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Les animaux de Priape

Chapitre 7

Zoophilie
Et c’était vrai. A l’instar de ce qu’il s’était passé pour le faune et Méfistophallos, la pierre se colorait se réveillait, s’animait.
Mais en même temps que la vie irriguait la pierre, celle-ci se métamorphosait et la statue qui devenait chair s’enlaidissait.
Le buste s’allongea et devint plus long que les jambes, très courtes très poilues et très massives. Le visage devint tel celui d’un vieillard hideux, avec une bouche très lippue et un air d’extrême lubricité dans le regard.. Le ventre s’arrondit;. Seuls les bras et le torse gardèrent une force, une vigueur et une apparence juvéniles.
Et puis il y eut le sexe ! Il se développait à mesure que Méfistophallos le stimulait. Ce dernier continuait de tremper sa langue dans la chatte de ma femme où il prélevait son lot de sperme et de cyprine. Il en aspergeait la bite de la statue et ses tétons et, plus il le faisait, plus la statue s’agitait jusqu’à ce que la bite atteignisse sa maturité.
Celle-ci déjà longue, grosse et bandante prit la forme d’un arc de sorte que, partant du pubis elle montait jusqu’à la hauteur du nez de Priape presqu’à le toucher.  Le gland était rouge vif, très sculpté et avait la grosseur d’une grosse pomme, et la bite le diamètre d’une belle courgette.
Le pubis était couvert dune toison brune, la plus épaisse qui se puisse imaginer.
Enfin, la paire de couilles avait la dimension de deux balles de tennis... jusqu’à ce que pousse une deuxième paire, plus grosse, plus poilue, plus pendante. Le dieu avait quatre couilles... c’est peut-être le privilège des êtes surhumains.
Quand il fut totalement réveillé, c’est à dire au moment où Méfistophallos se retira pour éjaculer dans les airs, Pacôme et Aldéric se prosternèrent. Je fus obligé d’en faire autant, comme si une main invisible s’était  posée sur mon épaule et m’avait contraint à plier le genou.
Ma femme se redressa, salua le dieu puis se mit debout, face à lui, jambes et bras écartés, la touffe frémissante, les seins gonflés et palpitants, la tête en arrière et les cheveux volant dans une brise légère venue d’on ne sait où.
Priape éjaculait sans arrêt à flots abondants comme s’il se déchargeait de dizaines de litres de semence accumulée pendant des siècles dans ses bourses surdimensionnées. Au fur et à mesure que le foutre jaillissait du méat tressaillant, les couilles rétrécissaient puis se rapprochaient de la hampe où elles se fondaient pour disparaître totalement tandis que la deuxième paire prenait le relais et qu’une autre excroissance poussait à l’arrière. Ce mec avait des paires de couilles à répétition... Le veinard !
Je me dis qu’à ce train là, ses orgasmes dureraient une éternité.
Il n’eut pas besoin de faire grand chose. Il souleva Clara du sol, d’une seule main, et vint la planter sur son immense colonne, de sorte qu’elle avait la chatte encombrée du gland. Comme celui-ci était au niveau du visage, il put ainsi la sauter tout en lui léchant la raie qui fuyait comme une lance de pompier. Ah, putain, oui, ce doit être agréable d’être un dieu. Ma femme ainsi bringuebalée sur le pylône formait avec lui une sorte de bilboquet sexuel avec lequel Priape s’amusait insolemment en bavant de plaisir. De ses deux mains puissantes ou même d’une seule, il la soulevait l’empalait, la soulevait encore et ainsi de suite, rapidement. Ma femme n’était qu’une marionnette désarticulée, une poupée de chair dont les seins virevoltaient frénétiquement sous les coups qui lui étaient imposés.
Quand la chatte se libérait, elle laissait couler une mélange abondant de sécrétions des deux sexes et quand le vit s’enfonçait avec violence, il projetait alentour des éclaboussures qui giclaient dans tous les sens. Nous fûmes tous couverts en peu de temps de ce crachin.

