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Les animaux de Priape

Chapitre 4

Zoophilie
Je me réveillai à cause du bruit. Il faisait noir et je ne voyais rien mais j’entendais les cris de ma femme et ses encouragements. Elle dérouillait encore. Je me demandai bien qui de Pacôme ou d’Aldéric était en train de la monter : "Oh Ouiiiiiiii, enfonce-moi, pénètre-moi. J’aime ta queue..... Elle est bonne ta bite, oui, comme cela, jusqu’aux couilles, pète-moi la raie.... encore, bourre-moi bien là, oui, vas-y y j’aime les bonnes grosses queues comme la tienne....".
Je me mis à bander. Je portai la main à mon sexe et je sentis les croutes de sperme séché qui recouvraient mon corps, mon pubis, et jusqu’au poil de mes cuisses.
A l’inverse de ma femme, l’obscurité était impénétrable. Je m’approchais donc à tâtons en me fiant au son. J’entendis le râle puissant de l’homme et ses gémissements gutturaux. Sa voix était très puissante et grave.
Mais, avant d’arriver jusqu’au couple, je fus saisi par deux bras vigoureux et soulevé de terre. Je poussai un cri de surprise et de peur. Je fus transporté en hauteur et, en un tournemain, je me retrouvai attaché sur la chaise en hauteur.
Cependant, l’homme qui sautait ma femme s’était mis à parler dans un langage que je ne comprenais pas alors que son acolyte qui dégageait beaucoup de chaleur et une puissante odeur animale m’attachait solidement au dossier et aux accoudoirs.
Ma femme répondait par des cris de plaisir et je ne voyais toujours rien. J’avais beau demander ce qu’il se passait, je n’obtenais aucune réponse.
Peu à peu, une lueur venue du fond de la salle vint dissiper les ténèbres et je me mis à distinguer des ombres.
Il me sembla que ma femme ne touchait plus terre, suspendue au bras d’un géant qui la maintenait tout en la baisant.Peu à peu, à mesure que la lumière, de plus en plus chaude et vive, me révélait le tableau, je réalisai, mais sans y croire complètement encore, ce que je voyais.
La statue du faune était descendue de son socle et s’était animée, mais le monstre de chair était deux fois plus grand que le bloc de pierre. Il faisait le double d’un homme. Il paraissait encore plus puissant. Ses cuisses épaisses et très poilues étaient campées de sorte qu’il se maintenait sans bouger, jambes bien tendues.
L’énorme paire de couilles avait une toison aussi abondante que celle qui recouvrait les cuisses, les avant bras et le creux des pectoraux entre les deux seins. Exactement comme s’il soulevait une plume, il faisait aller et venir ma femme sur son manche dont je voyais, au bout d’une courbe magnifique, l’énorme extrémité ourlée disparaître dans la fente qui ruisselait abondamment, la cyprine formant déjà une petite flaque sur le sol.
Fasciné par ce spectacle torride je mis du temps à m’apercevoir que la statue de Méfistophallos avait aussi disparu. C’est alors que je le vis au dessus de moi. Il s’était accroché sur le dossier de ma chaise, exactement comme un oiseau se serait mis sur son perchoir. En levant ma tête et regardant vers la voûte, je pouvais voir son énorme sexe bandant. De toute ma vie je nai vu une bite aussi parfaite, l’expression du sexe masculin dans sa plus ample virilité.
Il avait, de plus, une particularité physique que la statue ne mettait pas en valeur. Il était doté de deux paires de couilles presque soudées l’une à l’autre. Pendant que l’une pendait très bas, l’autre remontait lentement jusqu’à ce que les  les deux testicules forment d’énormes excroissances de part et d’autre du sexe en érection. Sa peau était noire comme du charbon. Sa langue très rose et d’une inimaginable agilité pendait de sa bouche et il jouait avec l’entortillant autour de son sexe, jouant à titiller son gland, récoltant sa propre mouille et l’avalant avec des bruit de succion et de contentement.
Puis il se courba. Les testicules les plus bas étaient si proches de mon crâne que je sentais la chaleur qui rayonnait de son corps.
