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Les animaux de Priape

Chapitre 8

Zoophilie
Priape avait tenu sa promesse. Clara fut enceinte. Elle accoucha d’un garçon et d’une fille, cette dernière étant son portrait craché alors que le garçon était très brun avec le peau très sombre, beaucoup plus que la mienne et je fis même un test ADN pour savoir s’il était bien de moi, ce qui était le cas, comme sa sœur.
Son nouveau statut de grande prêtresse conféré par Priape lui-même, lui avait donné toute autorité dans le temple. Je devins moi-même acolyte de Pacôme et Aldéric.
Ses pouvoirs étaient immenses.
A chaque cérémonie, maintenant, elle réanimait Méfistophallos. Ils s’accouplaient dès qu’il était revenu à la vie, violemment mais brièvement. Alors, elle se métamorphosait. Elle reprenait sa jeunesse elle se régénérait, redevenait la même qu’à vingt-cinq ans, avec des attributs beaucoup plus avantageux. Puis, alors, elle dirigeait la cérémonie.
Une fois par mois, à la nouvelle lune, nous assistions à un phénomène inimaginable.
Devant le sattue de Priape était dressée une grande cuve de Bronze sous laquelle se consumaient des tisons ardents. Nous entourions la cuve. Clara apparaissait entièrement nue sous une grande cape couleur or. Elle coinçait le sexe en pierre de Méfistophallos entre ses deux gros seins et caressait l’organe jusqu’à ce que la statue se réveille, ce qui ne prenait pas plus de deux ou trois minutes. Méfistophallos, bavant et mouillant du bout, s’approchait alors de la cuve et y versait une poudre inconnue. Un brouillard violet se formait. Nous buvions ensuite chacun une grande rasade de ce breuvage dans un verre en or de la forme d’un sexe en érection. Puis, nous plongions dans une profonde torpeur. Lorsque nous en émergions, Clara et Méfistophallos avaient disparu.
La vasque pleine d’eau nous renvoyait alors leur image aussi nette que la meilleure des résolutions sur un écran d’ordinateur.
A chaque fois, ils s’étaient transportés dans un lieu différent. La plupart du temps, il s’agissait d’un vieux temple en ruines, héritage d’une civilisation disparue qui avait élevé un culte à Priape ou à un quelconque de ses avatars, dieu de la bite et du sexe.
La plupart du temps, ces lieux étaient abandonnés depuis des millénaires et ma femme n’y croisait que des animaux auxquels Méfistophallos commandait avec une autorité indiscutable. Elle en vit tellement que l’on peut dire que son sexe fut à la baise ce que l’arche de Noé fut à la navigation. Tous les animaux y entrèrent.
La première séance la transporta en Egypte. Elle y réveilla une statue du dieu Apis anthropomorphe avec tête de taureau. Ce n’était qu’un des multiples avatars de Priape.
Dès le dieu put se mouvoir, elle l’excita en lui dévoilant sa chatte dont elle écarta les lèvres. Un protubérance qui se développait à vu d’œil sous la frêle cotonnade dont était fait le chendjit promettait de beaux moments. Ses proportions finirent par avoir raison du pauvre pagne qui se déchira libérant le gland puis toute la verge. Il arracha alors les restes de son pauvre vêtement, mettant son sexe et son cul à l’air et il s’attaqua directement aux nichons.
La scène fut des plus torrides d’autant qu’après avoir utilisé tous les trous il se fixa un long moment dans la bouche, appréciant une pipe bien baveuse. Ma femme était installée sur un autel, allongée sur le ventre, bien face au gros nœud qu’elle pompait. Cela permit à Méfistophallos d’aller chercher un nouveau compagnon de jeu, un jeune dromadaire particulièrement bien monté. Pour le recevoir, Clara dut se mettre en levrette et je vis la grosse queue du dromadaire fendre la patte de chameau.
Je n’y connais rien en plaisirs animaux mais il était visible que le camélidé y prenait un plaisir évident, de même que ma femme.

