pas ça !!! »— « Je m’en doute. »— « C’est pour ça qu’il rigole quand tu force un peu lorsque nous faisons un repas chez l’un ou chez l’autre. »— « Et oui, il pense à l’après ! ….et moi aussi !!! »— « Christine elle s’est plutôt le contraire, dès que le dernier invité est parti, elle s’écroule sur le lit et part pour une longue nuit. Moi je serais plutôt comme vous, ça me stimule un peu, enfin, si je n’ai pas trop chargé non plus !!! »— « Michel aussi, mais en général, il ne se laisse pas aller trop sur la bouteille, car il sait qu’il a des lendemains difficiles. Alors, en général, il est plutôt opérationnel. Si tu vois ce que je veux dire. »— « Je ne vois pas, mais je l’imagine aisément. »— « On a tout de même des drôles de conversations pour des voisins, non ? » lâchais-je.— « J’espère que tu ne nous considères plus comme des simples voisins. Moi, pour ma part, je préfère le terme d’amis, non ? »— « C’est vrai, excuses moi. »— « Il n’y a pas de problème. Je pense que tu as compris que tu peux compter sur nous, et nous, tu nous prouve en ce moment que nous pouvons vraiment compter sur toi. Si tu n’avais pas pris Gaétan, on aurait sûrement galérer, et en plus, le fait de ne pas me retrouver seul le soir en sortant du boulot, m’aide énormément. Et je ne parle pas que des petits coups de langue !!! »— « J’aimerais assez que nous passions sur cet instant d’égarement si ça ne te gêne pas !!! » dis-je en riant.— « Bien sûr, mais tu comprendras facilement que j’ai un peu de mal à l’oublier. »— « Je comprend parfaitement….mais quand même. »— « Ok – dit-il en saisissant son verre et en le levant devant lui comme pour porter un toast – alors, pour la dernière fois – A ce souvenir impérissable….quoique trop court. »— « J-P !!! – fis-je l’air bougon, puis, levant mon verre à mon tour – A un instant d’oubli….loin d’avoir été désagréable !!! »N’attendant pas sa réponse, je porte le verre à ma bouche et cherchant un peu trop longtemps une contenance, le vide d’un trait. La sanction est instantanée, la brûlure est violente, et la montée de chaleur brutale, je me mets à tousser, devient rouge comme une pivoine et mon corps se couvre de sueur instantanément. J-P se lève, va à la cuisine et me ramène un grand verre d’eau fraiche, que j’avale d’un trait. La brûlure a disparu, mais j’ai toujours aussi chaud, aussi j’ouvre les pans de mon peignoir et finit par le retirer. J’ai un peu de mal à reprendre mes esprits, et je n’arrête pas de transpirer. Ma chemise de nuit en porte les stigmates, les aisselles et le dessous des seins, se dessinent sur le coton.— « Je crois qu’une douche te ferait du bien. » suggère J-P.— « Je le crois aussi, ça ne te dérange pas ? »— « Non, non, fais comme chez toi – dit-il dans un sourire – si j’étais chez moi, je ferais pareil. »— « Tu veux rentrer ? »— « Pas vraiment, ça me fait du bien de parler à quelqu’un, surtout que je n’ai pas du tout sommeil. »— « Moi non plus, mais si tu veux, tu pourras prendre une douche après. Quoique tu ne dois pas avoir d’autre chose à mettre. »— « Si, dans mon sac. J’ai toujours des affaires de rechange quand je vais au boulot, et comme aujourd’hui je n’ai pas pris de douche là-bas, c’est encore dans le sac. »— « Ah, c’est donc ça l’odeur – dis-je en éclatant de rire – je croyais qu’il y avait un rat crevé sous le canapé. »— « Eh, ne va pas trop loin quand même parce que je pourrais prendre des sanctions radicales. »— « Quoi ???? Une fessée ??? Oh oui, oh oui, oh oui !!! » fis-je en battant des mains.— « Tu as vraiment besoin d’une douche toi !!! Ton mari te verrait… »— « Je pense que tu serais surpris de sa réaction. » dis-je énigmatique.— « Que veux-tu dire par là ? » m’interroge-t-il.— « Rien ! » dis-je en me dirigeant vers la salle de bain.Repoussant la porte derrière moi avec le talon, j’ouvre le robinet, et me glisse sous la douche sans attendre que l’eau se réchauffe. La morsure de l’eau froide me donne un choc, mais je résiste à l’envie de m’en soustraire. L’effet escompté est atteint, et en moins de trente seconde, je récupère mes esprits. L’eau chaude arrivant enfin, je me savonne afin d’éliminer les traces de sueur et pour me rincer, remets de nouveau de l’eau froide, achevant de récupérer ma lucidité. Je sors de la baignoire, et enfile ton peignoir sans même me sécher, cherchant à bénéficier le plus longtemps possible de la fraicheur de la douche. Je rejoins J-P dans le salon et l’invite à prendre ma place. Dès qu’il a tiré sur lui la porte de la salle de bain, je retire ton peignoir, afin de reprendre le mien. Alors que je me dirige vers mon fauteuil pour récupérer mon bien, la porte de la douche s’ouvre et J-P apparait. Il reste interdit, et moi aussi, puis reprenant mes esprits, je me saisis de mon peignoir et l’enfile en quatrième vitesse. Me retournant vers lui, je demande :— « Il te manque quelque chose ? »— « Euh oui, mon sac. Mes affaires de rechange sont dedans, et par contre, ma serviette est au boulot, et il n’y en a pas dans la salle de bain. »— « Va chercher ton sac, je te sors une serviette. » dis-je en le croisant dans le hall.