Puis sa langue descendit comme un reptile baveux. Elle était très fine et très nerveuse, d’une extraordinaire mobilité. Il me caressa les tétons de son extrémité. Je ne pouvais rien faire. Puis, sa lécheuse glissa sur mon ventre, s’insinua dans les poils de mon pubis et elle s’enroula lentement autour de mon sexe dressé, comme une liane autour d’un tronc.
J’étais plus qu’inquiet et Aldéric n’était pas là pour me rassurer, pas plus que Pacôme. J’étais crispé mais la peur ne m’empêchait pas de connaître une vigoureuse érection, d’autant que la langue, en continuant sa progression vers mon gland, me serrait davantage à l’image d’un serpent constricteur qui aurait commencé à étouffer sa proie. Pourtant, le contact en était doux comme de la soie et j’éprouvais comme des picotements et une hausse de température.
Quand la langue fut arrivée au méat, elle commença à le chatouiller et pénétra das l’urètre mais sans aucune douleur, au contraire.
Ce que je ressentais était un mélange de plaisir et de désagrément mais, très vite je ne connus plus qu’un état d’ivresse, une sorte d’orgasme très très lent, prolongé, intense. J’étais comme drogué, dans un état second et il me sembla que ma bite s’agrandissait progressivement, qu’elle gagnait en longueur et en circonférence, qu’elle devenait plus dure et plus lourde, à l’instar des couilles qui subissait la même métamorphose.
Pendant ce temps, le faune avait posé ma femme à terre et se masturbait avec énergie entre les nichons dont le volume trahissait l’état d’excitation. Le gros nœud luisait, splendide et triomphant. Un filet blanc ténu s’échappait sans arrêt de son extrémité. Enfin, il explosa en un geyser de foutre dont les retombées recouvrirent les seins, les épaules le cou et le visage de la bienheureuse victime qui en fit son régal, ouvrant sa bouche très large pour recevoir ce qu’elle put et se passant ensuite la langue sur les lèvres pour recueillir le précieux nectar.
Au moment où le faune jouit, Méfistophallos relâcha son étreinte. Sa langue se retira de mon sexe, en suivant à l’envers évidemment le même chemin qu’elle avait suivi pour en prendre possession, mais plus rapidement qu’elle n’y était venue. Quand elle se retira du trou de bite, il en sortit un splendide jet de sperme que je n’avais pas senti venir et qui me fit l’effet d’une énorme secousse électrique. Ma queue était incandescente. Mais elle était effectivement beuacoup plus grosse. J’espérais que ce serait définitif. Et ce le fut. J’avais pris trois centimètres dans l’affaire en longueur et deux en circonférence. Quant à mes éjaculations elle doublèrent de volume.
Le faune, s’accroupit, le sexe toujours dressé avec obscénité et couvert de jute. Il se pignolait énergiquement. Méfistophallos, prit le relai.
Il allongea ma femme sur le dos, les jambes écartées. Je pus alors voir qu’il donnait à sa propre langue la forme et la consistance qu’il voulait. Autant elle s’était faite fine et longue pour entourer mon pénis et entrer dans l’urètre, autant là, après avoir fouillé le fond du vagin avec une souplesse et une rapidité déconcertante, elle devenait grosse et dure. Il lui donna la forme d’une bite en érection, de sorte qu’il pénétra ma femme avec sa pine tout en la palochant avec une langue en forme de gode.
Puis tout en la défonçant, il joua avec sa langue, la gonflant, la diminuant, la serrant autour des seins, lui léchant le clitoris tout en la sautant, faisant un double, langue-bite... autant d’évènements qui déclenchèrent une suite d’orgasmes frénétiques.
Puis il la mit en levrette.
Sa langue toujours aux avant-postes s’insinua dans le trou du cul, très profondément. Pendant deux ou trois minutes il la sodomisa ainsi. Puis il planta sa tige dans la raie. Bite au con et langue dans le train, la pauvre salope demandait grâce.