Après une abondante éjaculation, le chameau se retira et Apis vint prendre la place. Quand il l’eut bien défoncée par tous les trous nous sentîmes à nouveau un engourdissement et le sommeil nous prit. A notre réveil, elle était de retour parmi nous et nous la sautions alternativement ou en groupe. Cette baise nous redonnait force et vigueur.
C’était à chaque fois la même chose. A quatre reprises malgré tout, elle rencontra des hommes. La première fois ce fut en Amazonie. Ici, Priape avait pris les traits d’une statue de bois représentant un Puma et ce fut cet animal qui la saillit en présence de toute une tribu, du moins que les hommes. Tous ces gaillards, jeunes et moins jeunes la grimpèrent et l’inséminèrent à leur tour. Il y en eut bien une centaine. Elle les supporta tous sans aucune fatigue.
Son deuxième voyage en présence d’hommes la transporta, sans nul doute, dans un vieux temple de l’Inde. Allongée sur le dos, elle reçut tous les manches en missionnaire. Les types la fourraient sans aucun ménagement attendant chacun son tour. Ils étaient plus ou moins rapides. Dès qu’ils avaient éjaculé, ils partaient et un autre prenait immédiatement la place. Quand le dernier eut tiré son coup, Méfistophallos amena un éléphant. La bite d’un mètre s’enfonça comme à l’exercice.
En Indonésie, peut-être dans la jungle de Bornéo, une tribu amena un singe. Le quadrumane fut patiemment observé puis copié, toute la tribu venant se vider les couilles à sa suite dans le vagin largement dilaté.
C’est en Afrique que se passa la chose la plus étrange, car, pour la première fois, Pacôme, Aldéric et moi nous fûmes du voyage. A notre réveil, nous étions tous dans une clairière au milieu de la jungle. Mais là, il n’y avait que des singes, une vingtaine de grands mâles et des femmes, pas un seul homme, que des femmes jeunes ou moins jeunes, toutes petites, aux seins lourds et en obus, à la croupe large et à la toison drue, aux lèvres vaginales épaisses et pendantes comme si elles avaient été étirées; Le mâle dominant du groupe déchira le cul de Clara comme s’il se fût agi de sa femelle. Elle ne fit pas semblant. Elle se livra sans réserve aux assauts vigoureux du singe en rut dont la taille de la bite, pourtant était minable. Comme j’en faisais la remarque à mes deux comparses, Méphistofallos, qui semblait tout entendre de nos conversations, même fort éloigné, fit avec le singe ce qu’il avait fait pour moi naguère. Il lui monta sur les épaules et, lui ordonnant sans doute d’extraire sa bite de ma femme, il la prit avec sa langue, l’enserrant comme un serpent étouffe sa proie pour la faire grossir ainsi qu’il en avait été pour moi autrefois. Pendant ce temps, le grand  mammifère exerçait un cunnilingus, le premier sans doute qu’il fît jamais. Et il faut dire que cette énorme tête velue entre les jambes blanches provoquait un fort état d’excitation. La taille de sa bouche et de sa langue donnèrent à cet exercice une dimension peu courante.
Mais, contrairement à l’homme, c’est à dire à moi, le gorille ne sembla pas s’émouvoir d’avoir une queue qui avait doublé en taille ni s’en satisfaire. Il n’en manifesta ni joie ni jouissance. Il reprit sa pénétration dare-dare, comme Méfistophallos le lui ordonnait.
Pendant que le chef de clan arrachait à ma femme des cris d’orgasme qui résonnaient dans toute la forêt, les autres singes observaient. Méfistophallos fit le tour de chacun d’eux pour les doter d’un membre proportionné à l’idée que je me faisais d’une bonne grosse bite. L’opération ne prenait que quelques secondes. Les femmes regardaient ce manège en riant sous cape, comme s’il annonçait des plaisirs à venir qui ne les étonnaient en rien.
Quand, enfin, le singe éclaboussa ma femme de foutre dans une clameur de victoire, l’orgie commença.
Chaque femme se précipita sur un mâle disponible, homme ou singe. J’en eus ma part. Méfistophallos payait de sa personne et fourrait cul ou vagin, à sa convenance. Ces petites indigènes avaient un con extraordinairement étroit qui faisait merveille pour nos gros sexes dont la taille nous paraissait, de ce fait, encore plus imposante.
Cependant il devait bien y avoir cent cinquante femelles pour un vingtaine de mâles.
Clara circulait entre les rangs, ordonnant avec la plus ferme autorité, d’un geste ou d’un regard, ce qu’il fallait faire.
Dès que nous avions fini avec une fille, Clara venait nous pomper le dard. Il reprenait vigueur, les burnes refaisaient immédiatement le plein et nous pûmes ainsi honorer toutes celles qui se présentèrent.
Il est impossible de dire combien de femmes nous avons baisées ce soir là. Mais nous avons dû semer quelques descendants parmi cette tribu.
Quant aux singes, bien dirigés par Méfistophallos, ils adoptèrent toutes les positions qu’un humain peut prendre et s’adonnèrent même au plaisir des doubles.
Après cette mémorable soirée qui eut une répétition tous les quatre ans, le trou du monde continua.
Dans le froid du grand nord, qui ne sembla en rien rafraîchir ses ardeurs, l’ours polaire eut droit à un accouplement en règle et plus au sud le grand élan du canada et le bison d’Amérique
Les loups vivent en meute. Ceux des forêts de Russie attendirent bien sagement que le mâle dominant eût joui pour grimper la chaude femelle à leur tour, remplissant la contrée de mille hurlements de satisfaction. Le Lion fut le roi des animaux et le roi du sexe avec sa pine couverte  de piquants à la base et à l’extrémité. Les Rennes de Laponie eurent, pour une fois, autre chose à tirer que le traîneau du père Noël. Et si le fier lama du Pérou cracha, ce fut un flot de sperme.
Ainsi se passaient les fêtes au temple. De temps à autres, un couple en mal d’enfants faisait le même parcours que nous. Mais souvent, il n’y avait pas nécessité de dépasser la première voire la deuxième étape. Et chacun payait de sa personne.
C’est ainsi que nous arrivâmes, sans voir le temps passer à la première lune nouvelle après le dix-huitième anniversaire de nos enfants.
A suivre
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