— « Merci, - me dit-il en prenant la serviette que je lui tends – je ne l’ai pas fais exprès. »— « Je le sais bien, gros bêta, c’est ma faute. N’en parlons plus. Ca doit être la journée qui veut ça !!! »— « Il faut dire qu’elle nous gâte aujourd’hui. »— « Ouais, si on veut, enfin, elle est presque finit. »— « C’est vrai – dit-il en regardant sa montre – heureusement, sinon… »— « Sinon quoi ?!!!!!!! »— « Rien, rien, fais comme si je n’avais rien dis. »Il rentre dans la salle de bain un peu penaud, et je m’aperçois que j’ai été un peu sèche avec lui et pas tellement polie. Le regrettant immédiatement, je frappe doucement à la porte et tend ton peignoir par l’interstice, en lui disant qu’il pourra le mettre en sortant de la douche en attendant d’être complètement sec avant de se rhabiller. — « C’est une bonne idée, je te remercie Barbara. »— « De rien Jean-Phi. Excuse mon mouvement d’humeur. J’ai été surprise et je ne savais pas comment réagir. »— « Ne t’en fais pas, je ne m’en rappelle même plus. »— « Merci. »— « De rien, et merci à toi. »Je repars dans le salon, beaucoup plus troublée que je ne veuille bien me l’avouer. J-P est très sympathique, généreux, attachant, et il y a beaucoup de centres d’intérêts que nous partageons. Mais il faut dire que ce soir, le destin semble s’amuser à nos dépens et, c’est très embarrassant. Pourtant je n’ai pas envie de le voir partir, car comme lui, je me sens seule depuis ton départ et j’ai envie de partager autre chose que des conversations d’enfants. Me disant que nous arriverons bien à rétablir un fil « normal » dans notre échange, je décide de profiter de la soirée et de faire en sorte qu’elle se passe bien. Au bout d’un moment, J-P sors de la salle de bien, et à son regard rieur je vois qu’il va en sortir une autre.— « Il rentre vraiment là-dedans ton mari, parce que moi, j’ai un peu de mal à le fermer. »— « Il est un peu juste maintenant c’est vrai, mais ça ne me dérange pas, j’aime bien les hommes confortables. »— « Tu serais ravi avec moi – dit-il – je suis vraiment très, très confortable. »— « Tu n’es pas gros, dis donc, comme Michel, tu tiens tes muscles au chaud. »— « Bien au chaud c’est vrai. » dit-il en s’asseyant.Alors qu’il s’assied, les pans s’écartent et je ne peux que remarquer qu’il porte un slip.— « Tu n’as pas été gagné par la mode des caleçons ? »— « Ce n’est pas moi qui m’occupe de ça et Christine est plutôt du genre classique. »— « Pas moi, et depuis que Michel a essayé, il ne peut plus s’en passer. Il dit que c’est très agréable, qu’il se sent moins engoncé. Je peux t’en prêter un si tu veux, il est neuf, tu pourras le garder. »— « Si tu veux, je t’en rachèterais un autre. »— « Pas la peine. Attends je vais te le chercher, tu verras, et tu me diras ce que tu en penses. » dis-je en me dirigeant vers la chambre.Revenant dans la pièce, je lui tends le caleçon et il part le passer dans la salle d’eau.— « C’est vrai que c’est confortable – dit-il en pénétrant de nouveau dans la pièce – il faut voir à l’usage, mais la sensation est bizarre, j’ai l’impression d’être….très libre à l’intérieur. »— « Oui, c’est ce que dit Michel, mais à priori, il apprécie la sensation. »— « Je comprend, je crois que je vais me convertir, mais je me demande comment je vais expliquer ça à Christine. J’avoue que j’aurais du mal à lui parler de la soirée, car je ne pense pas qu’elle prendrait la chose avec le sourire. Même si ça n’est pas très grave au demeurant. »— « Je crois que tu as raison et que si on lui raconte, il faudra rester beaucoup plus conventionnel dans nos explications. Télé, café, dodo de bonne heure, bisous aux gosses, etc. »— « Ouais donc pas de léchage de poitrine, de strip-tease dans le salon, d’essayage de caleçon, et autres voluptés. » renchérit-il.