C’est alors que s’adressant à moi dans un langage que je ne compris pas avec mes oreilles mais que j’entendis avec mon corps, il m’ordonna de me faire sucer. C’était comme si j’étais aimanté. Je fus très heureux d’étrenner ma nouvelle bite.
Non seulement elle était plus grosse et plus longue mais elle était aussi beaucoup plus sensible.
Les coups de bite étaient particulièrement violents. Les fesses claquaient sous le choc et le corps était projeté en avant. A chaque saut, ma queue s’enfonçait jusqu’à la glotte presque à faire vomir Clara.
Il se retira soudain pour éjaculer. Le foutre jaillit en un long jet interminable qui vint s’écraser sur mon torse, dans les cheveux où séchaient déjà les grumeaux de la veille et sur le dos. Il fit tournoyer sa langue sur cette abondante semence, la ramassant comme l’aurait fait une cuillère et replongea le tout dans le vagin.
Le faune toujours bandant, se tapait éjaculation sur éjaculation. Ses sabots trempaient dans la sauce et ses poils de pattes se collaient sous l’effet de cette poisseuse liqueur.
Méfistophallos dut sentir que j’étais sur le point de jouir car il me fit prendre sa place. Je plongeai mon nœud dans le con plein se jus et, après quelques va-et-vient j’avais une petite masse de gel  de foutre à la base de la pine auquel je mêlai le mien lorsque je pissai comme jamais à l’intérieur du vagin.
Je retirai ma pine dégoulinante mais, à ma grande surprise, elle se maintint dure même après avoir été décrassée par la bouche experte de ma fidèle compagne.
Méfistophallos se remit sur la bête et le faune vint le rejoindre.
Quant à moi, je dus me mettre sur le sol allongé. Ma queue tenait droite, pointée vers le ciel, solide comme un  chêne. Clara vient s’empaler dessus. La rosette s’ouvrit comme une fleur et je tapai au fond de son anus . Le bouc vint lui déchirer la chatte. Je sentis cet énorme chibre pénétrer l’orifice en écrasant mon propre membre de sa masse. Je crus que la paroi allait se déchirer.
Alors Méfistophallos fit son office. La longueur de sa verge autorisait une triple. Son sexe rampa sur le mien et vint le comprimer plus encore provoquant une décharge mais sans que je perdisse ma bandaison. Je découvris que je pouvais jouir sans fatigue et me recharger automatiquement, mais malheureusement cette disposition ne dura pas plus longtemps que cette nuit. J’avais déjà hérité d’une plus grosse bite et d’un plus gros volume de sperme. On ne peut pas tout avoir...
Les trois queues dilataient les orifices de ma femme qui ne cessait de gémir et de demander qu’on la fourre. Méfistophallos ajouta alors sa langue dans le con. Je la sentis bien rentrer et, comme un gode gonflable, prendre du volume si bien que tout mouvement devint impossible. Mon sexe broyé devait avoir pris une taille colossale. J’en sentais tous les millimètres et j’avais l’impression que mon trou de pine était démesurément ouvert et que j’allais me vider de litres de sperme. La langue faisait tous les mouvements. Elle seule bougeait dans ces cavités prêtes à exploser tellement elles étaient remplies.
Le toucher était extrême et je sentis les flots de jute du faune se déverser; puis ce fut le tour de Mépfistophallos dont le liquide s’épancha avec violence. Il me parut, par un phénomène étrange, que ce jus entrait dans ma pine violemment, comme si j’avais éjaculé à l’envers.
Le faune se retira, puis Méfistophallos en fit autant. Au moment où leurs queues sortaient des deux orifices, il me semblait que la mienne doublait de volume pour prendre la place ainsi libérée.
Effectivement, quand je la retirai, elle avait l’aspect d’un énorme boudin, pas plus longue que depuis qu’elle avait acquis sa nouvelle taille, mais de la circonférence d’une bouteille d’eau. Elle était violacée, douloureuse et du jus s’en échappait continuellement.