Il la monta ensuite dans toutes les positions et en lui décapsulant tous les orifices.
Il la sodomisa sauvagement. Elle n’avait rien à faire qu’à subir. Sa force herculéenne lui permettait de la soulever, de la balancer de la retourner dans tous les sens comme si elle avait été dans le tambour d’une machine à laver.
Ainsi saboulée, Clara fatiguait à vu d’œil. Et quand elle semblait près de s’effondre, il suffisait que Priape lui ouvrit grand la bouche, il déversa quelques onctueuses rasades de son suc et elle reprenait vigueur pour quelques minutes, réanimée par ce produit dopant dont il paraissait qu’elle raffolât tant elle s’en pourléchait les babines.
Alors, de nouveau prête et soumise, les deux corps fusionnaient parfaitement, s’épousaient l’un l’autre, se confondaient en une seule masse frémissante, hurlante, jaillissante. La bouche seule fut incapable d’avaler la totalité de l’engin,  à peine une petite partie, alors que le vagin et le cul s’assouplirent et se dilatèrent à la démesure pour tout encaisser.
Pour l’enculer, il l’avait mise en levrette et se tenait debout au dessus, de sorte que, placé derrière je pouvais voir le jeu de son cul musculeux et poilu et le mouvement prodigieux de ses boules. J’assistais, hypnotisé, à leur renaissance perpétuelle.
Nous étions hors du temps. Nous ne connaissions ni la faim ni la fatigue, seulement le sexe. L’excitation était si forte que j’avais déjà éjaculé une fois sans me toucher.
Mais je bandais à nouveau et très dur.
Enfin Priape se retira du cul. Il mit ma femme sur le dos. Puis lentement, il se métamorphosa.
La longueur de son sexe diminua, sa courbure disparut. Désormais bien droit, le gland plus effilé, la bite avait une apparence plus humaine si on voulait bien excepter sa circonférence complètement hors normes. Comme je ne m’étais concentré que sur les transformations du sexe, je ne pris par garde à ce que devenait le corps. C’est simplement en prenant du recul que je vis qu’il avait adopté mon apparence. C’était mon sosie, exactement. C’était moi, trait pour trait. Je regardai alors mon sexe. Hélas, là seulement résidait la différence. Mais elle était de taille ! Lui se trimballait avec une pine d’éléphant.
Alors il s’allongea sur ma femme et la pénétra en missionnaire. Il la baisa comme je la baisais. Il fit les mêmes gestes et, avec la même voix, lui dit les mêmes mots. Et elle lui répondait comme si c’était moi. Jamais, pendant ce temps, elle ne leva le regard vers moi. Elle se cramponnait au faux Hadrien, au faux moi et chantait, clamait, hurlait son bonheur, sa joie de sentir son ventre empli par le phallus géant.
Elle parlait et je répondais tout bas :"Oh Hadrien mon amour..."— ce n’est pas moi— Baise-moi mon chéri;— C’est Priape qui te baise.— Enfonce-moi ta grosse pine. Déchire-moi la chatte.— C’est la queue de Priape que tu sens dans ton sexe.— Oh mon amour.... ouiiiiiii.... je t’aime......... tu me fais jouir....— Ce n’est pas moi....
Mon sexe palpitait tout seul. Je mouillais abondamment. Mes couilles se balançaient sans que je fisse rien pour cela. Ma bite suait sans discontinuer. Elle dégoulinait. Jamais je n’avais connu un phénomène aussi étrange.
Ma femme jouissait sans retenue depuis un bon moment déjà. Lorsqu’elle atteint le paroxysme et dans les derniers spasmes du plaisirs, les plus violents, elle se replia sur son amant et lui laboura les corps de ses ongles. Je vis des sillons rouges écarlate zébrer les fesses et le dos du baiseur. Au même moment, je sentis une brûlure dans mon dos et sur mon cul, comme si ma propre chair avait été ainsi labourée. En passant la main d’en mon dos, je la tâchai de gouttelettes de sang.
Quand elle eut finie, ses jambes et ses bras se détendirent gisant en croix sur le sol. Priape se retira. La verge monstrueuse luisante et rouge, il se plaque entre les deux seins gonflés comme des ballons. Des ses mains, ils referma les globes opulents sur son gland et il se mit à juter comme une fontaine, sans arrête, un flot de semence épaisse comme du lait concentré se déversant sur le haut du torse, sur les épaules, faisant disparaître le cou sous une coulée aussi dense que de la crème fraiche.
Il se releva. Son foutre, peu à peu, coulait vers le sol aussi lentement qu’une cire épaisse fond sur le bougeoir, dévoilant le cou où scintillait un magnifique collier d’or et de rubis, présent de Priape à sa femelle.
Priape me fixa. Il reprenait son apparence primitive: "A toi" ! Me dit-il. "Sois exaucé" !
Je m’approchai de ma femme et je la saillis immédiatement. Son antre était rempli. C’était chaud et épais. J’y fus bien. Elle resta inerte, somnolente, pendant que je la secouais sauvagement.
Jamais ma bite ne me parut aussi vivace, aussi sensible. J’en sentais chaque once de peau. Elle me paraissait incroyablement dure, incroyablement grosse, incroyablement puissante. Jamais je ne m’étais sentis aussi viril qu’en ce moment, jamais je n’eus une telle maîtrise de mon sexe ni de mon plaisir. Je restai un long moment à profiter de cette sensation.
Quand mes couilles se vidèrent, au moment où je le voulus, Clara sortit de sa torpeur pour avoir un orgasme fulgurant. Puis tout retomba dans le silence.
La pièce était retombée dans la pénombre. Seuls deux cierges éclairaient la statue de Priape qui avait repris sa place.
Clara se releva. Elle prit la main de Méfistophallos et du faune et les reconduisit chacun sur son piédestal. Avant d’y remonter et de s’y figer à nouveau, ils lui roulèrent une pelle et la doigtèrent dans le con et dans le cul.
Alors, Pacôme et Aldéric vinrent se prosterner devant ma femme : 3Priape, suprême déité du sexe t’ a désignée comme sa grande prêtresse. Tu es maintenant initiée. Parle maîtresse ! Tes serviteurs écoutent" !
Alors, pour tester sans doute son nouveau pouvoir, elle ordonna : "Enculez-vous" ! Et sans hésitation, ils obéirent à la nouvelle patronne du lieu, nous offrant la première scène homo qu’il nous fut donné de voir en ce lieu.
A suivre
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