— « Oui, que du classique – dis-je en explosant de rire – restons résolument classique !!! »— « Je peux – demande-t-il en désignant le flacon de cognac – histoire de finir de préparer ma nuit ? »— « Vas-y, je t’ai dis de ne pas demander. Fais comme chez toi ! »— « Euh, il ne vaut mieux pas. » dit-il.— « Pourquoi ? » demandais-je, pensant immédiatement que j’aurais dû retenir la question.— « Parce que, bien comme je suis, lavé, bien à l’aise dans mon caleçon qui me permet de me développer sans me serrer, si j’étais chez moi, je te sauterais dessus. – puis changeant tout de suite de conversation – je te sers aussi ? »— « Oui – répondis-je sans attendre de réfléchir à la question – merci. » finis-je en tendant mon verre qu’il me remplit à nouveau largement.Nous dégustons de nouveau le liquide ambrée, et est ce l’habitude, mais je ne ressens que le plaisir qui se diffuse dans mon corps et plus du tout la brûlure. M’excusant, je pars pour enfiler une chemise de nuit, moins chaude que mon peignoir. Je lui propose un t-shirt XXL qu’il accepte. Sans façon, il retire son peignoir et enfile le t-shirt, et pendant qu’il l’enfile je ne peux m’empêcher de regarder la déformation de son caleçon, traduisant son émoi. Je détourne le regard alors que sa tête émerge du col, et me rassied, m’apercevant seulement à cet instant que le t-shirt que j’ai pris comme chemise de nuit est très court et qu’il révèle vraiment plus qu’il ne cache quelque chose. Je n’ai rien mis dessous, comme lorsque je suis avec toi, mais là, cela risque de vite s’avérer problématique. Saisissant un coussin, je le pose sur mes cuisses afin de cacher ce que je peux. La conversation reprend, et c’est sur toi qu’elle porte, sur les enfants aussi et comment ils perçoivent la séparation. Je lui dis que lorsque nous te téléphonons chaque semaine, ils sont heureux et qu’il y a aussi les dessins par lettre et les photos par mail.— « Ah oui, les fameuses photos, dont parlait Louis. »— « Oui, il faut toujours qu’il parle trop lui. »— « C’est les enfants ça, ils ont toujours du mal à tenir leurs langues. C’étaient quoi ces photos ? »— « Des photos en petite tenue, voire encore plus petites. »— « Il y a des jours ou je me dis que j’aurais du faire militaire !!! »— « Oui, et bien lui il y a des jours ou il se dit qu’il aimerait bien être dans le civil. »— « J’imagine facilement. Et là, tu lui en as encore envoyé des photos ? » — « Non, mais il me rabat les oreilles pour que je le fasse, mais la dernière fois c’était ma mère qui les avait prise, et elle n’est pas là. »— « Tu n’as pas de trépied ? »— « Si mais ce n’est pas pratique pour les photos, car il faut le réarmer à chaque fois. C’est bien pour les films. »— « Quels films ? Tu lui envoies des films aussi ? J’imagine que c’est des films de toi, et que si tu mets le trépied que c’est assez…hot !! »— « Pourquoi penses tu tout de suite à ça – demandais-je – vous êtes bien tous pareil !!! »— « Parce que je ne vois pas d’autres raisons et aussi à cause de la coloration soudaine de tes joues. »— « Oui, et bien c’est vrai que je lui ai envoyé quelques films, un peu…osés. Mais c’est uniquement pour ses départs. »— « Je comprends bien que lorsqu’il est ici, à te voir comme ça, il n’a pas besoin de regarder un film pour être motivé. »— « Je vais prendre ceci comme un compliment. »— « Tu peux, c’en est un. Et en plus, c’est sincère.»— « Merci, à la tienne. » dis-je en levant mon verre.— « A la tienne ! – répond-il – Mais, tant qu’on est sur le sujet, et pour éviter l’envie d’y revenir, tu ne me ferais pas voir le genre de photos que tu envoies. Si tu as demandé à ta mère de les prendre, ce ne doit pas être trop hard. »— « Hard, non, mais c’est quand même en tenue sexy ! »— « Cela aura du mal à être plus sexy que lorsque je suis sorti de la salle de bain. »— « C’est un peu vrai, mais c’est quand même intime, et même si nous sommes amis, nous ne sommes pas aussi intime que ça. Je ne pense pas que tu ais des photos du même genre à me montrer.»— « Si tu as un appareil, je suis prêt ! » dit-il en se levant et en faisant passer son t-shirt par dessus sa tête. »— « Je parle de photo de charme, et là, je pense que tu admettras que ça en manque un petit peu. » dis-je en riant.— « Même avec mon caleçon ? – lâche-t-il, l’air faussement vexé – pourtant je trouve qu’il me va comme un gant. » dit-il sans rire en se regardant.— « Un gant avec un seul doigt ! » lâchais-je de nouveau en désignant la protubérance nettement développé.