Je l’insérai avec peine dans la chatte. La pression libéra tout le sperme qui s’y trouvait encore. J’éjaculai immédiatement pendant de très longues secondes, le foutre s’échappant par saccades sous les coups de piston.
Méfistophallos plongea sa langue dans le cloaque; Il la fit traîner longtemps puis, se couchant sur ma femme, il la pénétra avec vigueur tout en la palochant.
Ma femme s’agrippait à lui, repliant les jambes autour se son corps, lui enfonçant les ongles dans le cul bombé, se déchaînant en encaissant les grands coups de queue avec délice, hurlant ses orgasmes quand la bête de sexe lui libérait la bouche. Les seins étaient gonflés à l’extrême, les tétons colossaux, pointus, durs, dressés vers le ciel comme de petits obélisques.
Enfin dans un dernier cri animal, s’appuyant sur ses deux bras tendus à mort, tous les muscles du corps raidis par l’effort, Méfistophallos se bloqua au fond pour une ultime décharge qui fit chanter ma femme dans des notes très aiguës.
Dès que Méfistophallos eût libéré le con d’où son jus s’échappait en gros flots liquoreux, je plongeai ma pine dans cette chaude mélasse.
Le faune se masturbait au dessus de nous. Il se fit lécher l’énorme bout qui n’arrêtait pas de suinter abondamment, à tel point que la bouche de Clara ressemblait à celle de quelqu’un qui aurait bu un grand verre de lait en le bavant en entier.
Au moment où je déchargeai, le faune se libéra à son tour sur les seins, d’une dose si impressionnante que le cou disparut sous les torrents blancs qui ruisselaient depuis les mamelons couverts de crème.
Les deux monstres ainsi satisfaits, la bite pendante mais toujours énorme regagnèrent les socles où il se figèrent à nouveau en statues.
Ma femme s’était assise et je me mis derrière elle, enserrant son corps trempé et puant le sperme dans mes bras. Elle respirait vite. Son rythme cardiaque était rapide. Elle massait sa vulve lentement comme pour la soulager d’avoir autant été éclatée.
Ma queue et mes couilles me faisaient mal mais la douleur diminuait et j’étais très serein.
Nous restâmes un long moment ainsi. La porte s’ouvrit.
Aldéric et Pacôme apparurent.
"Oulà ! Ça sent le cul là-dedans ! Que s’est-il passé"?
A cette question du grand prêtre de Priape, je répondis que nous venions de connaître la quatrième étape, la quatrième phase de l’initiation.
"Quoi ? Mais c’est impossible"!
Et les statues ? C’est moi peut-être qui les ai changées de socle tout seul ? Et leur queu qui bandait et qui pend maintenant, c’est moi qui les ai changées ? Et ma bite, tu ne la trouves pas plus grosse ?
Il s’approcha, m’empoigna le sexe, le soupesa.
"Dingue, c’est vrai... elle est plus grosse... elle est comme la mienne maintenant".
Et que va-t-il se passer ?Je vous l’ai dit, après la troisième étape nous n’en savions rien. Il y tellement longtemps que cela n’est pas arrivé... Je ne l’ai jamais connue et mes prédécesseurs n’ont laissé que de vagues témoignages.... Il faut que je consulte l’oracle.
Alors il se déshabilla, coucha Clara au pied de la statue de Priape et la grimpa sans préliminaires. Pacôme et moi nous nous tenions au dessus, nous secouant le manche comme des sauvages à cette scène de défonce, bien qu’elle me parût terne à côté de ce que j’avais vu pendant les heures précédentes.
Sans égard pour le couple qui forniquait sous nos verges, nous éjaculâmes, et ce fut Aldéric qui en reçut le plus sur le dos. Cela ne le perturba pas. Très concentré sur ce qu’il faisait , il ne s’arrêta qu’au moment de son propre orgasme, ayant pour la première fois vidé ses burnes dans la chatte de ma femme.
"Le Dieu m’a parlé. Revenez à la prochaine lune pour l’ultime étape et votre femme sera fécondée".
Forts de cette promesse... nous prîmes congé de nos hôtes après une douche réparatrice.

A suivre.
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