— « Si j’étais en slip ça se verrait moins, et je te rappelle que c’est toi qui me l’a proposé. Donc c’est pas de ma faute, et de plus, cela fait parti des choses qu’un homme a beaucoup de mal à contenir. »— « Apparemment il n’y a pas que les hommes qui ont du mal à le contenir. Le caleçon aussi à ce qu’il me semble. »— « Alors, et ces photos – dit-il en prenant des poses de culturiste – Regardes ces muscles, ça ressemble pas à de l’acier trempé. » dit-il en riant et en tentant de rentrer son ventre.Je me lève et me dirige vers le bureau pour prendre l’appareil photo. Faisant le tour de J-P, je le mitraille de photos. Il prend des poses toutes aussi loufoques les une que les autres. Nous retenons nos rires afin de ne pas réveiller les enfants, mais à force de le faire, nous nous en étouffons presque. Il tourne sur lui même et se met à exécuter une danse du ventre, puis me tournant le dos, il fait descendre son caleçon jusqu’au milieu de ses fesses. Je manque m’étouffer tellement je retiens mes rires. J’interromps mes prises de vues pour m’enfiler une rasade de cognac et lui tendre son verre, puis recommence à le mitrailler. Je dois bien en être à 80 ou 100 photos, quand je me laisse tomber sur le canapé, hors d’haleine et en nage. Je tire la langue, ouvre la bouche pour retrouver mon souffle. J-P aussi, s’assied sur son fauteuil, face à moi. Tout comme moi, il transpire, et souffle comme un bœuf.— « On devrait se mettre au sport tu ne crois pas ? Regarde l’état dans lequel nous mettent 4 ou 5 photos. »— « L’état dans lequel je suis est plutôt dû au fait que tu n’ais pas de culotte et que ton t-shirt est remonté jusqu’au nombril. » lâche-t-il en se pliant de rire.Je baisse les yeux, et effectivement, découvre ma toison offerte à la vue de mon ami hilare. Je tire violemment sur le bas de mon t-shirt, mais comme celui-ci est court et que je ne m’assieds pas dessus, il remonte sans cesse, dévoilant indéfiniment ma féminité. — « Et merde !!! – lâchais-je – je ne vais quand même pas aller mettre une culotte à cette heure ! »— « C’est toi qui décide, mais si tu continues à me montrer tout tes charmes, je vais finir par me faire des idées. »— « Des idées de quoi ?!!! »— « Des idées !!! »Je me lève avec mauvaise grâce et vais prendre dans la corbeille de linge propre, un string qui trône au-dessus. Sans plus de manière, je l’enfile et retourne m’asseoir.— « Et maintenant c’est mieux ! » dis-je avec humeur.— « A peine, mais ça ira. Alors, je peux les voir ces photos. »— « Attends 5 minutes que je reprenne mon souffle et après, je les transfère. »— « Je ne parlais pas des miennes, je parlais des tiennes. »— « Je n’ai pas dis que je te les montrerais. »— « Tu as dis que je n’avais rien à te montrer en échange, maintenant tu l’as eu, alors, je répète, je peux les voir ? »— « Trente secondes et je te les montre. »— « Ok, je te resserre ? »— « Je crois qu’il faudrait peut être l’éviter, au vue de la tournure que prennent les évènements. Tu ne crois pas ? »— « Non, et comme ce n’est pas vraiment un refus, voilà. » dit-il en remplissant mon verre.— « Alors à la tienne – dis-je, résignée – et advienne que pourra ! »— « Au destin, et à toutes les bonnes choses qu’il peut apporter ! »Je porte le verre à mes lèvres, et ressens immédiatement la chaleur bienfaisante du liquide ambré. Je suis en passe de devenir une vraie alcoolique, pensais-je en moi-même. Je me lève et me dirige vers l’ordinateur. J’ouvre les dossiers et lance le diaporama des photos que j’avais faites pour t’envoyer au Tchad. Décalant un peu mon siège je le laisse regarder. Il se penche et pose ses avants bras sur la vitre du meuble du PC, approchant réellement très près de l’écran.— « Tu as vraiment des tenues sympa, et tu les mets vraiment en valeur ! » — « Merci, mais n’importe quelle femme serait mise en valeur par des tenues comme ça. »— « Pas du tout, un thon reste un thon, même en robe de soirée, et toi tu es toujours très féminine. »— « Re-merci, mais je vois bien que j’ai quelque kilos en trop. »— « Ben voyons, moi, et Michel, nous nous avons quelques kilos en trop, mais toi, après 4 enfants, tu es vraiment superbe, et je dis ça à mon corps défendant. » dit-il en riant.Jetant un regard, je m’aperçois qu’effectivement un certain point de son corps cherche à s’évader de son carcan. — « Décidemment, je me demande si c’est vraiment bien pour toi de continuer à voir ça ? Je crois que tu vas avoir un peu de mal à t’endormir.»— « Laisses moi m’arranger avec ça, j’ai été ado et je saurais bien retrouver le mode d’emploi. »— « Il n’y a pas que les ados qui ont la prérogative du plaisir solitaire. » lâchais-je abruptement, ne parvenant pas à retenir les mots avant qu’ils ne franchissent mes lèvres.— « J’y suis ! les films, c’est ça !!! » crie-t-il presque.— « Quoi les films ? Et puis évites de crier s’il te plait, d’abord ça me fait sursauter et ensuite tu risques de réveiller les gosses. »— « Excuses-moi, oui les films que tu envoies à Michel, c’est des films où tu t’adonnes au plaisir solitaire, je me trompe ? »— « Absolument !!! »— « Je ne crois pas. »— « Tant pis. »— « Et bien si ce n’est pas ça, tu n’as qu’à me les faire voir. »— « Tu deviens lourd J-P, très lourd. » fis-je, un peu excédée.— « Ok, je me rends, c’était juste pour rire. »— « J’ai vraiment beaucoup ri, merci. Tu ne serais pas un peu voyeur par hasard» terminais-je.— « Je ne pense pas que le hasard y soit pour grand-chose. Non, je suis seulement un peu obsédé, c’est tout. Et comme je te trouve vraiment très belle et attirante, tu ne peux pas m’en vouloir de vouloir en voir un peu plus. En plus, cette soirée est vraiment étrange, je pense que tu t’en es aperçue, alors comme Maurice, je pousse le bouchon toujours un peu plus loin. »— « Beaucoup plus loin, tu ne crois pas ? »— « Peut être, mais admets au moins que notre situation actuelle est pour le moins cocasse, nous sommes dans ton salon, ma femme à l’hosto, ton mari au Liban, j’ai léché tes seins devant lui et il en a rit, tu es moitié nue et moi je suis debout, à côté de toi, en caleçon et je bande comme un cerf. Crois tu vraiment que dans ces conditions, je n’ai pas une petite circonstance atténuante pour pousser ce putain de bouchon un peu plus loin !!! Pardon pour le gros mot, mais reconnais tout de même qu’il y a de quoi perdre un peu ses repères. »— « Je crois que tu as raison, excuses moi, je me fais l’impression d’être une grosse allumeuse. »— « Pas du tout, je pense qu’on s’est laissé entraîner par des évènements qui nous ont vite dépassé, et c’est tout. Oublie le film, oublie ce qu’on a dit, je vais y aller. Excuses moi encore. »— « Non, tu ne pars pas maintenant, c’est idiot de finir comme ça, et si tu pars maintenant, je crois que ça va casser quelque chose, alors on va s’asseoir, se resservir un verre et regarder la télé. Ca te va ? »— « Il n’y a rien à la télé, on a regardé tout à l’heure. »— « Avec le nombre de chaine on va bien finir par trouver quelque chose. »— « Ok, fais ton choix. »— « Pendant que je cherche la chaine, tu ne voudrais pas aller voir si les garçons dorment bien dans leur chambre, et fermer leur porte derrière toi ? »— « Ok chef. » dit-il en enfilant son peignoir.Tandis qu’il descend au rez-de-chaussée, j’allume la télé, le disque dur multimédia, et présélectionne un film. Comme il n’est pas encore revenu, je vais dans la cuisine et prépare deux cafés. Ayant installé les tasses sur un plateau, je retourne dans le salon, où je retrouve J-P, assis dans le fauteuil, s’étant débarrassé à nouveau de son peignoir.— « Tu as si chaud que ça ? » — « Je pense que le cognac y est pour beaucoup, mais oui j’ai vraiment chaud. Pas toi ? »— « Si, moi aussi, mais je ne crois pas que ce serait vraiment idéal que je me mette dans la même tenue que toi. »— « C’est pas faux !!! Mais bon, je sais me tenir. »— « Je te crois, mais pour l’instant, je pense que je vais endurer ma peine. Maintenant, je te demanderais de ne plus parler. Tu veux un café ? »— « Oui, ça sera plus sérieux qu’un autre cognac. »— « Je le crois aussi. Maintenant silence. » je lui tends sa tasse, puis appuie sur le bouton «Play» de la télécommande, lançant le film.Dès que l’image apparait, c’est un plan fixe sur le canapé du salon. Au bout de quelques secondes, j’apparais de dos, ne portant qu’un string, et m’allonge sur le canapé. Regardant la caméra, je lance : « Bonjour mon chéri, j’espère que cette petite vidéo égayera tes soirées solitaires. » Aussitôt après, une de mes mains glisse sur ma poitrine, tandis que l’autre descend jusqu’à la lisière de mon string, s’insère sous l’élastique et vient caresser mon sexe. Je jette un regard vers J-P qui semble captivé par ce qu’il voit, il sent tout de même mon regard et me regarde bizarrement, avant de revenir au film.Après m’être caressée quelques secondes, je relève les jambes et ôte mon string, dévoilant mon sexe et mes fesses à l’objectif de la caméra. Laissant tomber le frêle morceau de tissu, je posse la jambe droite sur le dossier du canapé, tandis que la gauche se pose sur la table basse, me laissant ouverte à tous les regards. Mes deux mains rejoignent la fourche de mes cuisses et entreprennent une lente caresse appuyée de mon sexe avide de sensation. Je pousse de petits soupirs, tandis que mes mains s’activent. Quelquefois une de mes mains remontent jusqu’à mes seins qu’elle caresse avant de repartir vers mon sexe humide. Regardant J-P plus discrètement qu’auparavant, je vois que tout absorbé qu’il est par le film, il a posé une main sur son bas ventre, retenant comme il peut son sexe qui semble vouloir en jaillir comme d’une boite. Même si je ne vois pas sa main bouger, je remarque tout de même que ses doigts se serrent et se desserrent convulsivement sur sa hampe dressée. Je reporte mon attention sur le film.Ma main gauche glisse du canapé, semble chercher quelque chose un instant, puis remonte, armée de mon rabbit préféré. Je le porte à mes lèvres et pendant une vingtaine de secondes, lui prodigue une caresse buccale aussi appliquée que s’il s’agissait d’une vraie queue. Puis, l’allumant, je commence à le faire descendre vers son terrain de jeux préféré, faisant au passage le tour de mes seins, jouant à exciter mes tétons, avant de parvenir enfin à mon sexe. Une fois arrivé là, je ne lui laisse que peu de temps avant de l’introduire en moi. Il est immédiatement et facilement happé par mon puits gourmand et surtout très lubrifié. J’installe bien les oreilles magiques de mon gentil lapin et me laisse gagner par ses vibrations tout aussi fantastiques.Mon sexe est en feu et je le sens trempé, si j’étais seule, je me caresserais comme une folle. J’ai tellement peur que mon état se voit que je n’ose pas détourner les yeux du film. Toutefois, je perçois que J-P n’est plus aussi immobile qu’au début et me décide de regarder du coin de l’œil. Dès que mes yeux se posent sur lui, ils croisent son regard. Il me sourit et retourne au film, baissant les yeux, je m’aperçois qu’il a sorti sa verge du caleçon et qu’il se caresse doucement. J’ai du mal à quitter ce spectacle et à retourner à celui de mon grand écran. C’est des gémissements venant de la télé qui attirent de nouveau mon attention. Tandis que je jouis une première fois sur l’écran, ma main remonte à l’intérieur de ma cuisse, trois de mes doigts se frayent un passage sous mon string et viennent soulager mon sexe avide de plaisir.Une main serrée sur le manche de mon rabbit et l’autre sur mes seins je savoure cette première vague de jouissance, des spasmes secouant encore mon corps. Ressortant mon sex-toys, je le gratifie de quelques coups de langues gourmands avant de lui faire reprendre le chemin du travail, pour lui, et du plaisir, pour moi. Je l’introduis à nouveau en moi, arrange convenablement ses oreilles, et tandis que ma main droite le maintient bien en place, la gauche replonge au pied du canapé et en revient avec un autre jouet pour adulte quelque peu délurée. Sorte de petit godemichet fait d’un empilement de billes, articulé, doté d’un embout oblong de trois centimètres et de l’autre côté d’un variateur électronique, je ramène de mes recherches de quoi satisfaire mes envies les plus cachées. Le lubrifiant de la même manière que son grand frère, je relève largement ma jambe gauche, écartant largement mes fesses afin d’en dégager l’œillet caché, je présente mon nouvel ami à la porte de mon étroit conduit. Il trouve facilement son chemin et rebaissant la jambe après l’avoir introduit en moi de quelques centimètres je le lâche, le laissant irradier ses doses de plaisirs entre mes reins en feux. La jouissance revient rapidement, amplifiée par le serpentin qui distille sa jouissance entre mes fesses. Je pousse des petits cris de biche blessée, tandis que mon corps se tord au rythme des spasmes qui le traverse.Mes doigts sont maintenant carrément dans mon sexe ouvert. Mon string est complètement sur le côté. J’ai chaud et de grosses gouttes de transpiration, coulent entre mes seins. Regardant rapidement dans la direction de J-P, je m’aperçois que son caleçon est désormais à ses pieds et que tandis que sa main droite s’active le long de son sexe, la gauche malaxe ses bourses gonflées. M’apercevant que toute retenue n’a plus de sens, je fais passer mon t-shirt par-dessus ma tête et retire complètement mon string. Je regarde de nouveau J-P qui me sourit gentiment sans bouger, et m’allonge sur le canapé, face à lui, écartant mes cuisses de la même façon que pendant le film, et plongeant mon regard dans le sien, je recommence à me caresser. Lui aussi, se place face à moi, posant sa cuisse gauche sur l’accoudoir, il me laisse le spectacle de sa hampe qu’il branle au même rythme que mes doigts caressent ma fente. Je suis excitée comme une damnée et n’y tenant plus je lui demande de s’approcher. Il se lève et s’approche jusqu’à moi. Je tends la main et il s’approche un peu plus. Une fois qu’il est à ma portée, je pose ma main sur son sexe bandé et l’attire à moi de façon péremptoire. Une main caressant toujours mon sexe, la deuxième va et vient doucement sur la tige fièrement dressée de J-P, décalottant et recalottant alternativement son gland violacé, mes yeux comme hypnotisés par le fruit de ma tentation. Raffermissant ma prise, je l’attire encore un peu plus, jusqu’à l’amener au niveau de mes lèvres, qui, s’entrouvrant juste ce qu’il faut, laisse passer ma langue qui part à la rencontre de cette friandise géante. Le gratifiant de 4 ou 5 coups de langue bien appuyés, je desserre encore un peu ma bouche et engloutis le membre impatient, sentant sous la pression de mes doigts, le sang affluer en saccades violentes à l’intérieur de ce corps caverneux, promesse de plaisirs imminents. Le grognement sourd et rauque qu’il ne peut retenir me montre que la technique est la bonne et que ma caresse buccale est appréciée à sa juste valeur. Je vois ses cuisses trembler, sent que son sexe durci encore sous l’afflux de sang provoqué par l’excitation décuplée par l’action de ma bouche gourmande. Ma main droite abandonnant mon sexe détrempé, je m’assieds face à lui et soupèse, malaxe, caresse, ses bourses gonflées comme des fruits mûrs, de ma main nouvellement libre. J’éprouve un grand sentiment de puissance envers cet homme que je tiens dans ma bouche, car je sais qu’à cet instant, il ne peut penser à rien d’autres que ce que je suis en train de lui faire. Son sexe bien que moyennement long, est très épais et distend quelque peu ma mâchoire. Des filets de salive s’échappent de l’interstice de mes lèvres et coulent le long de sa hampe aux veines apparentes, jusqu’à ses bourses couvertes de poils bruns et drus. Dans un transfert total, je ressens son plaisir comme étant le mien, de sorte que, en le suçant, c’est à moi que je donne du plaisir, un plaisir que je perçois à travers chaque coup de langue, chaque succion. Toutefois, je m’aperçois bien, à travers les spasmes annonciateur de plaisir, que si je continue ma caresse, le jeu risque de se terminer plus rapidement que voulu, alors, faisant ressortir les sexe masculin de ma bouche, et me laissant couler dans le canapé en écartant et relevant haut les jambes, je lui ordonne, plus que je ne lui demande :— « Lèches moi maintenant ! »Il ne répond même pas. S’agenouille entre mes jambes, pose ses deux mains sur la face interne de mes cuisses, et, sans plus attendre, plonge littéralement la tête dans ma fourche offerte. Les poils de sa moustache me rappellent instantanément ceux de la tienne et sa langue prend possession des lieux, recherchant par touches successives les endroits les plus réceptifs, les points les plus sensibles. Il ne lui faut que peu de temps pour découvrir les clés de mon plaisir et il s’applique dès lors à ne plus les quitter. La caresse, trop légère à mon goût, me rendant totalement électrique, je saisis de mes mains le haut de sa tête et l’appui jusqu’à étouffement contre mon sexe demandant plus de fermeté, de virilité. Comprenant le message, sa langue se fait moins légère, moins voluptueuse et s’introduit dans mon sexe aussi profondément qu’elle le peut. Lorsqu’elle ressort, et s’égare sur mon bouton d’amour, c’est encore avec une certaine dureté qu’elle le fait, me procurant un plaisir qui monte crescendo. Reprenant l’initiative, il tire un peu plus mon bassin vers l’avant et glissant ses mains dans le pli de mes genoux, remonte encore plus mes jambes, ouvrant mon sexe et découvrant mon œillet caché, qu’il gratifie d’un baiser effréné. Rendue folle par cette attention, mes mains abandonnent sa tête, passent de chaque côtés de mon corps, empoignent mes fesses et les écartent en une invite bien plus que subliminale. La preuve en est qu’immédiatement, le message est reçu et qu’il pénètre mon puits étroit de sa langue dardée, m’arrachant un gémissement, venu du plus profond de mes entrailles. Puis revenant à des choses plus conventionnelles il reprend la direction de ma lune largement ouverte et dégoulinant du nectar de mon plaisir. Il ne lui faut que deux ou trois minutes d’aller et retour constant entre mon sexe, mon bouton et mon petit puits froncé pour déclencher en moi un orgasme dévastateur qui me laisse pantelante, en nage et haletante. Les vagues de plaisir partant de mon ventre et éclatant dans ma tête, durent près d’une minute entière et me laisse anéanti. Je ne peux plus bouger, et lorsqu’il me saisit par les hanches, s’insinue entre mes jambes et présente son gland brillant à la porte de mon intimité, je ne peux rien faire d’autre que d’attendre ardemment qu’il se plante en moi.La préparation ayant été exceptionnelle, il s’introduit en moi avec facilité, malgré le diamètre plus qu’honorable de sa hampe bandée. Il commence immédiatement ses va et vient, provoquant une reprise des spasmes de plaisir. Ses coups de reins se font plus fermes et ses mains, posées sur mes seins les malaxent tout en faisant jouer mes tétons entre ses doigts. Je sens ses couilles taper contre mes fesses chaque fois qu’il s’enfonce profondément en moi, et chaque coup de boutoir m’arrache un petit cri ou grognement de plaisir. L’allure va en s’intensifiant, et je sens une déferlante monter en moi. Au moment où je sens éclater ses longs jets de spermes sur les parois internes de mon intimité, l’orgasme surgit, violent, abrupte, intense et ravageur. Je suis obligée de me bâillonner à l’aide d’un coussin afin que mes cris ne réveillent pas toute la maison. Son plaisir ayant l’air d’avoir été pour lui aussi, très violent, il s’écroule sur moi, bloquant ma respiration. Je suis obligée de le repousser, il roule sur le côté, son sexe sortant de mon étui, entraînant une déferlante de semence que je tente de retenir à l’aide de mon t-shirt. Dès que j’ai repris un peu plus d’assurance, je me lève et me dirige vers la salle de bain où, ouvrant l’eau, je nettoie toute les traces de notre joute amoureuse. La morsure de l’eau froide me fait du bien et le jet dirigé sur mon sexe malmené apaise mon excitation. Toute trace ayant disparu, je retourne dans le salon, armée d’un gant de toilette mouillé et d’une serviette, et entreprend de nettoyer le sexe encore semi rigide de J-P. Il a tellement donné, qu’il ne bouge même pas, même sous la différence de température du gant humide, marmonnant juste un vague remerciement. J’ai un peu peur de l’après et je ne sais pas trop comment me comporter après cet intermède amoureux. S’il prenait cette histoire pour autre chose que ce que cela représente pour moi, ce serait une catastrophe. Comme pour répondre à cette question muette, alors que je relève les yeux sur son visage, je vois son visage poupin se fendre d’un large sourire et l’entend me dire :— « Et bien voisine, voilà une bonne chose de faite, non ?!!! »— « A qui le dis tu – répondis-je sur le même ton enjoué – deux mois sans mon chéri, deux ou trois verres de cognac et voilà ma fidélité largement mise à mal. »— « Deux ou trois ? Tu plaisantes j’espère !!! On a pratiquement vidé la bouteille !!! je me demande ce qui le peinerait le plus, ton chéri ? »— « A coup sûr la bouteille, car pour le reste, je pense que ça rentre parfaitement dans le cadre de ses fantasmes. »— « Tu plaisantes ? »— « Pas vraiment non. Tu sais il est pour le moins aussi obsédé que toi et il a un sens de la propriété privée tout à fait personnel. Son plus grand rêve c’est de me partager avec un autre gars, alors je pense qu’il ne serait pas vraiment fâché. Surpris sans doute, mais pas fâché. De toute façon on le saura demain soir. »— « Pourquoi ? Tu vas réellement lui en parler ? Il risque de péter un plomb s’il ne réagit pas comme tu le penses et ce serait dommage de casser notre amitié, car je l’aime vraiment bien, même si il est un peu bourru. »— « Lui aussi t’aime bien et je ne crois pas que cela va changer grand chose entre vous, ou alors plutôt en bien. Avec évidemment en sous main l’idée de passer à la deuxième phase. »— « Nous deux avec toi ? »— « Yes !!! »— « Et ?!!! »— « Et quoi ? »— « Qu’en penses-tu ? »— « Maintenant ? »— « Oui. »— « Vivement qu’il rentre !!! »— « Au putain que oui !!! »
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